vendredi 17 décembre 2010

Le Domaine de Saint Christophe 57 – Un jour à St Christophe

Le premier moment de surprise passé, je demandai à tous de monter à mes appartements. Je présentai Stéphane à Yves et Tom, leur expliquant qui il était, ils acquiescèrent de la tête et saluèrent respectueusement Stéphane, j’expliquai à Stéphane qui étaient Yves et Tom, je lui indiquai qu’Yves avait ma confiance, et qu’il devait s’adresser à lui si je n’étais pas là, Yves rougit, mais bien sûr je n’ai pas parlé du rôle d’Yves dans mon lit!

- Tom, occupe-toi de l’installation de Stéphane dans mon ancienne chambre, celle du ’jeune Maître’, ce sera sa chambre. Yves, convoque tous les chefs du Château dans mon bureau dans une demi-heure!

Ils filèrent et je restai seul avec Stéphane, assis en face l’un de l’autre.

- Stéphane où en es-tu avec ton précepteur, et qui est ce précepteur?

- Mon cousin, il m’enseigne tout, mon père disait toujours que j’avais un bon niveau par rapport à l’école. Le précepteur, mon père l’avait acheté, il y a deux ans, il avait eu du mal à le trouver.

- Tu es bon élève?

Il rougit un peu et dit:

- Je pense que oui, mon cousin, mon père m’incitait beaucoup, il contrôlait mon travail, je n’ai pas souvent été puni.

- Qui te punissait?

- Mon précepteur et mon père, mon cousin.

- Ton précepteur en avait le droit? Comment?

- Avec des travaux supplémentaires et avec une règle.

- Il te frappait? Et ton père?

- Le précepteur avec sa règle. Mon père il me corrigeait à la main ou au martinet.

Il rougit de honte en disant ça, il était gêné. J’étais choqué qu’un esclave puisse frapper un jeune maître, ici cela ne s’était jamais fait, seul mon père me corrigeait.

- Ici ton précepteur ne te frappera pas, seul moi aurai ce droit, mais j’espère ne pas avoir à sévir souvent, tu m’as l’air raisonnable. Ton précepteur est toujours aux Ormes?

- Je pense, mon cousin mais j’ai quitté le domaine il y a une quinzaine de jours…

- Le notaire m’a dit qu’il n’y avait eu aucun changement aux Ormes depuis. Tu avais un serviteur à ton service?

- Oui mon cousin, un jeune esclave de 15 ans, je l’aimais bien.

- Stéphane demain nous irons aux Ormes pour en organiser la gestion, nous ramènerons ton précepteur et ton serviteur, ce soir c’est Tom qui te servira ainsi qu’un jeune garde.

- Vous avez des gardes mon cousin?

- Oui toute une équipe, tu découvriras tout ça assez vite, dans quelques minutes tu seras présenté aux chefs des équipes du château, après Tom t’emmènera dans ta chambre, tu reviendras souper avec moi et tu pourras aller te reposer, demain nous aurons une journée chargée aux Ormes!

Je lui expliquai rapidement le fonctionnement du domaine, les villages, St Pierre, et j’ajoutai:

- Je te ferai visiter le domaine, et ensuite tu pourras toujours aller te promener en dehors de ton travail, mais tu devras m’en demander l’autorisation, tu auras un garde avec toi. Tu sais monter à cheval?

- Oui mon cousin, j’avais mon cheval attitré, j’allais aussi dans le domaine, je disais toujours où j’allais à mon père aussi…

Yves frappa et entra:

-Maître tous les chefs sont là!

- Très bien fais-les entrer au bureau, nous y allons!

J’allai au bureau avec Stéphane je m’assis, Il resta à côté de moi et tous les chefs entrèrent me saluant avec respect.

- Messieurs, je vous présente Stéphane; un cousin orphelin qui va venir vivre ici. Il logera dans mon ancienne chambre de jeune homme. Il est évident que tous mes esclaves lui doivent respect et obéissance comme à moi, mais comme il n’a que 13 ans, si un de ses ordres vous parait déraisonnable, vous devez m’en parler! Stéphane peut donner quelques coups à un esclave mais pas de punitions formelles qui seront décidées par vous où par moi si c’est grave.

Je leur demandai d’avancer d’un pas un à un, et je donnai leur nom et fonction à Stéphane, puis je repris la parole:

- Les esclaves devront l’appeler comme on m’appelait il y a plus de dix ans ‘jeune Maître’ pas ‘petit Maître’ comme j’ai entendu à l’époque!

Ensuite je donnai quelques ordres, à Alex de fournir un de ses jeunes gardes pour servir Stéphane cette nuit, à Jojo pour les repas, et diverses autres choses. Je me rendis compte qu’Angelo paraissait gêné, je me doutais pourquoi…

- Bon Tom tu emmènes Stéphane dans sa chambre, essaie de trouver des anciens vêtements à moi plus confortables et moins triste que ceux qu’il a. Maintenant vous pouvez retourner au travail!

Ils commencèrent à partir, Angelo s’avança vers moi et dit tête baissée:

- Maître, je voudrais…

- Me parler, bien reste ici Angelo!

Ils quittèrent tous la salle, je fis signe à Yves de sortir, il le fit en fermant soigneusement la porte, je me retrouvai seul avec Angelo, il se tenait droit devant le bureau toujours aussi beau avec son air bien soumis, je me mis à le désirer…

- Alors Angelo?

- Maître je vous demande pardon pour le comportement du cocher Jules que vous avez dû fouetter, Maître.

- En effet il s’est mal comporté, tu peux dire pourquoi il était fatigué?

- Non Maître, je ne sais pas, il a travaillé comme les autres, Maître ce n’est pas comme avec Bob, je n’avais pas de problèmes avec lui.

- Oui mais c’est bien la deuxième fois que j’ai un problème de cocher, avec Bob c’était beaucoup plus grave, mais aujourd’hui il y a faute aussi, tu avais reçu le martinet pour la faute de Bob, tu mérites plus aujourd’hui?

Il prit instinctivement la position du puni, mains sur la tête jambes écartés, mon désir monta, je n’étais pas en colère contre lui, j’avais beaucoup plus envie de lui et aujourd’hui je n’avais pas eu le temps d’un bon moment avec un gars alors comme j’avais Angelo en superbe soumis…

- Je t’ai posé une question mon garçon?

Mon ton n’était pas dur, Angelo le sentit surement il me regarda avec un air triste et dit:

- Maître, je suis surement fautif, mais Jules n’avait jamais posé de problèmes… J’ai surement mérité le fouet, Maître…

- Tu crois que j’ai envie de te fouetter au sang Angelo?

- Maître, je ne sais pas…

- Tu sais bien que non gros bête, aller déculotte-toi et viens sur mes genoux!

Angelo quitta son pantalon et vint docilement se coucher sur mes genoux, il cambra bien ses fesses et écarta un peu les jambes, comme je l’ai dit déjà Angelo avait un superbe fessier, offert comme ça à la punition, je ne lui en voulait pas du tout, Jules avait fait une faute personnelle, son chef n’était pas coupable, je n’aimais pas punir un esclave s’il ne le méritait pas, et là Angelo faisait monter mon désir, mon membre se durcit, Angelo ne pouvait pas ne pas le sentir, couché sur mes genoux, mon sexe buttait sur ses hanches…

Je le fessai doucement, ses belles fesses rosirent à peine, je le caressai doucement, j’insinuai mon index dans sa raie, je sentis son membre durcir…

- Tu aimes ça coquin…

- Maître je ne peux pas me retenir, pardon Maître…

- Alors tu mérites quoi comme punition?

- Ce que vous voulez Maître je suis votre esclave soumis…

- Tu sais bien ce que je veux, lève-toi et présente-moi bien ton cul, mon Angelo!

- Oh Maître je vous remercie, je vous aime autant que ma femme, prenez-moi Maître, je suis votre Angelo…

Il se tourna, se coucha sur le bureau, écarta bien les jambes en m’offrant toute son intimité, il était magnifique, un parfait homme soumis, sensuel prêt à accueillir son maître dans son intérieur, je me souvins du même Angelo tout réticent aux rapports sexuels entre hommes…

Pour ne pas le blesser, je le doigtai avec de la vaseline, il commença à grogner de plaisir, son sexe se dressa, le mien était déjà bien raide, mon gland se présenta à l’entrée de son cul, il frémit, je le pénétrai doucement, son cul bien dilaté s’ouvrit avec mes sollicitations, mon membre y entra sans mal, sans forcer et sans douleur pour Angelo, il émit des râles d’un homme en plaisir, son sexe était énorme, je le branlai en faisant des allers et retour en lui, je sentis le plaisir monter, en criant je me répandis en lui, et mon brave Angelo, aidé par mes caresses, éjacula avec violence…

- Ah mon Angelo ta punition est finie, c’était dur mon garçon?

