lundi 11 avril 2011

Le Domaine de Saint Christophe 59 – Un étrange Régisseur

Je montai au premier étage du château des "Ormes" avec Yves et Julien, nous entrâmes dans le bureau, je leur donnai le registre des esclaves:

- Voilà avec ça vous devriez arriver à connaitre exactement le nombre d'esclaves du domaine, regardez aussi les naissances, les morts, les ventes et les achats, si vous n'avez pas le temps de finir, Yves emportera le registre pour travailler dessus demain.

- Monsieur, nous allons essayer de finir ce soir, mais cela dépend aussi s'il y a eu beaucoup de mouvements.

- Et aussi de votre courage, mais si vous en manquez, je vous en redonnerai avec un bon martinet, dis-je en riant.

Yves sourit un peu amèrement, je le vis bien.

- Qu'est-ce qu'il y a mon Yves?

- Maître je suis embêté pour Éric, vous allez le fouetter ce soir, vraiment?

- Il a désobéi, il sera puni, je ne lui retire pas ma confiance pour autant.

Je regardai par la fenêtre et je vis Camille qui faisait sortir les piloris, deux grosses pièces de bois avec un trou pour le cou et deux pour les poignets, les deux fugitifs, nus au milieu de la cour, regardaient ça avec crainte, ils y furent amenés sans ménagement, mis à quatre pattes, et les piloris se refermèrent sur eux, d'ici je voyais, l'arrière donc leurs culs bien exposés, Camille entra dans une remise et ressortit avec quatre pièces de métal en forme de U aux bouts pointus. Un esclave avec un maillet leur écarta les chevilles et planta le U retourné dans la terre de la cour, leurs chevilles furent ainsi prisonnières aussi, La position des punis était particulièrement humiliante, le cul en l'air jambes écartées, les épaule assez basses, le pilori n'était pas haut… Pour moi une superbe vision! Derrière moi Julien murmura:

- Je ne voudrais pas être à leur place…

- J'aimerais bien te voir dans cette position, mon Julien, lui répondis-je dans l'oreille.

- Oh Maître…

- Il faudra venir me voir à St Christophe mon beau gosse… Et élevant la voix:

- Alors Julien que penses-tu de ce domaine que tu vas diriger?

- C'est un très beau domaine Monsieur, je pense qu'avec Camille ça ne sera pas trop dur de l'administrer.

- Je vais le recevoir ici, je vais lui parler salaire et bien définir sa mission, et je voudrais éclaircir certains aspects avec lui, je te tiendrai au courant plus tard, bon les garçons descendez au salon pour travailler avec votre registre, moi je garde celui des punitions.

- Bien Maître! Dirent en cœur Yves et Julien. Et ils quittèrent le bureau.

Je fis le tour du bureau, une bibliothèque d'un honnête homme cultivé, je vis des livres de comptes aussi, je pris celui de l'année en cours, et le posai sur le bureau, j'aperçus un livre sur la gestion des esclaves, je le feuilletai, je vis des images de traitement punitifs très cruels, puis d'autre chapitres plus concrets sur les précautions à prendre pour ne pas tuer les esclaves à la tâche.
Je m'assis au bureau et j'ouvris le registre des punitions, le feuilletant aussi, je vis que les peines appliquées étaient en général assez dures, beaucoup de flagellations, il faudrait rectifier tout ça, j'étais dans ces pensées, quand on frappa à la porte.

- Entre!

Camille entra, il baissait légèrement la tête par respect, depuis ce matin j'avais bien pu le détailler, il était beau, un homme aux formes rondes, pas très grand, de belles fesses, des épaules modelées, un visage régulier, pas d'aspérités ou d'angulosités dans cet homme, qui savait être autoritaire comme il y avait quelques minutes et soumis comme il était maintenant…

- Camille nous avons plusieurs choses à voir ensemble, assieds-toi, ah mais il n'y a pas de chaises ici, pourquoi?

- Maître, personne n'était autorisé à s'assoir dans ce bureau, les visiteurs étaient reçus au salon…

- Vas chercher une chaise et reviens.

Il revint vite avec une chaise, je lui fis signe de s'assoir il le fit bien sûr, il paraissait craintif, il n'en était que plus beau.

- Ainsi quand tu étais reçu ici, tu restais debout?

- Oui Maître, quand j'étais convoqué je devais rester debout, mais la plupart des entretiens avec le Maître se passaient dans la cour.

- Bon quel est ton salaire actuel?

