samedi 7 décembre 2013

Chers lecteurs et amis,

Ce blog va s’arrêter là, je suis atteint d'une maladie incurable et n'ai plus le cœur à écrire. Ainsi j'abandonne Mathieu et son monde, pourtant les idées ne me manquent pas.

Si un volontaire veut prendre ma succession je lui laisserai les clés du blog...

samedi 6 avril 2013

Le Domaine de Saint Christophe 63 – Léo le jeune paysan



Nous arrivâmes au château en début d'après midi, je passai immédiatement au poste de garde, Thomas était en train de laver le sol à quatre pattes, il me regarda craintif.
- Thomas dans un quart d'heure avec Aurélien dans mon bureau!
- A vos ordres Maître!
Accueillis par les sourires de Tom et d'Yves au salon, nous bavardâmes un peu, Yves me fit un signe pour me parler discrètement, je m'écartai avec lui.
- Maître, Jérôme est venu de Saint Christophe, il voulait vous parler d'urgence, c'est un problème de viol…
- De viol? Je n'aime pas ça, j'irai à Saint Christophe tout à l'heure.
- Il m'a dit qu'il fallait agir avant demain soir, mais il n'a pas voulu m'en dire plus…
- Bien merci Yves!
Je lui fis un bisou et bu avec Julien et Stéphane la boisson que Tom apporta. Nous fîmes le bilan de la matinée aux Ormes, le calme y régnait, c'était bien.
Je regagnai mon bureau, j'eus à peine le temps de prendre un papier qu'on frappa, et Thomas entra avec Nicolas. Ce dernier parla:
- Maître Aurélien est pris, l'accouchement de la femme de Gault a commencé, il vous demande de l'excuser.
Thomas mit ses mains sur sa tête et Nicolas fit de même, mes deux garçons étaient dans la position du puni! Je m'assis sur le bureau juste devant eux:
- Nicolas, je ne t'ai pas convoqué, tu as fait une faute depuis ce matin?
- Maître ce matin vous étiez en colère contre moi, vous avez dit que j'étais un incapable, j'aurais dû les réveiller avant, je pense que j'ai mal fait.
- Nicolas, ce matin j'étais en colère, mais oui pourquoi tu ne les as pas réveillés, tu es arrivé tard aussi?
- Non Maître je suis toujours avant 7 heures et demi à l'infirmerie, après avoir confié ma fille à sa gardienne, mais je ne réveille jamais Aurélien, il a peut-être passé la nuit auprès des malades, je fais les premiers soins, je vais le chercher s'il y a urgence, mais souvent il est levé à 8 heures. Et ce matin je ne savais pas que Thomas était là Maître.
- D'accord, bon à l'avenir tu réveilleras Thomas et Aurélien en arrivant! Mais baisse tes bras mon garçon, je ne te punirai pas, et file vite si Aurélien a besoin d'aide!
- Merci Maître!
Il embrassa ma main et sortit rapidement, je me tournai vers Thomas, il était tête baissée toujours en position du puni.
- Déshabille-toi Thomas!
Il fut rapidement nu, ses affaires bien pliées sur une chaise, il revint devant moi. J'étais assis sur le bureau jambes écartées, je commençai à bander, rien qu'à voir mon beau Thomas nu devant moi, je lui fis signe d'approcher, je pouvais le toucher.
- Alors Thomas tu as dû passer une bonne nuit avec Aurélien pour dormir encore à 9 heure, on fait les fous et on 'est pas prêt pour le travail!
- Maître je vous demande pardon, je n'ai pas d'excuses…
Je le pris par la taille et l'attirai vers moi, il était presque contre moi, je mis mes mains sur ses fesses en le caressant.
- Alors raconte-moi cette nuit, tu dois tout raconter à ton Maître…
- Maître… Je n'ai jamais passé une nuit comme ça, je n'avais jamais connu d'autre garçon que vous Maître… Pardon pour le garçon Maître…
- Tu es pardonné continue mon grand!
- Maître, Aurélien il est tout doux, il m'a tout déshabillé en me caressant Maître, j'ai fait pareil avec lui Maître, puis on s'est embrassés Maître, et il a mis mon sexe dans sa bouche et il m'a demandé de faire pareil, c'était bon Maître… Plus tard il m'a fait mettre à 4 pattes et il a mis sa bouche sur mes fesses en me léchant Maître, il a mis sa langue dans mon… mon cul… Pardon Maître…
- C'était bon ça?
