Le lendemain matin je pris un copieux petit déjeuner, le jeune cuisinier qui apportait le plateau après l’avoir préparé avait oublié le beurre, il dû courir aux cuisine en chercher, je le réprimandai, il tomba à genoux en demandant pardon, je me levai:
- Debout!
Il se leva, tête baissée, tout rouge, je défis le bouton de son pantalon, je le baissai et c’est cul nu que je le courbai sous mon bras gauche, son beau petit cul reçu les premières claques bien données, il frémissait, je le fessai régulièrement pendant quelques minutes, ses fesses étaient bien roses, j’arrêtai, caressant doucement ses fesses fermes de jeune gars.
- Voilà mon garçon pour ton oubli!
- Merci Maître, pardon Maître… Je ferai plus attention…
Il était tout mignon, je le fis se reculotter et il partit après avoir embrassé ma main. Tom avait suivi la scène, quand ce n’était pas lui qui était fessé il ne disait rien, surtout que la fessée n’avait pas été méchante.
- Tu vois Tom une journée qui commence par une fessée sera une bonne journée.
Il sourit:
- Peut-être Maître, mais pas toujours pour celui qui la reçoit…
- Tu as à te plaindre mon garçon?
Je le serrai contre moi mon Tom, comme toujours il répondait à mon étreinte comme s’il se donnait à moi, en pleine confiance, je pris sa bouche dans un long baiser auquel il réagit bien.
- Bon aller, nous avons du travail…
- Oui Maître!
Un peu plus tard dans la matinée, Alex arriva:
- Maître, Monsieur Paul vient d’arriver avec un jeune esclave.
- Fais-le monter Alex, mais à l’avenir quand il arrive laisse-le monter au bureau d’Yves directement, pareil pour tous mes régisseurs.
- A vos ordres Maître!
Peu après Paul entra, il était accompagné de l’esclave qui voyait mal.
- Monsieur, pardon de vous déranger, mais je ne peux pas venir ici sans vous saluer, j’ai amené le jeune vigneron qui a mauvaise vue pour qu’il soit vu par votre infirmier, comme vous l’aviez demandé.
- En effet Paul, il va être examiné par Aurélien.
Le jeune esclave n’était pas à l’aise, il portait un pantalon et une chemise propre mais il avait l’air terrifié d’être dans le bureau de son Maître, il tremblait la tête baissée, je m’approchai de lui:
- Tu as l’air d’avoir peur mon garçon, pourquoi?
- Maître… Non…. Mais il va me faire quoi Monsieur l’Infirmier?
- N’aies pas peur, il regardera tes yeux et ton corps, mais je te l’ai déjà dit tu ne seras ni vendu ni puni, alors ne tremble pas.
Pour accompagner mes paroles je lui pris la nuque en la tapotant, il arrêta de trembler, j’appelai Tom, il entra très vite.
- Tom emmène ce garçon chez Aurélien, c’est le vigneron de St Alban qui voit mal, Aurélien est au courant, qu’il revienne ici avec lui dans une demi heure, pas avant, je dois m’entretenir avec Paul!
- A vos ordres Maître! Et il partit avec le vigneron.
Je restai seul avec Paul, il me regarda avec humilité et dit:
- Maître, à propos de ce garçon, je sais que je mérite une punition…
- En effet Paul, tu l’as fouetté alors qu’il ne le méritait pas, et je t’ai promis une bonne fessée.
Il mit ses mains sur sa tête, jambes écartée, tête baissée.
- A votre disposition Maître!
- Bon déculotte-toi et viens sur mes genoux.
Je m’assis sur une chaise, les cuisses disponibles pour que mon puni s’y couche, une fois cul nu avec sa chemise Paul s’allongea sur mes genoux. Il se plaça très correctement en cambrant bien ses fesses, en attente de la punition. Je posai ma main sur ses fesses, je connaissais Paul, il était un bel homme, avec un beau postérieur.
- Mon gars je vais te fesser jusqu’à ce que tu aies des fesses bien rouges, j’aurais dû te donner le martinet comme tu l’as fait à ce garçon, mais comme tu es un bon gars une fessée suffira.
- Oui Maître, merci Maître!
- Tu n’as pas honte d’être cul nu sur les genoux de ton Maître, mon gars?
