vendredi 17 décembre 2010

Le Domaine de Saint Christophe 57 – Un jour à St Christophe

Le premier moment de surprise passé, je demandai à tous de monter à mes appartements. Je présentai Stéphane à Yves et Tom, leur expliquant qui il était, ils acquiescèrent de la tête et saluèrent respectueusement Stéphane, j’expliquai à Stéphane qui étaient Yves et Tom, je lui indiquai qu’Yves avait ma confiance, et qu’il devait s’adresser à lui si je n’étais pas là, Yves rougit, mais bien sûr je n’ai pas parlé du rôle d’Yves dans mon lit!

- Tom, occupe-toi de l’installation de Stéphane dans mon ancienne chambre, celle du ’jeune Maître’, ce sera sa chambre. Yves, convoque tous les chefs du Château dans mon bureau dans une demi-heure!

Ils filèrent et je restai seul avec Stéphane, assis en face l’un de l’autre.

- Stéphane où en es-tu avec ton précepteur, et qui est ce précepteur?

- Mon cousin, il m’enseigne tout, mon père disait toujours que j’avais un bon niveau par rapport à l’école. Le précepteur, mon père l’avait acheté, il y a deux ans, il avait eu du mal à le trouver.

- Tu es bon élève?

Il rougit un peu et dit:

- Je pense que oui, mon cousin, mon père m’incitait beaucoup, il contrôlait mon travail, je n’ai pas souvent été puni.

- Qui te punissait?

- Mon précepteur et mon père, mon cousin.

- Ton précepteur en avait le droit? Comment?

- Avec des travaux supplémentaires et avec une règle.

- Il te frappait? Et ton père?

- Le précepteur avec sa règle. Mon père il me corrigeait à la main ou au martinet.

Il rougit de honte en disant ça, il était gêné. J’étais choqué qu’un esclave puisse frapper un jeune maître, ici cela ne s’était jamais fait, seul mon père me corrigeait.

- Ici ton précepteur ne te frappera pas, seul moi aurai ce droit, mais j’espère ne pas avoir à sévir souvent, tu m’as l’air raisonnable. Ton précepteur est toujours aux Ormes?

- Je pense, mon cousin mais j’ai quitté le domaine il y a une quinzaine de jours…

- Le notaire m’a dit qu’il n’y avait eu aucun changement aux Ormes depuis. Tu avais un serviteur à ton service?

- Oui mon cousin, un jeune esclave de 15 ans, je l’aimais bien.

- Stéphane demain nous irons aux Ormes pour en organiser la gestion, nous ramènerons ton précepteur et ton serviteur, ce soir c’est Tom qui te servira ainsi qu’un jeune garde.

- Vous avez des gardes mon cousin?

- Oui toute une équipe, tu découvriras tout ça assez vite, dans quelques minutes tu seras présenté aux chefs des équipes du château, après Tom t’emmènera dans ta chambre, tu reviendras souper avec moi et tu pourras aller te reposer, demain nous aurons une journée chargée aux Ormes!

Je lui expliquai rapidement le fonctionnement du domaine, les villages, St Pierre, et j’ajoutai:

- Je te ferai visiter le domaine, et ensuite tu pourras toujours aller te promener en dehors de ton travail, mais tu devras m’en demander l’autorisation, tu auras un garde avec toi. Tu sais monter à cheval?

- Oui mon cousin, j’avais mon cheval attitré, j’allais aussi dans le domaine, je disais toujours où j’allais à mon père aussi…

Yves frappa et entra:

-Maître tous les chefs sont là!

- Très bien fais-les entrer au bureau, nous y allons!

J’allai au bureau avec Stéphane je m’assis, Il resta à côté de moi et tous les chefs entrèrent me saluant avec respect.

- Messieurs, je vous présente Stéphane; un cousin orphelin qui va venir vivre ici. Il logera dans mon ancienne chambre de jeune homme. Il est évident que tous mes esclaves lui doivent respect et obéissance comme à moi, mais comme il n’a que 13 ans, si un de ses ordres vous parait déraisonnable, vous devez m’en parler! Stéphane peut donner quelques coups à un esclave mais pas de punitions formelles qui seront décidées par vous où par moi si c’est grave.

Je leur demandai d’avancer d’un pas un à un, et je donnai leur nom et fonction à Stéphane, puis je repris la parole:

- Les esclaves devront l’appeler comme on m’appelait il y a plus de dix ans ‘jeune Maître’ pas ‘petit Maître’ comme j’ai entendu à l’époque!

