mercredi 21 décembre 2011

Le Domaine de Saint Christophe 61 – Une ‘tranquille’ promenade

Le lendemain matin je pris un copieux petit déjeuner, le jeune cuisinier qui apportait le plateau après l’avoir préparé avait oublié le beurre, il dû courir aux cuisine en chercher, je le réprimandai, il tomba à genoux en demandant pardon, je me levai:

- Debout!

Il se leva, tête baissée, tout rouge, je défis le bouton de son pantalon, je le baissai et c’est cul nu que je le courbai sous mon bras gauche, son beau petit cul reçu les premières claques bien données, il frémissait, je le fessai régulièrement pendant quelques minutes, ses fesses étaient bien roses, j’arrêtai, caressant doucement ses fesses fermes de jeune gars.

- Voilà mon garçon pour ton oubli!

- Merci Maître, pardon Maître… Je ferai plus attention…

Il était tout mignon, je le fis se reculotter et il partit après avoir embrassé ma main. Tom avait suivi la scène, quand ce n’était pas lui qui était fessé il ne disait rien, surtout que la fessée n’avait pas été méchante.

- Tu vois Tom une journée qui commence par une fessée sera une bonne journée.

Il sourit:

- Peut-être Maître, mais pas toujours pour celui qui la reçoit…

- Tu as à te plaindre mon garçon?

Je le serrai contre moi mon Tom, comme toujours il répondait à mon étreinte comme s’il se donnait à moi, en pleine confiance, je pris sa bouche dans un long baiser auquel il réagit bien.

- Bon aller, nous avons du travail…

- Oui Maître!

Un peu plus tard dans la matinée, Alex arriva:

- Maître, Monsieur Paul vient d’arriver avec un jeune esclave.

- Fais-le monter Alex, mais à l’avenir quand il arrive laisse-le monter au bureau d’Yves directement, pareil pour tous mes régisseurs.

- A vos ordres Maître!

Peu après Paul entra, il était accompagné de l’esclave qui voyait mal.

- Monsieur, pardon de vous déranger, mais je ne peux pas venir ici sans vous saluer, j’ai amené le jeune vigneron qui a mauvaise vue pour qu’il soit vu par votre infirmier, comme vous l’aviez demandé.

- En effet Paul, il va être examiné par Aurélien.

Le jeune esclave n’était pas à l’aise, il portait un pantalon et une chemise propre mais il avait l’air terrifié d’être dans le bureau de son Maître, il tremblait la tête baissée, je m’approchai de lui:

- Tu as l’air d’avoir peur mon garçon, pourquoi?

- Maître… Non…. Mais il va me faire quoi Monsieur l’Infirmier?

- N’aies pas peur, il regardera tes yeux et ton corps, mais je te l’ai déjà dit tu ne seras ni vendu ni puni, alors ne tremble pas.

Pour accompagner mes paroles je lui pris la nuque en la tapotant, il arrêta de trembler, j’appelai Tom, il entra très vite.

- Tom emmène ce garçon chez Aurélien, c’est le vigneron de St Alban qui voit mal, Aurélien est au courant, qu’il revienne ici avec lui dans une demi heure, pas avant, je dois m’entretenir avec Paul!

- A vos ordres Maître! Et il partit avec le vigneron.

Je restai seul avec Paul, il me regarda avec humilité et dit:

- Maître, à propos de ce garçon, je sais que je mérite une punition…

- En effet Paul, tu l’as fouetté alors qu’il ne le méritait pas, et je t’ai promis une bonne fessée.

Il mit ses mains sur sa tête, jambes écartée, tête baissée.

- A votre disposition Maître!

- Bon déculotte-toi et viens sur mes genoux.

Je m’assis sur une chaise, les cuisses disponibles pour que mon puni s’y couche, une fois cul nu avec sa chemise Paul s’allongea sur mes genoux. Il se plaça très correctement en cambrant bien ses fesses, en attente de la punition. Je posai ma main sur ses fesses, je connaissais Paul, il était un bel homme, avec un beau postérieur.

- Mon gars je vais te fesser jusqu’à ce que tu aies des fesses bien rouges, j’aurais dû te donner le martinet comme tu l’as fait à ce garçon, mais comme tu es un bon gars une fessée suffira.

- Oui Maître, merci Maître!

- Tu n’as pas honte d’être cul nu sur les genoux de ton Maître, mon gars?

- Un peu Maître mais fessez moi, c’est bien mérité!

Je commençai la fessée assez doucement puis de plus en plus fermement, ma main n’arrêtait pas de claquer, à droite, à gauche, au-dessus, en dessous, bref toutes ses fesses rosirent rapidement, mon puni commença à gémir, mais il ne fit rien pour échapper aux coups.

- Alors mon gars?

- Ça fait mal Maître…

- Et le garçon, il n’a pas eu mal quand tu l’as fouetté au martinet?

- Si Maître, et il a été courageux…

- Sois le donc autant!

Et je repris la fessée sur ses fesses fermes, c’était un plaisir, je le fessai vigoureusement pendant un quart d’heure, il avait pris ma cheville avec ses mains, et ses gémissements continuaient.

J’arrêtai quand son cul fut bien rouge, je contemplai mon travail, la belle couleur rouge était bien uniforme sur ses fesses, il devait sentir des picotements et une grande chaleur…

- Alors tu trouves toujours que ça fait mal?

- Oh oui Maître, ça brûle!

- Tu as été assez puni ou tu mérites une bonne autre session?

- Maître c’est vous qui voyez…

Il recambra un peu son cul en s’offrant à la main punitive. Mais ma main se posa doucement sur ses courbes chaudes, et je caressai ces belles fesses doucement, il se détendit, ma main frottait doucement sa peau douce, un de mes doigts caressa sa raie, puis un second plus insistant, il écarta un peu plus les jambes, offrant mieux son intimité à mes sensuels attouchements. Je sentis son sexe grossir sur ma cuisse…

- Tu aimes mieux les caresses mon coquin?

- Vous savez bien Maître que je ne résisterai jamais aux gentillesses d’un homme comme vous… Même en me promettant la torture je ne résisterais pas!

- Un homme comme moi?

- Maître on ne vous a jamais dit que vous êtes beau, un des plus beaux hommes que je connaisse!

- Et Adrien?

- Ce n’est pas pareil… Vous être un Maître, vous punissez, vous dominez, et vous aimez vos gars, Adrien c’est un agneau, il est doux, jamais dur.

- Je comprends, redresse-toi Paul, la punition est finie!

Il se retira de mes genoux, il se mit à genoux devant moi, me regardant, une larme sur chaque joue, il avait pleuré sous la fessée, il était mignon comme tout, je le pris entre mes jambes et le serrai contre moi, il posa sa tête sur mon ventre sans bouger, je caressai ses cheveux, je pouvais voir son dos, et plus bas ses fesses rouges.

Après quelques minutes de calme tendresse, je le fis se rhabiller et il s’assit avec une petite grimace sur la chaise devant le bureau. Nous avons alors parlé de Stéphane, que j’irai un jour le présenter à St Pierre. Il me dit aussi que les vendanges étaient finies et que la récolte était bonne et prometteuse.

- Oui Paul, c’est bien, il faut féliciter tes vignerons, je devais assister au repas des vignerons, mais je suis trop pris en ce moment avec les Ormes, il faut le faire dans deux jours avec tous les vignerons, Adrien, Julien et toi. Avant de partir tu ira voir Jojo le chef des cuisines pour te fournir en victuailles, un bon repas, avec des viandes, je veux récompenser mes vignerons, pas toujours les fouetter, le vin rapporte beaucoup tu le sais.

- Merci pour eux Monsieur, ils ont très bien travaillé cette année, j’en ai puni deux pour paresse au martinet, mais le fait qu’il n’y ait pas de punition systématique chaque soir, et comme les deux punis l’avaient bien mérité, ils ne sont plus dans la crainte, ils travaillent normalement.

- C’est ce que je veux Paul, à chaque faute une punition, mais pas de faute, pas de punition…

On frappa à la porte, c’était Aurélien qui revenait avec le vigneron, sur mon ordre il entra, me salua, le jeune vigneron avait l’air plus détendu qu’à son départ.

- Maître, j’ai examiné ce jeune homme, sa vue est déficiente, mais pour le reste il est en excellente santé, encore un peu maigre, mais fort. Pour sa vue il faudrait que je le vois tous les ans pour détecter une évolution possible. Avec sa vue Maître il vaut mieux qu’il travaille à la lumière.

- Merci Aurélien pour ce compte rendu, Paul prends en compte ces remarques pour le travail de ce garçon, et pour qu’il revienne ici chaque année. Comme tu dois voir Jojo, vas-y maintenant avec ce garçon qu’il en profite pour manger et toi aussi!

Paul me salua, le vigneron se mit à genoux devant moi pour embrasser mes pieds, je le relevai et la main sur sa nuque je déposai un baiser sur son front, il rougit et sortit en même temps que Paul.

Le bel Aurélien était resté, tout mignon, il avait un air triste, mais il s’activa un peu pour dire:

- Maître un messager de Gault est venu ce matin, une femme a une grossesse difficile, des jumeaux d’après les femmes du village, M. Alain me demande si je peux y aller.

- Vas-y cet après midi, tu verras quoi faire, tu saurais aider une femme à accoucher des jumeaux?

- Maître je l’ai déjà fait à l’Hôpital.

- Bon et bien vas à Gault, tu verras sur place! Mais tu as l’air triste mon garçon, qu’est-ce qui ne va pas?

Il rougit, baissant la tête:

- Ce n’est rien Maître, pardon…

Je m’approchai de lui, je pris sa taille en le pressant contre moi:

- Tu me cache quelque chose mon garçon…

- Non Maître, je suis triste parce que le soir je suis tout seul Maître!

- Tu aimes les garçons Aurélien, et tu n’en as pas trouvé au Château c’est ça?

- Oui Maître, vous devinez tout… Il se mit à pleurer.

- Ici il y a beaucoup de garçons qui aiment les femmes, les gardes, les cuisiniers, les palefreniers, bien sûr ils ne se refusent pas à moi mais ce n’est pas si facile pour toi, Yves et Tom sont à moi, tu as déjà été puni pour avoir profité de Tom, mais il reste Thomas, Tommy…

- Thomas il n’est pas à vous Maître?

- Il est mon garde, pas mon amant sauf quelque fois, mais attention Aurélien, c’est un garçon fragile Thomas, et je l’aime bien ce garçon, ne lui fais pas de peine!

- Maître je vous promets d’être doux avec lui, il est tellement beau Thomas, je n’aurais jamais osé!

