Une fois
arrivés au Château, installés au salon Stéphane et moi, nous discutions
tranquillement, le beau Tom nous avait apporté des rafraîchissements, Je
parlais aussi avec Yves sur les sujets habituels.
On frappa à
la porte, Tom alla voir et revint:
- Maître,
c’est Thomas, il souhaiterait vous parler.
- Qu’il
entre alors!
Thomas
entra, il paraissait soucieux, il vint devant moi tête baissée.
- Eh bien
Thomas, parle, puisque tu es venu pour ça!
- Maître…
Il regarda autour de nous, très gêné.
- Tu veux
me voir seul c’est ça Thomas?
- S’il vous
plait Maître…
Je me levai
et le pris par les épaules, l’emmenant dans mon bureau, une fois la porte
fermée je me tournai vers lui:
- Alors,
Thomas?
- Maître…
Euh… Est-ce que j’ai le droit d’aimer un garçon?
- Est- ce
que j’ai déjà interdit ça?
- Maître,
je suis votre garde personnel…
- Oui mais
tu n’es pas mon amant régulier, même si tu es un des plus beaux garçons du
Château!
Je posai
mes fesses au bord du bureau et j’attirai Thomas contre moi, entre mes jambes.
- Et qui
est l’heureux garçon que tu aimes?
- Maître
vous ne nous punirez pas?
- Non mon
Thomas, c’est Aurélien non?
- Oui
Maître.
- Eh bien
couche autant que tu veux avec Aurélien, ça te fera du bien et à lui aussi!
- Oh merci
Maître, il se courba pour embrasser ma main. Je le relevai et en le serrant
dans mes bras je l’embrassai sur la bouche.
- Mais
n’oublie pas que tu es mon garde, tu dois toujours me dire où tu es que je
puisse te trouver, même dans la chambre d’Aurélien!
- Bien sûr
Maître!
- Bon il
est tard, demain nous allons aux Ormes, vas prévenir, Éric, Mathias que vous
devez être prêts pour 9 heures précises, et bonne nuit avec Aurélien!
- Merci mon
Maître…
Je
l’embrassai encore une fois et je le reconduis vers la porte, il était tout
souriant mon beau Thomas. Je rejoignis le salon, puis après un bon souper avec
Stéphane et un peu de lecture, je retrouvai mon Yves au lit, le début de nuit
ne fut pas calme et c’est tous les deux que nous avons plongé dans le sommeil…
Le
lendemain matin après petit-déjeuner, tout le monde était prêt à 9h à la salle
des gardes, sauf Thomas qui était absent.
- Alex tu
n’as pas vu Thomas ce matin?
- Non
Maître, il n’était pas avec vous?
- Non mais
je sais où il doit être ce vaurien!
Je montai
alors à l’infirmerie, Nicolas était seul, il me dit ne pas avoir vu Aurélien ce
matin, j’allai alors dans la chambre d’Aurélien et j’ouvris la porte
brusquement, les deux tourtereaux étaient couchés nus sur le lit, serrés l’un
contre l’autre. Ils se réveillèrent à mon entrée et tentèrent de se lever, me
voyant en colère.
- Restez où
vous êtes fainéants!
J’étais en
colère, je vis sur une chaise, au-dessus d’un tas de vêtements désordonnés, le
ceinturon de Thomas, ils n’eurent rien le temps de dire je pris le ceinturon,
et leur dit:
- A plat
ventre culs bien tendus!
Aussitôt
dit j’eus mes deux coupables allongés le cul bien cambré, un superbe spectacle,
ils avaient un peu écarté les jambes, ils connaissaient bien les positions
exigées pour une punition, Thomas émit:
- Pardon
Maître… Pitié… Aiiieeeee!
Le
ceinturon était tombé bien à plat, et la danse commença, un coup pour l’un, un
coup pour l’autre, leurs fesses furent vite marquées par des plaques rouges, je
donnai une vingtaine de coups à chacun! Ils gémissaient en demandant pardon.
- Bon je
n’ai pas de temps à perdre avec vous, vous serez convoqués cet après-midi à mon
retour pour être fouettés, je vais vous apprendre à paresser au lit, à 9h.