Il se releva, me regarda avec un sourire, je posai ma bouche sur la sienne et y entrai ma langue. Il me répondit avec la sienne, je le serrai dans mes bras, lui et moi, nus en dessous de la ceinture, nos sexes se touchèrent, ils redurcirent…

- Bon Angelo, nous avons tous deux du travail calmons nous, mon beau garçon, prends cette serviette et essuie les traces de notre plaisir…

Angelo prit la serviette, il essuya mon sexe en premier et le sien ensuite, avec un grand sourire…

- Maître?

- Oui Angelo parle librement quand on fait l’amour ensemble, mon beau gosse…

- Merci maître mais c’est à propos de Jules, il a été fouetté au ceinturon, par vous Maître, dois-je le punir d’avantage Maître ?

- Comment as-tu su qu’il avait été puni?

- Il me l’a dit tout de suite Maître, il était confus mais il m’a montré ses fesses quand je lui ai demandé.

- Et alors tu penses que tu dois le fouetter à nouveau?

- Maître il ne me semble pas…

- Tu a raison il a été puni et pardonné, alors oublions, il ne parait pas être un mauvais garçon…

- Oh non Maître!

- Demain j’aurai besoin de la grande voiture, je le veux comme cocher!

- Merci pour lui Maître c’est un gars très gentil!

- Bien habitué aux corrections à ce que j’ai pu voir, tiens le à l’œil mon bel Angelo, à demain!

- Merci Maître, au revoir Maître!

Il était rhabillé moi aussi, je lui fis un bisou et il fila… Je retournai au salon où je trouvai Yves, je lui demandai d’envoyer un message à Julien pour qu’il nous accompagne aux Ormes le lendemain, en signalant à Yves qu’il viendrait aussi, je lui dis ça plus cordialement en le serrant dans mes bras.

A 7 heures Stéphane entra avec Tom, il portait un pantalon brun, une chemise blanche et une veste beige, une tenue de ma jeunesse que je retrouvai avec plaisir sur lui, ça lui allait bien, beaucoup mieux que son costume gris et étriqué!

- Alors Stéphane comment trouve-tu ta nouvelle chambre?

- Oh mon Cousin, elle est si belle, et Tom m’a tout montré!

- Il a été gentil Tom?

- Bien sûr mon Cousin, vous avez un bon serviteur!

Tom rougit, je le pris contre moi…

- Pas toujours mon bon Stéphane pas plus tard qu’hier, il a fallut lui donner le martinet!

Tom Rougit encore plus!

- Mais maintenant c’est fini il a été pardonné… Bon Tom va nous commander notre souper, Stéphane mange avec moi ce soir!

- A vos ordres Maître! Et il sortit.

- Alors Stéphane tu es content d’être ici?

- A coté de l’orphelinat, c’est le paradis mon Cousin!

- C’était si dur l’orphelinat?

- Mon cousin, je n’avais qu’une petite chambre triste, la discipline était sévère, je n’ai jamais été puni, mais plusieurs camarades l’ont été, à coups de baguette en public…

- Comme dans tous les établissements scolaires, mais quand tu iras au collège tu ne seras pas puni au collège mais à la maison si c’est justifié comme pour tous les St Christophe!

- Mais mon Cousin je ne suis pas un St Christophe!

- A partir d’aujourd’hui tu es sous ma tutelle, tu seras considéré comme mon fils, Stéphane.

- Oh Merci mon Cousin, je souhaite vous faire honneur, comme mon père me le demandait!

- Tu avais vraiment un bon père, mais ne soyons pas nostalgiques, pour toi une nouvelle vie commence, dès demain nous irons aux Ormes prendre les premières décisions qui s’imposent pour que tu gardes un domaine en bon état.

Tom arriva à ce moment, avec un mignon jeune cuisinier, que je connaissais de vue, apportant le repas pour nous deux, il nous servit, Stéphane mangea avec un solide appétit cela faisait plaisir à voir, je ne délaissai pas ma part non plus, nous discutâmes agréablement, Stéphane était un convive agréable, on parla des deux domaines sans relâche.

A la fin du repas, Stéphane montra des signes de fatigue, il baillait souvent en mettant la main devant sa bouche, en garçon bien élevé…

- Tu es fatigué mon garçon, tu as eu une dure journée pleine d’émotion, vas te reposer, et passe une bonne nuit, demain matin, réveil à 7 heures, nous partirons pour les Ormes aussitôt prêts, une bonne journée nous attend!

- Merci mon Cousin, j’ai sommeil en effet, je suis content d’aller aux Ormes demain.

- Tu as un jeune garde à ta disposition pour cette nuit?

- Oui c’est Damien, il m’a dit que je devais lui demander tout ce dont j’ai besoin, il a l’air bien gentil.

- Ah oui Damien qui avait peur de l’eau, c’est un bon garçon, Tom va aller pour t’aider à te préparer pour la nuit, il reviendra vers moi après, entendu Tom?

- Oui Maître, à vos ordres!

Stéphane se leva et vint vers moi, il ne savait pas comment me souhaiter une bonne nuit, je posai mes mains sur ses épaules et je lui fis une bise sur les deux joues en lui souhaitant une bonne nuit.

Après leur départ, je lus le journal, rien de bien neuf, Yves vint me demander que préparer pour le lendemain, nous en discutâmes, une fois le sujet réglé, Tom étant revenu, je dis que je voulais aller dormir, j’étais fatigué aussi!

Je me dirigeais donc vers ma chambre, sur un signe Yves m’accompagna, je m’allongeai sur le lit habillé, Yves me rejoignit, je lui demandai de me déshabiller, il le fit avec douceur, il se déshabilla aussi et bien tôt nous roulâmes sur le lit, Yves bandait mais pas moi, j’étais surpris j’aimais Yves, mais je me sentais fatigué, et je venais d’avoir un bon moment avec Angelo, ça expliquait ma méforme…

Yves essaya de me sucer, caresser mais rien n’y fit, il me regarda bizarrement et dit d’un ton dépité:

- C’est Angelo qui a tout eu, et pour moi il ne reste rien!

- Qu’est-que c’est que cette remarque, tu écoutes aux portes maintenant!

J’étais assis sur le lit surpris et en colère. Je regardais Yves dans les yeux il les baissa.

- Maître non, je n’ai pas voulu…

- Ca suffit insolent! Je ne veux pas de ce type de remarque, vas chercher le martinet!

- Oh Maître non, je n’ai rien dit…

- Immédiatement!

Mon ton n’admettait pas de réplique, il descendit du lit et quitta la chambre, nu, sans demander autre chose. J’étais en colère, Yves mon esclave, n’avait rien à dire sur ma vie sexuelle, il allait comprendre sa faute. Je plaçai des oreillers au centre du lit, Yves entra nu dans ma large chambre, un lourd martinet à la main qu’il me tendit les yeux baissés.

- Couche-toi sur le lit jambes écartées!

Il me regarda, implorant, mais il obéit, j’eu alors mon Yves couché sur le lit, les fesses bien cambré avec les coussins, les jambes écartées, complètement offert à la punition ou à l’amour! Je pris le martinet en main, il était lourd et commençai à fouetter ses fesses assez durement, des zébrures marquèrent vite la peau de ses fesses, il encaissait bien chaque coup au début puis il gémit doucement, plus fort, en demandant pardon, mais le martinet continuait à siffler, claquer et rougir les fesses du puni, un peu plus tard, ses fesses avait une couleur rouge uniforme, il ne suppliait plus il avait atteint le stade de la soumission à son maître, il souffrait mais il s’en voulait tellement d’avoir dit cette bêtise il ne disait plus rien il assumait sa faute.

Quand je le sentis dans cet état j’arrêtai de le fouetter, mais il était tellement beau comme ça, complètement offert les fesses rouges proéminentes, son cul offert, je me mis à bander durement, et pour lui montrer que sa remarque était infondée, et aussi par désir je l’enculai sans précautions, il gémit un peu mais je le limai sauvagement, je sentais la chaleur de ses fesses chaque fois que étant à fond dans lui mon aine touchait ses fesses, on ne décrira jamais assez bien le plaisir d’enculer un bel homme qui vient d’être fouetté, je profitai à fond de sa soumission et j’éjaculai avec force en lui!

- Alors esclave, je suis fatigué et impuissant, tu as eu ton compte insolant?

- Pardon Maître, Pardon je ne le ferai plus…

- Bon va te coucher sur la descente de lit et laisse moi tranquille dans mon lit, j'ai sommeil maintenant!

Il descendit du lit et nu, il alla se coucher sur le tapis à coté du lit tout piteux lui qui couchait presque tous les jours dans mes bras, je me couchai seul dans le grand lit et il faut bien dire qu'après Angelo et Yves ces deux si beau garçons j'étais dans un état de plaisir accompli, qui se transforma rapidement en désir d'un bon sommeil réparateur plein de beaux souvenirs, je m'endormis rapidement…

Quelques heures plus tard je me réveillai, presque surpris d'être seul dans mon lit, mais je me rappelai vite la punition d'Yves, sans bouger j'étais au bord du lit, la lumière de la lune emplissait la pièce, je vis Yves sur le tapis, il était couché sur le dos, deux trainées de larmes descendaient de ses yeux il avait les yeux ouverts mais comme je n'avais pas bougé il ne vit pas que j'étais éveillé. Bien sûr j'en eu pitié, ma colère était retombée, il était beau dans sa détresse, je lui dis doucement:

- Vilain garnement viens me rejoindre!