- Eh bien tente mon gars, mais restons-en là j’ai du travail, et toi aussi!

Je l’embrassai doucement, le serrai dans mes bras, il me remercia et quitta mon bureau nettement moins triste qu’avant.

La matinée s’acheva calmement, un repas pris avec Stéphane, et nous partîmes Stéphane, Thomas Mathias et moi à cheval. Je regardai Stéphane sur son cheval plus petit que les nôtres, il se débrouillait bien avec son cheval.

Nous partîmes par le plateau, après la montée, nous avons fait un tour pour voir les moutons et les bergeries, une rencontre avec Louis et Raoul nous permit de présenter à Stéphane leur travail, je racontai l’accident de Raoul à Stéphane, Raoul rougit mais vint vers moi et embrasser ma main, Stéphane était impressionné.

Nous redescendîmes vers Gault, où nous fûmes accueillis par Alain, Aurélien était avec lui. Pendant qu’Alain parlait de Gault avec Stéphane, Aurélien vint me dire que la fille qui était grosse allait accoucher sous peu et qu’il aimerait bien la ramener au château ce jour même. Je demandai à Alain de faire préparer une carriole avec une paillasse et une couverture.

Peu après les ordres donnés, un chariot arriva trainé par un cheval. J’allai voir la fille avec Aurélien, elle était énorme se tenant le ventre, c’était une jeune femme, un homme bien jeune aussi était près d’elle.

- Eh bien ma fille tu as bien travaillé pour avoir un aussi gros bébé!

- Maître ce sont au moins des jumeaux je les ai sentis en la palpant dit Aurélien.

- C’est très bien ça, et toi mon gars tu es le père? Dis-je au jeune de 18 – 20 ans qui était derrière.

- Oui Maître, il rougit.

- Tu as bien travaillé aussi, c’est bien, vous êtes mariés?

- Non Maître, je vous demande pardon.

- Il n’y a pas de faute mon garçon mais tu t’occuperas aussi de tes enfants!

- Oui Maître, vous l’emmenez au Château?

- Oui c’est plus sûr toi tu restes là on te préviendra quand se sera fait!

- A vos ordres Maître!

La fille fut amenée sur son chariot, il suivit, se tenant à coté, il était bien mignon ce futur jeune père de famille. Me souvenant de la discussion de ce matin, je pris la parole:

- Thomas tu vas accompagner Aurélien et le chariot jusqu’au Château, on ne sait jamais, tu pourrais être utile, Mathias restera avec nous, pour aller à St Christophe nous n’aurons pas de problèmes!

- Bien Maître, dit Thomas.

La petite troupe partit, nous restâmes un peu à discuter et visiter Gault avec Alain, Stéphane regardait tout, posait beaucoup de questions, Alain lui fournissait toutes les explications.

Nous repartîmes pour St Christophe en prenant des petits chemins, non loin du village nous traversions une pommeraie, les arbres croulaient sous les fruits, une équipe de cueilleurs y travaillait au loin quand on entendit des bruits de voix fortes, nous nous approchâmes en entrant sous les arbres, les cris se précisaient, un homme en colère disputait un autre. Notre arrivée sur place surprit, le silence se fit, je vis un groupe d’esclaves, l’un d’eux prenant à parti un jeune tête baissée.

- Eh bien que se passe-t-il ici?

L’homme qui criait se courba devant moi.

- Maître mes respects, pardon pour mes cris, mais ce vaurien…

Nous descendîmes de cheval, pendant que je dis:

- Tu es le chef de cette équipe, je suppose?

- Oui Maître, Benjamin, pour vous servir.

- Alors qu’est-ce qui se passe avec ce garçon?

- Maître, vous ne savez peut-être pas, mais nous devons faire le tri des pommes en trois catégories…

- Je sais Benjamin, j’ai établi cette règle avec Jérôme et j’ai demandé une stricte application, les plus belles pommes réservées à la vente, les un peu moins belles pour la consommation de tout le domaine, moi compris, et les plus abîmées pour faire des conserves de compotes, pour tous aussi, cet hiver.

- Et bien Maître ce vaurien, je l’ai surpris à croquer dans une très belle pomme! Il a pris une belle pomme, il s’est éloigné vers les buissons, je l’ai vu, je l’ai suivi et je l’ai vu faire!

- Tu le disputais, tu aurais fait quoi après?

- J’en aurais parlé à Monsieur Jérôme Maître mais à cause de lui je peux être puni aussi.

- Pourquoi Jérôme est si sévère?

- Maître on a déjà cassé un outil dans notre équipe il y a deux jours…

- Bon tu es franc toi au moins! Garçon ici!!! Mon ton final était très sec. Le jeune s’approcha, il se jeta à mes pieds, à genoux tremblant!

- Présente-toi vaurien!

- Maître… Pardon… Je m’appelle Serge Maître, votre esclave… J’ai 19 ans Maître… Je ne le referai plus….

- Bien sur que tu ne le referas plus, après la leçon que je vais te donner mais pourquoi avoir mangé cette pomme? Parce que c’est interdit?

- Je… Je pensais qu’elles étaient meilleures… Maître…

- Et alors tu désobéis aux ordres vaurien!

- Maître pitié… Je suis un bon garçon…

- Un bon garçon? Un esclave qui ne suit pas les ordres de ses chefs un vaurien oui! Tu ne mérites que le fouet c’est sûr!

- Pitié… Maître…

Il se prosterna encore plus en embrassant mes pieds je le poussai du pied il roula par terre entourant sa tête de ses bras, il tremblait. Je regardai autours de moi, et ordonnai :

- Benjamin, prends cette caisse vide et retourne-la ici, ça fera un bon poste de punition!

Il le fit rapidement, je me tournai vers Mathias qui se tenait à côté de moi et lui dis discrètement:

- Mon beau Mathias, si tu enlèves ce beau ceinturon, tu ne te retrouveras pas cul nu?

- Maître mon pantalon devrait tenir tout seul, vous le voulez?

- Oui tu vas punir ce vaurien avec, et ne modère pas tes coups!

- A vos ordres Maître!

Mes ordres furent vite suivis, le coupable fut durement levé, déshabillé complètement, il n’était pas moche ce vaurien, il fut placé sur la caisse, les fesses en haut, les jambes écartées, deux esclaves prirent ses mains le maintenant bien en position, un bâton qui se trouvait là fut attaché à ses chevilles pour le tenir jambes écartées, du puni on voyait principalement les fesses, bien rondes, projetées prêtes à la morsure du cuir. Serge ainsi exposé, sentait un courant d’air entre ses fesses, son cul était visible, son sexe pendouillait sur la caisse, il y eu quelques commentaires humoristiques parmi les esclaves, je ne leur dis rien, le puni devait être humilié.

Mathias avait son ceinturon en main, je lui fis prendre la boucle et le bout dans sa main, il fouettera avec la double épaisseur du cuir, ce n’est pas vraiment plus douloureux mais plus sonore, de quoi faire réfléchir les éventuels esclaves tentés par la désobéissance.

Sur un signe de ma tête, Mathias commença la flagellation, le ceinturon siffla et claqua très fort sur les fesses du puni, un cri jaillit, une marque nette, large apparu sur la chair, d’un beau rose, le coup suivant tomba, le puni se cambra en criant, et les coups continuèrent. Le beau Mathias était superbe en fouetteur, son pantalon et sa chemise ajustés suivaient chaque mouvement de son corps musclé, j’étais fier de mon beau garde! Je n’avais pas fixé le nombre de coups, j’attendais de voir la couleur des fesses du vaurien.

Et cela continua, sifflement, claquement, cri du puni, une trentaine de coups étaient tombée, je fis un signe à Mathias, il s’arrêta.

J’allai vers la tête du puni, elle était baissée, mais il pleurait comme un enfant… Je le pris par les cheveux et le regardant dans ses yeux pleins de larmes:

- Alors vaurien, voleur désobéissant, tu comprends ta faute et pourquoi je te punis?

- Oui Maître… Je… Je ne le ferai plus… Mais Maître ce n’est qu’une pomme… C’est pas juste de me fouetter comme ça pour une seule pomme…

- Sale vaurien, tu dis que je suis injuste! Tu as désobéi aux ordres et je suis injuste! Tu ne comprends pas ta faute vaurien, Mathias reprends ton œuvre!

J’étais très en colère, Mathias leva la ceinture et fouetta le gars, il cria, je vis sa douleur dans son expression, mais je m’éloignai pour mieux voir l’action de Mathias en fouetteur, il donnait chaque coup avec force, toujours sur les fesses, elles devenaient d’un rouge vif, violacé, je lui fis signe de s’attaquer au dos du vaurien, celui-ci rougit vite, les marques du ceinturon étaient encore plus visibles.

Je perdis le compte, le puni ne criait plus il prenait chaque coup avec un soubresaut, sans cri, je fis signe à Mathias d’arrêter, j’entendis quelqu’un courir dernière moi et je vis Jérôme arriver haletant.

- Mes respects Maître, qu’est-il arrivé?

Je lui racontai en détail les faits, il s’approcha du puni et dit:

- Mais c’est Serge! Ce n’est pas un mauvais esclave Maître…

- Là, il l’a été, voleur, désobéissant et trouvant que sa punition était injuste, un comble!

Je pris le puni par les cheveux, il pleurait, les fesses et le dos en feu, il me regarda tristement:

- Pardon Maître… J’obéirai…

- Ah quand même une demande de pardon, il est temps! Je relâchai sa tête.

- La punition est finie, le puni sera fixé au pilori dans la cours de St Christophe pour la soirée, et Serge si j’entends encore parler de toi, ce sera le bagne! Compris!

- Oui Maître, pas le bagne Maître… je serai sage…

- J’espère pour toi!

Jérôme était visiblement en colère contre le garçon, il me dit de compter sur lui pour le surveiller, il me demanda s’il fallait punir son chef, je dis non, un avertissement suffirait.
Je lui présentai Stéphane qui n’avait rien loupé de la punition, nous allâmes visiter St Christophe, et nous rentrâmes au Château en discutant calmement…

mardi 30 août 2011

Le Domaine de Saint Christophe 60 – Eric et Mathias

Nous rentrions dans la grande voiture, notre visite aux Ormes s’était bien finie, Camille avait été un hôte parfait. La voiture était chargée, deux esclaves étaient assis à coté du cocher, le précepteur et le jeune serviteur de Stéphane, ils étaient tout étonnés de voir la ville d’aussi haut. Après une visite à l’écurie, nous avions décidé de ramener à St Christophe le cheval de l’ancien maître, il serait pour Stéphane plus tard, et le petit cheval actuel de Stéphane, les deux chevaux étaient attachés à la voiture, sur le plus petit il y avait un esclave palefrenier, il renforcerait l’équipe de St Christophe, c’était un beau garçon de 20 ans, je n’avais pas pris le plus laid!

