samedi 30 juin 2012

Le Domaine de Saint Christophe 62 – Punitions aux Ormes


Une fois arrivés au Château, installés au salon Stéphane et moi, nous discutions tranquillement, le beau Tom nous avait apporté des rafraîchissements, Je parlais aussi avec Yves sur les sujets habituels.
On frappa à la porte, Tom alla voir et revint:
- Maître, c’est Thomas, il souhaiterait vous parler.
- Qu’il entre alors!
Thomas entra, il paraissait soucieux, il vint devant moi tête baissée.
- Eh bien Thomas, parle, puisque tu es venu pour ça!
- Maître… Il regarda autour de nous, très gêné.
- Tu veux me voir seul c’est ça Thomas?
- S’il vous plait Maître…
Je me levai et le pris par les épaules, l’emmenant dans mon bureau, une fois la porte fermée je me tournai vers lui:
- Alors, Thomas?
- Maître… Euh… Est-ce que j’ai le droit d’aimer un garçon?
- Est- ce que j’ai déjà interdit ça?
- Maître, je suis votre garde personnel…
- Oui mais tu n’es pas mon amant régulier, même si tu es un des plus beaux garçons du Château!
Je posai mes fesses au bord du bureau et j’attirai Thomas contre moi, entre mes jambes.
- Et qui est l’heureux garçon que tu aimes?
- Maître vous ne nous punirez pas?
- Non mon Thomas, c’est Aurélien non?
- Oui Maître.
- Eh bien couche autant que tu veux avec Aurélien, ça te fera du bien et à lui aussi!
- Oh merci Maître, il se courba pour embrasser ma main. Je le relevai et en le serrant dans mes bras je l’embrassai sur la bouche.
- Mais n’oublie pas que tu es mon garde, tu dois toujours me dire où tu es que je puisse te trouver, même dans la chambre d’Aurélien!
- Bien sûr Maître!
- Bon il est tard, demain nous allons aux Ormes, vas prévenir, Éric, Mathias que vous devez être prêts pour 9 heures précises, et bonne nuit avec Aurélien!
- Merci mon Maître…
Je l’embrassai encore une fois et je le reconduis vers la porte, il était tout souriant mon beau Thomas. Je rejoignis le salon, puis après un bon souper avec Stéphane et un peu de lecture, je retrouvai mon Yves au lit, le début de nuit ne fut pas calme et c’est tous les deux que nous avons plongé dans le sommeil…
Le lendemain matin après petit-déjeuner, tout le monde était prêt à 9h à la salle des gardes, sauf Thomas qui était absent.
- Alex tu n’as pas vu Thomas ce matin?
- Non Maître, il n’était pas avec vous?
- Non mais je sais où il doit être ce vaurien!
Je montai alors à l’infirmerie, Nicolas était seul, il me dit ne pas avoir vu Aurélien ce matin, j’allai alors dans la chambre d’Aurélien et j’ouvris la porte brusquement, les deux tourtereaux étaient couchés nus sur le lit, serrés l’un contre l’autre. Ils se réveillèrent à mon entrée et tentèrent de se lever, me voyant en colère.
- Restez où vous êtes fainéants!
J’étais en colère, je vis sur une chaise, au-dessus d’un tas de vêtements désordonnés, le ceinturon de Thomas, ils n’eurent rien le temps de dire je pris le ceinturon, et leur dit:
- A plat ventre culs bien tendus!
Aussitôt dit j’eus mes deux coupables allongés le cul bien cambré, un superbe spectacle, ils avaient un peu écarté les jambes, ils connaissaient bien les positions exigées pour une punition, Thomas émit:
- Pardon Maître… Pitié… Aiiieeeee!
Le ceinturon était tombé bien à plat, et la danse commença, un coup pour l’un, un coup pour l’autre, leurs fesses furent vite marquées par des plaques rouges, je donnai une vingtaine de coups à chacun! Ils gémissaient en demandant pardon.
