Nous rentrions dans la grande voiture, notre visite aux Ormes s’était bien finie, Camille avait été un hôte parfait. La voiture était chargée, deux esclaves étaient assis à coté du cocher, le précepteur et le jeune serviteur de Stéphane, ils étaient tout étonnés de voir la ville d’aussi haut. Après une visite à l’écurie, nous avions décidé de ramener à St Christophe le cheval de l’ancien maître, il serait pour Stéphane plus tard, et le petit cheval actuel de Stéphane, les deux chevaux étaient attachés à la voiture, sur le plus petit il y avait un esclave palefrenier, il renforcerait l’équipe de St Christophe, c’était un beau garçon de 20 ans, je n’avais pas pris le plus laid!
Julien et Yves avaient fini le compte des esclaves, les papiers des Ormes étaient bien tenus, il en avait 625 exactement. Nous discourions sur le domaine, sa bonne gestion, et ce qu’il faudrait faire à l’avenir quand nous arrivâmes au Château.
En descendant de voiture je vis Éric tête basse, je lui dis sévèrement:
- Éric, dans une heure je te veux nu attaché au poste de punition de la salle des gardes et tous les gardes présents, je viendrai te fouetter!
Il rougit, personne n'osa dire quelque chose, je rentrai dans mes appartements avec Stéphane, Julien et Yves après avoir envoyé les trois nouveaux esclaves, accompagnés par Thomas, à l'infirmerie pour une visite médicale.
Le sourire de Tom fut un bon accueil, il nous apporta des rafraîchissements rapidement et les discussions avec Stéphane et Julien reprirent. Une heure passa vite, Thomas frappa et entra pour me prévenir que tout était prêt pour la punition au poste de garde, il n'avait pas l'air très gai, Thomas…
Arrivé à la salle des gardes je trouvai tous les gardes présents, Alex m'accueillit et me dit: très humblement:
- Maître, Éric m'a raconté sa faute, je comprends que vous soyez contrarié, Maître, surtout que vous aviez deux esclaves à punir aux Ormes… Mais Éric est un bon adjoint pour moi Maître, c'est un oubli Maître; pas une faute grave, et je mériterais la même punition Maître pour ne pas avoir vérifié qu'il avait bien pris la strap!
- Je ne te punirai pas Alex, Éric restera ton adjoint, c'est un rappel à l'ordre pour Éric, c'est tout!
- Merci Maître. J'ai attaché Éric sur le nouveau poste de punition que vous avez fait faire, j'espère que ça vous convient.
- Tu as bien fait Alex! Éric était les fesses en l’air sur un genre de cheval d’arçon, en bois avec un dessus en cuir rembourré. Les bras du puni étaient attachés assez bas de l’autre coté, les jambes attachées devant et écartées, le corps était bien fléchit à la taille ce qui projetait les fesses écartées en hauteur, prêtes à recevoir le fouet sans aucune défense possible.
Les gardes étaient alignés de façon à voir la punition de coté, je les passai en revue. Il y avait les deux nouveaux, André et Rémi, l’uniforme leur allait bien, ils étaient impeccables et je savais qu’Alex en était très content…
- C’est bien les garçons! Après il y avait Denis, depuis que je l’avais puni pour sa paresse, il était devenu très sérieux.
Puis Mathias, son col était relevé, par derrière, je lui remis en place.
- Alors Mathias il faut que ton Maître finisse de t’habiller?
- Pardon, Maître… Pardon.
- Il doit être puni, Maître? Demanda Alex.
- Qu’il vienne à mon bureau tout à l’heure, je le punirai! Mathias rougit et dit:
- A vos ordres, Maître!
- Alors Arnaud, tu es sage maintenant?
- Oui Maître!
- Et bien continue mon gars, sinon tu sais ce qui t’attend, le bagne! Il ne répondit pas mais baissa la tête, humblement.
Puis venaient les trois jeunes apprentis, Arthur, Damien et Marc. Rien à leur reprocher sur leur tenue.
- Et ces trois jeunes Alex, ils progressent?
- Oui Maître, je ne m’en plains pas, ce ne sont pas de mauvais garçons, même si je dois les fesser de temps en temps.
- N’hésite pas Alex! Je savais qu’Alex était assez dur mais très juste quand il punissait.
Thomas était le dernier, triste, tout mignon, il eut droit à une petite tape sur le cou.
