Chers lecteurs et amis,
Ce blog va s’arrêter là, je suis atteint d'une maladie incurable et n'ai plus le cœur à écrire. Ainsi j'abandonne Mathieu et son monde, pourtant les idées ne me manquent pas.
Si un volontaire veut prendre ma succession je lui laisserai les clés du blog...
samedi 7 décembre 2013
samedi 6 avril 2013
Le Domaine de Saint Christophe 63 – Léo le jeune paysan
Nous
arrivâmes au château en début d'après midi, je passai immédiatement au poste de
garde, Thomas était en train de laver le sol à quatre pattes, il me regarda
craintif.
-
Thomas dans un quart d'heure avec Aurélien dans mon bureau!
-
A vos ordres Maître!
Accueillis
par les sourires de Tom et d'Yves au salon, nous bavardâmes un peu, Yves me fit
un signe pour me parler discrètement, je m'écartai avec lui.
-
Maître, Jérôme est venu de Saint Christophe, il voulait vous parler d'urgence,
c'est un problème de viol…
-
De viol? Je n'aime pas ça, j'irai à Saint Christophe tout à l'heure.
-
Il m'a dit qu'il fallait agir avant demain soir, mais il n'a pas voulu m'en
dire plus…
-
Bien merci Yves!
Je
lui fis un bisou et bu avec Julien et Stéphane la boisson que Tom apporta. Nous
fîmes le bilan de la matinée aux Ormes, le calme y régnait, c'était bien.
Je
regagnai mon bureau, j'eus à peine le temps de prendre un papier qu'on frappa,
et Thomas entra avec Nicolas. Ce dernier parla:
-
Maître Aurélien est pris, l'accouchement de la femme de Gault a commencé, il
vous demande de l'excuser.
Thomas
mit ses mains sur sa tête et Nicolas fit de même, mes deux garçons étaient dans
la position du puni! Je m'assis sur le bureau juste devant eux:
-
Nicolas, je ne t'ai pas convoqué, tu as fait une faute depuis ce matin?
-
Maître ce matin vous étiez en colère contre moi, vous avez dit que j'étais un
incapable, j'aurais dû les réveiller avant, je pense que j'ai mal fait.
-
Nicolas, ce matin j'étais en colère, mais oui pourquoi tu ne les as pas
réveillés, tu es arrivé tard aussi?
-
Non Maître je suis toujours avant 7 heures et demi à l'infirmerie, après avoir
confié ma fille à sa gardienne, mais je ne réveille jamais Aurélien, il a
peut-être passé la nuit auprès des malades, je fais les premiers soins, je vais
le chercher s'il y a urgence, mais souvent il est levé à 8 heures. Et ce matin
je ne savais pas que Thomas était là Maître.
-
D'accord, bon à l'avenir tu réveilleras Thomas et Aurélien en arrivant! Mais
baisse tes bras mon garçon, je ne te punirai pas, et file vite si Aurélien a
besoin d'aide!
-
Merci Maître!
Il
embrassa ma main et sortit rapidement, je me tournai vers Thomas, il était tête
baissée toujours en position du puni.
-
Déshabille-toi Thomas!
Il
fut rapidement nu, ses affaires bien pliées sur une chaise, il revint devant
moi. J'étais assis sur le bureau jambes écartées, je commençai à bander, rien
qu'à voir mon beau Thomas nu devant moi, je lui fis signe d'approcher, je pouvais
le toucher.
-
Alors Thomas tu as dû passer une bonne nuit avec Aurélien pour dormir encore à
9 heure, on fait les fous et on 'est pas prêt pour le travail!
-
Maître je vous demande pardon, je n'ai pas d'excuses…
Je
le pris par la taille et l'attirai vers moi, il était presque contre moi, je
mis mes mains sur ses fesses en le caressant.
-
Alors raconte-moi cette nuit, tu dois tout raconter à ton Maître…
-
Maître… Je n'ai jamais passé une nuit comme ça, je n'avais jamais connu d'autre
garçon que vous Maître… Pardon pour le garçon Maître…
-
Tu es pardonné continue mon grand!
-
Maître, Aurélien il est tout doux, il m'a tout déshabillé en me caressant
Maître, j'ai fait pareil avec lui Maître, puis on s'est embrassés Maître, et il
a mis mon sexe dans sa bouche et il m'a demandé de faire pareil, c'était bon
Maître… Plus tard il m'a fait mettre à 4 pattes et il a mis sa bouche sur mes
fesses en me léchant Maître, il a mis sa langue dans mon… mon cul… Pardon
Maître…
-
C'était bon ça?