Julien et Yves avaient fini le compte des esclaves, les papiers des Ormes étaient bien tenus, il en avait 625 exactement. Nous discourions sur le domaine, sa bonne gestion, et ce qu’il faudrait faire à l’avenir quand nous arrivâmes au Château.

En descendant de voiture je vis Éric tête basse, je lui dis sévèrement:

- Éric, dans une heure je te veux nu attaché au poste de punition de la salle des gardes et tous les gardes présents, je viendrai te fouetter!

Il rougit, personne n'osa dire quelque chose, je rentrai dans mes appartements avec Stéphane, Julien et Yves après avoir envoyé les trois nouveaux esclaves, accompagnés par Thomas, à l'infirmerie pour une visite médicale.

Le sourire de Tom fut un bon accueil, il nous apporta des rafraîchissements rapidement et les discussions avec Stéphane et Julien reprirent. Une heure passa vite, Thomas frappa et entra pour me prévenir que tout était prêt pour la punition au poste de garde, il n'avait pas l'air très gai, Thomas…

Arrivé à la salle des gardes je trouvai tous les gardes présents, Alex m'accueillit et me dit: très humblement:

- Maître, Éric m'a raconté sa faute, je comprends que vous soyez contrarié, Maître, surtout que vous aviez deux esclaves à punir aux Ormes… Mais Éric est un bon adjoint pour moi Maître, c'est un oubli Maître; pas une faute grave, et je mériterais la même punition Maître pour ne pas avoir vérifié qu'il avait bien pris la strap!

- Je ne te punirai pas Alex, Éric restera ton adjoint, c'est un rappel à l'ordre pour Éric, c'est tout!

- Merci Maître. J'ai attaché Éric sur le nouveau poste de punition que vous avez fait faire, j'espère que ça vous convient.

- Tu as bien fait Alex! Éric était les fesses en l’air sur un genre de cheval d’arçon, en bois avec un dessus en cuir rembourré. Les bras du puni étaient attachés assez bas de l’autre coté, les jambes attachées devant et écartées, le corps était bien fléchit à la taille ce qui projetait les fesses écartées en hauteur, prêtes à recevoir le fouet sans aucune défense possible.

Les gardes étaient alignés de façon à voir la punition de coté, je les passai en revue. Il y avait les deux nouveaux, André et Rémi, l’uniforme leur allait bien, ils étaient impeccables et je savais qu’Alex en était très content…

- C’est bien les garçons! Après il y avait Denis, depuis que je l’avais puni pour sa paresse, il était devenu très sérieux.

Puis Mathias, son col était relevé, par derrière, je lui remis en place.

- Alors Mathias il faut que ton Maître finisse de t’habiller?

- Pardon, Maître… Pardon.

- Il doit être puni, Maître? Demanda Alex.

- Qu’il vienne à mon bureau tout à l’heure, je le punirai! Mathias rougit et dit:

- A vos ordres, Maître!

- Alors Arnaud, tu es sage maintenant?

- Oui Maître!

- Et bien continue mon gars, sinon tu sais ce qui t’attend, le bagne! Il ne répondit pas mais baissa la tête, humblement.

Puis venaient les trois jeunes apprentis, Arthur, Damien et Marc. Rien à leur reprocher sur leur tenue.

- Et ces trois jeunes Alex, ils progressent?

- Oui Maître, je ne m’en plains pas, ce ne sont pas de mauvais garçons, même si je dois les fesser de temps en temps.

- N’hésite pas Alex! Je savais qu’Alex était assez dur mais très juste quand il punissait.

Thomas était le dernier, triste, tout mignon, il eut droit à une petite tape sur le cou.

Je m’adressai à tous:

- Je suis venu pour punir Éric, il a oublié un ordre, c’est une faute grave, surtout pour un garde. La négligence dans le travail n’est pas admissible! Pour avoir oublié les straps, et nous contraindre à retourner aux Ormes, il doit être fouetté sévèrement! Mais je connais bien Éric, c’est un bon garde, je ne serai pas trop sévère mais Éric ne recommence pas ce genre de faute, tu es prévenu!

On entendit alors la voix d’Éric:

- Pardon Maître… Pitié Maître…

- Éric, tu mériterais 75 coups de strap pour ta faute, mais je réduis ta peine à 30 coups du grand martinet et 30 coups de la strap que tu as oubliée et que tu utiliseras pour fouetter les deux punis des Ormes après-demain. Je donnerai le martinet et Alex donnera la strap!

- A vos ordres Maître! Dit Alex et il alla chercher les deux instruments de punition.

Je pris le martinet avec ses lourdes et longues lanières de cuir, je les déliai en les agitant dans l’air, et me mis en position à bonne distance, les fesses rondes et musclées d’Éric étant la cible bien présentée…

- Prêt Éric? Tu comptes les coups!

- Oui Maître… Pardon Maître…

Je soulevai le lourd martinet et abattis les lanières en plein milieu des fesses, le sifflement et le claquement du fouet emplirent la pièce, le corps d’Éric se contracta:

- Ahh… Un Maître… Merci Maître!

Nouveau sifflement et claquement:

- Ahhhh… 2 Maître… Merci Maître…

La flagellation continua, en effet avec ce long martinet il s’agissait plus d’un fouet que d’un martinet pour corriger les enfants, je fouettais Éric avec fermeté mais j’aurais pu être plus violent et le fouetter au sang avec ce redoutable instrument. Mais c’était Éric que je fouettais, un de mes bons gardes, je devais le punir pour sa faute mais pas le supplicier… En tombant les lanières du martinet frappaient la peau, un trait blanc apparaissait, très vite rosissant et rougissant. Le puni ressentait une vive brûlure et dans un souffle poussait un râle ou un cri.

- Arrrrhhhh… 15 Maître… Merci… Maître…

Je changeai de coté, et regardai ses fesses, elles étaient déjà bien zébrées, Éric soufflait bruyamment, je ne lui dis rien et recommençai à le fouetter, le bout des lanières frappa alors l’autre coté des fesses, une nouvelle zone à attaquer.

- Ahhhhhh 16… Maître… Merci Maître…

Et la danse du fouet reprit, des sifflements, des claquements, des cris, des soubresauts d’Éric, il endurait bien la punition bien que sa voix devint rauque.

- Arrrrrrhhhhhhh… 30 Maître… (silence)… Merci… Maître…

J’entendis les premiers sanglots dans sa voix…

- A toi Alex!

Alex prit la strap, c’était un grand modèle, avec une poignée en bois et une large et épaisse lanière de cuir, bien entretenue, le cuir graissé pour rester souple et bien caresser la peau des punis.

Je m’assis dans un fauteuil, installé là pour moi, croisai mes jambes et assistai à ma suite de la punition. Éric tremblait les fesses et le cul bien présenté, ses fesses étaient zébrées, en feu, et il allait falloir recevoir 30 coups de cette terrible strap!

Alex fit monter la strap et claqua vigoureusement les fesses d’Éric, le claquement de la large pièce de cuir fit un bruit impressionnant, Éric cria, la douleur crée par le strap était différente de celle du grand martinet, mais elle était encore plus intense et violente:

- Aaaaaarrrrrrrrr! 1 Maître… Merci… Maître… Pitié…

Je fis un signe discret à Alex de modérer la force des coups, les gardes alignés regardaient la punition, ils paraissaient très émus à voir Éric soufrant sous le fouet, mais ils connaissaient la rigueur de la discipline chez les gardes…

- Aaaahhh 2 Maître… Merci… Maître…

Le coup avait été bien claquant mais moins fort que le premier, Alex m’avait bien compris. La séance continua, une série de vrombissements, de claquements et de cris. Je me déplaçai un peu pour voir la tête d’Éric, attaché comme il était il avait la tête en bas, à chaque coup il la relevait pour crier, un son rauque sortait de sa gorge, et il laissait retomber sa tête en soufflant, je vis qu’il pleurait…

- Aarrrrrrhhhhh… 15… Maître… Merci… Maître…

Alex changea de coté, je m’approchai pour regarder les fesses du puni, elles étaient bien rouges, violettes par endroits.

Sur un ordre de la main, Alex recommença, Éric commençait à crier plus sourdement…

- Aaaaaaarrrrrhhhhhh… 20… Maître… Merci… Merci… Maître…

Je fis signe d’arrêter à Alex et me dirigeai devant la tête d’Éric. Il ne me vit pas tout de suite, il haletait tête baissée. Il dû voir mes pieds car il releva la tête vers moi, il pleurait, sa figure était toute rouge, il avait un regard implorant, je me mis accroupi pour lui parler, je mis ma main sur ses cheveux et dis doucement:

- Alors mon grand, tu vois ce que ça coûte de me contrarier…

- Oh Maître, pardon… Pardon… Vous m’en voulez, Maître?

- Plus maintenant mon Éric, tu as été bien puni, tu l’avais bien mérité, non?

- Oui Maître… Merci Maître… Je vais être courageux pour les 10 derniers coups Maître!

- Non la punition est finie mon garçon, je te pardonne ta faute, mais ne recommence pas Éric.

- Merci… Merci Maître… Je vous servirai mieux Maître…

Je l’embrassai sur le front, se larmes s’accentuèrent, je l’essuyai avec mon mouchoir et me relevai.

- La punition est finie, Éric a été courageux, sa faute est pardonnée et bien sûr il reste adjoint d’Alex, et que ça vous serve de leçon, quand je donne un ordre on ne l’oublie pas! Alex tu le détaches et tu l’emmènes aux douches puis après chez Aurélien, un peu de pommade, ça lui fera du bien!

- Thomas et Mathias vous montez avec moi!

De retour à l’étage je dis à Mathias d’aller m’attendre dans mon bureau, il y alla tête basse, et j’entrai au salon avec Thomas. Tous étaient encore là à discuter. Aussitôt Julien se leva et me demanda:

- Monsieur me permettez-vous de vous quitter, je dois voir les gens de St Pierre ce soir?

- Bien sûr Julien, rentre bien, et sois là après-demain à 8h30, nous irons à la punition aux Ormes à cheval.

Je l’accompagnai à la porte et lui fis la bise discrètement pour lui dire au revoir. Je rentrai de nouveau au salon, et dit à Stéphane d’aller dans sa chambre, je restai avec Thomas, Yves et Tom. Thomas tout gêné bredouilla:

- Maître…

- Quoi Thomas?