- Bon je n’ai pas de temps à perdre avec vous, vous serez convoqués cet après-midi à mon retour pour être fouettés, je vais vous apprendre à paresser au lit, à 9h. Thomas tu iras voir Alex et tu feras les corvées qu’il te donnera, Aurélien, toi, occupe-toi de tes malades!
Nicolas était dans l’embrasure de la porte, il s’écarta pour me laisser sortir.
- Quant à toi curieux, tu aurais dû les réveiller! Incapable!

Dix minutes plus tard, après avoir quitté l’infirmerie dans un silence de mort, je franchissais les portes de château avec ma troupe, Julien, Éric, Mathias et Stéphane.
Je m’approchai d’Éric:
- Tu vas bien mon Éric, pas trop mal aux fesses, et tu n’as pas oublié de prendre la strap?
- J’en ai pris deux Maître, et mes fesses, elles piquent, Maître, surtout sur la selle!
- Tu aurais dû les pommader mon garçon, Alex t’en aurait donné l’autorisation.
- Je n’ai pas osé lui en parler Maître…
Je lui caressai la nuque, ce brave Éric dont les belles fesses brûlaient encore me sourit, il était très beau garçon comme ça.
Arrivés aux Ormes nous sommes allés dans le salon, nous bûmes un bon café, et comme Camille nous avait dit que les punis étaient encore au pilori, je décidai de les fouetter dans cette position, je demandai à Camille de rassembler les esclaves de la maison et des équipes des fautifs.
Une fois dans la cour, bien ensoleillée ce jour, on ne pouvait pas louper du regard les deux fessiers des punis, bien cambrés, jambes écartées, rien n’était caché! Éric était avec moi, une longue strap à la main. Une petite troupe d’esclaves étaient rassemblée dans un coin, ils écarquillaient les yeux, la punition de deux fugitifs n’était pas chose courante et il valait mieux être spectateur que puni!
Je m’adressai à eux d’un ton ferme:
- Esclaves, vous avez devant vous deux fugitifs, c’est une faute très grave pour un esclave, il trahi son Maître! L’un deux s’est déjà enfui, sa punition sera donc double, le fouet et le bagne, et croyez-moi la vie au bagne à St Christophe va le dresser! Je condamne ces deux hommes à 100 coups de strap, appliqués maintenant!
Je fis un signe à Éric de venir vers moi, je lui dit à voie basse:
- Éric tu frappes à pleine puissance le grand, je veux qu’il sente bien la strap, pour le petit, sois moins sévère, il tremble depuis deux jours, il ne va pas tenir 100 coups à pleine force. Tu commences par 50 coups sur le grand, Mathias compte les coups, aller travaille bien Éric!
- A vos ordres Maître!
Éric prit ses distances avec le puni, après avoir lancé sa strap doucement pour bien ajuster ses coups il fixa sa position jambes écartées, bien stable prêt à fouetter l’homme devant lui, il me regarda, je fis un signe d’acquiescement et le supplice commença.
La longue lanière plate de cuir feula dans l’air et claqua avec bruit sur le postérieur du puni, la peau des fesses blanchit et rougit aussitôt, un cri surgit, le puni ne devait pas s’attendre à une telle force, son corps de cabra, puis se relaxa. Aussitôt le deuxième coup s’abattit et ce fut vite une succession de sifflements, claquements et cris qui suivirent. Les fesses du puni rougissaient, au début les marques de la lanière apparurent bien, puis se mélangèrent, lui il hurlait de plus en plus fort.
Les premières traces de sang apparurent quand Mathias leva le bras en criant:
- 50 !
- 5 minutes de pause pour Éric!
- Merci Maître!
Les 5 minutes passèrent vite entre quelques commentaires de Camille et Stéphane, je repris la parole plus haut:
- Éric, tu es prêt pour 50 coups sur le "Petit"?
- Oui Maître, à vos ordres!