- Oh oui Maître! Après il m'a pris avec son sexe, comme vous faites Maître… C'était bon j'ai commencé à me branler Maître, mais il m'a dit de me retenir, il est resté longtemps dans moi, il en est sorti doucement, il s'est mis à 4 pattes aussi et il m'a demandé de lui faire pareil, je l'ai léché et je l'ai pris, c'était la première fois Maître que je le faisais, c'était bon et je n'ai pas pu me retenir Maître, et lui non plus…
Après on s'est couché ensemble en roulant sur le lit… Mais plus tard on a recommencé…
- Eh bien en forme les garçons! Combien de fois dans la nuit?
- Trois Maître… Ce n'est pas bien Maître?
- Ce n'est pas mal mais je comprends pourquoi vous dormiez à 9 heures, mes lascars!
- Pardon Maître…
- Thomas, tu as bien fait l'amour avec ton nouvel amant, je n'ai rien à te reprocher de ce coté là, mais tu n'étais pas prêt pour servir ton Maître le matin, et c'est grave pour un garde!
- Oui Maître je vous demande pardon, ça ne se reproduira plus, Maître si vous m'autorisez à revoir Aurélien… Punissez-moi sévèrement Maître, mais que je garde Aurélien, Maître…
Il tomba à genoux en pleurant.
- Debout mon grand, je n'ai pas oublié que tu as été injustement fouetté à Broc, et ce matin tu as reçu la ceinture avec Aurélien, alors je ne vais pas te punir très fort, et reste avec Aurélien, soyez heureux mais n'oublie pas ton travail!
Je le tirai vers moi, le couchant sur ma jambe gauche, ses fesses bien à la portée de ma main droite, et la fessée commença, je le claquai, avec une force bien légère, comme il était collé à moi, je sentais toutes ses réactions et si au début il était tendu il devint plus souple, les claques ne sonnaient pas très fort, il était rassuré la punition ne serait pas dure. Quand ses fesses furent rose, j'arrêtai la fessée et continuai par des caresses de ses belles fesses…
- Voilà mon garde, tu es pardonné!
- Merci Maître!
Il se mit à genoux et embrassa ma main, je me penchai et lui fis un gros baiser sur la bouche.
- Bon Thomas, tu vas aller te mettre en tenue, et faire préparer nos deux chevaux, nous allons à Saint Christophe!
- A vos ordres Maître, merci de votre clémence Maître!
Il partit une fois habillé, j'allai au salon, Julien et Stéphane discutaient encore.
- Dis Julien, je voyais l'autre jour les travaux du train, la ligne devait passer derrière le Mont Rond, pas devant dans les marais, pourquoi, ils travaillent dans les marais?
- Je me suis posé la même question, Monsieur, à l'origine les plans étaient clairement par un passage derrière le mont avec un pont pour passer le petit ravin. Ils ne vous ont rien demandé?
- Non, il faudra que j'aille voir la direction… Bon je dois aller à St Christophe!

Nous sommes arrivés au village après un trajet agréable avec Thomas tout gentil et heureux, il avait eu peur d'une sévère punition, et de devoir ne plus voir son amant, et c'était tout le contraire, seulement une fessée qui lui laissait une douce chaleur sur les fesses.
Jérôme sortit de sa maison pour nous accueillir, un esclave vint prendre les chevaux. Les premières salutations faîtes Il nous parla de sa préoccupation:
- Maître, une femme du village va tous les deux jours à la ferme du Logis pour chercher les œufs qu'ils produisent. Elle y va vers 5 heures l'après-midi, mais elle s'est fait violer plusieurs fois par des gars du chemin de fer dans le petit bois qu'elle doit traverser.
- Plusieurs fois tu dis, et je ne le sais que maintenant?
- Je ne l'ai su que hier soir Maître, ils l'ont menacée, elle n'a rien osé dire, même à son mari. Mais elle est venue me voir hier soir.
- Fais-la venir ici avec son mari, que je l'entende.