-
Oh oui Maître! Après il m'a pris avec son sexe, comme vous faites Maître…
C'était bon j'ai commencé à me branler Maître, mais il m'a dit de me retenir,
il est resté longtemps dans moi, il en est sorti doucement, il s'est mis à 4
pattes aussi et il m'a demandé de lui faire pareil, je l'ai léché et je l'ai
pris, c'était la première fois Maître que je le faisais, c'était bon et je n'ai
pas pu me retenir Maître, et lui non plus…
Après on s'est couché ensemble en roulant sur le lit… Mais plus tard on a recommencé…
Après on s'est couché ensemble en roulant sur le lit… Mais plus tard on a recommencé…
-
Eh bien en forme les garçons! Combien de fois dans la nuit?
-
Trois Maître… Ce n'est pas bien Maître?
-
Ce n'est pas mal mais je comprends pourquoi vous dormiez à 9 heures, mes
lascars!
-
Pardon Maître…
-
Thomas, tu as bien fait l'amour avec ton nouvel amant, je n'ai rien à te reprocher
de ce coté là, mais tu n'étais pas prêt pour servir ton Maître le matin, et
c'est grave pour un garde!
-
Oui Maître je vous demande pardon, ça ne se reproduira plus, Maître si vous
m'autorisez à revoir Aurélien… Punissez-moi sévèrement Maître, mais que je
garde Aurélien, Maître…
Il
tomba à genoux en pleurant.
-
Debout mon grand, je n'ai pas oublié que tu as été injustement fouetté à Broc,
et ce matin tu as reçu la ceinture avec Aurélien, alors je ne vais pas te punir
très fort, et reste avec Aurélien, soyez heureux mais n'oublie pas ton travail!
Je
le tirai vers moi, le couchant sur ma jambe gauche, ses fesses bien à la portée
de ma main droite, et la fessée commença, je le claquai, avec une force bien
légère, comme il était collé à moi, je sentais toutes ses réactions et si au
début il était tendu il devint plus souple, les claques ne sonnaient pas très
fort, il était rassuré la punition ne serait pas dure. Quand ses fesses furent
rose, j'arrêtai la fessée et continuai par des caresses de ses belles fesses…
-
Voilà mon garde, tu es pardonné!
-
Merci Maître!
Il
se mit à genoux et embrassa ma main, je me penchai et lui fis un gros baiser
sur la bouche.
-
Bon Thomas, tu vas aller te mettre en tenue, et faire préparer nos deux
chevaux, nous allons à Saint Christophe!
-
A vos ordres Maître, merci de votre clémence Maître!
Il
partit une fois habillé, j'allai au salon, Julien et Stéphane discutaient
encore.
-
Dis Julien, je voyais l'autre jour les travaux du train, la ligne devait passer
derrière le Mont Rond, pas devant dans les marais, pourquoi, ils travaillent
dans les marais?
-
Je me suis posé la même question, Monsieur, à l'origine les plans étaient
clairement par un passage derrière le mont avec un pont pour passer le petit
ravin. Ils ne vous ont rien demandé?
-
Non, il faudra que j'aille voir la direction… Bon je dois aller à St
Christophe!
Nous
sommes arrivés au village après un trajet agréable avec Thomas tout gentil et
heureux, il avait eu peur d'une sévère punition, et de devoir ne plus voir son
amant, et c'était tout le contraire, seulement une fessée qui lui laissait une
douce chaleur sur les fesses.
Jérôme
sortit de sa maison pour nous accueillir, un esclave vint prendre les chevaux.
Les premières salutations faîtes Il nous parla de sa préoccupation:
-
Maître, une femme du village va tous les deux jours à la ferme du Logis pour
chercher les œufs qu'ils produisent. Elle y va vers 5 heures l'après-midi, mais
elle s'est fait violer plusieurs fois par des gars du chemin de fer dans le
petit bois qu'elle doit traverser.
-
Plusieurs fois tu dis, et je ne le sais que maintenant?
-
Je ne l'ai su que hier soir Maître, ils l'ont menacée, elle n'a rien osé dire,
même à son mari. Mais elle est venue me voir hier soir.
-
Fais-la venir ici avec son mari, que je l'entende.