- Maître, Mathias, il…

- Quoi Thomas tu vas venir pleurnicher à chaque fois que je vais punir un garde? Je n’ai pas tué Éric, je ne tuerai pas Mathias! Et si tu continues c’est aussi tes fesses qui vont rougir mon garçon!

Il baissa la tête tout penaud:

- Pardon Maître.

Je le pris pas la nuque et lui fis un bisou, il devint tout rouge.

En entrant dans mon bureau j’ai trouvé Mathias debout devant le bureau, jambes un peu écartées et les mains sur la tête qu’il tenait baissée. J’en fis le tour, admirant ce beau garde, j’avais déjà eu l’occasion de le fouetter au martinet et de le fesser, je connaissais bien son corps, je l’avais même pénétré, un bon souvenir, alors le voir dans cette position de soumis, le cul bien modelé dans son pantalon, je me mis à bander aussitôt…

Je m’assis sur le bureau juste en face de lui, j’écartai les jambes, il vit sûrement la bosse de mon pantalon, ses yeux étaient baissés dans la bonne direction. Il rougit légèrement…

- Alors mon garçon, on se présente mal habillé devant son Maître alors que les autres gardes étaient parfaits…

- Maître, pardon, j’ai dû m’habiller rapidement…

- Et pourquoi?

- Maître, cet après-midi je faisais l’entretien de la salle d'entraînement, Alex m’a prévenu assez tôt que je devais être dans la salle des gardes à 18h00, mais je n’ai pas fais attention au temps, je suis le seul fautif Maître!

Une rigueur bien militaire, digne d’un bon garde, j’aimais cette franchise, je lui dis d’approcher il vint alors se placer entre mes jambes tout près de mon corps. Je commençai à déboutonner sa chemise, son torse était bien musclé, je le caressai, la peau était douce, sur des muscles fermes, il avait toujours les mains sur la tête, il me regardait un peu surpris, mais il se laissa palper, je lui fis baisser les bras, pour dégager les manches et lui ôter sa chemise, il était maintenant torse nu devant moi, très beau, légèrement bronzé. Ma bouche s’approcha de ses tétons, j’en léchai un, puis l’autre, il gémit très doucement, sa douce peau sentait un peu le savon, il était passé à la douche avant de mal s’habiller, c’était bien.

Je pris la boucle de son ceinturon, et la défit.

- Mais tu as fait une faute mon garçon, je dois te punir pas te caresser…

- Oui Maître, pardon Maître

Sa voix était toute douce il ne connaissait pas la punition qu’il allait subir, mais ce Maître qui le caressait et qu’il connaissait bien n’allait pas être cruel, Mathias se pensait être bon pour une bonne correction au martinet… Je baissai doucement son pantalon, son sexe apparut un beau sexe de mâle, je vis qu’il était à peine redressé, mon Mathias avait apprécié mes caresses, peut-être plus sur ses tétons?

- Déchausse-toi et enlève complètement ton pantalon et reviens ici!

C’est donc tout nu qu’il vint vers moi, magnifique garçon d’un peu plus de 20 ans, soumis, un regard interrogatif… J’écartai un peu plus ma jambe gauche…

- Couche-toi sur cette cuisse mon garçon!

Il hésita, mais comprit vite mon intention, présenter ses fesses pour la punition, il se coucha sur ma cuisse posa son torse sur le bureau, et écarta légèrement ses jambes. Il avait pris exactement la position que je souhaitais!

- Alors mon garçon, tu sais ce qui t’attend, une bonne fessée?

- Oui Maître, punissez-moi comme vous l’entendez, mais Maître par pitié, gardez-moi votre confiance, Vous me garderez comme garde Maître?

- Qui a dit que je révoquerais un garde pour un col relevé?

Avant qu’il réponde ma main s’était levée et elle s’abattit sur ses fesses.

- Aiiiiieee… Merci Maître…

Il était contre moi, sa taille contre la mienne, je le serrai contre moi avec mon bras gauche alors que mon bras droit le fessait, à chaque claquement je sentais une petite vibration de son corps, tout son corps de bel homme était soumis à ma main punitive qui claquait ses belles fesses fermement mais pas trop durement, sa peau rosit, puis rougit, ma main claquant régulièrement sur elles.

Il râlait un peu à chaque claque, mais il sentait bien que la punition n’était pas trop sévère, et le Maître n’avait pas dit de mots durs, Mathias se donnait donc à la punition, il était confiant en plus le Maître le serrait contre lui, comme pour le protéger tout en le punissant… Les claques cessèrent, Mathias sentit des caresses sur ses fesses, c’était bon, les doigts du Maître parcoururent sa raie, touchant l’anus, Mathias frémit, il aimait ça, comme tout à l’heure quand le Maître lui avait touché et léché les tétons, il ressentait du plaisir, son sexe avait des pulsions, il ne comprenait pas pourquoi…

- Ah mais on aime ça mon garçon!

- Pardon Maître… Je ne peux pas me contrôler…

- Ne te contrôle pas mon garçon… Tu sais ce que je vais te demander maintenant mon beau gosse?

- Oui Maître… Faîtes ce que vous voulez, je suis votre esclave…

Je bandais comme un âne, je le fis se lever, il avait un léger sourire, il ne me craignait pas, quand je me levai aussi, il prit ma place et se pencha sur le bureau, jambes écartées et cul cambré!

Une telle soumission pour l’amour montrait qui en avait envie, qu’il n’avait pas peur de son Maître, j’étais touché par ce beau Mathias, mais complètement excité par son cul offert, je me débarrassai illico de mon pantalon et de mon caleçon, mon sexe enfin libre était parfaitement dressé, je mouillai mes doigts avec de la vaseline, je le doigtai doucement, son orifice était souple, il réagissait bien à mon travail, je m’avançai, mon sexe pénétra doucement en lui, il émit quelques grognements de joie ou de douleur, et je fis de nombreux va-et-vient. Son sexe grossit, je le pris avec une main, je le branlai, il râla de plus en plus, moi aussi, je sentais le désir monter. Mon orgasme fut une belle apothéose, j’envoyai plusieurs giclées en son intérieur, et je sentis une vibration de plaisir dans tout mon corps. Mathias eut un cri bizarre et il éjacula violemment dans ma main!

Je me penchai sur lui mon torse sur son dos, ses fesses étaient légèrement chaudes, j’étais toujours en lui mais mon sexe rétrécissait, il sortit tout seul, je le relevai, heureux après ce bon moment, Mathias soufflait doucement il était contre moi, apparemment sans crainte, je l’embrassai dans le cou, il tourna la tête il souriait doucement comme un ange.

- Tu m’as bien garni la main mon garçon…

Il se retourna, vis ma main pleine de son sperme, il murmura :

- Pardon Maître…

Il se mit à genoux et lécha ma main, avalant son sperme, ayant fini, il se teint à genoux tête baissée.

- Mon Mathias tu es pardonné pour ta faute et pour ton sperme il n’y a pas de faute, vas dans le cabinet de toilette chercher des linges humide dont un mouillé à l’eau froide!

Il fila tout nu, et revint avec des linges chauds et froids, je nettoyai mon sexe, puis le sien, il se laissa faire tout gentil.

Je m’assis sur une chaise.

- Aller en position jeune homme, dis-je en tapotant sur mes genoux.

Il me regarda étonné, mais vint se coucher docilement sur mes genoux, en position de fessé. Je pris un linge froid et le posai sur ses fesses rouges, il se détendit.

- C’est meilleur qu’une fessée non?

- Oh oui Maître vous êtes gentil avec moi…

- Tu es un bon garçon tu m’as donné un grand plaisir ce soir, et tu es un bon garde d’après Alex. Je voudrais te confier une tâche spéciale.

- Oui Maître…

- Tu seras le garde personnel de Stéphane, tu devras l’accompagner chaque fois qu’il partira seul, il sera sous ta responsabilité.

- Merci Maître, je serai comme Thomas pour vous?

- Oui un peu, on va en parler avec Stéphane.

Il était toujours couché sur mes genoux, je relevai la serviette froide pour lui caresser les fesses, elles étaient bien douces…

- Tu es bien vigoureux mon garçon, ton sexe répond bien et comment ça se passe avec ta femme Béatrice?

- Maître je l’aime je fais l’amour tous les soirs avec elle…

- Mais je n’ai pas de bonne nouvelle!

- Maître, on n’en est pas sûr mais Béatrice a du retard…

- Depuis quand?

- Depuis deux mois Maître.

- Elle doit aller voir Aurélien, mais tu n’as pas l’air heureux mon garçon?

- Maître si on a un enfant il deviendra quoi?

- Un de mes esclaves, bien éduqué, pas maltraité, tu en vois beaucoup de malheureux ici?

- Non Maître, merci Maître.

Je le fis se relever et s’asseoir sur mes genoux, je lui fis un bisou qui se transforma vite en un baiser passionné auquel il répondit bien…

- Bon Mathias il nous faut nous rhabiller, maintenant!

Chacun reprit ses vêtements éparpillés et c’est tous décents que nous entrâmes dans le salon. Tom, Yves et Thomas étaient là, Thomas lança un regard inquiet à Mathias, qui lui répondit avec un sourire.

- Stéphane n’est plus là ?

- Il vient de repartir dans sa chambre Maître, vous voulez que j’aille le chercher?

- Oui Tom vas-y!

Peu de temps après Tom entra avec Stéphane qui paraissait étonné. Je le fis asseoir en face de moi au salon.

- Stéphane j’ai décidé de nommer Mathias, que tu vois ici, ton garde personnel. Il devra t’accompagner à chaque déplacement hors du château, je t’interdis de sortir sans lui, il sera à ta disposition au poste de garde. Que les choses soient claires Stéphane, Mathias sera ton garde, à tes ordres, mais à part quelques coups bénins, tu n’as pas le droit de le punir, tu devras me faire part de ses fautes s’il en commet. Mais aussi il doit assurer ta protection, s’il te demande de ne pas passer quelque part, tu dois lui obéir! Il est responsable de ta sécurité, c’est bien compris?

- Oui mon cousin, ce sera comme Thomas et vous, sauf que je devrai suivre ses conseils.

- Oui Stéphane tu as compris, tu as 13 ans, tu auras de grandes libertés dans le domaine mais suis les avis des adultes, esclaves ou non! Et pour toi c’est clair Mathias?

- Oui Maître, je protégerai Maître Stéphane de tout ce qui est dangereux… Merci Maître de votre confiance…

- Bon c’est bien, demain après midi il devrait faire beau, nous irons Stéphane et moi faire un tour dans le domaine, Thomas nous accompagnera ainsi que toi Mathias, alors à demain après midi les garçons!