- Un peu Maître mais fessez moi, c’est bien mérité!
Je commençai la fessée assez doucement puis de plus en plus fermement, ma main n’arrêtait pas de claquer, à droite, à gauche, au-dessus, en dessous, bref toutes ses fesses rosirent rapidement, mon puni commença à gémir, mais il ne fit rien pour échapper aux coups.
- Alors mon gars?
- Ça fait mal Maître…
- Et le garçon, il n’a pas eu mal quand tu l’as fouetté au martinet?
- Si Maître, et il a été courageux…
- Sois le donc autant!
Et je repris la fessée sur ses fesses fermes, c’était un plaisir, je le fessai vigoureusement pendant un quart d’heure, il avait pris ma cheville avec ses mains, et ses gémissements continuaient.
J’arrêtai quand son cul fut bien rouge, je contemplai mon travail, la belle couleur rouge était bien uniforme sur ses fesses, il devait sentir des picotements et une grande chaleur…
- Alors tu trouves toujours que ça fait mal?
- Oh oui Maître, ça brûle!
- Tu as été assez puni ou tu mérites une bonne autre session?
- Maître c’est vous qui voyez…
Il recambra un peu son cul en s’offrant à la main punitive. Mais ma main se posa doucement sur ses courbes chaudes, et je caressai ces belles fesses doucement, il se détendit, ma main frottait doucement sa peau douce, un de mes doigts caressa sa raie, puis un second plus insistant, il écarta un peu plus les jambes, offrant mieux son intimité à mes sensuels attouchements. Je sentis son sexe grossir sur ma cuisse…
- Tu aimes mieux les caresses mon coquin?
- Vous savez bien Maître que je ne résisterai jamais aux gentillesses d’un homme comme vous… Même en me promettant la torture je ne résisterais pas!
- Un homme comme moi?
- Maître on ne vous a jamais dit que vous êtes beau, un des plus beaux hommes que je connaisse!
- Et Adrien?
- Ce n’est pas pareil… Vous être un Maître, vous punissez, vous dominez, et vous aimez vos gars, Adrien c’est un agneau, il est doux, jamais dur.
- Je comprends, redresse-toi Paul, la punition est finie!
Il se retira de mes genoux, il se mit à genoux devant moi, me regardant, une larme sur chaque joue, il avait pleuré sous la fessée, il était mignon comme tout, je le pris entre mes jambes et le serrai contre moi, il posa sa tête sur mon ventre sans bouger, je caressai ses cheveux, je pouvais voir son dos, et plus bas ses fesses rouges.
Après quelques minutes de calme tendresse, je le fis se rhabiller et il s’assit avec une petite grimace sur la chaise devant le bureau. Nous avons alors parlé de Stéphane, que j’irai un jour le présenter à St Pierre. Il me dit aussi que les vendanges étaient finies et que la récolte était bonne et prometteuse.
- Oui Paul, c’est bien, il faut féliciter tes vignerons, je devais assister au repas des vignerons, mais je suis trop pris en ce moment avec les Ormes, il faut le faire dans deux jours avec tous les vignerons, Adrien, Julien et toi. Avant de partir tu ira voir Jojo le chef des cuisines pour te fournir en victuailles, un bon repas, avec des viandes, je veux récompenser mes vignerons, pas toujours les fouetter, le vin rapporte beaucoup tu le sais.
- Merci pour eux Monsieur, ils ont très bien travaillé cette année, j’en ai puni deux pour paresse au martinet, mais le fait qu’il n’y ait pas de punition systématique chaque soir, et comme les deux punis l’avaient bien mérité, ils ne sont plus dans la crainte, ils travaillent normalement.
- C’est ce que je veux Paul, à chaque faute une punition, mais pas de faute, pas de punition…
On frappa à la porte, c’était Aurélien qui revenait avec le vigneron, sur mon ordre il entra, me salua, le jeune vigneron avait l’air plus détendu qu’à son départ.
- Maître, j’ai examiné ce jeune homme, sa vue est déficiente, mais pour le reste il est en excellente santé, encore un peu maigre, mais fort. Pour sa vue il faudrait que je le vois tous les ans pour détecter une évolution possible. Avec sa vue Maître il vaut mieux qu’il travaille à la lumière.