- Oh Maître merci…

Il me rejoint dans le lit je l'embrassai fougueusement, je l'aimais mon Yves, il se colla à moi tout plein de reconnaissance, je lui caressai ses fesses meurtries, sans un mot nous restâmes collés l'un à l'autre, il avait froid, je le réchauffai et nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre pour une bonne fin de nuit…

mardi 28 septembre 2010

Le Domaine de Saint Christophe 56 – Une bonne surprise

Assez tôt le matin, je pris mon petit déjeuner servi par un Tom de grande classe, je le remerciai d’un baiser sur sa bouche qui ne demandait que ça, puis d’une caresse sur ses fesses encore endolories…

- Merci Maître, vous êtes gentil avec moi!

- Mon Tom je suis gentil avec les gentils garçons, et sévère avec les méchants garçons qui le méritent, comme toi hier!

- Maître encore pardon pour hier, j’obéirai à Yves Maître.

- J’espère pour tes fesses Tom! Bon maintenant je vais aller assister à la punition des deux gars de Broc, ils vont déguster ces sales types…

- Maître après ce qu’ils ont fait à Thomas, je ne les plaindrai pas!

Je descendis alors à la salle des gardes avec Yves.

Gabriel et Hubert étaient chacun attachés nus à une croix de St André, ils n’en menaient pas large. Gabriel l’ex-régisseur me regarda avec crainte, il n’avait pas l’habitude d’être traité en esclave attaché pour être fouetté! Hubert lui, me jeta un regard plus soumis, il était maintenant mon esclave, il l’avait compris l’avant veille, ses fesses en témoignaient encore mais il savait qu’il allait encore être fouetté ce matin il avait vu Thomas, le garçon qu’ils avaient fouetté avec son maître, injustement sûrement, mais il aimait bien ça fouetter les esclaves, Hubert, il l’avait souvent fait à Broc…

Tous les gardes étaient là, en ligne avec respect, Thomas était parmi eux, ils étaient tous impeccables, fiers de leur condition, je savais aussi qu’ils avaient été très choqués par la punition de Thomas à Broc et qu’ils se réjouissaient de voir les coupables punis.

- Gardes vous êtes tous là pour assister à la punition de ces deux crapules qui se sont crus autorisés à punir cruellement l’un d’entre vous, mon garde personnel Thomas pour une faute imaginaire! Pour ceci et ce qu’ils lui ont dit, ils mériteraient la mort sous le fouet dans beaucoup de domaines pour rébellion!

Les deux punis se raidirent à mes mots, ils commençaient à craindre pour leur vie…

- Mais vous savez qu’ici je ne condamne pas à mort, aussi l’ex-régisseur Gabriel qui a ordonné cette punition, et qui est devenu mon esclave pour dettes sera puni, avant d’aller rejoindre St Christophe pour cultiver une parcelle et me rembourser ses dettes! Quant à Hubert qui était son esclave, il a fouetté et injurié Thomas, après sa punition il sera affecté à une équipe de paysans de Broc, comme il a fait fouetté certains d’entre eux, il se débrouillera pour assumer ses fautes!

- Ils recevront les deux au moins la même punition, la même que celle reçue par Thomas, je rappelle que mon garde a reçu environ 50 coups de ceinture et 24 coups de verges! Je les condamne donc les deux à 50 coups de strap et 30 coups de verge, sur le banc ici! Et pour les préparer, 30 coups de martinet en principal sur le dos, je vais m’en charger!

Des gémissements provinrent des punis, mais je n’y prêtai pas attention, je me plaçai alors derrière Gabriel, ses fesses n’étaient pas moches à Gabriel, il semblait tendu, je ne sais pas s’il avait déjà été fouetté, mais il semblait terrifié après avoir vu la large strap, le martinet et la série de verges, apportées de Broc, qui allait claquer, mordre ses chairs, il ne résisterait pas à tous ces coups…

Je pris le martinet en main, il était lourd, ses longues lanières épaisses étaient un peu emmêlées, je les déliai en les agitant doucement, je pris mon temps je vis Gabriel trembler un peu… Je le soulevai lentement et l’abatis sur ses épaules, le claquement emplit la pièce, un gémissement suivit et je vis apparaitre des fines zébrures rose, là où était tombé le fouet! Je continuai la flagellation en donnant 15 coups, son dos était zébré des épaules aux reins, le puni soufflait fort, il n’était pas fier la tête baissée sous la honte d’être exposé comme ça. Je me rapprochai d’Hubert, il était terrifié, il tremblait de peur, l’esclave arrogant d’il y a deux jours était devenu un gars ordinaire, pas si vilain, des fesses encore rouges bien dessinées, un très léger embonpoint, il tremblait comme un petit garçon qui va recevoir la fessée, il m’implora:

- Oh Maître… Pitié… pas le fouet… Maître…

Je ne l’écoutai pas et soulevant le lourd martinet, je lui fouettai le dos durement, à un rythme accéléré, il eut beau crier, gémir, supplier, rien ne pouvait m’arrêter, je pensais à mon beau Thomas… Les 15 coups furent vite donnés, je changeai alors de puni et le dos de Gabriel fut orné de traces supplémentaires, je donnai les deux derniers coups sur les fesses, elles étaient trop blanches, il fallait les préparer à la strap! Je fis de même sur le dos et les fesses d’Hubert, il gémit fortement mais sa peau rougit bien. Je jetai le martinet sur la table!

- Thomas prends la strap et fouette-les durement, change de puni tous les dix coups, si tu fatigues vu ton état ne crains rien mon garde, Alex ou Éric te remplaceront!

- A vos ordres Maître, je vais faire tout mon possible Maître, dit Thomas en prenant la strap sur la table.

Les deux punis le regardèrent de coté avec crainte, ce garde qu’ils avaient fait mettre sur le banc de punition à Broc, il était là la strap à la main prêt à se venger…

Thomas, souleva la strap et claqua avec force les fesses de Gabriel, il était costaud mon Thomas, le claquement fut sonore et le puni cria, surpris par le feu du cuir. Et il frappa fort Thomas, il se souvenait des coups de ceinture de Gabriel, il l’avait durement fouetté, alors maintenant il peut crier, comme il avait crié Thomas!

Après 10 coups il changea de fesses, et c’est celle d’Hubert qui furent marquées des traces caractéristiques, des larges bandes rouges, de la strap, il cria aussi lui, fortement mais les claquements étaient plus forts que ses cris. La flagellation à la strap se poursuivit avec l’alternance entre les deux punis, à la fin leurs fesses étaient rouge violacé, le bas du dos et le haut des cuisses aussi, il avait fait du beau travail mon beau Thomas, il était splendide, tendu par l’effort du fouetteur! Les 100 coups donnés, il s’arrêta et me regarda en attente de mes ordres, il soufflait fortement, après cet effort.

- C’est très bien Thomas, beau travail tu peux rejoindre les gardes, Éric donnera les verges, repose-toi mon garçon!

Comme il passait près de moi, tête baissée, en bon esclave, je lui donnai une caresse sur la nuque, il sourit. Je fis un signe à Alex et Éric, ils détachèrent les punis pour les amener sur les deux bancs qui avaient été apportés là. Hubert eu un geste de recul, Alex lui parla, je n’entendis pas, mais Hubert alla immédiatement se coucher sur le banc. Gabriel se coucha aussi discipliné, il réalisait maintenant son imbécilité d’avoir provoqué ce jeune maître, il devait payer pour ça!

- Aller Éric, donne leur 30 coups de verges à chacun, alterne comme Thomas et sois ferme, tu as vu les fesses de Thomas quand il est revenu ici!

- Oui Maître, à vos ordres Maître!

Les deux punis furent attachés aux bancs, les mains liés aux pattes avant, les jambes bien écartées avec les chevilles maintenues aux pattes arrière par deux sangles de cuir. Ces deux hommes attachés, leur intimité à la vue de tout le monde, dos zébré de rouge, les fesses bien marquées allait devoir subir encore une dure punition, les verges qui cinglaient, qui pouvaient déchirer la peau, leur peau déjà bien meurtrie…

Éric prit une verge, longue et épaisse, il la fit cingler dans l’air, il me regarda et sur mon acquiescement il la leva et fouetta les fesses de Gabriel, celui-ci sursauta, il râla, un trait blanc puis rouge vint orner ses fesses déjà bien colorées!

Ensuite ce fut une symphonie de feulements, sifflements et cinglements des verges sur les fesses des punis, leurs cris et râles, les zébrures furent de plus en plus marquées, et Éric dur fouetteur connaissait bien son boulot, il était beau aussi, la baguette de bois à la main! Il arrêtait tous les dix coups pour alterner de puni, les deux criaient, gémissaient se tordaient sur le banc, les marques des verges étaient nettes violacées sur un fond bien rouge, pour une fessée c’en était une! Ils n’étaient pas prêts de s’asseoir confortablement ces deux là!