Quelques
minutes après une jeune femme entra, suivie par son mari, un jeune gars bien
bâti avec une figure fine, ils se jetèrent les deux à genoux, être convoqués
par le Maître ce n'est pas fréquent, la fille pleura doucement.
Je
les fis se relever, m'approchai de la fille et lui mettant un bras sur son
épaule, et lui parlant doucement je lui demandai de raconter son histoire. Elle
me confirma les dires de Jérôme, que chaque fois qu'elle traversait le bois
elle était agressée, menacée d'un couteau et violée par trois hommes de forte
corpulence, un jeune était là aussi mais il ne la violait pas.
-
Pourquoi ?
-
Maître il est aux ordres des autres mais il y en a un qui semble tous les
diriger.
-
Un chef surement. Il est prévu que tu y retournes demain c'est ça?
-
Oui Maître, elle tremblait en parlant.
Je
pris Jérôme en aparté, nous discutâmes d'un plan à bâtir. Une fois les grosses
lignes fixées, je m'adressai à la fille:
-
Ma grande, demain tu iras aux œufs comme d'habitude, mais nous tendrons un piège
aux violeurs pour les arrêter, il te faudra du courage mais n'aie pas peur,
nous serons là cachés, tu ne seras pas violée.
Le
jeune mari releva la tête il était en colère, plus craintif du tout:
-
Non Maître, je ne veux pas qu'elle y retourne, c'est trop risqué!
-
Comment ça tu ne veux pas?
-
Non Maître, ils vont la tuer! Je vais y aller moi!
-
Depuis quand un esclave discute mes ordres! File te mettre à genoux devant ce
mur les mains sur la tête!
Le
gars alla s'agenouiller contre un mur, les mains sur la tête, hors de question
de plus désobéir au Maître…
-
Maître ne le punissez pas, il a peur pour moi, moi je veux bien aller demain,
vous me protègerez d'eux Maître?
-
Oui n'aie crainte, nous les arrêterons! Je n'en étais pas complètement sûr,
tout dépendait de qui ils étaient. Une voix vint du mur:
-
Non Maître, je veux y aller aussi, je les tuerai, mais je ne veux pas qu'elle y
aille!
Il
se releva et vint serrer sa femme dans ses bras, me regardant franchement avec
colère.
-
Ca suffit ! Insolent ! Jérôme mets moi cet homme au cachot, et il sera puni!
Jérôme
s'en empara, il se laissa faire, ils descendirent un escalier et j'entendis des
bruits métalliques.
La
fille se jeta à mes genoux:
-
Maître Pitié, il n'est pas comme ça d'habitude… Ne le fouettez pas…
-
Je ne le punirai pas trop sévèrement, n'ais pas peur, mais il restera au cachot
jusqu'à ce que l'affaire soit terminée, il faut que l'on soit discrets demain
pour prendre les coupables!
Je
la relevai, la serrai dans mes bras pour la rassurer:
-
Soit courageuse pour demain ma fille, rentre chez toi, Jérôme te donnera des
instructions demain.
La
fille partit, elle obéissait à son Maître au moins… Jérôme remonta des cachots,
nous prîmes le temps de bien définir le plan du lendemain pour bien tendre un
piège aux violeurs et les prendre sur le fait. Une fois tout fini, je dis à
Jérôme:
-
Bon, on va aller rendre visite à l'excité au cachot, apporte-moi un bon
martinet!
Il
ouvrit un placard et sortit un martinet aux longues lanières épaisses et
souples, un bon instrument pour corriger un esclave insolent. Je le pris en
main et nous descendîmes aux cachots. Jérôme portait une torche, un escalier
nous mena à une salle assez grande, voutée avec des anneaux aux murs, et des
petits cachots donnaient sur la salle. Dans l'un deux le mari, attaché avec des
chaînes nous regardait, Jérôme alluma une deuxième torche, nous y vîmes
beaucoup plus clair. Dans un coin il y avait un banc, je le fis apporter par
Jérôme, et je m'assis dessus.
-
Amène-moi le prisonnier!
Il
ouvrit le cachot, détacha l'esclave et le poussa devant moi et le fit mettre à
genoux, l'esclave tenait la tête baissée, les cheveux courts, un beau visage de
jeune mâle doux, il ne dit rien, il tremblait…
-
Alors insolent, on fait moins le malin?