Sur un signe de ma tête, Éric prit position et la flagellation reprit, bien qu’Éric ait bien suivi mes recommandations de frapper moins fort, l'effet des coups restait impressionnant. Plus sensible le "Petit" criait à chaque coup, son corps bougeait, à chaque claquement du cuir des marques se dessinaient sur ses fesses, cuisses et bas du dos. Il endura quand même les 50 coups, à la fin son corps se cabrait moins, il gémissait bruyamment, on l'entendait pleurer à gros sanglots.
- 50 !
- Encore 5 minutes de pause et Mathias remplacera Éric!
Je m'approchai de la tête du "Petit", il ne m'entendit pas il pleurait en gémissant, je le pris par les cheveux, son visage était ravagé par les larmes, il me regarda effaré.
- Alors vaurien, tu comprends ce qu'il arrive aux fugitifs? Et sous l'ancien maître tu aurais reçu le fouet au sang, tu le sais?
- Maître… Pitié… Pardon…
- Pas de pitié pour les vauriens, tu n'es qu'à la moitié de ta punition, tu la mérites!
Je le quittai et je rejoignis Mathias qui avait déjà la strap en main, un redoutable beau garçon prêt à fouetter! Je l'entretins à voie basse.
- Tu es en forme Mathias?
- Oui Maître pas de problèmes, à vos ordres Maître!
- Bon mon garçon tu as vu qu’Éric n'avait pas fouetté les deux punis avec la même force?
- Oui Maître, je fais pareil?
- Oui et pour le "Petit" compte les coups et tu me regarderas au bout de 30 coups.
- Bien Maître!
- Bon au travail Mathias! Dis-je à haute voix.
Mathias se posta derrière les fesses du "Grand", il écarta les jambes pour être bien stables, ses belles fesses moulées dans son pantalon me donnèrent des envies…
Je fus vite distrait de mes pensées lubriques par les nouveaux claquements de la strap et les cris du puni. Une nouvelle attaque du cuir sur les fesses bien marquées du "Grand" devait être terrible, il cria à chaque coup, plus fort qu'avant, Mathias y allait fort, presque plus fort qu’Éric, je le laissai faire, le puni méritait une bonne correction.
La peau de ses fesses devint cramoisie, du sang coulait un peu, les 50 coups se finirent dans un long cri continu du puni…
- 50 !
Mathias s'arrêta il souffla un bon coup, le puni était affalé il gémissait, la punition était terminée, mais je ne dis rien pour lui, pour un récidiviste de l'évasion c'était mérité!
Je regardai le corps du "Petit", il s'était mis à trembler sachant que son tour était venu, Mathias vint vers lui, sa lourde strap à la main, il me regarda, je lui fis signe d'y aller doucement, il acquiesça.
- Aller Mathias finissons-en!
- Pitié Maître ! Gémit le puni, mais je fis signe à Mathias de commencer.
Les premiers coups de la large lanière de cuir claquèrent sur les fesses du "Petit", son corps se cabra nerveusement, il cria, pourtant Mathias modérait bien ses coups. Ses fesses déjà bien rouges prirent une teinte violacée, elles étaient en plein soleil, on ne voyait qu'elles.
Ses soubresauts s'amoindrirent, il perdait ses forces, on arriva au trentième coup, Mathias me regarda, prêt à donner le coup suivant. Je levai la main pour l'arrêter. Je me dirigeai vers la tête du petit en faisant signe à Stéphane de me suivre.
Le "Petit" ne nous vit pas arriver il sanglotait bruyamment, la tête basse, je le pris par les cheveux et lui levai la tête, sa figure était trempée de larmes, me voyant il murmura:
- Pitié… Maître… Pitié… Je ne le referai plus…
- Je n'en suis pas sûr, tu as voulu fuir, tu le referas, tu crois que ton jeune maître Stéphane est content de ta fuite, et qu'il aime te voir fouetté?
- Pardon Maître Stéphane… Je ne le ferai plus…
- Je n'en suis pas sûr! Dit Stéphane d'un ton assez dur. Je repris la parole:
- Moi non plus je n'en suis pas sûr, on peut te faire confiance mon gars, encore 20 coups de fouet ça te fera du bien!