- Merci Aurélien pour ce compte rendu, Paul prends en compte ces remarques pour le travail de ce garçon, et pour qu’il revienne ici chaque année. Comme tu dois voir Jojo, vas-y maintenant avec ce garçon qu’il en profite pour manger et toi aussi!
Paul me salua, le vigneron se mit à genoux devant moi pour embrasser mes pieds, je le relevai et la main sur sa nuque je déposai un baiser sur son front, il rougit et sortit en même temps que Paul.
Le bel Aurélien était resté, tout mignon, il avait un air triste, mais il s’activa un peu pour dire:
- Maître un messager de Gault est venu ce matin, une femme a une grossesse difficile, des jumeaux d’après les femmes du village, M. Alain me demande si je peux y aller.
- Vas-y cet après midi, tu verras quoi faire, tu saurais aider une femme à accoucher des jumeaux?
- Maître je l’ai déjà fait à l’Hôpital.
- Bon et bien vas à Gault, tu verras sur place! Mais tu as l’air triste mon garçon, qu’est-ce qui ne va pas?
Il rougit, baissant la tête:
- Ce n’est rien Maître, pardon…
Je m’approchai de lui, je pris sa taille en le pressant contre moi:
- Tu me cache quelque chose mon garçon…
- Non Maître, je suis triste parce que le soir je suis tout seul Maître!
- Tu aimes les garçons Aurélien, et tu n’en as pas trouvé au Château c’est ça?
- Oui Maître, vous devinez tout… Il se mit à pleurer.
- Ici il y a beaucoup de garçons qui aiment les femmes, les gardes, les cuisiniers, les palefreniers, bien sûr ils ne se refusent pas à moi mais ce n’est pas si facile pour toi, Yves et Tom sont à moi, tu as déjà été puni pour avoir profité de Tom, mais il reste Thomas, Tommy…
- Thomas il n’est pas à vous Maître?
- Il est mon garde, pas mon amant sauf quelque fois, mais attention Aurélien, c’est un garçon fragile Thomas, et je l’aime bien ce garçon, ne lui fais pas de peine!
- Maître je vous promets d’être doux avec lui, il est tellement beau Thomas, je n’aurais jamais osé!
- Eh bien tente mon gars, mais restons-en là j’ai du travail, et toi aussi!
Je l’embrassai doucement, le serrai dans mes bras, il me remercia et quitta mon bureau nettement moins triste qu’avant.
La matinée s’acheva calmement, un repas pris avec Stéphane, et nous partîmes Stéphane, Thomas Mathias et moi à cheval. Je regardai Stéphane sur son cheval plus petit que les nôtres, il se débrouillait bien avec son cheval.
Nous partîmes par le plateau, après la montée, nous avons fait un tour pour voir les moutons et les bergeries, une rencontre avec Louis et Raoul nous permit de présenter à Stéphane leur travail, je racontai l’accident de Raoul à Stéphane, Raoul rougit mais vint vers moi et embrasser ma main, Stéphane était impressionné.
Nous redescendîmes vers Gault, où nous fûmes accueillis par Alain, Aurélien était avec lui. Pendant qu’Alain parlait de Gault avec Stéphane, Aurélien vint me dire que la fille qui était grosse allait accoucher sous peu et qu’il aimerait bien la ramener au château ce jour même. Je demandai à Alain de faire préparer une carriole avec une paillasse et une couverture.
Peu après les ordres donnés, un chariot arriva trainé par un cheval. J’allai voir la fille avec Aurélien, elle était énorme se tenant le ventre, c’était une jeune femme, un homme bien jeune aussi était près d’elle.
- Eh bien ma fille tu as bien travaillé pour avoir un aussi gros bébé!
- Maître ce sont au moins des jumeaux je les ai sentis en la palpant dit Aurélien.
- C’est très bien ça, et toi mon gars tu es le père? Dis-je au jeune de 18 – 20 ans qui était derrière.
- Oui Maître, il rougit.
- Tu as bien travaillé aussi, c’est bien, vous êtes mariés?
- Non Maître, je vous demande pardon.
- Il n’y a pas de faute mon garçon mais tu t’occuperas aussi de tes enfants!
- Oui Maître, vous l’emmenez au Château?