Les 30 coups donnés, Éric s’arrêta et souffla un peu.

- Merci Éric, beau travail de chef! Donne-moi une verge!

Il m’en tendit une, je repris la parole:

- Thomas, tu as bien dit qu’ils t’avaient frappé aussi dans ta raie?

- Oui, Maître trois fois je crois…

- Bien Thomas prends cette baguette et redonne-leur ce qu’ils t’ont donné, Alex et Éric écartez leur les jambes à fond!

Alex et Éric détachèrent, s’emparèrent des chevilles d’Hubert et les éloignèrent au maximum, son cul fut bien exposé, il cria, demanda pitié mais Thomas approcha sans faire de bruit et soudain un sifflement, un bruit de cinglement et un long cri, le puni se mit à trembler, hurler mais les deux autres coups tombèrent sans relâche, ce seul endroit préservé de son derrière était devenu rouge vif!

Ce fut pareil pour Gabriel avec les mêmes résultats il ne se comporta pas mieux que son ex-esclave. Je regardai mes deux punis, ils étaient dans le même état, peut-être même un peu plus marqués, que Thomas quand il était revenu en pleurs.

- Relevez-vous et à genoux devant moi!

Ils se trainèrent jusqu’à moi, Hubert pleurait, pas Gabriel.

- Esclaves, j’espère que vous avez compris la leçon, vous allez passer quelques jours au cachot avant de retourner au travail!

A ce moment Hubert se prosterna à mes pieds:

- Maître… Pitié… Pas… Pas… Pas… à Broc… Pitié, Maître!

- Tu as été bien mauvais avec les esclaves de Broc pour que tu aies peur comme ça, c’est ça?

- Pardon… Pardon… Maître… Pitié…

Je réfléchissais à cette question depuis tout à l’heure, je ne voulais pas de désordres à Broc, et le retour d’Hubert en créerait un, aussi j’ordonnais:

- Esclave Hubert, tu seras affecté à Gault, que je n’entende jamais parler de toi à Gault! Mais dès cet après midi tu seras mis au pilori, nu, sur la place de Broc, tu devras demander pardon à tous les esclaves réunis et tu resteras au pilori jusqu’à demain soir, Alex nomme deux gardes qui le protègeront là-bas, avec relève demain matin!

Hubert m’embrassa les pieds, il était content de ne pas retravailler à Broc, même si le pilori ne serait pas un moment agréable, présenter à tous les marques de cette dure punition sans aucune intimité…

Je quittai la salle des gardes avec Yves qui n’avait rien dit mais qui avait tout suivi avec attention, nous allâmes au bureau pour le suivi quotidien du courrier et des affaires.

En début d’après-midi je demandai une voiture pour aller en ville, le cocher était Jules, et Éric remplaça encore une fois Thomas. Je fis quelques courses habituelles et me fis conduire chez le notaire qui avait demandé à me rencontrer.

J’y fus accueilli respectueusement par le personnel de service, puis rapidement conduit dans le bureau du notaire. Celui-ci un homme élégant de 35 ans environ se montra très affable, me fit installer dans un fauteuil en face de lui, m’offrit un alcool et un cigare et nous commençâmes la discussion par les banalités d’usage et il en vint aux faits:

- Monsieur de St Christophe connaissez-vous le Domaine des Ormes?

- Oui de nom, je n’y suis jamais allé, son propriétaire était un très lointain cousin de ma mère, j’ai appris sa mort récemment, mais son enterrement a eu lieu le jour où j’ai acheté St Pierre, je n’ai pas pu m’y rendre. Mais en quoi suis-je concerné? Je ne sais même plus qui il était par rapport à ma mère…

- Un lointain cousinage certes, mais vous êtes néanmoins son seul parent qu’il se connaissait, il l’a écrit et nous avons pu le vérifier Monsieur.

- Mais il avait des enfants?

- Un fils Monsieur, c’est à lui que revient le domaine, mais votre cousin à écrit cette lettre pour vous en guise de testament, dit-il en me tendant une lettre.

Je lu la lettre interloqué, que pouvait-il me demander, ce cousin quasi-inconnu? Elle commençait par le texte d’un homme de 36 ans qui se savait condamné par la maladie en laissant un domaine et un fils Stéphane seul. Avec mille formules de politesses il s’en remettait à moi pour veillez sur son fils jusqu’à ce qu’il puisse prendre possession du domaine à sa majorité à 20 ans.

- Quel âge a ce Stéphane? Où est-il en ce moment?

- 13 ans Monsieur, il est actuellement à l’orphelinat, il y restera jusqu’à sa majorité, mais son père vous a délégué son autorité par cette lettre, c’est un peu à vous de décider.

- Oui 7 ans d’orphelinat, dur régime! En plus l’établissement se paiera sur son domaine, il n’en restera pas grand-chose!

- Il est à l’orphelinat Ste Anne, bien sûr l’éducation y est rigoureuse, mais c’est un bon établissement.

- Mais il en ressortira ruiné, c’est un établissement cher, pourrais-je voir ce garçon?

- Bien-sûr Monsieur, Ste Anne n’est pas loin j’envoie un messager, et élevant la voix: messager, sale chien au pied!

Un gars apparu terrifié, je me rappelai les propos d’Yves, c’était assurément le messager qui était venu au Château.

- Chien, tu vas aller à Ste Anne chercher le jeune Stéphane, voilà un message, et fais vite ou je te fais tanner le cuir comme ce matin!

Son ton était très dur, du ton affable qu’il employait avec moi, il était passé à cette autorité qui terrifiait son esclave, son visage en était bien changé, mais il restait beau!

- Qu’il y aille avec ma voiture pour ramener le garçon, faites prévenir mon cocher et mon garde!

- Bien sûr Monsieur, et il fit un signe au laquais qui attendait devant la porte.

Nous nous retrouvâmes seuls, je bus une gorgée de Cognac et repris:

- Vous semblez avoir bien des problèmes avec votre messager, c’est un fainéant?

- Il travaille, mais comme tous il n’y a que la peur du fouet pour avoir des résultats! Ce messager il faiblit je dois le faire fouetter presque tous les jours je vais m’en débarrasser! Je vais le vendre aux mines!

- C’est un peu dommage s’il connait bien la ville, il pourrait m’être utile…

- Si vous le voulez, je vous le vends! Il m’énerve trop! Mais il est usé, je ne peux pas le vendre très cher, et il me proposa un prix très raisonnable.

- Bon c’est d’accord il est à moi maintenant!

J’avais agi sur un coup de tête, mais l’esclave était beau, et je ne résistais jamais à un beau gars en détresse, ce n’est pas nouveau!

Nous nous mîmes à discuter affaires, ce notaire connaissait beaucoup de chose, il était charmant il me dit que le Domaine des Ormes était un beau domaine qui rapportait bien, il produisait beaucoup de légumes et de viandes pour la ville, des produits appréciés pour leur qualité. Il me félicita aussi pour mon nouveau domaine agrandi, il me paru très admiratif.

Peu de temps après la voiture arriva, une minute après Stéphane apparu avec le laquais, c’était un beau garçon, encore assez petit, il portait un costume noir et avait un air très triste et étonné il ne me connaissait pas, il me regardait ne comprenant pas pourquoi il était ici en face d’un inconnu. Je me levai et allant vers lui je l’embrassai sur les deux joues et disant:

- Bonjour mon cousin Stéphane, je suis ton cousin Mathieu de St Christophe!

- Bonjour Monsieur mon cousin.

Il dit cela surpris il me lança un regard où je vis beaucoup de désespoir, instinctivement je lui pris la main il serra la mienne fermement. Adroitement le notaire prit la parole:

- Monsieur de St Christophe, vous voyez maintenant votre cousin, quelle décision voulez vous prendre? Vous voulez bien suivre les études de votre cousin et éventuellement l’aider à l’orphelinat?

- Je crois que Stéphane peut avoir son mot à dire, Stéphane ton père m’a demandé de prendre soin de toi alors il y a deux solutions, ou tu retournes à l’orphelinat et je suivrai tes études, ou tu viens vivre à St Christophe, sous mon autorité, tu iras au collège dans un an comme je l’ai fait et à tes 20 ans tu reprendras le Domaine des Ormes.

Stéphane rougit, il me dit:

- Monsieur mon cousin, mon père parlait de St Christophe comme du plus beau domaine… Je pourrais y vivre Monsieur? Vous êtes sûr?

- Tu préfères l’orphelinat?

- Oh non Monsieur mon cousin, mais je vais vous gêner à St Christophe…

- Mais c’est grand, pas de problèmes alors tu viens chez moi, Stéphane? Dis-je en ouvrant les bras.

Il vint vers moi, il m’embrassa sur la joue et dit:

-Merci Monsieur mon cousin, j’essaierai d’être digne de St Christophe!

Je m’adressai alors au notaire:

- Veuillez noter que je deviens le tuteur de ce jeune homme et que je m’engage à gérer le Domaine des Ormes pour lui rendre en bon état à ses 20 ans!