- Oh Maître… Et il reprit ses sanglots.
- Bon mon garçon, tu as reçu 80 coups il en reste 20, si tu promets d'être sage, je peux mettre les 20 coups en sursis, on arrête là mais à la première faute tu les recevras!
- Maître je serai sage…
- Alors Stéphane on en reste là?
- Oui mon cousin, je préfère aussi.
Je fis signe à Camille de venir et lui demandai de libérer le jeune puni, celui-ci tomba à genoux abattu. Il pleurait toujours.
- Camille, il dort où ce garçon?
- Comme il est jardinier il dort au dessus de la réserve avec le "Bègue", le garçon là bas! Il me désigna un garçon qui avait assisté à la punition.
- Fais-le venir ici Camille.
Camille fit un signe au garçon, celui-ci fut surpris, mais il vint et se jeta à genoux à mes pieds:
- Maî… Maî… tre… Pa… Pa… Par… Pardon… Je… Je…
- Ah je comprends pourquoi on t'appelle le "Bègue"! De quoi je dois te pardonner?
- La… la… la… pio… pio… pio… pioche…
- Mais quelle pioche, mon garçon? Il était terrifié, il tremblait à genoux devant moi. Camille prit la parole:
- La pioche, oui c'est arrivé hier, il piochait tout doucement ça m'a énervé, je lui ai pris la pioche des mains et j'ai donné un grand coup là où il piochait, la pioche a cassé, il y avait une grosse pierre, mais il n'y est pour rien, il a voulu m'arrêter, mais le temps de le comprendre… C'est de ma faute pas de la sienne!
- En effet! On verra ça Camille, mais mon garçon je t'ai fait venir puisque tu es le voisin du puni, tu vas t'en occuper, vas l'aider à aller dans votre chambre, et qu'il s'y repose!
Le garçon essaya de dire quelque chose, il n'y arriva pas, il prit ma main et l'embrassa, je lui passai la main dans les cheveux, il n'était pas vilain garçon…
- Bon rentrons à la maison, pour le "Grand", qu'on le mette au cachot, je ferai envoyer des hommes pour l'emmener au bagne dans quelques jours!
Une fois rentré, nous bûmes un verre frais, discutâmes un peu et je demandai alors à Camille de m'accompagner au bureau. En entrant au bureau je remarquai qu'à part le fauteuil du Maître il n'y avait plus de siège, je m'assis dans le fauteuil, sur le bureau, il y avait le livre de comptes et le registre des punitions, Camille resta debout presqu'au garde-à-vous. J'ouvris le livre de comptes et nous avons parlé des dernières ventes de produits agricoles, il n'y avait rien à dire de ce coté là, tout était net. J'ouvris alors le registre des punitions, et en tirai la feuille concernant Camille, aussitôt je l'entendis bouger et en levant la tête je le vis jambes écartées, mains sur la tête!
- Alors mon gars tu sais pourquoi je sors cette feuille? Tu dois être puni?
- Maître vous savez que je me suis emporté contre le "Bègue" et que j'ai cassé une pioche, je vous en demande pardon, Maître!
- Je n'aime pas du tout qu'on se fâche idiotement contre un esclave sans rien lui demander, tu t'es emporté comme un gamin, je vais te punir, cul nu!
Il me regarda un peu honteux, il déboucla sa ceinture, fit tomber son pantalon et son caleçon, les rangea dans un coin et reprit la position du puni devant le bureau prêt à s'y courber, il baissait la tête. Je reculai mon siège.
- Tu t'es comporté comme un gamin, aller viens sur mes genoux!
- Maître…
- Aller, dépêche-toi!