Ensuite je donnai quelques ordres, à Alex de fournir un de ses jeunes gardes pour servir Stéphane cette nuit, à Jojo pour les repas, et diverses autres choses. Je me rendis compte qu’Angelo paraissait gêné, je me doutais pourquoi…

- Bon Tom tu emmènes Stéphane dans sa chambre, essaie de trouver des anciens vêtements à moi plus confortables et moins triste que ceux qu’il a. Maintenant vous pouvez retourner au travail!

Ils commencèrent à partir, Angelo s’avança vers moi et dit tête baissée:

- Maître, je voudrais…

- Me parler, bien reste ici Angelo!

Ils quittèrent tous la salle, je fis signe à Yves de sortir, il le fit en fermant soigneusement la porte, je me retrouvai seul avec Angelo, il se tenait droit devant le bureau toujours aussi beau avec son air bien soumis, je me mis à le désirer…

- Alors Angelo?

- Maître je vous demande pardon pour le comportement du cocher Jules que vous avez dû fouetter, Maître.

- En effet il s’est mal comporté, tu peux dire pourquoi il était fatigué?

- Non Maître, je ne sais pas, il a travaillé comme les autres, Maître ce n’est pas comme avec Bob, je n’avais pas de problèmes avec lui.

- Oui mais c’est bien la deuxième fois que j’ai un problème de cocher, avec Bob c’était beaucoup plus grave, mais aujourd’hui il y a faute aussi, tu avais reçu le martinet pour la faute de Bob, tu mérites plus aujourd’hui?

Il prit instinctivement la position du puni, mains sur la tête jambes écartés, mon désir monta, je n’étais pas en colère contre lui, j’avais beaucoup plus envie de lui et aujourd’hui je n’avais pas eu le temps d’un bon moment avec un gars alors comme j’avais Angelo en superbe soumis…

- Je t’ai posé une question mon garçon?

Mon ton n’était pas dur, Angelo le sentit surement il me regarda avec un air triste et dit:

- Maître, je suis surement fautif, mais Jules n’avait jamais posé de problèmes… J’ai surement mérité le fouet, Maître…

- Tu crois que j’ai envie de te fouetter au sang Angelo?

- Maître, je ne sais pas…

- Tu sais bien que non gros bête, aller déculotte-toi et viens sur mes genoux!

Angelo quitta son pantalon et vint docilement se coucher sur mes genoux, il cambra bien ses fesses et écarta un peu les jambes, comme je l’ai dit déjà Angelo avait un superbe fessier, offert comme ça à la punition, je ne lui en voulait pas du tout, Jules avait fait une faute personnelle, son chef n’était pas coupable, je n’aimais pas punir un esclave s’il ne le méritait pas, et là Angelo faisait monter mon désir, mon membre se durcit, Angelo ne pouvait pas ne pas le sentir, couché sur mes genoux, mon sexe buttait sur ses hanches…

Je le fessai doucement, ses belles fesses rosirent à peine, je le caressai doucement, j’insinuai mon index dans sa raie, je sentis son membre durcir…

- Tu aimes ça coquin…

- Maître je ne peux pas me retenir, pardon Maître…

- Alors tu mérites quoi comme punition?

- Ce que vous voulez Maître je suis votre esclave soumis…

- Tu sais bien ce que je veux, lève-toi et présente-moi bien ton cul, mon Angelo!

- Oh Maître je vous remercie, je vous aime autant que ma femme, prenez-moi Maître, je suis votre Angelo…

Il se tourna, se coucha sur le bureau, écarta bien les jambes en m’offrant toute son intimité, il était magnifique, un parfait homme soumis, sensuel prêt à accueillir son maître dans son intérieur, je me souvins du même Angelo tout réticent aux rapports sexuels entre hommes…

Pour ne pas le blesser, je le doigtai avec de la vaseline, il commença à grogner de plaisir, son sexe se dressa, le mien était déjà bien raide, mon gland se présenta à l’entrée de son cul, il frémit, je le pénétrai doucement, son cul bien dilaté s’ouvrit avec mes sollicitations, mon membre y entra sans mal, sans forcer et sans douleur pour Angelo, il émit des râles d’un homme en plaisir, son sexe était énorme, je le branlai en faisant des allers et retour en lui, je sentis le plaisir monter, en criant je me répandis en lui, et mon brave Angelo, aidé par mes caresses, éjacula avec violence…

- Ah mon Angelo ta punition est finie, c’était dur mon garçon?

Il se releva, me regarda avec un sourire, je posai ma bouche sur la sienne et y entrai ma langue. Il me répondit avec la sienne, je le serrai dans mes bras, lui et moi, nus en dessous de la ceinture, nos sexes se touchèrent, ils redurcirent…

- Bon Angelo, nous avons tous deux du travail calmons nous, mon beau garçon, prends cette serviette et essuie les traces de notre plaisir…

Angelo prit la serviette, il essuya mon sexe en premier et le sien ensuite, avec un grand sourire…

- Maître?