Il m'en donna le montant, assez faible, je compris qu'il n'avait pas beaucoup de moyens pour l'éducation de ses fils. Il aurait fallu l'augmenter de plus de moitié pour qu'il soit au niveau de St Christophe.

- Je te propose un marché, tu restes au même salaire, mais je prends l'éducation de tes fils en charge, ils iront à l'école la plus proche. D'autre part tu auras des primes si les résultats du domaine sont bons et si tu suis bien mes directives.

- Merci Maître pour mes fils, mais les directives ce sont lesquelles?

Je lui donnai alors un exemplaire du code appliqué à St Christophe, et lui en dis les principaux points, la vie des esclaves, le mariage, pas de mise à mort, les types de punition à appliquer, et surtout pas un coup de fouet au sang sans mon autorisation!

- Si les esclaves ne sont pas fouettés, ils vont travailler?

- Si ils ne travaillent pas bien ou pour toute faute du dois appliquer une punition de la fessée à la strap, ou le martinet ou les verges, tu as le choix quand même!

- Oui Maître je comprends, vous êtes vous-même sévère je l'ai vu avec votre garde, il va être fouetté ce soir?

- Oui à la strap ou au martinet devant ses collègues, ce sera une meilleure leçon que si je l'avais fait ici. Il aura le cul bien rouge mais il ne saignera pas, il travaillera aussitôt après…

- Bien Maître ça doit être efficace puisque St Christophe marche bien…

- Tu vois si j'ouvre le registre des punitions, il faudra bien sûr continuer à le renseigner, tu inscriras la fessée de Philibert dedans, je vois beaucoup trop de cruelles punitions, un esclave vaut cher, et s'il est bon il faut le garder.

Je continuai de feuilleter le registre et arrivai à la feuille qui m'avait intriguée ce matin, je la sortis je la montrai à Camille:

- C'est quoi ça?

A ma grande surprise, Camille pâlit un peu, il se leva rapidement, écarta un peu les jambes et mis ses mains derrière la tête, en bonne position du puni!

- C'est ma feuille de punition Maître…

Je me levai et allai vers lui avec la feuille à la main, dans cette position il était plus que craquant, ses belles fesses moulées dans son pantalon étaient bien offertes, je sentis la sève monter dans ma verge…

- Eh bien mon gars, vu toutes les dates inscrites ici tu étais souvent puni, et le nombre entre 20 et 50 c'est un nombre de coups mais de quoi?

- Maître, la ceinture dans le troisième tiroir à droite…

J'ouvrai le tiroir et y trouvai un beau ceinturon, épais et souple, je le pris, le pliai en deux et le fis claquer, il fit un beau bruit de cuir claquant…

- Bel instrument et pourquoi tu le reçois si souvent?

- Maître, quand je n'avais pas assez surveillé un esclave ou pour toute erreur…

- Et là tu as pris la position du puni, tu sais donc que tu mérites une punition?

- Maître c'était obligatoire quand le Maître sortait cette feuille, je n'ai pas pu me retenir, en plus je me sens fautif Maître.

- De quoi, d'avoir proposé des punitions trop dures, et quoi, d'avoir laissé deux esclaves s'échapper?

- Oui Maître pardon je suis fautif…

- Tu as fais encore quelque chose de mal Camille?

- Maître je ne crois pas, j'ai fais de mon mieux en l'absence du Maître…

Je m'approchai de lui, il baissa la tête, je posai la main sur ses fesses, elles étaient bien fermes…

- Tu étais fouetté sur les fesses, ou le dos?

- Les fesses Maître, cul nu!

- Bon et bien mon gars on va garder les bonnes habitudes! Aller en position!

Aussitôt il déboutonna et quitta son pantalon, il le plia soigneusement et le posa dans un coin, il ôta son caleçon blanc et il le plaça bien plié sur son pantalon, il s'approcha de moi en chemise, tête baissée, très bien soumis, il s'arrêta devant moi, fit un quart de tour, pour se mettre face au bureau, il le dégagea un peu et se coucha dessus et agrippa le bord opposé avec ses mains, il déclara:

- Maître, je suis un mauvais employé, merci de me punir comme je le mérite, Maître!

Il avait écarté un peu les jambes, sa chemise masquait le haut de ses fesses, je la relevai doucement, je découvris alors un joli cul bien rond, il m'avait plu sous son pantalon, là c'était encore plus beau, ses jambes écartées laissait apercevoir sa rondelle, un minimum de poil rendait ce cul très attirant, entre ses jambes, je voyais son sexe de belles proportions, c'était un beau mâle dans la force de l'âge, et il s'offrait à moi, me demandant d'être puni! Je me mis à bander sans délai…

- Combien de coups tu mérites mauvais employé pour avoir laissé deux esclaves s'échapper?

