dimanche 27 décembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 53 – Une nuit à St Pierre

Quand j'entrai dans ma chambre, je trouvai Yvan, nu, à genoux les mains sur la tête devant le lit, il attendait mon arrivée, il baissait la tête, tout honteux. Quand je m'approchai de lui sans un mot, je le vis trembler légèrement il jeta un coup d'œil vers moi, il paraissait très nerveux.

- Tu trembles mon garçon?

- Maître… Maître… Je… Je…

- Tu as bien mérité une bonne fessée, non?

- Oui Maître… Pardon Maître…

Je m'assis sur le lit, à ce moment on frappa à la porte, comme j'avais demandé à Julien de m'envoyer Albert, je ne fus pas surpris, je lui dis d'entrer, et Albert entra doucement me salua très respectueusement, il parut surpris de voir Yvan à genoux.

- Albert, tout d'abord je dois punir Yvan, alors déshabille-toi et va t'installer en face pour assister à la punition!

Il obéit sans rien dire et se mit en face en me regardant tristement…

- Yvan sur mes genoux!

Yvan vint se coucher sur mes genoux, il y resta deux secondes et il se souvint de la position à prendre, écarter légèrement les cuisses et cambrer les fesses. Sans aucune caresse préalable ma main tomba fortement à droite, à gauche, au milieu en dessous, au dessus, ce fut une avalanche de claques fortes, les fesses rougirent vite. Le puni, gémissait, il agrippa ma cheville, mais je continuais un peu moins vite mais régulièrement et fortement, le pauvre Yvan maintenait bien la position, mais il commençait à s'agiter. Quand ses fesses furent bien rouges j'arrêtai de frapper.

- Alors mon garçon tu te représenteras sale devant ton maître?

- Oh non Maître… Pitié Maître… Mais Maître…

- Mais quoi Yvan?

- Maître j'aurais dû faire quoi?

- Yvan, tu t'es sali à la cuisine, si tu pouvais changer de tunique, il fallait le faire, sinon tu devais me demander pardon en entrant pour te présenter taché!

- Merci Maître, je ferai comme ça… Maître pardon d'avoir été un mauvais serviteur…

Je lui caressai les fesses, elles étaient chaudes, douces, j'eus envie de lui, ce beau petit Yvan tout soumis… Mais j'avais aussi son amant bien désirable aussi…

- Relève-toi Yvan, tu es pardonné, ne recommence pas!

- Merci Maître, à genoux il embrassa ma main.

Je me levai en me dirigeant vers le cabinet de toilette, Yvan me suivait, en passant vers Albert qui baissait les yeux, je le pris par la taille, le serrant contre moi, il parut tendu, il se laissa faire je lui palpai les fesses et lui dit:

- Mon petit Albert, tu vois que je n'ai pas été trop méchant avec ton Yvan, mais maintenant j'ai envie de toi, tu vas aller sur le lit, t'y coucher sur le ventre en présentant bien tes fesses, je te rejoindrai plus tard!

- Mais Maître…

- Il n'y a pas de 'mais', obéis et vite!

Je le laissai pour entrer dans le cabinet de toilette avec Yvan. En bon serviteur Yvan me déshabilla, il était moins timide que la veille il se débrouilla bien pour me laver, quand il lava mon sexe je me mis bien sûr à bander…

- Maître…

- Oui Yvan.

- Maître vous allez… Enc… Prendre Albert… Maître?

- Oui bien sûr il est beau ton Albert j'ai envie de lui!

- Mais Maître… Il ne l'a jamais fait Albert… Il me prend moi…

- Et bien ça le changera… Je ne le ferai pas comme une brute rassure-toi!

- Merci Maître.

J'entrai nu dans la chambre je vis Albert couché sur le ventre sur le lit, il avait les jambes serrées, il me lança un regard craintif.

- Ecarte les jambes Albert!

- Oh Maître… Non Maître… Pas ça…

- Ecarte!

- Non Maître! Je ne veux pas être enculé! Maître… Pitié!

- Yvan, va chercher Xavier et remonte avec un martinet, des verges et une corde! Et vite!

Il fila consterné, nu les fesses rouges, je mis un peignoir, peu de temps après Xavier entra avec Yvan, un gros martinet, des verges et un cordage en mains. Xavier me salua en silence et attendit mes ordres.