Je m’adressai à tous:
- Je suis venu pour punir Éric, il a oublié un ordre, c’est une faute grave, surtout pour un garde. La négligence dans le travail n’est pas admissible! Pour avoir oublié les straps, et nous contraindre à retourner aux Ormes, il doit être fouetté sévèrement! Mais je connais bien Éric, c’est un bon garde, je ne serai pas trop sévère mais Éric ne recommence pas ce genre de faute, tu es prévenu!
On entendit alors la voix d’Éric:
- Pardon Maître… Pitié Maître…
- Éric, tu mériterais 75 coups de strap pour ta faute, mais je réduis ta peine à 30 coups du grand martinet et 30 coups de la strap que tu as oubliée et que tu utiliseras pour fouetter les deux punis des Ormes après-demain. Je donnerai le martinet et Alex donnera la strap!
- A vos ordres Maître! Dit Alex et il alla chercher les deux instruments de punition.
Je pris le martinet avec ses lourdes et longues lanières de cuir, je les déliai en les agitant dans l’air, et me mis en position à bonne distance, les fesses rondes et musclées d’Éric étant la cible bien présentée…
- Prêt Éric? Tu comptes les coups!
- Oui Maître… Pardon Maître…
Je soulevai le lourd martinet et abattis les lanières en plein milieu des fesses, le sifflement et le claquement du fouet emplirent la pièce, le corps d’Éric se contracta:
- Ahh… Un Maître… Merci Maître!
Nouveau sifflement et claquement:
- Ahhhh… 2 Maître… Merci Maître…
La flagellation continua, en effet avec ce long martinet il s’agissait plus d’un fouet que d’un martinet pour corriger les enfants, je fouettais Éric avec fermeté mais j’aurais pu être plus violent et le fouetter au sang avec ce redoutable instrument. Mais c’était Éric que je fouettais, un de mes bons gardes, je devais le punir pour sa faute mais pas le supplicier… En tombant les lanières du martinet frappaient la peau, un trait blanc apparaissait, très vite rosissant et rougissant. Le puni ressentait une vive brûlure et dans un souffle poussait un râle ou un cri.
- Arrrrhhhh… 15 Maître… Merci… Maître…
Je changeai de coté, et regardai ses fesses, elles étaient déjà bien zébrées, Éric soufflait bruyamment, je ne lui dis rien et recommençai à le fouetter, le bout des lanières frappa alors l’autre coté des fesses, une nouvelle zone à attaquer.
- Ahhhhhh 16… Maître… Merci Maître…
Et la danse du fouet reprit, des sifflements, des claquements, des cris, des soubresauts d’Éric, il endurait bien la punition bien que sa voix devint rauque.
- Arrrrrrhhhhhhh… 30 Maître… (silence)… Merci… Maître…
J’entendis les premiers sanglots dans sa voix…
- A toi Alex!
Alex prit la strap, c’était un grand modèle, avec une poignée en bois et une large et épaisse lanière de cuir, bien entretenue, le cuir graissé pour rester souple et bien caresser la peau des punis.
Je m’assis dans un fauteuil, installé là pour moi, croisai mes jambes et assistai à ma suite de la punition. Éric tremblait les fesses et le cul bien présenté, ses fesses étaient zébrées, en feu, et il allait falloir recevoir 30 coups de cette terrible strap!
Alex fit monter la strap et claqua vigoureusement les fesses d’Éric, le claquement de la large pièce de cuir fit un bruit impressionnant, Éric cria, la douleur crée par le strap était différente de celle du grand martinet, mais elle était encore plus intense et violente:
- Aaaaaarrrrrrrrr! 1 Maître… Merci… Maître… Pitié…
Je fis un signe discret à Alex de modérer la force des coups, les gardes alignés regardaient la punition, ils paraissaient très émus à voir Éric soufrant sous le fouet, mais ils connaissaient la rigueur de la discipline chez les gardes…
- Aaaahhh 2 Maître… Merci… Maître…
Le coup avait été bien claquant mais moins fort que le premier, Alex m’avait bien compris. La séance continua, une série de vrombissements, de claquements et de cris. Je me déplaçai un peu pour voir la tête d’Éric, attaché comme il était il avait la tête en bas, à chaque coup il la relevait pour crier, un son rauque sortait de sa gorge, et il laissait retomber sa tête en soufflant, je vis qu’il pleurait…
- Aarrrrrrhhhhh… 15… Maître… Merci… Maître…
Alex changea de coté, je m’approchai pour regarder les fesses du puni, elles étaient bien rouges, violettes par endroits.