Quelques minutes après une jeune femme entra, suivie par son mari, un jeune gars bien bâti avec une figure fine, ils se jetèrent les deux à genoux, être convoqués par le Maître ce n'est pas fréquent, la fille pleura doucement.
Je les fis se relever, m'approchai de la fille et lui mettant un bras sur son épaule, et lui parlant doucement je lui demandai de raconter son histoire. Elle me confirma les dires de Jérôme, que chaque fois qu'elle traversait le bois elle était agressée, menacée d'un couteau et violée par trois hommes de forte corpulence, un jeune était là aussi mais il ne la violait pas.
- Pourquoi ?
- Maître il est aux ordres des autres mais il y en a un qui semble tous les diriger.
- Un chef surement. Il est prévu que tu y retournes demain c'est ça?
- Oui Maître, elle tremblait en parlant.
Je pris Jérôme en aparté, nous discutâmes d'un plan à bâtir. Une fois les grosses lignes fixées, je m'adressai à la fille:
- Ma grande, demain tu iras aux œufs comme d'habitude, mais nous tendrons un piège aux violeurs pour les arrêter, il te faudra du courage mais n'aie pas peur, nous serons là cachés, tu ne seras pas violée.
Le jeune mari releva la tête il était en colère, plus craintif du tout:
- Non Maître, je ne veux pas qu'elle y retourne, c'est trop risqué!
- Comment ça tu ne veux pas?
- Non Maître, ils vont la tuer! Je vais y aller moi!
- Depuis quand un esclave discute mes ordres! File te mettre à genoux devant ce mur les mains sur la tête!
Le gars alla s'agenouiller contre un mur, les mains sur la tête, hors de question de plus désobéir au Maître…
- Maître ne le punissez pas, il a peur pour moi, moi je veux bien aller demain, vous me protègerez d'eux Maître?
- Oui n'aie crainte, nous les arrêterons! Je n'en étais pas complètement sûr, tout dépendait de qui ils étaient. Une voix vint du mur:
- Non Maître, je veux y aller aussi, je les tuerai, mais je ne veux pas qu'elle y aille!
Il se releva et vint serrer sa femme dans ses bras, me regardant franchement avec colère.
- Ca suffit ! Insolent ! Jérôme mets moi cet homme au cachot, et il sera puni!
Jérôme s'en empara, il se laissa faire, ils descendirent un escalier et j'entendis des bruits métalliques.
La fille se jeta à mes genoux:
- Maître Pitié, il n'est pas comme ça d'habitude… Ne le fouettez pas…
- Je ne le punirai pas trop sévèrement, n'ais pas peur, mais il restera au cachot jusqu'à ce que l'affaire soit terminée, il faut que l'on soit discrets demain pour prendre les coupables!
Je la relevai, la serrai dans mes bras pour la rassurer:
- Soit courageuse pour demain ma fille, rentre chez toi, Jérôme te donnera des instructions demain.
La fille partit, elle obéissait à son Maître au moins… Jérôme remonta des cachots, nous prîmes le temps de bien définir le plan du lendemain pour bien tendre un piège aux violeurs et les prendre sur le fait. Une fois tout fini, je dis à Jérôme:
- Bon, on va aller rendre visite à l'excité au cachot, apporte-moi un bon martinet!
Il ouvrit un placard et sortit un martinet aux longues lanières épaisses et souples, un bon instrument pour corriger un esclave insolent. Je le pris en main et nous descendîmes aux cachots. Jérôme portait une torche, un escalier nous mena à une salle assez grande, voutée avec des anneaux aux murs, et des petits cachots donnaient sur la salle. Dans l'un deux le mari, attaché avec des chaînes nous regardait, Jérôme alluma une deuxième torche, nous y vîmes beaucoup plus clair. Dans un coin il y avait un banc, je le fis apporter par Jérôme, et je m'assis dessus.
- Amène-moi le prisonnier!
Il ouvrit le cachot, détacha l'esclave et le poussa devant moi et le fit mettre à genoux, l'esclave tenait la tête baissée, les cheveux courts, un beau visage de jeune mâle doux, il ne dit rien, il tremblait…
- Alors insolent, on fait moins le malin?
Il ne dit rien, il trembla un peu plus, il était fautif devant son Maître, il allait être puni, surement fouetté au sang, le Maître tenait un grand martinet, il allait s'en servir sévèrement…
- Tu n'a rien à dire? Tu t'appelles comment, et tu as quel âge?