- Xavier, je ne sais pas comment ces serviteurs ont été dressés, mais j'en ai assez de leurs désobéissances, maintenant c'est Albert qui ne veut pas se donner à moi, tu m'en rendras compte Xavier demain matin mais pour l'instant attache les chevilles et les poignets de cet indiscipliné aux bois du lit! Exécution!

- Oui Maître… Pardon Maître!

Il attrapa une cheville d'Albert et l'attacha d'un coté et il prit l'autre pour l'attacher de l'autre coté, Albert se débattit un peu mais il fut vite attaché les jambes bien écartées, il lui attacha aussi les mains, Albert était écartelé sur le lit, sans défense il bougea un peu et se calma.

- Mets-lui un coussin sous le ventre, et sors Xavier!

Il le fit et sortit, me saluant en demandant pardon, le pauvre Xavier était assez déconfit, mais il est le chef de ces esclaves désobéissants, il en avait une part de responsabilité. Je contemplai le bel Albert attaché, tout écartelé sur le lit les fesses proéminentes, je pris le martinet et frappai ses fesses durement, il cria, mais n'eut guère le temps de reprendre son souffle, je fit cingler le martinet rapidement, il était lourd, les claquements étaient forts, la peau marquait immédiatement, je lui donnai une vingtaine de coups rapides, ses fesses étaient bien zébrées et ouvertes, j'avais accès à toute son intimité. Je promenai le manche sur la raie de ses fesses, puis mis le bout sur son anus, il gémit.

- Alors mon garçon tu as le choix, ou je te fouette durement encore longtemps, et si tu me désobéis encore je risque de te pénétrer avec ce manche, ou tu me demande de t'enculer, et je le ferai avec mon sexe qui s'impatiente déjà bien à voir ton beau cul offert!

- Maître pitié, pas le martinet encore ça brûle Maître… Pitié Maître, ne m'enculez pas!

- D'accord tu refuses, à toi d'en subir les conséquences!

Yvan me jeta un regard désespéré, je repris le martinet et fouettai mon puni encore plus sévèrement, je m'attaquai au bas des fesses, sur tout le dos avec une force qui donnait des claquements très sonores, le puni criai fort, maintenant, il devait aussi pleurer, il était très désirable, je l'avais menacé de choses que je ne pourrais pas lui faire, il passait un mauvais moment mais il n'avait pas le droit de refuser de se donner à son maître. Une trentaine de coups donnés, on était à un total de cinquante, je m'arrêtai.

- Alors esclave tu demandes quoi à ton Maître, de te fouetter encore, il y a là un beau lot de verges, ou de te prendre, comme je le fais avec mes beaux esclaves soumis!

- Pas les verges Maître, non pitié Maître…

Je posai ma min sur ses fesses, elles étaient brûlantes, je promenai mes doigts dans sa raie, je chatouillai un peu sa rondelle, il frémit et dit d'une voix toute sanglotante:

- Maître vous ne me ferez pas mal?

- Moins qu'à coup de verges tu peux en être sur mon garçon! Aller sois raisonnable!

- Maître… Prenez-moi… Enculez-moi… Pitié Maître!

- Yvan va chercher la vaseline!

J'en enduisis mes doigts, en déposai une bonne quantité sur son cul et je commençai à le doigter, avec un doigt, puis deux, il se raidit.

- Détends-toi mon garçon, Yvan vas lui parler!

Yvan alla vers lui, il pleurait aussi il l'embrassa il murmura à son oreille, l'anus d'Albert se détendit, j'y entrai trois doigt, puis approchai mon sexe bien tendu. Mon gland rencontra un peu de résistance mais il entra doucement, Albert gémit mais il se soumettait bien, je ne sais pas ce qu'Yvan lui disait. Je le pénétrai doucement, tendrement il gémissait peu, j'arrivai à le pénétrer complètement, je sentis ses fesses brûlantes sur mon aine! Je commençai mon va-et-vient, son intérieur était tout doux, comme il était encore un peu serré la pression sur mon sexe fit vite monter le plaisir, je déchargeai abondamment en lui, il poussa un drôle de gémissement, je me couchai sur son dos, je restai en lui, je lui dis à l'oreille:

- Alors mon garçon ça valait le coup de faire tout ça?

Je me retirai de son intérieur en lui parlant.

- Pardon Maître… Pardon… Et il pleura.

- Yvan détache-le!

Yvan lui détacha les pieds et les mains, il se recroquevilla sur lui-même dans le position fœtale en pleurant fortement. Je me couchai à côté de lui le caressant doucement.