Il
ne dit rien, il trembla un peu plus, il était fautif devant son Maître, il
allait être puni, surement fouetté au sang, le Maître tenait un grand martinet,
il allait s'en servir sévèrement…
-
Tu n'a rien à dire? Tu t'appelles comment, et tu as quel âge?
-
Léo… Maître… 19 ans…
-
Alors Léo, tu te rebiffes contre ton Maître et contre ton Chef?
-
Maître j'ai peur pour Claire, j'ai peur…
-
Mais tu n'as pas confiance en ton Maître, tu vas être puni pour ton insolence
et ta désobéissance, déshabille-toi, et debout les mains sur la tête!
Le
pauvre garçon se mit nu, et les mains sur la tête il se tenait devant moi, les
yeux baissée. C'était un beau garçon le corps assez musclé, pas de graisse, un
sexe bien fait, je le fis se retourner, son dos formait un V parfait, ses
fesses bien rondes et musclées, des jambes droites, et peu de poils, j'étais
étonné, habillé il ne semblait pas si beau!
-
Eh bien Jérôme ils sont tous aussi bien faits les garçons d'ici?
-
Maître, ils sont bien nourris, le travail les muscle, mais ils ne sont peut-être
pas tous aussi bien faits que Léo.
-
C'est bien Jérôme, mais tus a déjà eu des problèmes avec ce Léo?
-
Non Maître, jamais jusqu'à aujourd'hui, c'était un bon paysan, obéissant et
travailleur.
-
Bon je vais en tenir compte!
Le
garçon nous tournait toujours le dos, ses fesses attiraient mon regard comme un
aimant, il fallait que je les touche, Léo aura donc droit à une fessée pour
commencer…
-
Léo viens ici et couche toi sur mes genoux!
Le
garçon fut vite là et se courba et vint s'installer sagement sur mes genoux, il
mit ses fesses en haut, les mains à terre et cambra son cul pour bien me
l'offrir. Cela m'étonna pour un jeune paysan.
-
Ils ont l'habitude des fessées tes paysans, Jérôme?
-
Maître, j'ai demandé aux chefs de fesser plutôt que de fouetter les jeunes pour
les petites fautes, ils ont tous appris la position Maître.
-
Félicitation Jérôme, et toi Léo tu es souvent fessé par ton chef?
-
Une seule fois Maître… Pour un travail mal fait.
-
Et tu as été fessé en public?
-
Devant toute l'équipe Maître…
-
La fessée a été longue et forte?
-
Le chef nous fesse pendant 10 mn Maître au minimum…
Pendant
qu'il me racontait ça j'avais déjà posé ma main droite sur ses fesses, elles
étaient douces et ferme, je sentis des réactions dans mon bas-ventre… La fessée
commença, je claquai d'emblée assez fort, au début le puni ne régit pas puis à
chaque claque je sentis une tension de son corps, puis des petits gémissements
se firent entendre. Mais je ne freinai pas, les fesses devinrent rose, puis
foncèrent, je n'oubliai pas le haut et le bas des fesses, ce fut une bonne
surface qui devint rouge. Le puni gémissait mais il gardait bien la position,
il se mit à trembler, j'arrêtai la fessée et posai ma main sur ses belles
fesses bien rouges, les massant légèrement, il se détendit immédiatement!
-
Alors tu seras encore insolent?
-
Maître… Pardon… Je ne le ferai plus... Mais j'ai peur pour ma femme…
-
Et tu ne fais pas confiance à ton Maître?
-
J'ai… J'ai trop peur pour elle…
-
Je ne te demande pas si tu as peur, je te demande d'obéir avec confiance!
-
Maître… Je ne peux pas… Je ne veux pas qu'elle y aille…
-
Bon, il va falloir te fouetter si je comprends bien!
-
Pitié Maître…
-
Debout et les mains au mur, cul bien cambré!
Il
se leva, alla vers le mur posa ses mains pas trop haut, recula un peu ses
pieds, ses fesses formèrent un angle, il se cambra pour qu'elles soient mieux
offertes au fouet, je m'approchai de lui, lui demandai d'écarter un peu les
jambes, ce qu'il fit immédiatement, j'eu alors un cul bien offert pour la
punition comme il aurait pu être offert à mon plaisir! Je posai ma main sur ses
fesses, entrai un doigt dans sa raie, la caressai et allai titiller sa
rondelle, il frémit, de plaisir ou de crainte?