- Léo… Maître… 19 ans…
- Alors Léo, tu te rebiffes contre ton Maître et contre ton Chef?
- Maître j'ai peur pour Claire, j'ai peur…
- Mais tu n'as pas confiance en ton Maître, tu vas être puni pour ton insolence et ta désobéissance, déshabille-toi, et debout les mains sur la tête!
Le pauvre garçon se mit nu, et les mains sur la tête il se tenait devant moi, les yeux baissée. C'était un beau garçon le corps assez musclé, pas de graisse, un sexe bien fait, je le fis se retourner, son dos formait un V parfait, ses fesses bien rondes et musclées, des jambes droites, et peu de poils, j'étais étonné, habillé il ne semblait pas si beau!
- Eh bien Jérôme ils sont tous aussi bien faits les garçons d'ici?
- Maître, ils sont bien nourris, le travail les muscle, mais ils ne sont peut-être pas tous aussi bien faits que Léo.
- C'est bien Jérôme, mais tus a déjà eu des problèmes avec ce Léo?
- Non Maître, jamais jusqu'à aujourd'hui, c'était un bon paysan, obéissant et travailleur.
- Bon je vais en tenir compte!
Le garçon nous tournait toujours le dos, ses fesses attiraient mon regard comme un aimant, il fallait que je les touche, Léo aura donc droit à une fessée pour commencer…
- Léo viens ici et couche toi sur mes genoux!
Le garçon fut vite là et se courba et vint s'installer sagement sur mes genoux, il mit ses fesses en haut, les mains à terre et cambra son cul pour bien me l'offrir. Cela m'étonna pour un jeune paysan.
- Ils ont l'habitude des fessées tes paysans, Jérôme?
- Maître, j'ai demandé aux chefs de fesser plutôt que de fouetter les jeunes pour les petites fautes, ils ont tous appris la position Maître.
- Félicitation Jérôme, et toi Léo tu es souvent fessé par ton chef?
- Une seule fois Maître… Pour un travail mal fait.
- Et tu as été fessé en public?
- Devant toute l'équipe Maître…
- La fessée a été longue et forte?
- Le chef nous fesse pendant 10 mn Maître au minimum…
Pendant qu'il me racontait ça j'avais déjà posé ma main droite sur ses fesses, elles étaient douces et ferme, je sentis des réactions dans mon bas-ventre… La fessée commença, je claquai d'emblée assez fort, au début le puni ne régit pas puis à chaque claque je sentis une tension de son corps, puis des petits gémissements se firent entendre. Mais je ne freinai pas, les fesses devinrent rose, puis foncèrent, je n'oubliai pas le haut et le bas des fesses, ce fut une bonne surface qui devint rouge. Le puni gémissait mais il gardait bien la position, il se mit à trembler, j'arrêtai la fessée et posai ma main sur ses belles fesses bien rouges, les massant légèrement, il se détendit immédiatement!
- Alors tu seras encore insolent?
- Maître… Pardon… Je ne le ferai plus... Mais j'ai peur pour ma femme…
- Et tu ne fais pas confiance à ton Maître?
- J'ai… J'ai trop peur pour elle…
- Je ne te demande pas si tu as peur, je te demande d'obéir avec confiance!
- Maître… Je ne peux pas… Je ne veux pas qu'elle y aille…
- Bon, il va falloir te fouetter si je comprends bien!
- Pitié Maître…
- Debout et les mains au mur, cul bien cambré!
Il se leva, alla vers le mur posa ses mains pas trop haut, recula un peu ses pieds, ses fesses formèrent un angle, il se cambra pour qu'elles soient mieux offertes au fouet, je m'approchai de lui, lui demandai d'écarter un peu les jambes, ce qu'il fit immédiatement, j'eu alors un cul bien offert pour la punition comme il aurait pu être offert à mon plaisir! Je posai ma main sur ses fesses, entrai un doigt dans sa raie, la caressai et allai titiller sa rondelle, il frémit, de plaisir ou de crainte?
Je le quittai pour prendre le martinet, Jérôme s'approcha:
- Maître, ce n'est pas un mauvais gars…
- Je sais Jérôme, mais je le voudrais plus soumis, il doit obéir, on devrait y arriver sans le fouetter violemment.