- Je note Monsieur de St Christophe, je suis ravi pour le père de Stéphane, il n’aurait jamais espéré mieux pour son fils, merci pour lui.

- Bon Stéphane rentrera avec moi, j’enverrai chercher ses affaires à l’orphelinat demain, qu’on fasse venir le messager!

Le notaire fit un signe au laquais qui sortit et revint avec le messager encore plus terrifié comme si on allait le torturer sur place, il tremblait il jeta un coup d’œil au notaire qui lui dit:

- Je t’ai vendu esclave tu appartiens à Monsieur de St Christophe, tu le suivras maintenant!

Le messager tomba à mes pieds qu’il embrassa. Je le relevai et dit:

- Bon maintenant que tout est réglé nous rentrons!

Après les salutations d’usage, je pris congé du notaire, le messager monta à coté de Jules le cocher, Stéphane avec moi dans la voiture, Éric monta sur son cheval et nous partîmes.

Stéphane était à coté de moi, il était songeur, parti pour une nouvelle destinée, je mis mon bras sur ses épaule il me regarda, et se mit à pleurer.

- Non ne pleure pas tu ne seras pas malheureux chez moi.

- Non Monsieur je n’ai pas peur mais seul Papa me prenait par les épaules comme ça j’ai pensé à lui…

- Tu avais un bon père Stéphane, il se faisait beaucoup de soucis pour toi quand il s’est su malade.

- Oui Monsieur, merci Monsieur.

- Maintenant tu dois m’appeler ‘Cousin Mathieu’, ou ‘Mathieu’ tout court!

- Oui Cousin Mathieu, il sourit c’était la première fois qu’il souriait.

Nous bavardâmes un peu pendant le trajet, nous franchîmes la porte du Château et la voiture se mit à faire des zigzags et nous fûmes assez secoués et elle s’arrêta, la voiture penchait à droite. Je descendis de la voiture, Jules sauta de son siège et tomba à genoux devant moi:

- Pardon Maître, les chevaux ont fait un écart, je n’ai pas pu les retenir!

- Tu dormais non?

- J’étais un peu assoupi Maître!

Je fis le tour de la voiture, les deux roues de droite étaient dans un massif de fleur, bien saccagé. Stéphane descendit de voiture et vint vers moi, il regarda le cocher à genoux, il ne paraissait pas surpris.

- Jules debout, baisse ton pantalon et donne-moi ton ceinturon!

Sans un mot, Jules s’exécuta, il enleva son pantalon s’agenouilla et me tendit le ceinturon. Je le pris et lui montrant la grande roue arrière:

- En position sur la roue, mauvais cocher!

La roue était aussi haute que lui, il posa ses mains dessus et se cambra, les fesses en arrière, les jambes écartées, ce ne devait pas être la première fois que ce cocher était fouetté sur une roue, il avait pris la position parfaitement, je relevai sa chemise pour bien dégager ses fesses et le bas du dos, il me regarda craintivement, je ne pus pas m’empêcher de poser ma main sur ses belles fesses offertes.

- 30 coups de ceinture, mon garçon, et que cela te serve de leçon, ne recommence jamais, tu serais plus durement fouetté! Tu ne comptes pas les coups!

- Oui Maître, merci Maître.

Je pliai la ceinture en deux, pris la bonne distance et commença la fessée au ceinturon. Le cuir claquait fortement, chaque impact créait une marque plate rouge, Jules gémissait mais il endurait bien la punition, il savait qu’il aurait pu être puni beaucoup plus sévèrement pour une telle faute, mais le cuir mordait bien ses fesses…

Au quinzième coup il baissa la tête et souffla, il était beau garçon comme ça cul nu rougi par le ceinturon, sous le soleil dans le parc du Château. Je sentis un début d’érection, mais il me fallait être sage surtout devant Stéphane! Je continuai la punition toujours fermement, le cuir sifflait et claquait à un rythme régulier mais assez rapide, les trente coups furent vite atteins, les fesses de mon puni étaient bien écarlates. Je m’approchai de lui et lui massant doucement les fesses, je lui dis:

- Voila mon garçon tu es courageux, rhabille-toi et ramène-nous au Château maintenant!

- A vos ordres Maître! Merci Maître!

Il baisa ma main, je pris Stéphane qui avait tout suivi, par le bras pour monter en voiture, et la voiture redémarra.

- Pas sitôt arrivé, tu assistes à une correction, mais ça devait arriver aussi aux Ormes!

- Oh oui mon Cousin, mon père utilisait souvent le fouet, depuis un an je devais assister aux punitions, j’ai l’habitude.

- C’est bien, nous arrivons au perron viens découvrir ta nouvelle demeure!

Nous fûmes accueillis dans l’entrée par Yves et Tom, ils parurent étonnés par la présence de Stéphane, mais le plus surpris était Stéphane, il avait aperçu la grandeur du Château, dans l’entrée il en voyait la magnificence, sa nouvelle demeure était splendide, ce matin il était à l’orphelinat, très triste dans sa petite chambre et ce soir il se sentait heureux par cette nouvelle vie qui commençait…

dimanche 13 juin 2010

Le Domaine de Saint Christophe 55 – Nouvelle faute de Tom

Nous arrivâmes au château vers une heure après midi, nous laissâmes les chevaux aux écuries où nous fûmes chaleureusement accueillis par Angelo, toujours aussi beau garçon, si je ne m’étais pas calmé avec Éric, j’aurais bien succombé à Angelo qui ne se serait pas refusé, je le connaissais bien. Je lui demandai s’il avait vu l’étalon noir à St Pierre, et ne fus pas surpris de sa réponse négative.

Ensuite au poste de garde, je demandai à Alex s’il y avait des nouvelles, il me signala la visite d’un messager reçu par Yves ce matin même. Je vis Rémi et André, les deux esclaves du Val d’Or que j’avais achetés il y a quelques jours, ils me saluèrent, je leur baisai le front, ils étaient habillés en gardes, encore deux beaux garçons, Alex me dit qu’il venait de commencer leur formation. J'aperçus Thomas un peu en retrait, il avait remis sa tenue, je lui souris, il vint et tomba à genoux à mes pieds, me remerciant, il se mit à pleurer.

- C’est bien mon Thomas, comment vas-tu?

- Mieux Maître, Merci Maître!

- Tu viendras me voir dans une demi-heure Thomas!

- A vos ordres Maître!

Avant de quitter la salle des gardes j’aperçus, dans la prison, Gabriel l’ex régisseur de Broc et son ancien esclave Hubert, il faudrait que je m’occupe d’eux sous peu…

Arrivé dans mes appartements, Yves et Tom m’accueillirent, je serrai Yves dans mes bras, bien fort, j’aimais bien retrouver mon Yves! Tom eut droit à un bisou, et je lui dis:

-Tom fais vite monter mon repas, j’ai une faim de loup!

Tom pâlit, il tomba à genoux, j’étais stupéfait, il balbutia:

- Oh Maître, pardon… Je pensais que vous mangeriez à St Pierre…

- Quoi! Tu n’as pas commandé mon repas?

- Non Maître… Oh Pardon Maître!

- Yves, qu’a dit Alex en rentrant hier soir?

- Maître que vous passiez la matinée à St Alban et que vous rentreriez après…

- C’est exactement ce que je lui ai dit, en effet, il était donc bien prévisible que je mange ici!

- Oui Maître c’est bien ce que j’ai pensé…

- Et alors Tom pourquoi mon repas n’est pas prêt?

- C’est de ma faute Maître… Je n’ai pas écouté Yves!

- Yves t’a dit quelque chose Tom?

- Maître pardon, il m’a dit de commander le repas… Je n’ai pas voulu l’écouter…

- C’est vrai Yves?

- Oui Maître, je lui ai conseillé de le faire… Mais il m’a dit que vous auriez mangé… Maître soyez clément ce n’est pas si grave, Jojo va préparer quelque chose rapidement…

- Tom file demander un repas simple aux cuisines, et remonte aussitôt tu vas apprendre à obéir!

Tom rougit et fila, il avait mis le maître en colère, il serra les fesses, mais c’était trop tard… Yves s’approcha de moi:

- Maître, ce n’est pas un mauvais garçon, juste un peu têtu, ne le punissez pas trop durement Maître, je suis un peu fautif j’aurais dû insister.

- Tu lui as dit, il devait t’écouter, c’est tout!

- Bien Maître!

- Yves tu as eu de la visite ce matin?

- Oui Maître, un messager d’un notaire de la ville, tenez voici son message:

Je lus le papier, un notaire, que je ne connaissais que de nom, demandait à me rencontrer assez vite, pour une affaire urgente.

- Il ne t’a rien dit de plus ce messager?

- Non Maître, il ne savait rien de plus, et il semblait terrifié que vous ne soyez pas là pour répondre immédiatement!

- Comment ça?

- Maître il tremblait il m’a dit qu’il serait surement fouetté s’il n’avait pas de réponse immédiate… Je lui ai donné un mot lui disant que vous répondriez avant ce soir… J’ai eu tort Maître?