Ils quittèrent la pièce, Stéphane revint pour le dîner, je l’avais convié, nous discutâmes du domaine, de la punition d’Éric, Stéphane était passionné pas mes récits, il apprenait beaucoup, après son départ je passai une excellente nuit avec Yves et Tom qui arrivèrent à me faire jouir une troisième fois aujourd’hui dans une chaude partie à trois…


lundi 11 avril 2011

Le Domaine de Saint Christophe 59 – Un étrange Régisseur

Je montai au premier étage du château des "Ormes" avec Yves et Julien, nous entrâmes dans le bureau, je leur donnai le registre des esclaves:

- Voilà avec ça vous devriez arriver à connaitre exactement le nombre d'esclaves du domaine, regardez aussi les naissances, les morts, les ventes et les achats, si vous n'avez pas le temps de finir, Yves emportera le registre pour travailler dessus demain.

- Monsieur, nous allons essayer de finir ce soir, mais cela dépend aussi s'il y a eu beaucoup de mouvements.

- Et aussi de votre courage, mais si vous en manquez, je vous en redonnerai avec un bon martinet, dis-je en riant.

Yves sourit un peu amèrement, je le vis bien.

- Qu'est-ce qu'il y a mon Yves?

- Maître je suis embêté pour Éric, vous allez le fouetter ce soir, vraiment?

- Il a désobéi, il sera puni, je ne lui retire pas ma confiance pour autant.

Je regardai par la fenêtre et je vis Camille qui faisait sortir les piloris, deux grosses pièces de bois avec un trou pour le cou et deux pour les poignets, les deux fugitifs, nus au milieu de la cour, regardaient ça avec crainte, ils y furent amenés sans ménagement, mis à quatre pattes, et les piloris se refermèrent sur eux, d'ici je voyais, l'arrière donc leurs culs bien exposés, Camille entra dans une remise et ressortit avec quatre pièces de métal en forme de U aux bouts pointus. Un esclave avec un maillet leur écarta les chevilles et planta le U retourné dans la terre de la cour, leurs chevilles furent ainsi prisonnières aussi, La position des punis était particulièrement humiliante, le cul en l'air jambes écartées, les épaule assez basses, le pilori n'était pas haut… Pour moi une superbe vision! Derrière moi Julien murmura:

- Je ne voudrais pas être à leur place…

- J'aimerais bien te voir dans cette position, mon Julien, lui répondis-je dans l'oreille.

- Oh Maître…

- Il faudra venir me voir à St Christophe mon beau gosse… Et élevant la voix:

- Alors Julien que penses-tu de ce domaine que tu vas diriger?

- C'est un très beau domaine Monsieur, je pense qu'avec Camille ça ne sera pas trop dur de l'administrer.

- Je vais le recevoir ici, je vais lui parler salaire et bien définir sa mission, et je voudrais éclaircir certains aspects avec lui, je te tiendrai au courant plus tard, bon les garçons descendez au salon pour travailler avec votre registre, moi je garde celui des punitions.

- Bien Maître! Dirent en cœur Yves et Julien. Et ils quittèrent le bureau.

Je fis le tour du bureau, une bibliothèque d'un honnête homme cultivé, je vis des livres de comptes aussi, je pris celui de l'année en cours, et le posai sur le bureau, j'aperçus un livre sur la gestion des esclaves, je le feuilletai, je vis des images de traitement punitifs très cruels, puis d'autre chapitres plus concrets sur les précautions à prendre pour ne pas tuer les esclaves à la tâche.
Je m'assis au bureau et j'ouvris le registre des punitions, le feuilletant aussi, je vis que les peines appliquées étaient en général assez dures, beaucoup de flagellations, il faudrait rectifier tout ça, j'étais dans ces pensées, quand on frappa à la porte.

- Entre!

Camille entra, il baissait légèrement la tête par respect, depuis ce matin j'avais bien pu le détailler, il était beau, un homme aux formes rondes, pas très grand, de belles fesses, des épaules modelées, un visage régulier, pas d'aspérités ou d'angulosités dans cet homme, qui savait être autoritaire comme il y avait quelques minutes et soumis comme il était maintenant…

- Camille nous avons plusieurs choses à voir ensemble, assieds-toi, ah mais il n'y a pas de chaises ici, pourquoi?

- Maître, personne n'était autorisé à s'assoir dans ce bureau, les visiteurs étaient reçus au salon…

- Vas chercher une chaise et reviens.

Il revint vite avec une chaise, je lui fis signe de s'assoir il le fit bien sûr, il paraissait craintif, il n'en était que plus beau.

- Ainsi quand tu étais reçu ici, tu restais debout?

- Oui Maître, quand j'étais convoqué je devais rester debout, mais la plupart des entretiens avec le Maître se passaient dans la cour.

- Bon quel est ton salaire actuel?

Il m'en donna le montant, assez faible, je compris qu'il n'avait pas beaucoup de moyens pour l'éducation de ses fils. Il aurait fallu l'augmenter de plus de moitié pour qu'il soit au niveau de St Christophe.

- Je te propose un marché, tu restes au même salaire, mais je prends l'éducation de tes fils en charge, ils iront à l'école la plus proche. D'autre part tu auras des primes si les résultats du domaine sont bons et si tu suis bien mes directives.

- Merci Maître pour mes fils, mais les directives ce sont lesquelles?

Je lui donnai alors un exemplaire du code appliqué à St Christophe, et lui en dis les principaux points, la vie des esclaves, le mariage, pas de mise à mort, les types de punition à appliquer, et surtout pas un coup de fouet au sang sans mon autorisation!

- Si les esclaves ne sont pas fouettés, ils vont travailler?

- Si ils ne travaillent pas bien ou pour toute faute du dois appliquer une punition de la fessée à la strap, ou le martinet ou les verges, tu as le choix quand même!

- Oui Maître je comprends, vous êtes vous-même sévère je l'ai vu avec votre garde, il va être fouetté ce soir?

- Oui à la strap ou au martinet devant ses collègues, ce sera une meilleure leçon que si je l'avais fait ici. Il aura le cul bien rouge mais il ne saignera pas, il travaillera aussitôt après…

- Bien Maître ça doit être efficace puisque St Christophe marche bien…

- Tu vois si j'ouvre le registre des punitions, il faudra bien sûr continuer à le renseigner, tu inscriras la fessée de Philibert dedans, je vois beaucoup trop de cruelles punitions, un esclave vaut cher, et s'il est bon il faut le garder.

Je continuai de feuilleter le registre et arrivai à la feuille qui m'avait intriguée ce matin, je la sortis je la montrai à Camille:

- C'est quoi ça?

A ma grande surprise, Camille pâlit un peu, il se leva rapidement, écarta un peu les jambes et mis ses mains derrière la tête, en bonne position du puni!

- C'est ma feuille de punition Maître…

Je me levai et allai vers lui avec la feuille à la main, dans cette position il était plus que craquant, ses belles fesses moulées dans son pantalon étaient bien offertes, je sentis la sève monter dans ma verge…

- Eh bien mon gars, vu toutes les dates inscrites ici tu étais souvent puni, et le nombre entre 20 et 50 c'est un nombre de coups mais de quoi?

- Maître, la ceinture dans le troisième tiroir à droite…

J'ouvrai le tiroir et y trouvai un beau ceinturon, épais et souple, je le pris, le pliai en deux et le fis claquer, il fit un beau bruit de cuir claquant…

- Bel instrument et pourquoi tu le reçois si souvent?

- Maître, quand je n'avais pas assez surveillé un esclave ou pour toute erreur…

- Et là tu as pris la position du puni, tu sais donc que tu mérites une punition?

- Maître c'était obligatoire quand le Maître sortait cette feuille, je n'ai pas pu me retenir, en plus je me sens fautif Maître.

- De quoi, d'avoir proposé des punitions trop dures, et quoi, d'avoir laissé deux esclaves s'échapper?

- Oui Maître pardon je suis fautif…

- Tu as fais encore quelque chose de mal Camille?

- Maître je ne crois pas, j'ai fais de mon mieux en l'absence du Maître…

Je m'approchai de lui, il baissa la tête, je posai la main sur ses fesses, elles étaient bien fermes…

- Tu étais fouetté sur les fesses, ou le dos?

- Les fesses Maître, cul nu!

- Bon et bien mon gars on va garder les bonnes habitudes! Aller en position!

Aussitôt il déboutonna et quitta son pantalon, il le plia soigneusement et le posa dans un coin, il ôta son caleçon blanc et il le plaça bien plié sur son pantalon, il s'approcha de moi en chemise, tête baissée, très bien soumis, il s'arrêta devant moi, fit un quart de tour, pour se mettre face au bureau, il le dégagea un peu et se coucha dessus et agrippa le bord opposé avec ses mains, il déclara:

- Maître, je suis un mauvais employé, merci de me punir comme je le mérite, Maître!

Il avait écarté un peu les jambes, sa chemise masquait le haut de ses fesses, je la relevai doucement, je découvris alors un joli cul bien rond, il m'avait plu sous son pantalon, là c'était encore plus beau, ses jambes écartées laissait apercevoir sa rondelle, un minimum de poil rendait ce cul très attirant, entre ses jambes, je voyais son sexe de belles proportions, c'était un beau mâle dans la force de l'âge, et il s'offrait à moi, me demandant d'être puni! Je me mis à bander sans délai…

- Combien de coups tu mérites mauvais employé pour avoir laissé deux esclaves s'échapper?

- Maître le maximum, 50 coups à forte puissance, c'est arrivé une fois c'est ce que j'avais reçu…

- C'est une dure punition, mon gars, mais tu a bien géré ce domaine depuis la mort du précédant Maître, donc 30 coups suffiront mais il faut aussi te punir pour la punition exagérée que tu as proposée pour Philibert!

- Merci Maître, pardon pour Philibert mais je me suis énervé j'ai eu tort Maître…

- Bon tends bien ton cul, la punition commence!

Il se cabra bien, son superbe fessier bien présenté, le ceinturon plié en deux dans ma main se leva et après un feulement dans l'air il claqua au beau milieu des fesses du puni.

- Ah, un Maître… Merci Maître…

Il comptait et remerciait comme un esclave sous la strap, je le frappai encore, le ceinturon claquait bien, chaque coup laissait une trace rose sur ce beau cul offert, mon puni gémissait, comptait et remerciait, quel plaisir de le fesser au ceinturon, le cuir tapait, mordait sa chair sans la déchirer, une caresse brulante… Il avait un soubresaut à chaque coup mais il offrait tellement bien ses fesses comme s'il demandait le coup suivant…

Au quinzième coup, je fis une pose, je posai ma main sur ses fesses, c'était la première fois que je le faisais, des fesses bien chaudes, toutes rose et fermes avec une peau toute douce, quel bonheur!