Sur un ordre de la main, Alex recommença, Éric commençait à crier plus sourdement…
- Aaaaaaarrrrrhhhhhh… 20… Maître… Merci… Merci… Maître…
Je fis signe d’arrêter à Alex et me dirigeai devant la tête d’Éric. Il ne me vit pas tout de suite, il haletait tête baissée. Il dû voir mes pieds car il releva la tête vers moi, il pleurait, sa figure était toute rouge, il avait un regard implorant, je me mis accroupi pour lui parler, je mis ma main sur ses cheveux et dis doucement:
- Alors mon grand, tu vois ce que ça coûte de me contrarier…
- Oh Maître, pardon… Pardon… Vous m’en voulez, Maître?
- Plus maintenant mon Éric, tu as été bien puni, tu l’avais bien mérité, non?
- Oui Maître… Merci Maître… Je vais être courageux pour les 10 derniers coups Maître!
- Non la punition est finie mon garçon, je te pardonne ta faute, mais ne recommence pas Éric.
- Merci… Merci Maître… Je vous servirai mieux Maître…
Je l’embrassai sur le front, se larmes s’accentuèrent, je l’essuyai avec mon mouchoir et me relevai.
- La punition est finie, Éric a été courageux, sa faute est pardonnée et bien sûr il reste adjoint d’Alex, et que ça vous serve de leçon, quand je donne un ordre on ne l’oublie pas! Alex tu le détaches et tu l’emmènes aux douches puis après chez Aurélien, un peu de pommade, ça lui fera du bien!
- Thomas et Mathias vous montez avec moi!
De retour à l’étage je dis à Mathias d’aller m’attendre dans mon bureau, il y alla tête basse, et j’entrai au salon avec Thomas. Tous étaient encore là à discuter. Aussitôt Julien se leva et me demanda:
- Monsieur me permettez-vous de vous quitter, je dois voir les gens de St Pierre ce soir?
- Bien sûr Julien, rentre bien, et sois là après-demain à 8h30, nous irons à la punition aux Ormes à cheval.
Je l’accompagnai à la porte et lui fis la bise discrètement pour lui dire au revoir. Je rentrai de nouveau au salon, et dit à Stéphane d’aller dans sa chambre, je restai avec Thomas, Yves et Tom. Thomas tout gêné bredouilla:
- Maître…
- Quoi Thomas?
- Maître, Mathias, il…
- Quoi Thomas tu vas venir pleurnicher à chaque fois que je vais punir un garde? Je n’ai pas tué Éric, je ne tuerai pas Mathias! Et si tu continues c’est aussi tes fesses qui vont rougir mon garçon!
Il baissa la tête tout penaud:
- Pardon Maître.
Je le pris pas la nuque et lui fis un bisou, il devint tout rouge.
En entrant dans mon bureau j’ai trouvé Mathias debout devant le bureau, jambes un peu écartées et les mains sur la tête qu’il tenait baissée. J’en fis le tour, admirant ce beau garde, j’avais déjà eu l’occasion de le fouetter au martinet et de le fesser, je connaissais bien son corps, je l’avais même pénétré, un bon souvenir, alors le voir dans cette position de soumis, le cul bien modelé dans son pantalon, je me mis à bander aussitôt…
Je m’assis sur le bureau juste en face de lui, j’écartai les jambes, il vit sûrement la bosse de mon pantalon, ses yeux étaient baissés dans la bonne direction. Il rougit légèrement…
- Alors mon garçon, on se présente mal habillé devant son Maître alors que les autres gardes étaient parfaits…
- Maître, pardon, j’ai dû m’habiller rapidement…
- Et pourquoi?
- Maître, cet après-midi je faisais l’entretien de la salle d'entraînement, Alex m’a prévenu assez tôt que je devais être dans la salle des gardes à 18h00, mais je n’ai pas fais attention au temps, je suis le seul fautif Maître!
Une rigueur bien militaire, digne d’un bon garde, j’aimais cette franchise, je lui dis d’approcher il vint alors se placer entre mes jambes tout près de mon corps. Je commençai à déboutonner sa chemise, son torse était bien musclé, je le caressai, la peau était douce, sur des muscles fermes, il avait toujours les mains sur la tête, il me regardait un peu surpris, mais il se laissa palper, je lui fis baisser les bras, pour dégager les manches et lui ôter sa chemise, il était maintenant torse nu devant moi, très beau, légèrement bronzé. Ma bouche s’approcha de ses tétons, j’en léchai un, puis l’autre, il gémit très doucement, sa douce peau sentait un peu le savon, il était passé à la douche avant de mal s’habiller, c’était bien.