- Oui c’est plus sûr toi tu restes là on te préviendra quand se sera fait!
- A vos ordres Maître!
La fille fut amenée sur son chariot, il suivit, se tenant à coté, il était bien mignon ce futur jeune père de famille. Me souvenant de la discussion de ce matin, je pris la parole:
- Thomas tu vas accompagner Aurélien et le chariot jusqu’au Château, on ne sait jamais, tu pourrais être utile, Mathias restera avec nous, pour aller à St Christophe nous n’aurons pas de problèmes!
- Bien Maître, dit Thomas.
La petite troupe partit, nous restâmes un peu à discuter et visiter Gault avec Alain, Stéphane regardait tout, posait beaucoup de questions, Alain lui fournissait toutes les explications.
Nous repartîmes pour St Christophe en prenant des petits chemins, non loin du village nous traversions une pommeraie, les arbres croulaient sous les fruits, une équipe de cueilleurs y travaillait au loin quand on entendit des bruits de voix fortes, nous nous approchâmes en entrant sous les arbres, les cris se précisaient, un homme en colère disputait un autre. Notre arrivée sur place surprit, le silence se fit, je vis un groupe d’esclaves, l’un d’eux prenant à parti un jeune tête baissée.
- Eh bien que se passe-t-il ici?
L’homme qui criait se courba devant moi.
- Maître mes respects, pardon pour mes cris, mais ce vaurien…
Nous descendîmes de cheval, pendant que je dis:
- Tu es le chef de cette équipe, je suppose?
- Oui Maître, Benjamin, pour vous servir.
- Alors qu’est-ce qui se passe avec ce garçon?
- Maître, vous ne savez peut-être pas, mais nous devons faire le tri des pommes en trois catégories…
- Je sais Benjamin, j’ai établi cette règle avec Jérôme et j’ai demandé une stricte application, les plus belles pommes réservées à la vente, les un peu moins belles pour la consommation de tout le domaine, moi compris, et les plus abîmées pour faire des conserves de compotes, pour tous aussi, cet hiver.
- Et bien Maître ce vaurien, je l’ai surpris à croquer dans une très belle pomme! Il a pris une belle pomme, il s’est éloigné vers les buissons, je l’ai vu, je l’ai suivi et je l’ai vu faire!
- Tu le disputais, tu aurais fait quoi après?
- J’en aurais parlé à Monsieur Jérôme Maître mais à cause de lui je peux être puni aussi.
- Pourquoi Jérôme est si sévère?
- Maître on a déjà cassé un outil dans notre équipe il y a deux jours…
- Bon tu es franc toi au moins! Garçon ici!!! Mon ton final était très sec. Le jeune s’approcha, il se jeta à mes pieds, à genoux tremblant!
- Présente-toi vaurien!
- Maître… Pardon… Je m’appelle Serge Maître, votre esclave… J’ai 19 ans Maître… Je ne le referai plus….
- Bien sur que tu ne le referas plus, après la leçon que je vais te donner mais pourquoi avoir mangé cette pomme? Parce que c’est interdit?
- Je… Je pensais qu’elles étaient meilleures… Maître…
- Et alors tu désobéis aux ordres vaurien!
- Maître pitié… Je suis un bon garçon…
- Un bon garçon? Un esclave qui ne suit pas les ordres de ses chefs un vaurien oui! Tu ne mérites que le fouet c’est sûr!
- Pitié… Maître…
Il se prosterna encore plus en embrassant mes pieds je le poussai du pied il roula par terre entourant sa tête de ses bras, il tremblait. Je regardai autours de moi, et ordonnai :
- Benjamin, prends cette caisse vide et retourne-la ici, ça fera un bon poste de punition!
Il le fit rapidement, je me tournai vers Mathias qui se tenait à côté de moi et lui dis discrètement:
- Mon beau Mathias, si tu enlèves ce beau ceinturon, tu ne te retrouveras pas cul nu?
- Maître mon pantalon devrait tenir tout seul, vous le voulez?
- Oui tu vas punir ce vaurien avec, et ne modère pas tes coups!
- A vos ordres Maître!