Thomas tu iras voir Alex et tu feras les corvées qu’il te donnera, Aurélien,
toi, occupe-toi de tes malades!
Nicolas
était dans l’embrasure de la porte, il s’écarta pour me laisser sortir.
- Quant à
toi curieux, tu aurais dû les réveiller! Incapable!
Dix minutes
plus tard, après avoir quitté l’infirmerie dans un silence de mort, je
franchissais les portes de château avec ma troupe, Julien, Éric, Mathias et
Stéphane.
Je
m’approchai d’Éric:
- Tu vas
bien mon Éric, pas trop mal aux fesses, et tu n’as pas oublié de prendre la
strap?
- J’en ai
pris deux Maître, et mes fesses, elles piquent, Maître, surtout sur la selle!
- Tu aurais
dû les pommader mon garçon, Alex t’en aurait donné l’autorisation.
- Je n’ai
pas osé lui en parler Maître…
Je lui
caressai la nuque, ce brave Éric dont les belles fesses brûlaient encore me
sourit, il était très beau garçon comme ça.
Arrivés aux
Ormes nous sommes allés dans le salon, nous bûmes un bon café, et comme Camille
nous avait dit que les punis étaient encore au pilori, je décidai de les
fouetter dans cette position, je demandai à Camille de rassembler les esclaves
de la maison et des équipes des fautifs.
Une fois
dans la cour, bien ensoleillée ce jour, on ne pouvait pas louper du regard les
deux fessiers des punis, bien cambrés, jambes écartées, rien n’était caché! Éric
était avec moi, une longue strap à la main. Une petite troupe d’esclaves
étaient rassemblée dans un coin, ils écarquillaient les yeux, la punition de
deux fugitifs n’était pas chose courante et il valait mieux être spectateur que
puni!
Je
m’adressai à eux d’un ton ferme:
- Esclaves,
vous avez devant vous deux fugitifs, c’est une faute très grave pour un
esclave, il trahi son Maître! L’un deux s’est déjà enfui, sa punition sera donc
double, le fouet et le bagne, et croyez-moi la vie au bagne à St Christophe va
le dresser! Je condamne ces deux hommes à 100 coups de strap, appliqués
maintenant!
Je fis un
signe à Éric de venir vers moi, je lui dit à voie basse:
- Éric tu
frappes à pleine puissance le grand, je veux qu’il sente bien la strap, pour le
petit, sois moins sévère, il tremble depuis deux jours, il ne va pas tenir 100
coups à pleine force. Tu commences par 50 coups sur le grand, Mathias compte
les coups, aller travaille bien Éric!
- A vos ordres
Maître!
Éric prit
ses distances avec le puni, après avoir lancé sa strap doucement pour bien
ajuster ses coups il fixa sa position jambes écartées, bien stable prêt à
fouetter l’homme devant lui, il me regarda, je fis un signe d’acquiescement et
le supplice commença.
La longue lanière plate de cuir feula dans l’air et claqua
avec bruit sur le postérieur du puni, la peau des fesses blanchit et rougit
aussitôt, un cri surgit, le puni ne devait pas s’attendre à une telle force,
son corps de cabra, puis se relaxa. Aussitôt le deuxième coup s’abattit et ce
fut vite une succession de sifflements, claquements et cris qui suivirent. Les
fesses du puni rougissaient, au début les marques de la lanière apparurent
bien, puis se mélangèrent, lui il hurlait de plus en plus fort.
Les
premières traces de sang apparurent quand Mathias leva le bras en criant:
- 50 !
- 5 minutes
de pause pour Éric!
- Merci
Maître!
Les 5
minutes passèrent vite entre quelques commentaires de Camille et Stéphane, je
repris la parole plus haut:
- Éric, tu
es prêt pour 50 coups sur le "Petit"?
- Oui
Maître, à vos ordres!