- Oui Angelo parle librement quand on fait l’amour ensemble, mon beau gosse…

- Merci maître mais c’est à propos de Jules, il a été fouetté au ceinturon, par vous Maître, dois-je le punir d’avantage Maître ?

- Comment as-tu su qu’il avait été puni?

- Il me l’a dit tout de suite Maître, il était confus mais il m’a montré ses fesses quand je lui ai demandé.

- Et alors tu penses que tu dois le fouetter à nouveau?

- Maître il ne me semble pas…

- Tu a raison il a été puni et pardonné, alors oublions, il ne parait pas être un mauvais garçon…

- Oh non Maître!

- Demain j’aurai besoin de la grande voiture, je le veux comme cocher!

- Merci pour lui Maître c’est un gars très gentil!

- Bien habitué aux corrections à ce que j’ai pu voir, tiens le à l’œil mon bel Angelo, à demain!

- Merci Maître, au revoir Maître!

Il était rhabillé moi aussi, je lui fis un bisou et il fila… Je retournai au salon où je trouvai Yves, je lui demandai d’envoyer un message à Julien pour qu’il nous accompagne aux Ormes le lendemain, en signalant à Yves qu’il viendrait aussi, je lui dis ça plus cordialement en le serrant dans mes bras.

A 7 heures Stéphane entra avec Tom, il portait un pantalon brun, une chemise blanche et une veste beige, une tenue de ma jeunesse que je retrouvai avec plaisir sur lui, ça lui allait bien, beaucoup mieux que son costume gris et étriqué!

- Alors Stéphane comment trouve-tu ta nouvelle chambre?

- Oh mon Cousin, elle est si belle, et Tom m’a tout montré!

- Il a été gentil Tom?

- Bien sûr mon Cousin, vous avez un bon serviteur!

Tom rougit, je le pris contre moi…

- Pas toujours mon bon Stéphane pas plus tard qu’hier, il a fallut lui donner le martinet!

Tom Rougit encore plus!

- Mais maintenant c’est fini il a été pardonné… Bon Tom va nous commander notre souper, Stéphane mange avec moi ce soir!

- A vos ordres Maître! Et il sortit.

- Alors Stéphane tu es content d’être ici?

- A coté de l’orphelinat, c’est le paradis mon Cousin!

- C’était si dur l’orphelinat?

- Mon cousin, je n’avais qu’une petite chambre triste, la discipline était sévère, je n’ai jamais été puni, mais plusieurs camarades l’ont été, à coups de baguette en public…

- Comme dans tous les établissements scolaires, mais quand tu iras au collège tu ne seras pas puni au collège mais à la maison si c’est justifié comme pour tous les St Christophe!

- Mais mon Cousin je ne suis pas un St Christophe!

- A partir d’aujourd’hui tu es sous ma tutelle, tu seras considéré comme mon fils, Stéphane.

- Oh Merci mon Cousin, je souhaite vous faire honneur, comme mon père me le demandait!

- Tu avais vraiment un bon père, mais ne soyons pas nostalgiques, pour toi une nouvelle vie commence, dès demain nous irons aux Ormes prendre les premières décisions qui s’imposent pour que tu gardes un domaine en bon état.

Tom arriva à ce moment, avec un mignon jeune cuisinier, que je connaissais de vue, apportant le repas pour nous deux, il nous servit, Stéphane mangea avec un solide appétit cela faisait plaisir à voir, je ne délaissai pas ma part non plus, nous discutâmes agréablement, Stéphane était un convive agréable, on parla des deux domaines sans relâche.

A la fin du repas, Stéphane montra des signes de fatigue, il baillait souvent en mettant la main devant sa bouche, en garçon bien élevé…

- Tu es fatigué mon garçon, tu as eu une dure journée pleine d’émotion, vas te reposer, et passe une bonne nuit, demain matin, réveil à 7 heures, nous partirons pour les Ormes aussitôt prêts, une bonne journée nous attend!

- Merci mon Cousin, j’ai sommeil en effet, je suis content d’aller aux Ormes demain.

- Tu as un jeune garde à ta disposition pour cette nuit?

- Oui c’est Damien, il m’a dit que je devais lui demander tout ce dont j’ai besoin, il a l’air bien gentil.

- Ah oui Damien qui avait peur de l’eau, c’est un bon garçon, Tom va aller pour t’aider à te préparer pour la nuit, il reviendra vers moi après, entendu Tom?

- Oui Maître, à vos ordres!

Stéphane se leva et vint vers moi, il ne savait pas comment me souhaiter une bonne nuit, je posai mes mains sur ses épaules et je lui fis une bise sur les deux joues en lui souhaitant une bonne nuit.