Je
le quittai pour prendre le martinet, Jérôme s'approcha:
-
Maître, ce n'est pas un mauvais gars…
-
Je sais Jérôme, mais je le voudrais plus soumis, il doit obéir, on devrait y
arriver sans le fouetter violemment.
Le
martinet était lourd, il pouvait faire presque les mêmes ravages qu'un fouet,
je le soulevai et frappai en plein milieu des fesses du puni, les lanières
claquèrent bien, Léo poussa un petit cri, et le deuxième coup tomba. Chaque
coup laissait des zébrures rouges sur la peau déjà rouge de ses fesses. Je
modérai mes coups pour ne pas le fouetter au sang, mais chaque coup devait être
douloureux, Léo criai maintenant à chaque fois! Après 20 coups je m'approchai
de lui, il tremblait, il tourna sa tête vers moi, il pleurait, qu'il était
mignon comme ça! Je posai ma main sur sa nuque:
-
Alors Léo, il faut encore te fouetter pour que tu nous fasses confiance?
-
Maître… je vous fais confiance… Mais ramenez-moi Claire en vie, pitié Maître…
-
On la ramènera en vie mon garçon, j'y comte bien, aller la punition est finie,
enlève tes mains du mur!
Il
se redressa et vint à genoux devant moi, ses joues étaient marquée par les
larmes, il me regarda avec des yeux implorants, un regard à me faire fondre…
-
Jérôme remonte, je reste un peu avec lui, qu'il reste enfermé jusqu'à demain
soir mais qu'on lui apporte un matelas et plus de chaînes!
Jérôme
acquiesça il quitta la pièce, nous laissant les torche. J'étais toujours devant
Léo, il me regardait avec humilité et crainte. Je m'assis sur le banc et le fis
venir devant moi, toujours à genoux. Je pris sa tête et la pressai sur mon ventre,
je voulais consoler ce beau garçon. Cette démonstration d'affection le fit
craquer, il redoubla de pleurs, se serrant encore plus contre moi. Avoir ce
beau garçon dans mes bras me fit bander, j'avais une terrible envie de lui.
-
J'ai envie de toi Léo, tu es tellement beau…
-
Maître… Je suis votre esclave, mais ça peut faire mal…
-
N'aie pas peur je serai doux, tu as déjà été pris par un homme?
-
Oui Maître à 15 ans par mon chef… Il a été dur…
-
C'était avec les anciens chefs, ça ne se reproduit plus maintenant?
-
Non Maître…
-
Tu n'as pas peur?
-
Non Maître vous êtes gentil…
Entendre
cette affirmation après l'avoir fouetté me fit sourire. Je lui fis un petit
bisou sur le front, il me regardait plus confiant maintenant, je lui demandai
de dégrafer mon pantalon et ma chemise. Quand il ouvrit les boutons du
pantalon, mon sexe en sortit, il avait besoin de liberté, mais il était encore
retenu par le caleçon. Il regardait ça mais n'osait pas aller plus loin, il me
regarda interrogateur…
-
Suce-moi mon garçon!
Il
s'exécuta sans hésitation, me pris à pleine bouche, et commença un va-et-vient
qui me fis bander encore plus, j'étais excité de plus en plus et tout étonné
qu'un petit paysan ait ce savoir faire… Mais peu après mon désir venant je lui
dis d'arrêter. Je le fis mettre à quatre pattes, jambes bien écartées tout
offert un beau spectacle avec ses fesses toutes rouges et zébrées. Ma veste
n'était pas loin, avec un petit flacon de vaseline dans une poche, je le pris
en mis sur son orifice, et sur mes doigts, j'en introduisis un le limant pour
bien le lubrifier, il n'était pas trop serré, je pus y aller avec trois doigts
et c'est donc dans un cul bien préparé que je m'introduisis. J'y allai
doucement comme promis et je pus entrer en lui à fond, sans problèmes il poussa
juste un petit gémissement. Il était très accueillant je commençai à bouger
c'était délicieux, mon sexe se tendit de plus en plus. Je pris son sexe à
pleine main, il banda aussitôt et atteint vite une belle dureté. Il gémissait
de plus en plus mais de plaisir cette fois, moi, mes coups de riens me
provoquait une sorte de râle… Son sexe était toujours dans ma main il allait
éclater mais c'est moi qui éclata en lui, dans un orgasme parfait, quelque
secondes après il éjacula par terre en poussant un râle plus fort que le mien.