- Alors mon gars on laisse échapper deux esclaves, tes fesses sont chaudes, on va reprendre pour les 15 derniers coups…

- Oui Maître, s'il vous plait punissez-moi comme je le mérite!

Je n'avais pas l'habitude qu'un esclave me demande de le punir, mais là j'avais un homme libre qui s'offrait à ma punition, bien sûr un régisseur pouvait refuser les punitions corporelles alors que c'était courant entre maître et régisseur dans tout les domaines, rien ne défendait à un maître de fouetter ses employés, à la condition de ne pas provoquer leur mort, mais tout homme libre pouvait refuser au risque d'un renvoi immédiat, donc les punitions restaient courantes entre maître et employés. Mais avec mon Camille je décelai une demande inhabituelle, d'un homme libre qui réclame sa punition.

Je changeai de coté et le ceinturon reprit sa danse, ses vrombissements, ses claquements secs, les cris du puni, son compte… Les marques sur les fesses de Camille se firent plus rouges…

- Ah… 30… Maître! Merci Maître!

Il ne bougea pas, les 30 coups annoncés étaient donnés, il resta couché sur le bureau, haletant un peu, cambrant toujours bien ses fesses, il était tellement désirable comme ça que je bandais très fort, mon pantalon était très tendu… Je m'approchai de lui, lui caressant les fesses doucement.

- Alors Camille tu as compris la leçon?

- Oh oui Maître, vous fouettez bien, merci Maître, les esclaves ne s'échapperont plus Maître…

- J'espère bien, aller, debout maintenant, on n'a pas fini!

Il se leva, remit ses mains sur la tête.

- Maître je suis fautif aussi pour Philibert, j'attends vos ordres Maître!

Quelle discipline, j'étais impressionné, même physiquement, mon pantalon allait craquer!

- Je n'ai pas oublié mon garçon, tu as été intéressé par sa fessée, je l'ai vu, pourquoi?

- Maître pour moi la fessée comme ça c'est pour les enfants, mais j'ai vu que Philibert n'en menait pas large, et ses fesses étaient bien rouges, c'était une bonne correction.

- Tu as quel âge Camille?

- 32 ans Maître.

- Tu n'as pas reçu de fessée manuelle depuis longtemps alors?

- Non Maître, j'ai dû recevoir ma dernière fessée à 16 ans, maintenant c'est le ceinturon Maître!

Je m'assis sur la chaise derrière lui, et lui dit:

- Tu n'as pas oublié la position j'espère, aller sur mes genoux!

- Oh Maître pas à mon âge!

Mais tout en disant ça il se retourna et vint docilement se coucher sur mes genoux, en rougissant fortement. J'eus alors ce bel homme couché sur mes genoux et qui présentait bien son cul pour la punition, je posai ma main, sur ses fesses, et me mis à les caresser, elles étaient chaudes après les morsures du ceinturon, toujours aussi fermes et douces.

- Alors, mon garçon à 32 ans tu vas recevoir une bonne fessée, mais ton énervement sur la chute de Philibert était digne d'un gamin, aller écarte une peu les jambes et cambre-moi bien ce cul!

Il se cambra bien en s'offrant totalement à la punition, ses bras étaient tendus en avant, les mains à terre, ma main se souleva et la première claque tomba au milieu de ses fesses, le coup avait été asséné avec force il sursauta, et gémit un peu il ne devait pas s'attendre à ça. La punition continua plus de 10 minutes, je le fessai vigoureusement, à droite, à gauche, au milieu, en dessus et en dessous des fesses, au hasard le puni ne pouvait pas s'attendre où tomberait le prochain coup! Il gémissait maintenant, il était comme Philibert ce matin, soumis à son fesseur…

- Alors tu comprends la leçon mon garçon?

- Oui Maître, ça fait mal… Pardon Maître…

- Tu vois qu'une fessée entre hommes ce n'est pas une caresse…

- Oh non Maître!

J'écartai un peu ses fesses, je vis alors plus nettement sa rondelle, j'y passai le doigt, doucement, il frémit…

- Tu aime ça mon coquin?

- Maître, j'ai trop honte, mais considérez moi comme votre esclave Maître…

- C'est-à-dire mon Camille?

- Maître pardonnez-moi, mais je sens bien que votre membre est dur… Vous aimez les hommes… Maître prenez-moi comme un vos esclaves…

- Tu as déjà été pris mon garçon?

- Quand j'étais jeune et avant d'être ici, oui Maître… Pour être puni… Mais ce n'est pas une punition…

Il était toujours sur mes genoux, les fesses en l'air, en tendant la main je pris ma sacoche et en extirpai le flacon de vaseline, j'en pris un peu et commençai à le doigter avec un, puis deux et trois doigts, son intérieur était souple, un peu serré, mais ça me donnerait encore plus de plaisir, il râlait de plaisir quand je le travaillais, en écartant ses jambes au maximum, il était prêt.

- Debout et à genoux devant moi!

Il le fit immédiatement baissant la tête.

- Descends mon pantalon et mon caleçon et prépare mon sexe!

Il obéit et quand mon sexe bien dressé fut à l'air, il l'engloutit avec sa bouche, je fus étonné de tant de docilité et de savoir-faire, je posai ma main sur sa tête le caressant doucement ce bel homme à l'ouvrage, je vis son sexe se redresser par à-coups, il aimait ça le coquin sucer un homme.

- Arrête maintenant mon garçon et reprends la position du puni sur le bureau!

Aussitôt ordonné, il reprit sa position le torse sur le bureau, le cul bien tendu, les jambes bien écartées… Je m'approchai plein de désir mon sexe dressé bien chauffé par sa langue, en avançant il se plaça juste devant son trou, je poussai un peu, le gland entra sans mal avec la vaseline, il gémit mais différemment de quand il était fouetté. Je poussai un peu plus, son intérieur était un bel écrin, bien doux pour mon sexe, je commençai mes va-et-vient doucement, comme il se donnait complètement, je n'eus aucune difficulté à le limer. Je vis son sexe bien tendu de plaisir, je le pris d'une main le branlant doucement, et maintenant étant complètement en lui, ses gémissements n'étaient que plaisir, dans un suffoquement il déchargea, aspergeant le dessous du bureau, moi-même, j'arrivai à l'orgasme facilement en éjaculant en lui! Sacré Camille, un bel homme soumis, aimant le sexe, j'étais un homme heureux…

Camille était maintenant effondré sur le bureau, moi j'étais derrière lui, un peu crevé après ce fort orgasme, je m'assis nu sur la chaise.

- Camille, debout et viens ici!

Il se releva et vint s'agenouiller devant moi, il leva un regard plein d'amour sur moi, et sans que je lui demande il se rehaussa et vint prendre mon sexe plein de sperme dans sa bouche, il le nettoya soigneusement en expert, puis ayant fini ses soins il posa sa tête entre mes jambes sans dire un mot. Je commençai alors à lui caresser les cheveux, je l'entendis dire tout doucement:

- Oh Maître, j'ai retrouvé un bon Maître… Vous êtes gentil pour mes enfants… Vous m'avez puni avec une grande justice, et… Vous m'avez pris sans oublier mon plaisir… Maître je suis heureux…

Je ne dis rien j'étais heureux aussi, mon beau régisseur me remerciant, je continuai à lui caresser les cheveux le cou, il leva son regard vers moi, je le tirai un peu vers moi et pris sa bouche, il répondit avec passion à mon baiser, nos langues se mêlèrent, moi assis nu en chemise sur une chaise et mon soumis serré contre moi, complètement nu, les fesses toutes rouges…

mercredi 23 mars 2011

Le Domaine de Saint Christophe 58 – "Les Ormes"

La grande voiture quitta St Christophe assez tôt le matin pour "Les Ormes", à l'intérieur il y avait Julien, Stéphane, Yves et moi. Thomas qui remontait pour la première fois à cheval cavalcadait à coté, avec aussi Éric. Julien avait fait connaissance avec Stéphane, et nous discutâmes pendant le trajet de la fin des vendanges et de St Pierre. Stéphane écoutait avec intérêt, posait poliment quelques questions, Yves par respect se taisait.

Au réveil j'ai un peu regretté d'avoir fouetté Yves assez sévèrement la veille, je lui fis prendre la position du fessé sur mes genoux et j'appliquai doucement un baume calmant avec de longues caresses sur ses belles fesses zébrées en le sermonnant doucement pour son insolence. Je l'autorisai à porter un caleçon pour que son pantalon ne frotte pas trop durement.

La voiture entra doucement dans la belle propriété, une longue allée bordée d'ormes conduisant à un joli petit château, un peu dans le style de St Pierre, un beau jardin d'agrément, devant le château rendait le lieu encore plus accueillant, de part et d'autre derrières des haies, on pouvait voir des champs cultivés avec des esclaves y travaillant. La voiture tourna pour se placer devant le perron, Stéphane paraissait ému, le cocher Jules vint ouvrir la porte de la voiture, se tenant tête baissée. Je descendis, en passant la main dans les cheveux de Jules:

- Et bien tu vois mon garçon, quand tu fais attention tu conduis bien… Il rougit et me remercia.

Stéphane descendit aussi, la porte du château s'ouvrit, un homme en sortit, il eu un grand sourire en voyant Stéphane.

- Ah monsieur Stéphane!

A sa tenue je devinai que c'était le régisseur du domaine, c'était un bel homme fort d'une trentaine d'année. Stéphane alla vers lui, l'homme le serra dans ses bras, puis il se tourna vers moi, il n'osa pas me tendre la main, il se courba:

- Mes respects Monsieur de St Christophe.

Je lui tendis la main, et je serrai la sienne,

- Stéphane tu pourrais faire les présentations!

- Pardon mon cousin, Camille Demoison, le régisseur du domaine.

- Enchanté… Par la porte une femme sortit, elle couru vers Stéphane et l'embrassa chaleureusement, puis elle me salua et nous invita à entrer.

Elle nous fit entrer au salon, les lourds rideaux étaient fermés, elle les tira, nous nous assîmes dans les fauteuils, Yves prit une chaise et attendit pour s'asseoir, le régisseur et sa femme restèrent debout, je leur demandai de s'asseoir aussi et fis un signe à Yves, je fis les présentations de Julien, mon "régisseur principal" et de Yves, mon "secrétaire".