Je pris la boucle de son ceinturon, et la défit.
- Mais tu as fait une faute mon garçon, je dois te punir pas te caresser…
- Oui Maître, pardon Maître
Sa voix était toute douce il ne connaissait pas la punition qu’il allait subir, mais ce Maître qui le caressait et qu’il connaissait bien n’allait pas être cruel, Mathias se pensait être bon pour une bonne correction au martinet… Je baissai doucement son pantalon, son sexe apparut un beau sexe de mâle, je vis qu’il était à peine redressé, mon Mathias avait apprécié mes caresses, peut-être plus sur ses tétons?
- Déchausse-toi et enlève complètement ton pantalon et reviens ici!
C’est donc tout nu qu’il vint vers moi, magnifique garçon d’un peu plus de 20 ans, soumis, un regard interrogatif… J’écartai un peu plus ma jambe gauche…
- Couche-toi sur cette cuisse mon garçon!
Il hésita, mais comprit vite mon intention, présenter ses fesses pour la punition, il se coucha sur ma cuisse posa son torse sur le bureau, et écarta légèrement ses jambes. Il avait pris exactement la position que je souhaitais!
- Alors mon garçon, tu sais ce qui t’attend, une bonne fessée?
- Oui Maître, punissez-moi comme vous l’entendez, mais Maître par pitié, gardez-moi votre confiance, Vous me garderez comme garde Maître?
- Qui a dit que je révoquerais un garde pour un col relevé?
Avant qu’il réponde ma main s’était levée et elle s’abattit sur ses fesses.
- Aiiiiieee… Merci Maître…
Il était contre moi, sa taille contre la mienne, je le serrai contre moi avec mon bras gauche alors que mon bras droit le fessait, à chaque claquement je sentais une petite vibration de son corps, tout son corps de bel homme était soumis à ma main punitive qui claquait ses belles fesses fermement mais pas trop durement, sa peau rosit, puis rougit, ma main claquant régulièrement sur elles.
Il râlait un peu à chaque claque, mais il sentait bien que la punition n’était pas trop sévère, et le Maître n’avait pas dit de mots durs, Mathias se donnait donc à la punition, il était confiant en plus le Maître le serrait contre lui, comme pour le protéger tout en le punissant… Les claques cessèrent, Mathias sentit des caresses sur ses fesses, c’était bon, les doigts du Maître parcoururent sa raie, touchant l’anus, Mathias frémit, il aimait ça, comme tout à l’heure quand le Maître lui avait touché et léché les tétons, il ressentait du plaisir, son sexe avait des pulsions, il ne comprenait pas pourquoi…
- Ah mais on aime ça mon garçon!
- Pardon Maître… Je ne peux pas me contrôler…
- Ne te contrôle pas mon garçon… Tu sais ce que je vais te demander maintenant mon beau gosse?
- Oui Maître… Faîtes ce que vous voulez, je suis votre esclave…
Je bandais comme un âne, je le fis se lever, il avait un léger sourire, il ne me craignait pas, quand je me levai aussi, il prit ma place et se pencha sur le bureau, jambes écartées et cul cambré!
Une telle soumission pour l’amour montrait qui en avait envie, qu’il n’avait pas peur de son Maître, j’étais touché par ce beau Mathias, mais complètement excité par son cul offert, je me débarrassai illico de mon pantalon et de mon caleçon, mon sexe enfin libre était parfaitement dressé, je mouillai mes doigts avec de la vaseline, je le doigtai doucement, son orifice était souple, il réagissait bien à mon travail, je m’avançai, mon sexe pénétra doucement en lui, il émit quelques grognements de joie ou de douleur, et je fis de nombreux va-et-vient. Son sexe grossit, je le pris avec une main, je le branlai, il râla de plus en plus, moi aussi, je sentais le désir monter. Mon orgasme fut une belle apothéose, j’envoyai plusieurs giclées en son intérieur, et je sentis une vibration de plaisir dans tout mon corps. Mathias eut un cri bizarre et il éjacula violemment dans ma main!
Je me penchai sur lui mon torse sur son dos, ses fesses étaient légèrement chaudes, j’étais toujours en lui mais mon sexe rétrécissait, il sortit tout seul, je le relevai, heureux après ce bon moment, Mathias soufflait doucement il était contre moi, apparemment sans crainte, je l’embrassai dans le cou, il tourna la tête il souriait doucement comme un ange.