Tom entra alors, je lui dis d’un ton sec:

- Tom déshabille-toi, mains sur la tête à genoux au piquet dans le coin là!

Il s’exécuta immédiatement et j’eus la vision du beau corps de Tom en attente de la punition… Je repris ma conversation avec Yves:

- Tu ne résistes pas à protéger un garçon du fouet je vois Yves, il était mignon au moins?

- Oh Maître… En fait oui, un jeune gars très musclé, il fait tout son travail en courant, mais c’est plutôt sa détresse qui m’a touché!

- Brave Yves! Je ferai envoyer un garde tout à l’heure, j’irai demain après midi puisque je devais aller en ville.

- Merci pour lui Maître!

Jojo entra alors, il vit Tom nu au piquet, il me dit:

- Maître je peux faire préparer un repas froid rapidement ou un repas chaud mais ce sera un peu plus long, que dois-je faire Maître?

- Un repas froid sera suffisant mon bon Jojo, fais le apporter par un cuisinier Tom est là en attente de sa punition!

- Bien Maître, mais pour Tom…

- Je sais comment le punir Jojo, pas besoin de ton intervention, même si elle est gentille…

- Bien Maître, je retourne vite aux cuisines, Maître!
- Fais vite mon bon Jojo!

Il partit, Tom baissa un peu la tête, bien exposé au coin, je parlai avec Yves du courrier reçu le matin même et de quelques affaires du domaine, quand Thomas frappa et entra.

- A vos ordres Maître!

Je m’assis sur un fauteuil, et lui dis:

- Viens ici mon Thomas et montre-moi tes fesses!

Il s’approcha, se déculotta sans appréhension et se tourna pour me présenter ses fesses encore bien zébrées.

- Viens sur mes genoux en position du puni mon garçon!

Il me regarda bizarrement mais vint immédiatement se coucher sur mes genoux et cambrer ses fesses. Elles étaient encore bien marquées certaines zébrures étaient profondes, je le caressai doucement, sa peau était encore grasse de la pommade soignante, je demandai à Yves de m’en apporter et je pommadai doucement les fesses de Tomas, et aussi son dos bien attaqué aussi.

- Tu es déjà sorti de l’infirmerie mon garçon?

- Maître j’ai demandé à Aurélien, il m’a dit que marcher ne me ferait pas de mal, mais que je devrais aller le voir ce soir.

- Je n’ai rien contre mais ton pantalon est bien rêche pour tes fesses fouettées! Yves vas me chercher un de mes caleçon en soie pour protéger les fesses de mon gentil garde!

Yves apporta un caleçon en soie, Thomas l’enfila, il trouva ça très doux, il me remercia à genoux.

- Tu le mérites mon bon Thomas, tu as été fouetté sans raison, et c’est grave. Seras-tu en forme demain matin pour punir Hubert l’esclave et Gabriel l’ex régisseur qui t’ont fouetté et injurié?

- Oui Maître je serai à vos ordres!

- Tu ne seras qu’à mes ordres ou tu aimerais bien te venger aussi?

- Maître pour vous parler franchement ça ne me déplaira pas de les punir, pardon Maître…

- C’est normal Thomas, mais les fouette pas plus que tu l’as été!

- Maître je suivrai vos ordres!

- Bon pour l’instant va te reposer mon garçon!

Il sortit, il était tout mignon mon garde, je m’assis sur une chaise au milieu du salon.

- Tom ici!

Il vint tout penaud, sur un claquement de mes doigts il se coucha sur mes genoux et me présenta ses fesses. La fessée commença immédiatement, elle fut très forte et rapide, une avalanche de claques tomba sur ses fesses, je fessais rarement aussi fort mais Tom m’avait énervé, il en subirait les conséquences! Le pauvre Tom se trémoussait sur mes genoux, mais il ne fit bien sûr rien pour échapper à la correction, il la subissait avec courage. Ses belles fesses rougirent très vite il gémissait à chaque coup, puis vinrent des ‘pitié’, ‘pardon’ mais je ne me laissai pas attendrir, ce n’est que lorsque j’eus bien mal à la main que je faiblis!

- Yves apporte-moi la règle en bois que tu as dans ton bureau! Tom tu vas apprendre à obéir et ne pas en faire qu’à ta tête!

- Maître, Pitié…

Yves m’apporta la règle, il me regarda tristement. La règle, plate et épaisse serait parfaite pour le repos de ma main, mais pas pour les fesses de Tom! En effet la règle claqua fortement sur son derrière déjà bien rouge, il cria mais je continuai, au début assez doucement et ensuite de plus en plus fort. L’effet sur Tom était dur, il criait, pleurait implorait mais il devait subir ma colère!

On frappa à la porte et Jojo entra avec un cuisinier, ils apportaient le repas, cela sauva Tom des ardeurs de la règle, cette fessée m’avait ouvert l’appétit!

- Tom debout et va reprendre ta position au piquet!

Tom se releva doucement, il pleurait abondamment il me regarda tout honteux.

- Au piquet mauvais esclave, ta punition n’est pas finie!

Je m’assis à table et me mis à manger, les cuisiniers avaient bien travaillé, j’avais tout un assortiment de salades, viandes froides et charcuteries, fromage et fruits, le tout délicieux. En mangeant je pouvais voir Tom au piquet les fesses bien rouges, les mains sur la tête, visiblement il pleurait.

Tom pleurait en effet il avait honte de lui, il était là cul nu après une fessée comme le maître ne lui avait jamais administrée, ses fesses étaient en feu, il sentait la chaleur et il ne pouvait pas la calmer par des caresses, et le maître le regardait, en plus il avait bien dit que la punition n’était pas finie, qu’est-ce qui allait suivre?

Je continuai lentement mon repas, c’était bien bon, j’avais en face de moi les fesses de Tom, j’interpelai Yves qui attendait mes ordres.

- Yves fouette-moi ce mauvais garçon avec le martinet, Tom debout mains au mur!

Yves baissa la tête et alla prendre le martinet dans le placard, il prit celui de taille moyenne, je ne dis rien. Tom se leva, mis les mains au mur, assez écartées, il se cambra, en écartant les jambes, ses fesses déjà bien rouges étaient comme projetées en arrière, il me regarda furtivement avec crainte, craignant que sa position ne soit pas bonne et donc de me courroucer encore plus! Je me levai, allai vers lui et posant mes mains sur ses fesses, je lui donnai quelques claques moyennement fortes, en disant:

- Mauvais garçon, tu as bien pris la position, c’est bien, mais je veux que Yves soit sévère avec toi puisque tu ne lui as pas obéi, tu vas être fouetté comme tu le mérites, mauvais serviteur!

Je me rassis à ma table et dis à Yves:

- Aller Yves, fouette-moi cet insolent, et ne ménage pas tes forces!

Je pris une cuisse de poulet que je croquai avidement, j’avais une parfaite vue sur les fesses écartées de Tom, je me mis à sentir une réaction de désir, en fait je me mis à bander, Yves me regarda, je lui fis ‘oui’ de la tête, et les claquements du martinet commencèrent à remplir la pièce!

Yves le fouettait vigoureusement, je n’eus pas besoin de le menacer de prendre la place du puni, il le fouettait comme je l’aurais fait, il était très beau mon Yves, martinet à la main, le déliant, le soulevant et l’abattant dans un sifflement, un claquement puis un cri ou halètement du puni. Les fesses rouges et zébrées de Tom se tendaient avant le coup, elles se ployaient sous le coup et se repositionnaient en s’ouvrant, je devinais la belle rondelle de Tom bien devant moi, il se raidissait alors un peu pour encaisser le martinet qui sifflait déjà…

Ce spectacle de mes deux beaux esclaves, l’un fouetté, l’autre fouetteur, mon amant avec ses muscles qui se tendaient sous son pantalon ajusté, je ne résistais plus, je bandais depuis un moment, je dégrafai mon pantalon, ouvris mon caleçon, mon sexe jaillit enfin libéré, je le pris avec ma main droite et commençai un doux mouvement de va-et-vient, mon membre se tendit encore plus et voyant les fesses de Tom caressées méchamment par le martinet et le bel Yves tendu dans sa tâche, le désir monta, et je ressentis un extrême plaisir quand mon sperme jaillit pour s’étaler sur ma serviette! Que ce moment fut doux! Je ne me masturbais pas souvent ayant souvent un esclave à ma disposition, mais là je n’ai pas pu l’éviter, et dans mon apaisement après l’orgasme je n’étais plus en colère contre Tom…

- Yves arrête de le fouetter!

- Bien Maître! Il recula d’un pas.

- Tom si tu veux rester mon serviteur personnel, viens ici!

Tom se releva difficilement, il vint vers moi, la tête basse, je pouvais voir sa face ruisselante de larmes, il tomba à genoux à mes pieds.

- Tom, regarde un peu dans quel état je suis par ta faute lui dis-je et montrant mon sexe ruisselant, alors nettoie tout ça avec ta bouche en bon esclave!