- Maître le maximum, 50 coups à forte puissance, c'est arrivé une fois c'est ce que j'avais reçu…

- C'est une dure punition, mon gars, mais tu a bien géré ce domaine depuis la mort du précédant Maître, donc 30 coups suffiront mais il faut aussi te punir pour la punition exagérée que tu as proposée pour Philibert!

- Merci Maître, pardon pour Philibert mais je me suis énervé j'ai eu tort Maître…

- Bon tends bien ton cul, la punition commence!

Il se cabra bien, son superbe fessier bien présenté, le ceinturon plié en deux dans ma main se leva et après un feulement dans l'air il claqua au beau milieu des fesses du puni.

- Ah, un Maître… Merci Maître…

Il comptait et remerciait comme un esclave sous la strap, je le frappai encore, le ceinturon claquait bien, chaque coup laissait une trace rose sur ce beau cul offert, mon puni gémissait, comptait et remerciait, quel plaisir de le fesser au ceinturon, le cuir tapait, mordait sa chair sans la déchirer, une caresse brulante… Il avait un soubresaut à chaque coup mais il offrait tellement bien ses fesses comme s'il demandait le coup suivant…

Au quinzième coup, je fis une pose, je posai ma main sur ses fesses, c'était la première fois que je le faisais, des fesses bien chaudes, toutes rose et fermes avec une peau toute douce, quel bonheur!

- Alors mon gars on laisse échapper deux esclaves, tes fesses sont chaudes, on va reprendre pour les 15 derniers coups…

- Oui Maître, s'il vous plait punissez-moi comme je le mérite!

Je n'avais pas l'habitude qu'un esclave me demande de le punir, mais là j'avais un homme libre qui s'offrait à ma punition, bien sûr un régisseur pouvait refuser les punitions corporelles alors que c'était courant entre maître et régisseur dans tout les domaines, rien ne défendait à un maître de fouetter ses employés, à la condition de ne pas provoquer leur mort, mais tout homme libre pouvait refuser au risque d'un renvoi immédiat, donc les punitions restaient courantes entre maître et employés. Mais avec mon Camille je décelai une demande inhabituelle, d'un homme libre qui réclame sa punition.

Je changeai de coté et le ceinturon reprit sa danse, ses vrombissements, ses claquements secs, les cris du puni, son compte… Les marques sur les fesses de Camille se firent plus rouges…

- Ah… 30… Maître! Merci Maître!

Il ne bougea pas, les 30 coups annoncés étaient donnés, il resta couché sur le bureau, haletant un peu, cambrant toujours bien ses fesses, il était tellement désirable comme ça que je bandais très fort, mon pantalon était très tendu… Je m'approchai de lui, lui caressant les fesses doucement.

- Alors Camille tu as compris la leçon?

- Oh oui Maître, vous fouettez bien, merci Maître, les esclaves ne s'échapperont plus Maître…

- J'espère bien, aller, debout maintenant, on n'a pas fini!

Il se leva, remit ses mains sur la tête.

- Maître je suis fautif aussi pour Philibert, j'attends vos ordres Maître!

Quelle discipline, j'étais impressionné, même physiquement, mon pantalon allait craquer!

- Je n'ai pas oublié mon garçon, tu as été intéressé par sa fessée, je l'ai vu, pourquoi?

- Maître pour moi la fessée comme ça c'est pour les enfants, mais j'ai vu que Philibert n'en menait pas large, et ses fesses étaient bien rouges, c'était une bonne correction.

- Tu as quel âge Camille?

- 32 ans Maître.

- Tu n'as pas reçu de fessée manuelle depuis longtemps alors?

- Non Maître, j'ai dû recevoir ma dernière fessée à 16 ans, maintenant c'est le ceinturon Maître!

Je m'assis sur la chaise derrière lui, et lui dit:

- Tu n'as pas oublié la position j'espère, aller sur mes genoux!

- Oh Maître pas à mon âge!

Mais tout en disant ça il se retourna et vint docilement se coucher sur mes genoux, en rougissant fortement. J'eus alors ce bel homme couché sur mes genoux et qui présentait bien son cul pour la punition, je posai ma main, sur ses fesses, et me mis à les caresser, elles étaient chaudes après les morsures du ceinturon, toujours aussi fermes et douces.

- Alors, mon garçon à 32 ans tu vas recevoir une bonne fessée, mais ton énervement sur la chute de Philibert était digne d'un gamin, aller écarte une peu les jambes et cambre-moi bien ce cul!