Nous parlâmes de Stéphane et de ce qui avait été décidé avec le notaire, ils étaient au courant du testament, ils se dirent contents pour Stéphane mais je les sentais inquiets sur leur sort. Je parlai alors directement à Camille:

- Camille tu es régisseur ici depuis combien de temps?

- Depuis cinq ans Monsieur.

- Tu gères complètement le domaine?

- Oui Monsieur, surtout depuis la maladie du Maître.

- Ce domaine appartient à Stéphane, mais je dois le remplacer jusqu'à sa majorité à 20 ans, je deviens donc de fait le Maître des Ormes, les méthodes de travail seront les mêmes qu'à St Christophe. C'est mon régisseur général, Julien Lefort qui sera ton chef direct, mais il n'habitera pas ici (j'en avais parlé tôt ce matin avec Julien), je ne vois pas pourquoi je me séparerais de toi, mais je tiens à être obéis.

Camille se leva et se courba:

- A vos ordres Maître!

- Tu n'es pas obligé de m'appeler "Maître", les esclaves le devront ainsi que pour Stéphane bien sûr.

- Je donnerai des ordres précis Monsieur.

- Nous avons toute la journée pour visiter le domaine et décider de comment nous travaillerons. Camille tu donneras des ordres pour qu'on nous serve un repas simple.

Sa femme se leva, c'était une belle femme ils faisaient un beau couple les deux:

- Je m'en occupe Monsieur!

- Parfait Madame, quel est votre prénom?

- Émilienne Monsieur, pour vous servir, voulez-vous boire quelque chose? Un café?

- Un café, oui merci Émilienne.

Nous discutâmes un peu de généralité, de la saison, des récoltes, Camille apportait des réponses précises, il connaissait bien le domaine et le commerce qu'il générait. C'est alors qu'un serviteur, entra après avoir frappé, c'était un jeune mince, pantalon noir ajusté et chemise blanche, il paraissait ému, il portait un plateau avec les cafés, mais, toute son attention portée à ce que les cafés ne renversent pas, il ne vit un pli dans le tapis, se prit les pieds dedans et s'étala par terre dans un vacarme de vaisselle cassée!

- Ah bien bravo Philibert! S'exclama Camille avec colère.

Le pauvre gars, plutôt bien fait se releva confus, il semblait tétanisé, il se mit à genoux tête baissée en tremblant, sa chemise était maculée de café. Je pris la parole:

- Philibert, tu ramasses tout ça, tu retournes à la cuisine pour demander des autres cafés et tu te présenteras ici dans cinq minutes! Et qu'on demande à quelqu'un de venir nettoyer les tapis.

Émilienne sortit, le jeune serveur ramassa vite la vaisselle cassée et fila, Émilienne revint avec une esclave qui se mit à frotter les taches. Je repris:

- Ce mauvais serviteur doit être puni, que proposes-tu Camille?

- Monsieur je suis très en colère contre ce mauvais serviteur, il mérite 25 coups de fouet ce soir!

- Des coups de fouets au sang Camille? Pourquoi ce soir?

- Monsieur, sur les 25 coups quelques-uns au sang pour que la leçon soit bonne, les punitions ont toujours lieu le soir en public ici, avant le coucher.

- Quel âge il a ce garçon? Il est souvent fautif comme aujourd'hui?

- 18 ou 19 ans Monsieur, d'habitude c'est un bon serviteur, mais en plus à votre première venue ici! Il déshonore tout le domaine!

- Mon cousin, ce n'est pas un mauvais garçon, il est serviteur depuis deux ans, mon père ne s'en plaignait pas, c'est dur le fouet pour lui…

- C'est bien Stéphane, il faut réserver le fouet aux fautes très graves, que se soit clair Camille, j'interdis l'utilisation du fouet sans mon autorisation!

- Mais Monsieur si on ne peut plus punir les esclaves, ils ne travailleront plus… J'ai deux fugitifs à punir, je ne doit pas les fouetter?

- Camille, je n'ai pas dit de ne pas punir les esclaves, je le fais à St Christophe, mes esclaves travaillent bien sans avoir le dos déchiré par le fouet! On reparlera des deux fugitif plus tard, leur faute est grave et volontaire, dans le cas de Philibert, c'est une maladresse, il sera puni en conséquence!

Émilienne qui suivait notre discussion prit la parole:

-Monsieur, j'ai entendu dire beaucoup de bien de St Christophe pour le traitement de ses esclaves, ce serait bien d'être moins cruel ici aussi.

- Le traitement des esclaves sera le même ici, merci Émilienne.

On frappa discrètement à la porte, elle s'ouvrit et Philibert entra, il baissait la tête, complètement décomposé, être convoqué par un nouveau maître qu'il ne connaissait pas, après avoir cassé de la vaisselle en s'étalant lamentablement par terre, il allait être sûrement fouetté, peut-être vendu comme un malpropre, aux mines, mais il jeta un coup d'œil à Stéphane qui lui souriait, il a toujours été gentil avec lui Stéphane, mais ce nouveau maître il avait l'air sérieux, il tremblait Philibert et il tomba à genoux.

- Alors Philibert, tu es fier de toi, ne pas regarder où tu mets les pieds, et tomber en cassant tout? Dis-je d'un ton sévère.

Le pauvre Philibert essaya de répondre à ma question, mais ce ne fut que mots incompréhensibles, il tremblait, il paniquait complètement, je ne compris que les mots de pitié et pardon…

- Debout et déculotte-toi mon gars je vais te corriger pour ta faute!

Il se leva doucement me regarda craintivement, il baissa son pantalon, il portait un caleçon déchiré, il l'ôta, il avait changé de chemise, elle était bien blanche, il mit les mains sur la tête, les règles sont partout les mêmes, et baissa la tête, tout honteux. Il était beau garçon, un sexe bien formé, mince mais pas maigre, je ne voyais pas ses fesses mais comme je les avais devinées sous son pantalon serré, je m'attendais au mieux…

- Viens ici vers moi et prends la position sur mes genoux, une bonne fessée te rappellera à l'ordre mon garçon!

Il me regarda avec surprise, Camille aussi, les miens n'étaient pas du tout surpris, une maladresse comme ça, une faute involontaire, à St Christophe c'est la fessée ou le martinet au pire. Philibert se coucha sur mes genoux, il tremblait, il se plaça bien, j'écartai légèrement les jambes, pour que son sexe se place entre, j'avais devant moi de belles fesses, deux bulbes bien ronds, presque la perfection d'un fessier masculin, pourtant j'en avais des beaux avec Yves, Thomas, Tom, Angelo… Les comparaisons devenaient dures, enfin j'étais aux anges, prêt à fesser un jeune homme pas une heure après être arrivé dans ce nouveau domaine!

- Cambre bien tes fesses et écarte un peu les jambes mon garçon!

Ce fut fait aussitôt, ma vision était encore plus belle… J'y posai la main, et le caressai doucement, une peau douce et des fesses fermes musclées, ma main se souleva et elle retomba fermement avec un fort claquement, le fessé fut surpris, il se raidit, mais ma main s'abattit avec une fréquence rapide, en alternant d'une fesse à l'autre. La fessée était forte, bien rythmée, le puni gémissait, tremblait et se raidissait sous les coups. Son beau petit cul pris une belle teinte rose foncé assez vite. J’arrêtai la fessée, je posai ma main sur ses fesses et les caressai doucement, Philibert se détendit, il ne tremblait plus.

- Alors mon garçon, tu feras attention où tu mets les pieds, à l’avenir?

Il ne répondit pas, peut-être par timidité, mais un esclave doit répondre à son maître.

- Puisse que tu ne te donnes pas la peine de répondre, c'est que tu n'as pas été assez fessé!

Et ma main se leva et claqua durement le fessier bien cambré, une avalanche de claque transforma vite ces deux beaux lobes en une surface bien rouge, le punit qui s'était raidi à la reprise s'était maintenant abandonné aux mains de son fesseur, il pleurait, il agrippa ma jambe avec ses mains et j'entendis un 'pitié' d'une voix sanglotante…

- Alors la leçon est comprise mon garçon? Et réponds-moi cette fois-ci!

- Oui… Maître… Pitié… Je ne le referai plus… Pardon…

- Bon c'est bien mon garçon!

Camille avait les yeux fixés sur les fesses du puni, il paraissait très intéressé, les autres aussi, il devait y avoir peu de fessées publiques aux Ormes.

- Alors tu en penses quoi Camille, ça ne vaut pas mieux que de lui déchirer la peau du dos?

- Monsieur, vous fessez durement, c'est une bonne leçon, j'en conviens. Et s'il recommence?

- Et bien là ce sera fessée et martinet! Mais il fera attention, hein Philibert?

- Oui Maître.

- Bon relève-toi, mon garçon, rhabille-toi et retourne au travail!

Il obéit rapidement, il avait encore la figure pleine de larmes, avant de partir il tomba à mes pieds pour les embrasser, je redressai sa tête, lui donna ma main punitive à baiser, il le fit et sur un geste il fit de même à Stéphane qui lui passa la main dans les cheveux gentiment.

Un nouveau café nous fut apporté, il était bon, après avoir échangé quelques mots je demandai à visiter le domaine, j'ordonnai que mes gardes Éric et Thomas nous accompagnent, il était bon qu'ils connaissent ce domaine.

Au rez-de-chaussée il y avait le salon la salle à manger, un couloir menait aux cuisines où on s'activait pour le repas, l'endroit était très propre, une équipe de cuisiniers, des jeunes hommes, travaillaient dur, je vis au mur des sangles, une cravache et un fouet accrochés dissuasivement, la discipline régnait. Derrière le monumental escalier il y avait une porte discrète, je demandai à Camille ce que c'était.

- C'est mon appartement Monsieur, vous voulez le voir?

- Oui je veux tout voir Camille…

Nous y entrâmes, directement dans une cuisine claire assez petite avec une porte ouverte sur l'arrière, à coté il y avait une chambre avec deux grand lits, un logement assez sommaire pour un régisseur mais tout était très propre.

- Émilienne, vous avez des enfants Camille et vous?

- Oui Monsieur, ils sont dehors dans la cour, je les appelle?

Sur mon acquiescement elle fit entrer deux garçons identiques, de parfaits jumeaux d'une dizaine d'années, ils se courbèrent pour me saluer.

- Voici deux bons garçons, félicitation Émilienne et Camille, où vont-ils à l'école?

- Oh Monsieur, je les enseigne moi-même, nous n'avons pas les moyens pour l'école de deux garçons!

- Il faudra qu'ils aillent à l'école Émilienne, je parlerai de son salaire avec ton mari tout à l'heure, il est hors de question que des enfants libres n'aient pas une bonne éducation.