Sur un
signe de ma tête, Éric prit position et la flagellation reprit, bien qu’Éric
ait bien suivi mes recommandations de frapper moins fort, l'effet des coups
restait impressionnant. Plus sensible le "Petit" criait à chaque coup,
son corps bougeait, à chaque claquement du cuir des marques se dessinaient sur
ses fesses, cuisses et bas du dos. Il endura quand même les 50 coups, à la fin
son corps se cabrait moins, il gémissait bruyamment, on l'entendait pleurer à
gros sanglots.
- 50 !
- Encore 5
minutes de pause et Mathias remplacera Éric!
Je
m'approchai de la tête du "Petit", il ne m'entendit pas il pleurait
en gémissant, je le pris par les cheveux, son visage était ravagé par les
larmes, il me regarda effaré.
- Alors
vaurien, tu comprends ce qu'il arrive aux fugitifs? Et sous l'ancien maître tu
aurais reçu le fouet au sang, tu le sais?
- Maître…
Pitié… Pardon…
- Pas de
pitié pour les vauriens, tu n'es qu'à la moitié de ta punition, tu la mérites!
Je le
quittai et je rejoignis Mathias qui avait déjà la strap en main, un redoutable
beau garçon prêt à fouetter! Je l'entretins à voie basse.
- Tu es en
forme Mathias?
- Oui
Maître pas de problèmes, à vos ordres Maître!
- Bon mon
garçon tu as vu qu’Éric n'avait pas fouetté les deux punis avec la même force?
- Oui
Maître, je fais pareil?
- Oui et
pour le "Petit" compte les coups et tu me regarderas au bout de 30
coups.
- Bien
Maître!
- Bon au
travail Mathias! Dis-je à haute voix.
Mathias se
posta derrière les fesses du "Grand", il écarta les jambes pour être
bien stables, ses belles fesses moulées dans son pantalon me donnèrent des
envies…
Je fus vite
distrait de mes pensées lubriques par les nouveaux claquements de la strap et
les cris du puni. Une nouvelle attaque du cuir sur les fesses bien marquées du
"Grand" devait être terrible, il cria à chaque coup, plus fort
qu'avant, Mathias y allait fort, presque plus fort qu’Éric, je le laissai
faire, le puni méritait une bonne correction.
La peau de
ses fesses devint cramoisie, du sang coulait un peu, les 50 coups se finirent
dans un long cri continu du puni…
- 50 !
Mathias
s'arrêta il souffla un bon coup, le puni était affalé il gémissait, la punition
était terminée, mais je ne dis rien pour lui, pour un récidiviste de l'évasion
c'était mérité!
Je regardai
le corps du "Petit", il s'était mis à trembler sachant que son tour
était venu, Mathias vint vers lui, sa lourde strap à la main, il me regarda, je
lui fis signe d'y aller doucement, il acquiesça.
- Aller
Mathias finissons-en!
- Pitié
Maître ! Gémit le puni, mais je fis signe à Mathias de commencer.
Les
premiers coups de la large lanière de cuir claquèrent sur les fesses du
"Petit", son corps se cabra nerveusement, il cria, pourtant Mathias
modérait bien ses coups. Ses fesses déjà bien rouges prirent une teinte
violacée, elles étaient en plein soleil, on ne voyait qu'elles.
Ses
soubresauts s'amoindrirent, il perdait ses forces, on arriva au trentième coup,
Mathias me regarda, prêt à donner le coup suivant. Je levai la main pour
l'arrêter. Je me dirigeai vers la tête du petit en faisant signe à Stéphane de
me suivre.
Le
"Petit" ne nous vit pas arriver il sanglotait bruyamment, la tête
basse, je le pris par les cheveux et lui levai la tête, sa figure était trempée
de larmes, me voyant il murmura:
- Pitié…
Maître… Pitié… Je ne le referai plus…
- Je n'en
suis pas sûr, tu as voulu fuir, tu le referas, tu crois que ton jeune maître
Stéphane est content de ta fuite, et qu'il aime te voir fouetté?
- Pardon
Maître Stéphane… Je ne le ferai plus…
- Je n'en suis
pas sûr! Dit Stéphane d'un ton assez dur. Je repris la parole:
- Moi non
plus je n'en suis pas sûr, on peut te faire confiance mon gars, encore 20 coups
de fouet ça te fera du bien!