Mes ordres furent vite suivis, le coupable fut durement levé, déshabillé complètement, il n’était pas moche ce vaurien, il fut placé sur la caisse, les fesses en haut, les jambes écartées, deux esclaves prirent ses mains le maintenant bien en position, un bâton qui se trouvait là fut attaché à ses chevilles pour le tenir jambes écartées, du puni on voyait principalement les fesses, bien rondes, projetées prêtes à la morsure du cuir. Serge ainsi exposé, sentait un courant d’air entre ses fesses, son cul était visible, son sexe pendouillait sur la caisse, il y eu quelques commentaires humoristiques parmi les esclaves, je ne leur dis rien, le puni devait être humilié.
Mathias avait son ceinturon en main, je lui fis prendre la boucle et le bout dans sa main, il fouettera avec la double épaisseur du cuir, ce n’est pas vraiment plus douloureux mais plus sonore, de quoi faire réfléchir les éventuels esclaves tentés par la désobéissance.
Sur un signe de ma tête, Mathias commença la flagellation, le ceinturon siffla et claqua très fort sur les fesses du puni, un cri jaillit, une marque nette, large apparu sur la chair, d’un beau rose, le coup suivant tomba, le puni se cambra en criant, et les coups continuèrent. Le beau Mathias était superbe en fouetteur, son pantalon et sa chemise ajustés suivaient chaque mouvement de son corps musclé, j’étais fier de mon beau garde! Je n’avais pas fixé le nombre de coups, j’attendais de voir la couleur des fesses du vaurien.
Et cela continua, sifflement, claquement, cri du puni, une trentaine de coups étaient tombée, je fis un signe à Mathias, il s’arrêta.
J’allai vers la tête du puni, elle était baissée, mais il pleurait comme un enfant… Je le pris par les cheveux et le regardant dans ses yeux pleins de larmes:
- Alors vaurien, voleur désobéissant, tu comprends ta faute et pourquoi je te punis?
- Oui Maître… Je… Je ne le ferai plus… Mais Maître ce n’est qu’une pomme… C’est pas juste de me fouetter comme ça pour une seule pomme…
- Sale vaurien, tu dis que je suis injuste! Tu as désobéi aux ordres et je suis injuste! Tu ne comprends pas ta faute vaurien, Mathias reprends ton œuvre!
J’étais très en colère, Mathias leva la ceinture et fouetta le gars, il cria, je vis sa douleur dans son expression, mais je m’éloignai pour mieux voir l’action de Mathias en fouetteur, il donnait chaque coup avec force, toujours sur les fesses, elles devenaient d’un rouge vif, violacé, je lui fis signe de s’attaquer au dos du vaurien, celui-ci rougit vite, les marques du ceinturon étaient encore plus visibles.
Je perdis le compte, le puni ne criait plus il prenait chaque coup avec un soubresaut, sans cri, je fis signe à Mathias d’arrêter, j’entendis quelqu’un courir dernière moi et je vis Jérôme arriver haletant.
- Mes respects Maître, qu’est-il arrivé?
Je lui racontai en détail les faits, il s’approcha du puni et dit:
- Mais c’est Serge! Ce n’est pas un mauvais esclave Maître…
- Là, il l’a été, voleur, désobéissant et trouvant que sa punition était injuste, un comble!
Je pris le puni par les cheveux, il pleurait, les fesses et le dos en feu, il me regarda tristement:
- Pardon Maître… J’obéirai…
- Ah quand même une demande de pardon, il est temps! Je relâchai sa tête.
- La punition est finie, le puni sera fixé au pilori dans la cours de St Christophe pour la soirée, et Serge si j’entends encore parler de toi, ce sera le bagne! Compris!
- Oui Maître, pas le bagne Maître… je serai sage…
- J’espère pour toi!
Jérôme était visiblement en colère contre le garçon, il me dit de compter sur lui pour le surveiller, il me demanda s’il fallait punir son chef, je dis non, un avertissement suffirait.