Il se cambra bien en s'offrant totalement à la punition, ses bras étaient tendus en avant, les mains à terre, ma main se souleva et la première claque tomba au milieu de ses fesses, le coup avait été asséné avec force il sursauta, et gémit un peu il ne devait pas s'attendre à ça. La punition continua plus de 10 minutes, je le fessai vigoureusement, à droite, à gauche, au milieu, en dessus et en dessous des fesses, au hasard le puni ne pouvait pas s'attendre où tomberait le prochain coup! Il gémissait maintenant, il était comme Philibert ce matin, soumis à son fesseur…

- Alors tu comprends la leçon mon garçon?

- Oui Maître, ça fait mal… Pardon Maître…

- Tu vois qu'une fessée entre hommes ce n'est pas une caresse…

- Oh non Maître!

J'écartai un peu ses fesses, je vis alors plus nettement sa rondelle, j'y passai le doigt, doucement, il frémit…

- Tu aime ça mon coquin?

- Maître, j'ai trop honte, mais considérez moi comme votre esclave Maître…

- C'est-à-dire mon Camille?

- Maître pardonnez-moi, mais je sens bien que votre membre est dur… Vous aimez les hommes… Maître prenez-moi comme un vos esclaves…

- Tu as déjà été pris mon garçon?

- Quand j'étais jeune et avant d'être ici, oui Maître… Pour être puni… Mais ce n'est pas une punition…

Il était toujours sur mes genoux, les fesses en l'air, en tendant la main je pris ma sacoche et en extirpai le flacon de vaseline, j'en pris un peu et commençai à le doigter avec un, puis deux et trois doigts, son intérieur était souple, un peu serré, mais ça me donnerait encore plus de plaisir, il râlait de plaisir quand je le travaillais, en écartant ses jambes au maximum, il était prêt.

- Debout et à genoux devant moi!

Il le fit immédiatement baissant la tête.

- Descends mon pantalon et mon caleçon et prépare mon sexe!

Il obéit et quand mon sexe bien dressé fut à l'air, il l'engloutit avec sa bouche, je fus étonné de tant de docilité et de savoir-faire, je posai ma main sur sa tête le caressant doucement ce bel homme à l'ouvrage, je vis son sexe se redresser par à-coups, il aimait ça le coquin sucer un homme.

- Arrête maintenant mon garçon et reprends la position du puni sur le bureau!

Aussitôt ordonné, il reprit sa position le torse sur le bureau, le cul bien tendu, les jambes bien écartées… Je m'approchai plein de désir mon sexe dressé bien chauffé par sa langue, en avançant il se plaça juste devant son trou, je poussai un peu, le gland entra sans mal avec la vaseline, il gémit mais différemment de quand il était fouetté. Je poussai un peu plus, son intérieur était un bel écrin, bien doux pour mon sexe, je commençai mes va-et-vient doucement, comme il se donnait complètement, je n'eus aucune difficulté à le limer. Je vis son sexe bien tendu de plaisir, je le pris d'une main le branlant doucement, et maintenant étant complètement en lui, ses gémissements n'étaient que plaisir, dans un suffoquement il déchargea, aspergeant le dessous du bureau, moi-même, j'arrivai à l'orgasme facilement en éjaculant en lui! Sacré Camille, un bel homme soumis, aimant le sexe, j'étais un homme heureux…

Camille était maintenant effondré sur le bureau, moi j'étais derrière lui, un peu crevé après ce fort orgasme, je m'assis nu sur la chaise.

- Camille, debout et viens ici!

Il se releva et vint s'agenouiller devant moi, il leva un regard plein d'amour sur moi, et sans que je lui demande il se rehaussa et vint prendre mon sexe plein de sperme dans sa bouche, il le nettoya soigneusement en expert, puis ayant fini ses soins il posa sa tête entre mes jambes sans dire un mot. Je commençai alors à lui caresser les cheveux, je l'entendis dire tout doucement:

- Oh Maître, j'ai retrouvé un bon Maître… Vous êtes gentil pour mes enfants… Vous m'avez puni avec une grande justice, et… Vous m'avez pris sans oublier mon plaisir… Maître je suis heureux…

Je ne dis rien j'étais heureux aussi, mon beau régisseur me remerciant, je continuai à lui caresser les cheveux le cou, il leva son regard vers moi, je le tirai un peu vers moi et pris sa bouche, il répondit avec passion à mon baiser, nos langues se mêlèrent, moi assis nu en chemise sur une chaise et mon soumis serré contre moi, complètement nu, les fesses toutes rouges…