Le martinet était lourd, il pouvait faire presque les mêmes ravages qu'un fouet, je le soulevai et frappai en plein milieu des fesses du puni, les lanières claquèrent bien, Léo poussa un petit cri, et le deuxième coup tomba. Chaque coup laissait des zébrures rouges sur la peau déjà rouge de ses fesses. Je modérai mes coups pour ne pas le fouetter au sang, mais chaque coup devait être douloureux, Léo criai maintenant à chaque fois! Après 20 coups je m'approchai de lui, il tremblait, il tourna sa tête vers moi, il pleurait, qu'il était mignon comme ça! Je posai ma main sur sa nuque:
- Alors Léo, il faut encore te fouetter pour que tu nous fasses confiance?
- Maître… je vous fais confiance… Mais ramenez-moi Claire en vie, pitié Maître…
- On la ramènera en vie mon garçon, j'y comte bien, aller la punition est finie, enlève tes mains du mur!
Il se redressa et vint à genoux devant moi, ses joues étaient marquée par les larmes, il me regarda avec des yeux implorants, un regard à me faire fondre…
- Jérôme remonte, je reste un peu avec lui, qu'il reste enfermé jusqu'à demain soir mais qu'on lui apporte un matelas et plus de chaînes!
Jérôme acquiesça il quitta la pièce, nous laissant les torche. J'étais toujours devant Léo, il me regardait avec humilité et crainte. Je m'assis sur le banc et le fis venir devant moi, toujours à genoux. Je pris sa tête et la pressai sur mon ventre, je voulais consoler ce beau garçon. Cette démonstration d'affection le fit craquer, il redoubla de pleurs, se serrant encore plus contre moi. Avoir ce beau garçon dans mes bras me fit bander, j'avais une terrible envie de lui.
- J'ai envie de toi Léo, tu es tellement beau…
- Maître… Je suis votre esclave, mais ça peut faire mal…
- N'aie pas peur je serai doux, tu as déjà été pris par un homme?
- Oui Maître à 15 ans par mon chef… Il a été dur…
- C'était avec les anciens chefs, ça ne se reproduit plus maintenant?
- Non Maître…
- Tu n'as pas peur?
- Non Maître vous êtes gentil…
Entendre cette affirmation après l'avoir fouetté me fit sourire. Je lui fis un petit bisou sur le front, il me regardait plus confiant maintenant, je lui demandai de dégrafer mon pantalon et ma chemise. Quand il ouvrit les boutons du pantalon, mon sexe en sortit, il avait besoin de liberté, mais il était encore retenu par le caleçon. Il regardait ça mais n'osait pas aller plus loin, il me regarda interrogateur…
- Suce-moi mon garçon!
Il s'exécuta sans hésitation, me pris à pleine bouche, et commença un va-et-vient qui me fis bander encore plus, j'étais excité de plus en plus et tout étonné qu'un petit paysan ait ce savoir faire… Mais peu après mon désir venant je lui dis d'arrêter. Je le fis mettre à quatre pattes, jambes bien écartées tout offert un beau spectacle avec ses fesses toutes rouges et zébrées. Ma veste n'était pas loin, avec un petit flacon de vaseline dans une poche, je le pris en mis sur son orifice, et sur mes doigts, j'en introduisis un le limant pour bien le lubrifier, il n'était pas trop serré, je pus y aller avec trois doigts et c'est donc dans un cul bien préparé que je m'introduisis. J'y allai doucement comme promis et je pus entrer en lui à fond, sans problèmes il poussa juste un petit gémissement. Il était très accueillant je commençai à bouger c'était délicieux, mon sexe se tendit de plus en plus. Je pris son sexe à pleine main, il banda aussitôt et atteint vite une belle dureté. Il gémissait de plus en plus mais de plaisir cette fois, moi, mes coups de riens me provoquait une sorte de râle… Son sexe était toujours dans ma main il allait éclater mais c'est moi qui éclata en lui, dans un orgasme parfait, quelque secondes après il éjacula par terre en poussant un râle plus fort que le mien.