Après leur départ, je lus le journal, rien de bien neuf, Yves vint me demander que préparer pour le lendemain, nous en discutâmes, une fois le sujet réglé, Tom étant revenu, je dis que je voulais aller dormir, j’étais fatigué aussi!

Je me dirigeais donc vers ma chambre, sur un signe Yves m’accompagna, je m’allongeai sur le lit habillé, Yves me rejoignit, je lui demandai de me déshabiller, il le fit avec douceur, il se déshabilla aussi et bien tôt nous roulâmes sur le lit, Yves bandait mais pas moi, j’étais surpris j’aimais Yves, mais je me sentais fatigué, et je venais d’avoir un bon moment avec Angelo, ça expliquait ma méforme…

Yves essaya de me sucer, caresser mais rien n’y fit, il me regarda bizarrement et dit d’un ton dépité:

- C’est Angelo qui a tout eu, et pour moi il ne reste rien!

- Qu’est-que c’est que cette remarque, tu écoutes aux portes maintenant!

J’étais assis sur le lit surpris et en colère. Je regardais Yves dans les yeux il les baissa.

- Maître non, je n’ai pas voulu…

- Ca suffit insolent! Je ne veux pas de ce type de remarque, vas chercher le martinet!

- Oh Maître non, je n’ai rien dit…

- Immédiatement!

Mon ton n’admettait pas de réplique, il descendit du lit et quitta la chambre, nu, sans demander autre chose. J’étais en colère, Yves mon esclave, n’avait rien à dire sur ma vie sexuelle, il allait comprendre sa faute. Je plaçai des oreillers au centre du lit, Yves entra nu dans ma large chambre, un lourd martinet à la main qu’il me tendit les yeux baissés.

- Couche-toi sur le lit jambes écartées!

Il me regarda, implorant, mais il obéit, j’eu alors mon Yves couché sur le lit, les fesses bien cambré avec les coussins, les jambes écartées, complètement offert à la punition ou à l’amour! Je pris le martinet en main, il était lourd et commençai à fouetter ses fesses assez durement, des zébrures marquèrent vite la peau de ses fesses, il encaissait bien chaque coup au début puis il gémit doucement, plus fort, en demandant pardon, mais le martinet continuait à siffler, claquer et rougir les fesses du puni, un peu plus tard, ses fesses avait une couleur rouge uniforme, il ne suppliait plus il avait atteint le stade de la soumission à son maître, il souffrait mais il s’en voulait tellement d’avoir dit cette bêtise il ne disait plus rien il assumait sa faute.

Quand je le sentis dans cet état j’arrêtai de le fouetter, mais il était tellement beau comme ça, complètement offert les fesses rouges proéminentes, son cul offert, je me mis à bander durement, et pour lui montrer que sa remarque était infondée, et aussi par désir je l’enculai sans précautions, il gémit un peu mais je le limai sauvagement, je sentais la chaleur de ses fesses chaque fois que étant à fond dans lui mon aine touchait ses fesses, on ne décrira jamais assez bien le plaisir d’enculer un bel homme qui vient d’être fouetté, je profitai à fond de sa soumission et j’éjaculai avec force en lui!

- Alors esclave, je suis fatigué et impuissant, tu as eu ton compte insolant?

- Pardon Maître, Pardon je ne le ferai plus…

- Bon va te coucher sur la descente de lit et laisse moi tranquille dans mon lit, j'ai sommeil maintenant!

Il descendit du lit et nu, il alla se coucher sur le tapis à coté du lit tout piteux lui qui couchait presque tous les jours dans mes bras, je me couchai seul dans le grand lit et il faut bien dire qu'après Angelo et Yves ces deux si beau garçons j'étais dans un état de plaisir accompli, qui se transforma rapidement en désir d'un bon sommeil réparateur plein de beaux souvenirs, je m'endormis rapidement…

Quelques heures plus tard je me réveillai, presque surpris d'être seul dans mon lit, mais je me rappelai vite la punition d'Yves, sans bouger j'étais au bord du lit, la lumière de la lune emplissait la pièce, je vis Yves sur le tapis, il était couché sur le dos, deux trainées de larmes descendaient de ses yeux il avait les yeux ouverts mais comme je n'avais pas bougé il ne vit pas que j'étais éveillé. Bien sûr j'en eu pitié, ma colère était retombée, il était beau dans sa détresse, je lui dis doucement:

- Vilain garnement viens me rejoindre!

- Oh Maître merci…

Il me rejoint dans le lit je l'embrassai fougueusement, je l'aimais mon Yves, il se colla à moi tout plein de reconnaissance, je lui caressai ses fesses meurtries, sans un mot nous restâmes collés l'un à l'autre, il avait froid, je le réchauffai et nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre pour une bonne fin de nuit…