- Merci Monsieur, c'est trop gentil à vous…

- Non Émilienne c'est normal. Mais vous n'êtes pas très au large, qu'y a-t-il dans cette pièce à coté?

- Rien Monsieur, mais le Maître précédent disait que nous étions bien.

- Bon prenez la pour vous, comme chambre pour les garçons…

Ils se confondirent en remerciements, mais je proposai de continuer la visite à l'étage, Camille me précéda dans l'escalier, sont cul parfaitement modelé devant mes yeux me firent monter un désir que je contrôlai difficilement, je l'aurais bien violé sur place…

En haut il y avait plusieurs chambres, Stéphane me fit visiter la sienne, une assez belle chambre, avec un coin bureau et tableau, je demandai à voir son serviteur et son précepteur, ils furent rapidement devant moi, le serviteur un gamin de 15 ans, sourit à Stéphane qui lui ouvrit ses bras et l'embrassa sur les deux joues, le second, le précepteur un gars de 20 ans me salua gravement, il paraissait sérieux et intimidé, Je leur annonçai qu'ils viendraient avec nous à St Christophe, il s'inclinèrent sans un mot.
Nous entrâmes alors dans le bureau de maître, un beau bureau qui donnait sur l'arrière, sur la cour et les quartiers des esclaves, je pus voir de la fenêtre une cour avec deux pieux de punition des locaux communs en au loin les champs.

Camille me montra les différents registres, il y avait plusieurs cahiers reliés, pour les esclaves, les punitions, les transactions commerciales, tout paraissait bien tenu. Je feuilletai le registre des punitions, la dureté des traitements des esclaves était réelle, il y avait à la fin une feuille volante qui attira mon attention, elle me parut bizarre et quand je levai les yeux je découvris un Camille tout rouge de confusion…

Après la visite des autres chambres, nous fîmes un tour complet du domaine à cheval, tout était en ordre, les esclaves travaillaient mais les chefs avaient tous un fouet prêt à cingler le malheureux qui faiblirait, les esclaves étaient terrifiés en nous voyant, je n'avais jamais ce type de réaction à St Christophe, sauf au début de mon retour…

Mais les cultures étaient bonnes, Camille me décrivait tout, il paraissait un peu embarrassé mais il connaissait très bien le domaine, les cultures, en changeant un peu le mode de traitement de esclave, je devrais pouvoir en faire un très bon régisseur, allié à son patron.

En revenant, nous visitâmes le quartier des esclaves de la maison, c'était loin d'être luxueux bien sûr, mais c'était très propre. Dans un coin il y avait une prison, nous y entrâmes, il y avait des cellules, deux étaient occupées, Camille me dit que c'étaient les fugitifs.

- Nous nous occuperons de leur sort cet après-midi!

Il approuva et nous rentrâmes au Château, Émilienne nous dit que le repas était prêt, je demandai alors que mon cocher et mes deux gardes aient aussi un repas aux cuisines, Yves resta avec nous et j'invitai Camille et Émilienne à manger avec nous. Julien qui avait participé à toute la visite, avait aussi posé beaucoup de questions à Camille, il paraissait satisfait le beau Julien.

Pendant le repas j'expliquai le code du domaine d e St Christophe, les droits et devoirs de tous, les punitions applicables, les plus dures seulement avec mon accord, le mariage, pas de punition à mort, pas de vente, les bagnes…

- Oh Monsieur, je comprends maintenant pourquoi St Christophe est si bien vu! S'exclama Émilienne.

- Les esclaves n'y sont pas terrifiés, ils travaillent, ils ne sont pas très malheureux et la production est bonne, je ne demande rien de plus, mais ne pas oublier que chaque faute doit être sanctionnée, et à propos Camille, parle-nous de ces deux fugitifs.

- Maître, ce sont deux jardiniers pour la maison, ce n'étaient pas les plus malheureux, celui qui a 30 ans en est à sa deuxième tentative d'évasion, le plus jeune de 20 ans en est à sa première tentative, ils se sont sauvés avant-hier, le soir mais la police les a retrouvés hier!

- Quelle punition méritent-ils?

- Sous l'ancien Maître le tarif était simple, pour un fugitif, c'est 100 coups de fouet au sang, s'il mourait tant pis, pour le récidiviste, c'était en plus un pied coupé pour lui empêcher toute envie de recommencer!

- Je n'aime pas du tout les mutilations c'est barbare et en plus l'esclave est après diminué, mais on ne condamne jamais un esclave sans l'avoir vu, on les verra donc tout de suite après le repas.

Nous finîmes le repas qui était excellent, je demandai le chef des cuisines, il vint tout confus, craignant avoir commis une faute, je le félicitai et lui demandai de faire de même avec ses cuisiniers, il remercia humblement et sortit. Émilienne quitta la salle après avoir dit qu'elle devait s'occuper de ses enfants.

Je demandai à Stéphane d'aller, avec son serviteur et son précepteur, préparer leur déménagement à St Christophe, et trier ses vêtement et affaires scolaires qu'il devait emporter, il quitta donc la pièce, nous n'étions plus que Camille, Julien, Yves et moi.

- Bon Camille, fais venir les fugitifs maintenant!

- Oui Maître!

J'avais noté qu'il m'appelait Maître maintenant, c'était un peu surprenant, il sortit et revint avec deux gars, les vêtements en loques, l'un avait une vingtaine d'années, plutôt bien fait, le deuxième un grand et fort gaillard d'environ 30 ans.

- Déshabillez vous et mains sur la tête, sales fugitifs!

Mon ton n'admettait aucune réplique, en quelques secondes ils furent nus, les mains sur la tête, les jambes un peu écartées. J'en fis le tour, le plus jeune avant une peu blanche non marquée, il n'était pas maigre, d'ailleurs je m'étais rendu compte que les esclaves d'ici étaient nourris correctement, le plus âgé avait le dos bien zébré d'une ancienne flagellation, pour sa première fuite…

- Alors vous vouliez aller où mauvais esclaves?

Ils ne répondirent pas, le jeune se mit à trembler, il baissait la tête n'osant pas nous regarder, le grand lui restait fermé.

- Camille tu as bien une cravache par là?

- Un nerf de bœuf ça ira Maître?

- Bien sûr, ça va les rendre bavard!

Il apporta le nerf de bœuf, une tige de cuir épaisse, qui à pleine force serait un instrument redoutable… Je passai derrière mes deux fugitifs, leur caressant les fesses avec le dur cuir du nerf de bœuf, le jeune trembla encore plus…

- Mains sur les genoux, jambes écartées, fesses bien cambrées!

Mes deux gars obéirent immédiatement, j'eus alors un beau spectacle de deux fessiers offerts, je voyais leur cul, une belle rosette bien rose pour le jeune, un endroit plus poilu pour le grand, un bon coup de nerf de bœuf en travers des fesses les fit gémir, le jeune plus que l'autre, je m'attaquai au jeune, en lui donnant deux coups supplémentaires, je modérais la force des coups, avec cet instrument redoutable, mais de belles zébrures sans sang apparurent.

- Alors mon garçon pourquoi tu t'es sauvé?

- Maître pardon… Pitié... J'ai eu peur d'être vendu comme le reste du domaine, le Maître est mort et le jeune Maître Stéphane a été emporté… On a dit qu'on serait tous envoyés aux mines… J'ai eu peur Maître…

- Tu as eu tort de fuir mon garçon, tu seras puni en conséquence!

Je m'approchai du grand, je cinglai aussi ses fesses, plus fort qu'avec le jeune, trois fois, il gémit.

- Et toi le récidiviste?

- Maître il vous l'a dit, je ne peux pas dire plus…

- Tu l'as entrainé?

- Je lui ai proposé à ce petit con, mais c'est une poule mouillée, il a tout fait foiré ce con!

Il reçut une dizaine de coups de nerf de bœuf sur les fesses et un dans sa raie qui lui arracha un cri déchirant.

- Je vais t'apprendre le respect insolent!

- Pardon Maître, pardon!

- Bon debout les deux, mains sur la tête!

Je m'assis en face d'eux, ils n'en menaient pas large…

- Vous connaissez le tarif du domaine, 100 coups de fouet à chacun et un pied coupé au récidiviste. Alors le grand je te laisse le choix quel pied on te coupe le droit ou le gauche, la mutilation se fait à vif sur un billot, Camille?

- Oui Maître, au dessus de la cheville…

Le grand blêmit, il tomba à genoux terrifié.

- Pas ça Maître, pas ça… Pitié Maître…

- Tu savais bien à quoi tu t'exposais idiot!

- Oui Maître mais pitié… Pas un pied…

- Bon j'en ai assez de vos jérémiades, vous recevrez chacun 100 coups de strap, en public tout à l'heure, et toi le récidiviste tu seras envoyé dans un des deux bagnes de St Christophe où tu apprendras la discipline, avec tes deux pieds!

- Maître la strap c'est ce fouet avec une large courroie de cuir? Demanda Camille.

- Oui Camille c'est ce que j'utilise, pour les bonnes punitions, c'est douloureux mais ça a moins de conséquences sur la vie de l'esclave, d'ailleurs j'ai demandé à mes gardes d'en apporter une, Yves va demander à Éric de venir avec!

Yves sortit, je demandai au deux punis de se mettre au piquet devant un mur à genoux les mains sur la tête, j'eus en face de moi leur deux culs celui du grand plus zébré, en regardant le cul du jeune j'eus une montée de sève…

Yves revint avec Éric qui avait les mains vides et qui était pour le moins confus.

- Éric où est la strap, j'ai bien dit à Alex que tu devais en apporter une, non?

- Maître… Il me l'a bien dit… Mais j'ai oublié… Pardon Maître! Il dit ça tête baissée.

- Incapable, c'est malin on en avait besoin maintenant, je vais t'apprendre à oublier mes ordres, ce soir, cette strap oubliée, elle va servir sur tes fesses, tu n'es pas prêt de l'oublier! Maintenant file!

Éric était devenu tout rouge, il me lança un regard désespéré et il quitta la pièce.

- Bon Camille, la punition de ces deux vauriens n'est que partie remise, en attendant, qu'ils soient mis au pilori, nus, dans la cour pendant la journée et au cachot la nuit! Yves et Julien, vous allez chercher le registre des esclaves, je veux connaitre le nombre exact d'esclaves de ce domaine et enregistrez-y les mouvements annoncés!

- Bien Maître!

- Bien Camille conduis ces deux crapules au pilori et tu monteras après au bureau là haut, je voudrais m'entretenir en privé avec toi…