Je
m'allongeai un peu sur son dos, je sentais ses fesses brûlantes sur mon aine,
je sortis de lui, m'essuyas avec un mouchoir, je le fis se relever, nous étions
tous les deux nus à genoux l'un devant l'autre, nos sexes détendus, il n'osait
pas me regarder, je lui pris le menton et lui souris, il me rendit mon sourire,
un vrai ange. Je le pris dans mes bras pendant un moment et je lui fis deux
bisous, je me relevai et me rhabillai, lui demandant de remettre aussi ses
habits de paysan.
-
Tu es un bon garçon Léo, tu resteras ici cette nuit et demain, sois sage, tout
se passera bien!
-
Merci Maître, pardon de vous avoir déplu, je ne le ferai plus, vous êtes gentil
Maître…
Il
se mit à genoux et embrassa ma main, je lui caressai les cheveux, et lui
lançant un sourire je repris l'escalier pour la salle du haut où je retrouvai
Jérôme.
-
C'est un bon garçon ce Léo, tu l'enfermeras pour la nuit et demain, nourris le
bien, et pommade-lui les fesses dès que tu peux.
-
A vos ordres Maître… Euh… Vous avez été satisfait par lui Maître?
-
Plus qu'espéré, Jérôme, ce jeune paysan est très doué, c'est étonnant!
-
Vous savez, Maître, les jeunes garçons avaient souvent des liens entre eux,
surtout quand ils recevaient le fouet, s'ils rencontraient une fille…
Je
comprenais mieux pourquoi le jeune Léo m'avait bien sucé, ce n'était pas la
première fois qu'il le faisait. Je repris les discutions pour l'organisation du
lendemain avec Jérôme, et le quittai pour rejoindre le château avec Thomas à
mes cotés.
Une
fois dans mes appartements, ni Tom, ni Yves n'étaient là, c'était un peu
surprenant, mais comme j'étais rentré sans trop de bruit, ça s'expliquait
peut-être. Je demandai à Thomas d'aller chercher Aurélien immédiatement.
Peu
après on frappa à mon bureau, Aurélien entra et prit immédiatement la position
du puni, les mains sur la tête.
-
Oui Aurélien tu mérites une punition, mais tu n'avais pas d'obligation
d'horaire ce matin, pas comme Thomas.
-
Maître je ne l'ai pas réveillé, il a été puni, je dois l'être aussi, Maître!
-
C'est moi qui décide Aurélien, même si ça ne me déplairais pas de te rougir tes
belles fesses! Qu'en est-il de la femme de Gault?
-
Maître il n'y avait pas deux mais trois bébés à naitre…
-
Des triplés? Mais c'est très rare et dangereux pour la mère!
-
Elle ne va pas trop mal Maître, elle est très fatiguée, elle se repose.
-
Et les trois bébés, ils sont vivants, garçons ou filles?
-
Trois garçons, Maître, tous vivants mais tous petits, ils font à peine un kilo…
Je
me levai, allai vers lui et abaissai ses bras:
-
Allons les voir plutôt que parler de fessée!
Nous
montâmes à l'infirmerie, les trois bébés étaient à part dans une petite pièce
où il faisait chaud, un poêle flambait, je vis les trois marmots bien
emmaillotés, malgré leur petite figure fripée ils étaient les trois pareils.
Dans une pièce à coté la mère dormait, nous la laissâmes tranquille, je me
retrouvai dans le bureau d'Aurélien avec lui.
-
Ils ont une chance de vivre, les trois garçons?
-
Peut-être, il ne faut pas qu'ils tombent malades, et il faut les nourrir, il y
a plusieurs femmes pour les nourrir ici, on devrait y arriver, avec des
biberons.
-
Ces petites bouteilles? On en a?
-
Oui j'en avais un dans la réserve.
-
Et tu voulais que je te donne une fessée après tout ce bon boulot!
-
Thomas l'a reçue il ne travaille pas mal non plus…
-
Bon ça suffit ou je t'en donne une!
-
Comme celle de Thomas Maître?
-
Bon baisse ton pantalon qu'on en finisse!