Je m'allongeai un peu sur son dos, je sentais ses fesses brûlantes sur mon aine, je sortis de lui, m'essuyas avec un mouchoir, je le fis se relever, nous étions tous les deux nus à genoux l'un devant l'autre, nos sexes détendus, il n'osait pas me regarder, je lui pris le menton et lui souris, il me rendit mon sourire, un vrai ange. Je le pris dans mes bras pendant un moment et je lui fis deux bisous, je me relevai et me rhabillai, lui demandant de remettre aussi ses habits de paysan.
- Tu es un bon garçon Léo, tu resteras ici cette nuit et demain, sois sage, tout se passera bien!
- Merci Maître, pardon de vous avoir déplu, je ne le ferai plus, vous êtes gentil Maître…
Il se mit à genoux et embrassa ma main, je lui caressai les cheveux, et lui lançant un sourire je repris l'escalier pour la salle du haut où je retrouvai Jérôme.
- C'est un bon garçon ce Léo, tu l'enfermeras pour la nuit et demain, nourris le bien, et pommade-lui les fesses dès que tu peux.
- A vos ordres Maître… Euh… Vous avez été satisfait par lui Maître?
- Plus qu'espéré, Jérôme, ce jeune paysan est très doué, c'est étonnant!
- Vous savez, Maître, les jeunes garçons avaient souvent des liens entre eux, surtout quand ils recevaient le fouet, s'ils rencontraient une fille…
Je comprenais mieux pourquoi le jeune Léo m'avait bien sucé, ce n'était pas la première fois qu'il le faisait. Je repris les discutions pour l'organisation du lendemain avec Jérôme, et le quittai pour rejoindre le château avec Thomas à mes cotés.

Une fois dans mes appartements, ni Tom, ni Yves n'étaient là, c'était un peu surprenant, mais comme j'étais rentré sans trop de bruit, ça s'expliquait peut-être. Je demandai à Thomas d'aller chercher Aurélien immédiatement.
Peu après on frappa à mon bureau, Aurélien entra et prit immédiatement la position du puni, les mains sur la tête.
- Oui Aurélien tu mérites une punition, mais tu n'avais pas d'obligation d'horaire ce matin, pas comme Thomas.
- Maître je ne l'ai pas réveillé, il a été puni, je dois l'être aussi, Maître!
- C'est moi qui décide Aurélien, même si ça ne me déplairais pas de te rougir tes belles fesses! Qu'en est-il de la femme de Gault?
- Maître il n'y avait pas deux mais trois bébés à naitre…
- Des triplés? Mais c'est très rare et dangereux pour la mère!
- Elle ne va pas trop mal Maître, elle est très fatiguée, elle se repose.
- Et les trois bébés, ils sont vivants, garçons ou filles?
- Trois garçons, Maître, tous vivants mais tous petits, ils font à peine un kilo…
Je me levai, allai vers lui et abaissai ses bras:
- Allons les voir plutôt que parler de fessée!
Nous montâmes à l'infirmerie, les trois bébés étaient à part dans une petite pièce où il faisait chaud, un poêle flambait, je vis les trois marmots bien emmaillotés, malgré leur petite figure fripée ils étaient les trois pareils. Dans une pièce à coté la mère dormait, nous la laissâmes tranquille, je me retrouvai dans le bureau d'Aurélien avec lui.
- Ils ont une chance de vivre, les trois garçons?
- Peut-être, il ne faut pas qu'ils tombent malades, et il faut les nourrir, il y a plusieurs femmes pour les nourrir ici, on devrait y arriver, avec des biberons.
- Ces petites bouteilles? On en a?
- Oui j'en avais un dans la réserve.
- Et tu voulais que je te donne une fessée après tout ce bon boulot!
- Thomas l'a reçue il ne travaille pas mal non plus…
- Bon ça suffit ou je t'en donne une!
- Comme celle de Thomas Maître?
- Bon baisse ton pantalon qu'on en finisse!
Il vint cul nu se coucher docilement sur mes genoux présentant bien son cul, jambes un peu écartée. La fessée commença, de force moyenne sur ses belles fesses, j'adorais le physique d'Aurélien, et quand il se soumettait comme ça c'était un vrai plaisir de le fesser. Aux claques, se succédèrent assez vite les caresses, mes mains se promenaient sur les fesses roses, dans sa raie, il gémissait de plaisir, il se mit à bander, je fus surpris en l'entendant dire:
- S'il vous plait Maître, fessez-moi encore…