- Eh bien mon garçon pourquoi tu pleures comme ça?

Il se tourna vers moi me regardant avec ses yeux plein de larmes:

- Oh Maître j'ai honte… Vous allez me détester maintenant…

- Pourquoi mon Albert?

- Oh Maître je vous ai dit non… Et vous avez si doux… En m'enculant Maître… Je ne savais pas que c'était comme ça… Pardon Maître…

Je me couchai sur le dos et le fis se coucher sur moi, je caressai son dos, ses fesses, il se détendit, je l'embrassai tendrement, il arrêta de pleurer je lui dis:

- Je te pardonne petit Albert, la prochaine fois obéis, je suis ton Maître, tu dois avoir confiance, je ne fais pas de mal à mes esclaves sauf pour les punir…

- Maître j'obéirai… Vous êtes gentil Maître…

Il était allongé sur moi, j'aimais sentir son corps contre le mien, je fis signe à Yvan de venir nous rejoindre, il vint se coucher contre moi, je lui fis un bisou, il me sourit. Je caressai les fesses d'Albert avec insistance un de mes doigts vint sur son orifice et s'introduisit, je caressai son intérieur, je sentis son sexe se tendre sur mon aine…

- Eh bien ça te fait de l'effet mes caresses, Albert!

- Pardon Maître… Je ne peux pas me contenir…

- Mais bande comme tu veux mon coquin, ça n'est jamais interdit!

- Oh merci Maître!

La suite fut une longue scène d'amour à trois, Yvan se joignit à nous, il se fit prendre par Albert, ensuite Albert le suça jusqu'à ce qu'il jouisse, je leur demandai de me sucer, ils le firent tous deux avec un grand savoir, leurs bouches et langues affairées sur mon dard et mes bourses je jouis une nouvelle fois intensément dans une des deux bouches, je ne savais plus j'étais épuisé, heureux, avec mes deux serviteurs courbés sur mon sexe…

Nous avions joui largement tous les trois, mes deux esclaves me regardèrent, je demandai à Yvan d'apporter une serviette mouillée pour nous laver, il le fit avec douceur, moi en premier, puis Albert et lui-même. Une fois ceci fini, je leur demandai de se coucher à mes cotés pour la nuit, mais après qu'Yvan ait pommadé le dos et les belles fesses zébrées d'Albert avec un baume calmant! Ils me sourirent tous les deux gentiment et se serrèrent contre moi, j'étais bien avec ces deux garçons soumis contre moi…

Nous nous endormîmes nus, enlacés dans un enchevêtrement de jeunes corps de mâles satisfaits. Le matin quand je m'éveillai je les découvris enlacés entre eux, Albert avait encore un bras sur mes reins, il était doux cet esclave avec moi, même après avoir été fouetté… Je me rendormis et quand je me réveillai ils n'étaient plus là, ils étaient à leur service. Yvan n'était pas loin il vint rapidement pour ma toilette.

Au petit déjeuner je retrouvai Julien, je lui racontai ma soirée, lui demandant de ne pas punir plus Albert, il acquiesça et m'avoua qu'il avait passé la nuit avec le beau garçon d'écurie qu'il désirait et il avait une drôle de lueur dans les yeux en me disant ça, il était amoureux Julien… Mais Xavier entra, il vint s'agenouiller vers moi et dit:

- Maître pardon pour la conduite de vos deux serviteurs hier soir, je suis aussi coupable qu'eux, vous étiez en colère contre moi, vous aviez raison maître… Punissez-moi Maître, je le mérite!

- Vas m'attendre dans le bureau Xavier, laisse-moi finir mon déjeuner!

Il partit, Julien me regarda surpris:

- Monsieur, vous voulez le fouetter?

- Il mérite un sermon et une correction d'avertissement, les serviteurs d'ici doivent obéir sans réticence à tous mes ordres, il est leur chef, il est fautif aussi!

- Moi aussi alors Monsieur…

- Oui et non, pourquoi pas moi aussi? Mais c'est vrai que je n'ai pas eu l'occasion de te punir depuis longtemps!

- Monsieur c'est vrai, je préfère éviter les sévères punitions mais s'il vous plait, si vous devez châtier Xavier durement, donnez moi une partie de sa punition, il est trop dévoué pour mériter une dure punition, Monsieur.

- Non Julien je punis qui je veux, mais n'ais pas peur pour Xavier, et sois prêt dans 20 minutes avec Eric pour aller à St Alban!