Sans hésitation Tom s’activa, léchant mon sexe avec douceur, puis le prenant à pleine bouche, il ne rechigna pas à avaler mon jus, il était nu penché sur moi, je pouvais voir ses fesses meurtries, mon érection reprit plus mollement, mon Tom avait retrouvé ma grâce, comment pourrais-je retrouver un aussi bel esclave soumis à mes désirs et aussi expert avec sa langue? Je le tirai vers moi et le serrai dans mes bras, il demanda pardon plusieurs fois, je l’embrassai doucement en massant ses fesses, il resta un moment sans rien dire, en pleurant doucement dans mes bras, j’avais retrouvé mon bon petit Tom…

Le reste de l’après midi fut calme, je convoquai Alex, lui fis part de la nomination d'Éric, il en fut content, et lui donnai des instructions pour la punition à organiser le lendemain matin.

Le soir venu je fis venir dans mon lit Yves et Tom, ils furent adorables tous les deux, nos jeux sexuels nous amenèrent à l’orgasme chacun à notre tour. Les fesses zébrées de Tom eurent droit à un traitement spécial, Tom à quatre pattes au milieu du lit se faisant caresser et pommader avec beaucoup de douceur, il avait retrouvé le sourire Tom…

mardi 9 mars 2010

Le Domaine de Saint Christophe 54 – Une matinée presqu’ordinaire

Après la punition de Xavier et le bon moment de tendresse que nous eûmes ensemble, je le laissai à ses occupations devant aller à St Alban pour assister au début des vendanges, je l'embrassai pour lui dire au revoir, il eut un éclat de bonheur dans les yeux, ce gentil Xavier méritait mieux que son sort passé.

Devant les écuries Eric m'attendait, il me salua militairement:

- Bonjour Maître, mes respects, à vos ordres Maître!

Je lui donnai 3 petites tapes sur la nuque, lui disant qu'on devrait partir assez vite. J'entrai dans l'écurie, Julien était là avec le chef des palefreniers et son amant de cette nuit, le gars bien mignon était à coté, il tenait mon cheval Etendard par sa bride, en me voyant Etendard tira sur sa bride pour venir vers moi, je lui caressai le museau mais je fus surpris par l'apparence de sa crinière.

- Il n'a plus de tresses dans sa crinière, elles se sont défaites?

- Maître cet incapable ne sait pas les refaire! Dit le chef en désignant le jeune palefrenier.

Le jeune rougit et baissa la tête, je regardai la crinière et tout le corps de mon cheval il était parfait brossé partout sa crinière libre était parfaitement lissée, le garçon avait dû passer un très long moment à brosser et étriller mon cheval!

- Maître je vous demande l'autorisation de fouetter ce jeune palefrenier, il a mal soigné votre cheval et cette nuit il a quitté le dortoir sans permission!

Le jeune gars tomba à genoux, il tremblait, son chef demandait le fouet, le maître allait accepter…

Julien vint vers moi et me dit à l'oreille:

- Monsieur je ne comprends pas l'agressivité soudaine du chef, Alfred vient juste de me dire qu'on ne lui avait pas posé de question pour son absence avec moi, oh Monsieur ne le fouettez pas!

- Ne t'inquiète pas Julien!

Le chef attendait les ordres, il me regardait interrogateur. Je lui dis:

- En effet c'est grave pour cette nuit, mais qu'est-ce qu'il t'a dit sur son absence?

- Rien Maître!

- Tu lui as demandé?

- Euh… Non Maître, je n'ai pas eu le temps…

- Et tu l'accuses!

- Maître il était absent du dortoir cette nuit, il doit être fouetté, en plus votre cheval!

- Fouetté comment?

- Je vous demande 75 coups de fouet en public!

Le garçon frémit, il trembla plus fort, il jeta un coup d'œil à Julien, il était désespéré le pauvre, je m'adressai à lui:

- Présente-toi mon garçon!

- Al… Alfred… Maître… Dix neuf ans… Maître, Pitié…

- Alfred je sais où tu étais cette nuit, et je ne suis pas mécontent des soins que tu as apportés à mon cheval, je n'ai rien à te reprocher, au contraire je te félicite, viens vers moi!

Alfred me regarda avec des grands yeux il se leva et vient devant moi, je l'embrassai sur le front, le serrai dans mes bras, et le guidai vers Julien, qui posa sa main sur son épaule.

- Dorénavant Alfred sera sous la protection de son régisseur Julien, il ne pourra être puni qu'avec l'autorisation de Julien!

Le chef baissait la tête, je l'apostrophai:

- Dis le chef, c'est qui ce bel étalon noir, là bas au fond?

- C'est le cheval de notre ancien maître, Maître.

- Et il sert à qui maintenant?

- A personne Maître, seul notre ancien maître devait l'utiliser…

- Et maintenant que le vieux maître est mort, son cheval va dépérir! Mais Angelo l'a vu ce cheval quand il est venu?

- Je ne sais pas Maître, il était peut-être dehors…

- Où tu l'avais mis exprès! Julien ce sera ton cheval maintenant, Alfred prépare-le! Et toi le chef je vais t'apprendre qui est ton maître!

- Mais Maître!

- Silence et en position sur le banc!

Tout le monde fut surpris, Alfred fila vers l'étalon noir, le chef, un gars d'une trentaine d'année, se déshabilla, il était rouge de honte mais il se coucha sur le banc, serrant les deux pattes de devant avec ses mains, il se cambra légèrement, me présentant, un beau cul bien rond prêt à subir le châtiment de son maître…

Il y avait des verges prêtes à être utilisées, j'en pris une forte, je fouettai l'air pour la tester, au sifflement produit je vis le puni trembler légèrement. Je posai la baguette sur ses fesses pour prendre mes marques, je tapotai un peu les beaux lobes, et commençai la punition. J'élevai la baguette assez haut, et la rabattis vite, un sifflement, un claquement vif et un cri du puni, sur ses fesses un trait blanc qui rougit rapidement, une belle zébrure!

Malgré les cris du puni, la punition continua, toujours aussi sévère, les coups se succédèrent rapidement, le chef puni criait à chaque coup, il serrait frénétiquement les pattes du banc dans ses mains, sa figure était rouge de honte, lui le chef, fouetté devant son équipe! Je le fouettai durement, il avait voulu déchirer sous le fouet le mignon Alfred…

Je donnai 24 coups durement, toute la surface de ses fesses était zébrées par des traces rouges ou violettes là où la baguette avait frappé deux fois ou plus…

Le puni haletait, des larmes coulaient, j'avais été sévère, il n'osait pas bouger il bredouilla:

- Pitié… Maître…

Pour moi la punition était finie, lui n'en savait rien, j'allai m'accroupir devant lui, il releva la tète, je vis son visage rouge, pleurant demandant de nouveau ma pitié, je mis ma main sur sa nuque et lui dis doucement:

- Alors le chef, tu as compris qui était ton maître, et à qui tu dois obéir? Et si tu recommences à accuser un esclave sans raison, je t'envoie au bagne, maintenant la punition est terminée tu peux te relever!

Il quitta le banc, tomba à genoux devant moi et se prosterna sa tête à terre devant mes pieds:

- Pardon maître… Je serai obéissant…

- Je l'espère bien sinon gare à toi!

Je le relevai, il baisa ma main, et resta la tête basse, nu, les fesses cramoisies, il attendait un ordre, je lui dis de se rhabiller et retournai vers les autres, je vis que Xavier était là, le bruit de la flagellation l'avait alerté, je pris Julien et Xavier à part pour leur dire de surveiller le chef, qu'il ne récidive pas ou se venge sur ses palefreniers.

Nous prîmes enfin le départ, il faisait beau, Julien avait fière allure sur le cheval noir, Eric nous précédait, un beau garde, le voir de dos me donnait des envies…

- Tu vois Julien, ce n'est pas facile, on se heurte toujours à des petits chefs cruels, ton bel Alfred aurait pu être fouetté, heureusement que le fouet est interdit, sans mon autorisation ou la tienne!

- Merci pour Alfred Monsieur, vous auriez pu le punir pour votre cheval, vous avez été clément…

- Ça ne méritait pas plus qu'une fessée, ça ne m'aurait pas déplu de lui rougir ses belles fesses à ton bel amant!

- Oh Monsieur pas trop fortement quand même…

- Tu l'aimes cet Alfred, remarque bien que je t'envie, mais il est mon esclave, il devra m'obéir…

- Monsieur, quand vous voulez, il est très gentil Alfred, je l'aime mais je peux le partager avec vous Monsieur, si vous le désirez.

- Je verrai ça mais nous arrivons dans les vignes de St Alban, quelle activité!

Je vis Paul arriver à notre rencontre sur un cheval, il nous salua.

- Bonjour Paul, les vendanges sont lancées, tes vignerons travaillent bien?

- Bonjour Monsieur, les vendanges ont bien commencé, il fait beau, et vos esclaves travaillent plutôt bien, je leur ai fait un petit discours ce matin.

- Tu leur as dit quoi?

- Que comme ils avaient changé de maître, les règles changeaient, que les punitions systématiques du soir étaient supprimées, mais que s'ils travaillaient mal je n'hésiterais pas à les punir même sévèrement.