Il vint alors docilement se coucher sur mes genoux, son sexe vint se placer entre mes jambes, il écarta un peu les siennes et cambra ses fesses, il avait bien retenu la position. Je ne reviens pas sur la beauté des fesses de Camille, la vue que j'en avais, son dos musclé que sa chemise avait découvert, bref ce bel homme soumis couché sur moi pour être puni, il n'en fallu pas plus pour que mon membre se tende… Je commençai à le fesser doucement puis fermement, les coups résonnaient bien, le puni se tendait à chaque claque. Après un quart d'heure d'une vigoureuse fessée, mon puni ne réagissait presque plus, ses fesses étaient écarlate, il devait sentir une forte chaleur. J'arrêtai, et posant ma main sur ses fesses:
- Alors mon garçon tu as compris la leçon?
- Oui Maître, merci Maître…
- Tu mérites la ceinture?
- C'est vous le maître… La fessée a été forte Maître…
- Oui tu as été fessé comme tu l'as mérité, j'aurais aimé te donner le martinet, mais je n'en vois pas ici c'est dommage, il faudra que je t'en fasse livrer.
Ma main se fit caressante, ses fesses rondes et chaudes étaient douces, mes doigts allèrent au fond de sa raie, pour chatouiller son intimité, il écarta un peu plus ses jambes, je sentis son sexe se dresser contre ma jambe…
- Tu aimes ça mon voyou!
- Maître vous êtes si doux après une bonne fessée… Prenez-moi Maître, mon cul est pour vous!
- Et si je ne veux pas?
- S'il vous plait Maître…
- Couche-toi sur le bureau!
Aussitôt j'eus Camille prêt, cul bien cambré, je le lubrifiai avec un, deux et trois doigts, il gémissait de plaisir. Bien sûr mon sexe fut vite bien tendu, je le pénétrai facilement, et commençai mes allers et retours, Camille se mit à émettre des petits cris de plaisir, il adorait ça, cela augmenta mon plaisir, et j'éjaculai dans un bon orgasme. Je me retirai doucement haletant, son sexe était bien tendu.
- Branle-toi mon garçon!
Il se mit à genoux par terre et il fallu peu de temps à sa main pour achever son plaisir qui éclata dans des cris rauques. Je le rejoins et nous nous embrassâmes longuement.
Plus tard nous nous sommes rhabillés et nous avons pris le repas de midi avec tout le monde.
Nous repartîmes peu après, Julien, Stéphane, mes gardes et moi. Sur le chemin du retour en passant sur un boulevard de la ville, je vis une nouvelle boutique isolée, au dessus d'une vitrine une plaque indiquait simplement "Tout les Cuirs", j'étais le dernier le la file avec Mathias, lui faisant un signe je fis tourner mon cheval, Mathias me suivit, nous regardâmes le vitrine. IL y avait toute sortes de fouets, martinets, straps, plaques de bois, canes en rotin, cravaches bref tout pour punir les mauvais esclaves.
- Voila une boutique bien intéressante, il faudra que j'y vienne faire un tour…
- Maître vous avez vu ce fouet? Il me montra un gros fouet de cuir en forme de serpent qui rétrécit.
- Oui ça doit être efficace!, je quittai la vitrine pour regagner la route.
- Maître vous voulez acheter ça?
- Tu es bien curieux Mathias! Tu en mériterais quelques coups!
 Pardon Maître. Et il baissa la tête, honteux.
Je m'approchai de lui, et le prenant par la nuque:
- Tu crois que je punirais un curieux comme toi, en lui déchirant la peau avec ce fouet?
- Non Maître pardonnez-moi.
- Tu es pardonné mon grand, ais plus confiance en moi!
- Maître je peux vous dire encore quelque chose, vous ne serez pas fâché?
- Ca dépend de ce que tu demande, vas-y!
- Maître c'est pour Thomas…
- Ah je m'y attendais, ça m'étonnait que personne ne le défende! Mais je ne vais pas le tuer Thomas, je l'aime bien tu le sais et il a été puni injustement à Broc, alors il ne risque pas grand-chose, une bonne fessée, comme rappel à l'ordre, et toi Mathias tu pourrais t'en prendre une aussi si tu m'embêtes encore! Mais à la fin mon ton était plus gai. Il me sourit doucement, le charmant garçon, en disant:
- Merci Maître…