- Oh
Maître… Et il reprit ses sanglots.
- Bon mon
garçon, tu as reçu 80 coups il en reste 20, si tu promets d'être sage, je peux
mettre les 20 coups en sursis, on arrête là mais à la première faute tu les
recevras!
- Maître je
serai sage…
- Alors
Stéphane on en reste là?
- Oui mon
cousin, je préfère aussi.
Je fis
signe à Camille de venir et lui demandai de libérer le jeune puni, celui-ci
tomba à genoux abattu. Il pleurait toujours.
- Camille,
il dort où ce garçon?
- Comme il
est jardinier il dort au dessus de la réserve avec le "Bègue", le
garçon là bas! Il me désigna un garçon qui avait assisté à la punition.
- Fais-le
venir ici Camille.
Camille fit
un signe au garçon, celui-ci fut surpris, mais il vint et se jeta à genoux à
mes pieds:
- Maî… Maî…
tre… Pa… Pa… Par… Pardon… Je… Je…
- Ah je
comprends pourquoi on t'appelle le "Bègue"! De quoi je dois te
pardonner?
- La… la…
la… pio… pio… pio… pioche…
- Mais
quelle pioche, mon garçon? Il était terrifié, il tremblait à genoux devant moi.
Camille prit la parole:
- La
pioche, oui c'est arrivé hier, il piochait tout doucement ça m'a énervé, je lui
ai pris la pioche des mains et j'ai donné un grand coup là où il piochait, la
pioche a cassé, il y avait une grosse pierre, mais il n'y est pour rien, il a
voulu m'arrêter, mais le temps de le comprendre… C'est de ma faute pas de la
sienne!
- En effet!
On verra ça Camille, mais mon garçon je t'ai fait venir puisque tu es le voisin
du puni, tu vas t'en occuper, vas l'aider à aller dans votre chambre, et qu'il
s'y repose!
Le garçon
essaya de dire quelque chose, il n'y arriva pas, il prit ma main et l'embrassa,
je lui passai la main dans les cheveux, il n'était pas vilain garçon…
- Bon
rentrons à la maison, pour le "Grand", qu'on le mette au cachot, je
ferai envoyer des hommes pour l'emmener au bagne dans quelques jours!
Une fois
rentré, nous bûmes un verre frais, discutâmes un peu et je demandai alors à
Camille de m'accompagner au bureau. En entrant au bureau je remarquai qu'à part
le fauteuil du Maître il n'y avait plus de siège, je m'assis dans le fauteuil,
sur le bureau, il y avait le livre de comptes et le registre des punitions,
Camille resta debout presqu'au garde-à-vous. J'ouvris le livre de comptes et
nous avons parlé des dernières ventes de produits agricoles, il n'y avait rien
à dire de ce coté là, tout était net. J'ouvris alors le registre des punitions,
et en tirai la feuille concernant Camille, aussitôt je l'entendis bouger et en
levant la tête je le vis jambes écartées, mains sur la tête!
- Alors mon
gars tu sais pourquoi je sors cette feuille? Tu dois être puni?
- Maître
vous savez que je me suis emporté contre le "Bègue" et que j'ai cassé
une pioche, je vous en demande pardon, Maître!
- Je n'aime
pas du tout qu'on se fâche idiotement contre un esclave sans rien lui demander,
tu t'es emporté comme un gamin, je vais te punir, cul nu!
Il me
regarda un peu honteux, il déboucla sa ceinture, fit tomber son pantalon et son
caleçon, les rangea dans un coin et reprit la position du puni devant le bureau
prêt à s'y courber, il baissait la tête. Je reculai mon siège.
- Tu t'es
comporté comme un gamin, aller viens sur mes genoux!
- Maître…
- Aller,
dépêche-toi!