- Tu m’as bien garni la main mon garçon…
Il se retourna, vis ma main pleine de son sperme, il murmura :
- Pardon Maître…
Il se mit à genoux et lécha ma main, avalant son sperme, ayant fini, il se teint à genoux tête baissée.
- Mon Mathias tu es pardonné pour ta faute et pour ton sperme il n’y a pas de faute, vas dans le cabinet de toilette chercher des linges humide dont un mouillé à l’eau froide!
Il fila tout nu, et revint avec des linges chauds et froids, je nettoyai mon sexe, puis le sien, il se laissa faire tout gentil.
Je m’assis sur une chaise.
- Aller en position jeune homme, dis-je en tapotant sur mes genoux.
Il me regarda étonné, mais vint se coucher docilement sur mes genoux, en position de fessé. Je pris un linge froid et le posai sur ses fesses rouges, il se détendit.
- C’est meilleur qu’une fessée non?
- Oh oui Maître vous êtes gentil avec moi…
- Tu es un bon garçon tu m’as donné un grand plaisir ce soir, et tu es un bon garde d’après Alex. Je voudrais te confier une tâche spéciale.
- Oui Maître…
- Tu seras le garde personnel de Stéphane, tu devras l’accompagner chaque fois qu’il partira seul, il sera sous ta responsabilité.
- Merci Maître, je serai comme Thomas pour vous?
- Oui un peu, on va en parler avec Stéphane.
Il était toujours couché sur mes genoux, je relevai la serviette froide pour lui caresser les fesses, elles étaient bien douces…
- Tu es bien vigoureux mon garçon, ton sexe répond bien et comment ça se passe avec ta femme Béatrice?
- Maître je l’aime je fais l’amour tous les soirs avec elle…
- Mais je n’ai pas de bonne nouvelle!
- Maître, on n’en est pas sûr mais Béatrice a du retard…
- Depuis quand?
- Depuis deux mois Maître.
- Elle doit aller voir Aurélien, mais tu n’as pas l’air heureux mon garçon?
- Maître si on a un enfant il deviendra quoi?
- Un de mes esclaves, bien éduqué, pas maltraité, tu en vois beaucoup de malheureux ici?
- Non Maître, merci Maître.
Je le fis se relever et s’asseoir sur mes genoux, je lui fis un bisou qui se transforma vite en un baiser passionné auquel il répondit bien…
- Bon Mathias il nous faut nous rhabiller, maintenant!
Chacun reprit ses vêtements éparpillés et c’est tous décents que nous entrâmes dans le salon. Tom, Yves et Thomas étaient là, Thomas lança un regard inquiet à Mathias, qui lui répondit avec un sourire.
- Stéphane n’est plus là ?
- Il vient de repartir dans sa chambre Maître, vous voulez que j’aille le chercher?
- Oui Tom vas-y!
Peu de temps après Tom entra avec Stéphane qui paraissait étonné. Je le fis asseoir en face de moi au salon.
- Stéphane j’ai décidé de nommer Mathias, que tu vois ici, ton garde personnel. Il devra t’accompagner à chaque déplacement hors du château, je t’interdis de sortir sans lui, il sera à ta disposition au poste de garde. Que les choses soient claires Stéphane, Mathias sera ton garde, à tes ordres, mais à part quelques coups bénins, tu n’as pas le droit de le punir, tu devras me faire part de ses fautes s’il en commet. Mais aussi il doit assurer ta protection, s’il te demande de ne pas passer quelque part, tu dois lui obéir! Il est responsable de ta sécurité, c’est bien compris?
- Oui mon cousin, ce sera comme Thomas et vous, sauf que je devrai suivre ses conseils.
- Oui Stéphane tu as compris, tu as 13 ans, tu auras de grandes libertés dans le domaine mais suis les avis des adultes, esclaves ou non! Et pour toi c’est clair Mathias?
- Oui Maître, je protégerai Maître Stéphane de tout ce qui est dangereux… Merci Maître de votre confiance…
- Bon c’est bien, demain après midi il devrait faire beau, nous irons Stéphane et moi faire un tour dans le domaine, Thomas nous accompagnera ainsi que toi Mathias, alors à demain après midi les garçons!
Ils quittèrent la pièce, Stéphane revint pour le dîner, je l’avais convié, nous discutâmes du domaine, de la punition d’Éric, Stéphane était passionné pas mes récits, il apprenait beaucoup, après son départ je passai une excellente nuit avec Yves et Tom qui arrivèrent à me faire jouir une troisième fois aujourd’hui dans une chaude partie à trois…
mardi 30 août 2011
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