Je lui présentai Stéphane qui n’avait rien loupé de la punition, nous allâmes visiter St Christophe, et nous rentrâmes au Château en discutant calmement…
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Merci pour cette suite... Visite du Domaine ou Stephane fait la connaissance de certain régisseur et de la sévérité de Mathieu dans les cas nécessaire. Aura-t-on une liaison entre Thomas et Aurélien ?janou
RépondreSupprimerMERCI POUR CETTE SUITE
RépondreSupprimerMARC
Merci Marc pour la suite de la vie de tous les jours du domaine de Saint Christophe…Mais je trouve dommage que le Maître des lieu n'organise aucune fête au château ses invités pourraient profiter un peu de ses ^petits esclaves à la peau si douc et si dévoués à leur Maître
RépondreSupprimerBonné année tous
RépondreSupprimerEn particulier a Maitre Marcus
Et aux occupant de St Christophe, St Pierre et aux Ormes
Janou
Merci Janou
RépondreSupprimerJe souhaite une très bonne année à tous mes lecteurs, des fesses bien rouges pour les fessés et bien du plaisir aux fesseurs à corriger les 'badboys'.
Stéphane ne va-t-il pas mériter bientôt une fessée de son oncle ??
RépondreSupprimerMerci pour cette suite Marcus
Paul
Paul, j'ai déjà écrit que je ne raconterait pas ici des histoire de fessées de gamins ou d'ados.
RépondreSupprimerIl y a toujours dans mes récit un désir sexuel, donc pas de mineurs! Stéphane sera sûrement fessé mais je ne décrirai pas la scène.
Maitre,
RépondreSupprimerAura-t-on une suite dans ce mois ?
Merci d'avance
Le harceleur Janou commence son oeuvre! Amène tes fesses ici!
RépondreSupprimerPeut-être ce mois ci, peut-être le suivant?
Un Thomas distrait a écrit ça en bas du chapitre 57:
RépondreSupprimerce Chapitre 61 est tout aussi passionnant que les autres et très bien écrit , comme dab...!
J'aime beaucoup , c'est évident ...
mais paru en décembre 2011 , on ne peut le lire que maintenant ?
l'écrivain a daté de décembre et ne publie qu'en Mars ?.....
Thomas.
Si je ne me trompe pas de Thomas, il sait pourtant que la distraction est sévèrement punie!
La suite se fait attendre Marcus ;)
RépondreSupprimerPaul, fidèle lecteur
Comme disait Paul, et au rique de prendre une fessée, je remarque que cela fait maintenant 4 mois que nous n'avons pas eu de suite
RépondreSupprimerSoyez patients vauriens! Ou gare à la punition!
RépondreSupprimerOn ne peut qu'çetre patient !!! C'est toi qui tient les clés du récit.....
Supprimercontent de voir que la suite arrive bientôt:)
RépondreSupprimerBien qu'il n'y ait pas encore la suite, il y a quelles nouvelles datant de ce mois-ci; c'est déjà ça :D
Comme disait Marcus précedemment, le harceleur Janou est a l'oeuvre.
RépondreSupprimerDonc ça fait maintenant qu'est parru le chapitre 61 a quand le prochain ,
En attendant la fessée promise etc etc etc.....
Jusqu'aux années précédentes la publication de nouveaux chapitres était plus fréquente. Mais à présent, si le rythme continue de 1 tous les 6 mois (et encore c'est à supposer que le prochain pourrait sortir d'ici peu...), combien d'entre nous seront morts avant de voir la fin ? Il faut donc espérer que la fin de l'histoire soit plus proche que la nôtre ! :-) Dommage, car à force on perd le fil de l'histoire. Moi, personnellement, ça me fait perdre l'intérêt, mais peut-être est-ce aussi le cas de l'auteur ? Un coup de mou maître ?
RépondreSupprimerMaître Marcus en mériterait bien une bonne, histoire de le remettre dans le droit chemin. Attention, l'élastique est tendu !
Allons, allons, c'est vrai qu'on perd un peu le fil ... mais pour le retrouver, il suffit de relire les épisodes précédents, et en plus, ça fait patienter !
RépondreSupprimerJ'ai peur que trop de harcèlements conduisent à l'effet inverse de ce qui est escompté, même s'il y a là une réelle preuve d'intérêt pour les écrits de Maître Marcus !
Quant à la fin de l'histoire, ne vous faîtes pas d'idées, il n'y en aura jamais : sauf s'il fait une mauvaise chute de cheval et en reste paraplégique, le maître de Saint-Christophe continuera toujours à faire rougir les paires de fesses à sa disposition !
Il suffit donc d'être patient !