Il vint
alors docilement se coucher sur mes genoux, son sexe vint se placer entre mes
jambes, il écarta un peu les siennes et cambra ses fesses, il avait bien retenu
la position. Je ne reviens pas sur la beauté des fesses de Camille, la vue que
j'en avais, son dos musclé que sa chemise avait découvert, bref ce bel homme
soumis couché sur moi pour être puni, il n'en fallu pas plus pour que mon
membre se tende… Je commençai à le fesser doucement puis fermement, les coups
résonnaient bien, le puni se tendait à chaque claque. Après un quart d'heure
d'une vigoureuse fessée, mon puni ne réagissait presque plus, ses fesses
étaient écarlate, il devait sentir une forte chaleur. J'arrêtai, et posant ma
main sur ses fesses:
- Alors mon
garçon tu as compris la leçon?
- Oui
Maître, merci Maître…
- Tu
mérites la ceinture?
- C'est
vous le maître… La fessée a été forte Maître…
- Oui tu as
été fessé comme tu l'as mérité, j'aurais aimé te donner le martinet, mais je
n'en vois pas ici c'est dommage, il faudra que je t'en fasse livrer.
Ma main se
fit caressante, ses fesses rondes et chaudes étaient douces, mes doigts
allèrent au fond de sa raie, pour chatouiller son intimité, il écarta un peu
plus ses jambes, je sentis son sexe se dresser contre ma jambe…
- Tu aimes
ça mon voyou!
- Maître
vous êtes si doux après une bonne fessée… Prenez-moi Maître, mon cul est pour
vous!
- Et si je
ne veux pas?
- S'il vous
plait Maître…
-
Couche-toi sur le bureau!
Aussitôt
j'eus Camille prêt, cul bien cambré, je le lubrifiai avec un, deux et trois
doigts, il gémissait de plaisir. Bien sûr mon sexe fut vite bien tendu, je le
pénétrai facilement, et commençai mes allers et retours, Camille se mit à
émettre des petits cris de plaisir, il adorait ça, cela augmenta mon plaisir,
et j'éjaculai dans un bon orgasme. Je me retirai doucement haletant, son sexe
était bien tendu.
-
Branle-toi mon garçon!
Il se mit à
genoux par terre et il fallu peu de temps à sa main pour achever son plaisir qui
éclata dans des cris rauques. Je le rejoins et nous nous embrassâmes
longuement.
Plus tard
nous nous sommes rhabillés et nous avons pris le repas de midi avec tout le
monde.
Nous
repartîmes peu après, Julien, Stéphane, mes gardes et moi. Sur le chemin du
retour en passant sur un boulevard de la ville, je vis une nouvelle boutique
isolée, au dessus d'une vitrine une plaque indiquait simplement "Tout les
Cuirs", j'étais le dernier le la file avec Mathias, lui faisant un signe
je fis tourner mon cheval, Mathias me suivit, nous regardâmes le vitrine. IL y
avait toute sortes de fouets, martinets, straps, plaques de bois, canes en
rotin, cravaches bref tout pour punir les mauvais esclaves.
- Voila une
boutique bien intéressante, il faudra que j'y vienne faire un tour…
- Maître
vous avez vu ce fouet? Il me montra un gros fouet de cuir en forme de serpent qui
rétrécit.
- Oui ça
doit être efficace!, je quittai la vitrine pour regagner la route.
- Maître
vous voulez acheter ça?
- Tu es
bien curieux Mathias! Tu en mériterais quelques coups!
Pardon Maître. Et il baissa la tête, honteux.
Je
m'approchai de lui, et le prenant par la nuque:
- Tu crois
que je punirais un curieux comme toi, en lui déchirant la peau avec ce fouet?
- Non
Maître pardonnez-moi.
- Tu es
pardonné mon grand, ais plus confiance en moi!
- Maître je
peux vous dire encore quelque chose, vous ne serez pas fâché?
- Ca dépend
de ce que tu demande, vas-y!
- Maître
c'est pour Thomas…
- Ah je m'y
attendais, ça m'étonnait que personne ne le défende! Mais je ne vais pas le
tuer Thomas, je l'aime bien tu le sais et il a été puni injustement à Broc,
alors il ne risque pas grand-chose, une bonne fessée, comme rappel à l'ordre,
et toi Mathias tu pourrais t'en prendre une aussi si tu m'embêtes encore! Mais
à la fin mon ton était plus gai. Il me sourit doucement, le charmant garçon, en
disant:
- Merci
Maître…