- Tu as bien fait sois ferme mais pas injuste!

Nous descendîmes de cheval auprès d'un groupe de vendangeurs, c'était des hommes assez jeunes en tunique, je leur dis quelques mots d'encouragement, je gouttai le raisin, posai beaucoup de questions à Paul, il me fit un vrai cours sur le raisin et le vin, il parlait bien et en plus il avait un doux regard…

Ensuite nous sommes allés au village, dans la grande salle où on faisait le vin, avec le pressoir, les cuves, les tonneaux. Une équipe d'esclaves était là pour finir de préparer tout avant de recevoir les premières grappes de raisin, tout se passait bien, je vis un martinet accroché au mur à coté du traditionnel banc à punition.

- Et le martinet ici il sert souvent Paul?

- Il a remplacé un méchant fouet, mais je dois l'utiliser quelques fois, il a servi hier soir…

- Sur qui?

- Le gars là, il avait mal lavé les bouteilles! Il me montrait un jeune gars qui devint tout rouge.

- Viens ici toi!

Le gars vint vers nous, un jeune en tunique, il s'arrêta devant moi, tête baissée, il paraissait pétrifié de honte et de peur, il tomba à genoux, il tremblait, il voulut dire quelque chose mais rien ne sortit de sa gorge, je le fis se lever, je mis un pied sur le banc et fis coucher le garçon sur ma cuisse horizontale, je soulevai la tunique et découvris ses fesses en pleine lumière.

J'avais une très belle vision, le garçon avait de jolies fesses, bien bombées, elles étaient zébrées de traces rose pas trop profondes, je ne pus m'empêcher de poser ma main sur ses fesses et de les caresser doucement.

- Il a reçu combien de coups Paul?

- 24 coups Monsieur, ce n'était pas la première fois qu'il négligeait le nettoyage!

- C'était mérité, alors!

Je donnai une petite claque sur les fesses du garçon, il frémit, mais je le fis se relever devant moi, il gardait la tête baissée.

- Regarde-moi mon garçon!

Il releva la tête, il était toujours rouge, il arriva enfin à me regarder dans les yeux, il était terrifié, je trouvai son regard un peu étrange.

- Pourquoi tu laves mal les bouteilles mon garçon?

- Maître… Pardon, je n'avais pas vu qu'elles étaient encore sales…

- Tu les laves où?

- Là-bas Maître… Il me désigna un coin sombre.

- Il ne fait pas très clair dans ce coin, mais mon garçon tu vois bien? Dis-moi quelle est la marque sur le tonneau là au fond, en haut à gauche?

Il y avait une pile de tonneaux au fond du hangar, au sombre le tonneau que je lui désignais portait deux croix, il regarda dans la direction, plissa les yeux, il se mit à trembler, il tomba à mes genoux, j'étais assis sur le banc:

- Maître, pitié je ne vois pas les tonneaux… Oh Maître pitié, ne me vendez Maître…

- Pourquoi je te vendrais mon garçon?

- Pardon Maître… Je suis un mauvais esclave… Je vois mal… Ne me fouettez pas plus pitié… Ne me vendez pas…

- Viens ici mon garçon!

J'avais les jambes écartées, il y vint à genoux je pris sa tête pour la serrer contre mon ventre, il tremblait et se mit à pleurer.

- Tu as quel âge?

- 20 ans Maître…

- Ne pleure pas mon garçon, tu es mon esclave, et si tu as bien écouté ce que j'ai dit à St Pierre, tu dois savoir que je ne vends pas mes esclaves, et puisque tu vois mal on te donnera un autre travail, tu as été fouetté hier, pas trop durement mais tu l'avais mérité si tu n'avais rien dit à ton chef.

- Oui Maître… Merci Maître, je n'en ai jamais parlé, j'avais peur du fouet ou d'être vendu, Maître, dans les mines ou ailleurs…

- Non mon garçon tu ne risques plus ça!

Et élevant la voix je dis:

- Paul et Julien vous verrez où affecter ce jeune homme, mais auparavant vous l'enverrez à St Christophe pour qu'Aurélien examine ses yeux!

Je serrai l'esclave que j'avais contre mon ventre, en le rehaussant un peu, il se blottit contre moi en pleurant.

Le pauvre garçon il avait tellement peur que son infirmité soit découverte et qu'il en soit cruellement puni, il pleurait maintenant dans les bras de son nouveau maître, il était moins malheureux, la veille il était cul nu devant toute l'équipe et il a reçu le martinet, il avait résisté il n'avait pas pleuré pourtant le cuir cinglait, brûlait ses fesses, mais il avait tenu le coup, et maintenant il pleurait dans les bras de son nouveau maître qui ne lui en voulait pas et qui le tenait gentiment…

Un peu plus tard je pris congé de Julien et Paul en demandant à Paul de prévoir le repas de fin de vendanges, dans quatre jours, Paul était un peu honteux d'avoir fouetté le jeune myope, il m'en fit part, je lui dis que ce n'était pas très grave mais cela justifiait quand même une fessée pour lui lors de sa prochaine visite à St Christophe, il me répondit, en baissant les yeux, qu'il la méritait et qu'il était à mes ordres….

Sur le chemin du retour, en passant par le plateau, je parlai tranquillement avec Eric, nos chevaux côte à côte, il était gentil Eric, il était mignon aussi, depuis qu’il était revenu parmi les gardes il n’était plus maigre, je me mis à la désirer, je ne l’avais jamais possédé Eric, il était marié, il aimait les femmes mais résisterait-il à son maître?

- Eric arrêtons-nous quelques minutes vers ces trois arbres! Et descendons de nos montures!

- A vos ordres Maître!

Nous nous arrêtâmes, il descendit de cheval rapidement et se précipita pour m’aider, me proposant ses bras pour m’aider à descendre, je ne demandais pas mieux je descendis de mon cheval et me retrouvai dans ses bras, je l’enserrai et cherchai sa bouche, j’y posai mes lèvres et sortis ma langue, il serra ses lèvres et tout d’un coup il les ouvrit me laissant pénétrer sa bouche et sa langue vint au contact de la mienne…

Après une bonne minute de baiser passionné je le relâchai et dis:

- J’ai envie de toi mon garde!

- Maître je suis votre esclave!

Il déboucla sa ceinture baissa son pantalon, l’enleva, et cul nu il se mit à quatre pattes, jambes écartées, fesses bien cambrées, les coudes appuyés à terre, il se soumettait comme rarement un esclave le faisait. Je pensai alors à ses années au bagne.

- C’est très bien mon Eric, c’est au bagne que tu te soumettais comme ça?

- Oui Maître surtout au début, j’étais tout jeune… Mais Maître…

- Oui Eric?

- Maître il y a longtemps que je n’ai pas été… J’ai un peu peur Maître…

Je m’agenouillai derrière lui, je posai mes mains sur ses fesses, je les caressai. Je pris une bonne dose de vaseline, j’en enduisis sa raie puis commençais à introduire un doigt bien lubrifié, puis deux puis trois dans son ouverture. Je fis cela avec beaucoup de douceur, je ne voulais pas faire de mal à Eric, il haletait doucement.

- N’aie pas peur Eric tu es un bon garçon je ne veux pas te faire de mal, tu ne le mérites pas, détends- toi, fais moi confiance.

- Merci Maître… Pardon pour ma peur…

Je le caressai, lui massant bien son intérieur, ma main gauche prit son sexe qui commençait à se dresser, je le branlai doucement, son membre prit un très beau volume, moi-même je bandais très fort, je me déculottai rapidement, mon dard surgit, je mis mon gland au contact de son orifice bien dilaté par mes doigts, il y entra facilement, puis je poussai un peu plus, le brave Eric fit un léger mouvement de va et vient pour que je le pénètre mieux, ce bel homme avait envie de moi, cela renforça mon désir, mon membre trouva parfaitement sa place en lui, je le branlais toujours, il gémissait de plaisir!

Ceci dura quelques minute puis j’accélérai les deux mouvements, nous haletions tous les deux, mon désir montait, il se développa dans un orgasme intense, je déchargeai violement en lui et quelques secondes après il poussa un cri et aspergea le sol avec de violents jets de sperme…

Cinq minutes plus tard, j’étais étendu nu, sur Eric, nu lui aussi, couché sur le dos dans l’herbe fraiche, il souriait, moi aussi, après ce chaud moment j’étais bien sur lui, je lui faisais des petits bisous, il avait un sourire magnifique.

- Alors ce n’était pas si dur mon Eric?

- Oh non Maître, tellement différent qu’au bagne! Vous êtes doux Maître… Merci Maître…

- Tu es un bon garde obéissant mon Eric, à partir de maintenant tu seras l’adjoint d’Alex! Bon maintenant repartons pour le château!

- Moi Maître, le bagnard, le sous chef des gardes! Oh merci Maître.

Comme je me relevai il prit ma main et l’embrassa, je le pris dans mes bras et le serrai vigoureusement. Nous nous rhabillâmes, et nous repartîmes côte à côte vers le château…