- Bien Monsieur!

J'entrai dans le bureau, Xavier y était debout, mains sur la tête, en position d'attente du puni, je m'assis au bureau et le regardai:

- Alors Xavier, pourquoi Albert n'est pas obéissant aux ordres de son maître?

- Pardon Maître, je l'ai mal éduqué, il obéissait au vieux maître, mais…

- Mais quoi, Xavier?

- Maître pardon mais le vieux maître ne donnait pas ce type d'ordre à un serviteur!

- Et à une servante?

- Oui Maître, pardon Maître c'est vrai elle devait obéir…

- Donc Albert devait obéir aussi, il l'a fait, après une bonne correction au martinet, ensuite il s'est laissé faire et il a été un bon garçon, je lui ai pardonné, je t'interdis de le punir pour cette faute, maintenant.

- Bien Maître!

- Tu lui avais dit que je voulais coucher avec lui?

- Je lui ai dit d'obéir Maître…

- Bon comme un esclave sous tes ordres a fauté tu dois être puni Xavier!

- Oui Maître, pardon Maître!

- Mets-toi cul nu, les coudes sur le bureau!

En quelques secondes Xavier fut en position, les fesses bien cambrées, les jambes un peu écartées, un très beau spectacle pour moi, je lui dis:

- Tu mérites le martinet Xavier, une correction d'avertissement, mais gare à toi si j'ai de nouveau ce type de problème, je serai plus sévère!

- A vos ordres Maître, merci Maître.

J'ouvris l'armoire aux instruments de correction que le vieux maître avait, il y avait toute une collection de fouets de diverses tailles, des verges, des cravaches, des martinets, des ceintures et courroies de cuir, tout pour châtier correctement un esclave désobéissant, Xavier me suivait des yeux avec des yeux craintifs, je reconnu parmi les martinets celui que j'avais utilisé la veille sur les fesses d'Albert, c'était le plus gros, Xavier l'avait choisi pour Albert, c'était le plus dur, je le pris, et dis à Xavier:

- Pourquoi tu as choisi le martinet le plus lourd pour corriger Albert hier soir?

- Maître, vous étiez en colère, et c'est celui que prenait le vieux maître pour moi, Maître…

- Tu le connais bien alors?

- Oh oui Maître, et presque tous les autres aussi Maître, sauf les fouets…

- Ton ancien maître, ne te fouettait pas au sang, tu n'as pas de marques, dis-je en contemplant ses fesses et son dos lisses…

- Oui Maître…

- Je n'en ai pas l'intention non plus, rassure-toi, il faudrait que tu commettes une faute très grave!

Je pris le même martinet que pour Albert et commençai à fouetter Xavier, pas trop fortement, mais les lanières claquèrent quand même bien et ses fesses furent vite zébrées de traces roses, il encaissait chaque coup avec courage en frémissant et gémissant, je lui donnai vingt coups, je ne voulais pas aller plus loin, il avait les fesses roses, c'était un beau garçon soumis qui venait d'être puni, il était très désirable, je me mis à bander! Je m'approchai de lui bien offert, courbé sur le bureau, je caressai ses fesses, puis y collai mon aine, même avec mon pantalon, il ne pouvait pas ne pas sentir mon désir…

- J'ai envie de toi Xavier, tu es très beau…

- Maître faites ce que vous voulez, je suis votre esclave, à vous…

Je pris un flacon de vaseline dans mon sac posé sur mon bureau, je ne me déplaçais jamais sans, j'en mis sur mes doigts, qui s'insinuèrent dans son intérieur, doucement, un puis deux, je le massai doucement, il se détendit, il s'ouvrit, confiant, j'étais doux, il cambra même ses fesses comme pour mieux s'offrir! Quand mon sexe se présenta il frémit mais son écrin l'accepta sans gémissement, je le pénétrai doucement, tendrement, je fus vite en lui, et lui fis l'amour, le limai calmement puis plus rapidement, le sentir soumis comme ça, la beauté de son corps donné au plaisir de son maître, augmentèrent mon désir et j'éjaculai dans un bel orgasme en lui… Je pris son sexe en main, il n'était pas indifférent, je le branlai tout en restant en lui, son plaisir vint très vite, il éjacula abondamment en haletant. Je me retirai de lui le fis se relever contre moi, et dans une étreinte réciproque nous nous embrassâmes comme deux amants satisfaits…