Il
vint cul nu se coucher docilement sur mes genoux présentant bien son cul,
jambes un peu écartée. La fessée commença, de force moyenne sur ses belles
fesses, j'adorais le physique d'Aurélien, et quand il se soumettait comme ça
c'était un vrai plaisir de le fesser. Aux claques, se succédèrent assez vite
les caresses, mes mains se promenaient sur les fesses roses, dans sa raie, il
gémissait de plaisir, il se mit à bander, je fus surpris en l'entendant dire:
-
S'il vous plait Maître, fessez-moi encore…
samedi 30 juin 2012
Le Domaine de Saint Christophe 62 – Punitions aux Ormes
Une fois
arrivés au Château, installés au salon Stéphane et moi, nous discutions
tranquillement, le beau Tom nous avait apporté des rafraîchissements, Je
parlais aussi avec Yves sur les sujets habituels.
On frappa à
la porte, Tom alla voir et revint:
- Maître,
c’est Thomas, il souhaiterait vous parler.
- Qu’il
entre alors!
Thomas
entra, il paraissait soucieux, il vint devant moi tête baissée.
- Eh bien
Thomas, parle, puisque tu es venu pour ça!
- Maître…
Il regarda autour de nous, très gêné.
- Tu veux
me voir seul c’est ça Thomas?
- S’il vous
plait Maître…
Je me levai
et le pris par les épaules, l’emmenant dans mon bureau, une fois la porte
fermée je me tournai vers lui:
- Alors,
Thomas?
- Maître…
Euh… Est-ce que j’ai le droit d’aimer un garçon?
- Est- ce
que j’ai déjà interdit ça?
- Maître,
je suis votre garde personnel…
- Oui mais
tu n’es pas mon amant régulier, même si tu es un des plus beaux garçons du
Château!
Je posai
mes fesses au bord du bureau et j’attirai Thomas contre moi, entre mes jambes.
- Et qui
est l’heureux garçon que tu aimes?
- Maître
vous ne nous punirez pas?
- Non mon
Thomas, c’est Aurélien non?
- Oui
Maître.
- Eh bien
couche autant que tu veux avec Aurélien, ça te fera du bien et à lui aussi!
- Oh merci
Maître, il se courba pour embrasser ma main. Je le relevai et en le serrant
dans mes bras je l’embrassai sur la bouche.
- Mais
n’oublie pas que tu es mon garde, tu dois toujours me dire où tu es que je
puisse te trouver, même dans la chambre d’Aurélien!
- Bien sûr
Maître!
- Bon il
est tard, demain nous allons aux Ormes, vas prévenir, Éric, Mathias que vous
devez être prêts pour 9 heures précises, et bonne nuit avec Aurélien!
- Merci mon
Maître…
Je
l’embrassai encore une fois et je le reconduis vers la porte, il était tout
souriant mon beau Thomas. Je rejoignis le salon, puis après un bon souper avec
Stéphane et un peu de lecture, je retrouvai mon Yves au lit, le début de nuit
ne fut pas calme et c’est tous les deux que nous avons plongé dans le sommeil…
Le
lendemain matin après petit-déjeuner, tout le monde était prêt à 9h à la salle
des gardes, sauf Thomas qui était absent.
- Alex tu
n’as pas vu Thomas ce matin?
- Non
Maître, il n’était pas avec vous?
- Non mais
je sais où il doit être ce vaurien!
Je montai
alors à l’infirmerie, Nicolas était seul, il me dit ne pas avoir vu Aurélien ce
matin, j’allai alors dans la chambre d’Aurélien et j’ouvris la porte
brusquement, les deux tourtereaux étaient couchés nus sur le lit, serrés l’un
contre l’autre. Ils se réveillèrent à mon entrée et tentèrent de se lever, me
voyant en colère.
- Restez où
vous êtes fainéants!
J’étais en
colère, je vis sur une chaise, au-dessus d’un tas de vêtements désordonnés, le
ceinturon de Thomas, ils n’eurent rien le temps de dire je pris le ceinturon,
et leur dit:
- A plat
ventre culs bien tendus!
Aussitôt
dit j’eus mes deux coupables allongés le cul bien cambré, un superbe spectacle,
ils avaient un peu écarté les jambes, ils connaissaient bien les positions
exigées pour une punition, Thomas émit:
- Pardon
Maître… Pitié… Aiiieeeee!
Le
ceinturon était tombé bien à plat, et la danse commença, un coup pour l’un, un
coup pour l’autre, leurs fesses furent vite marquées par des plaques rouges, je
donnai une vingtaine de coups à chacun! Ils gémissaient en demandant pardon.
- Bon je
n’ai pas de temps à perdre avec vous, vous serez convoqués cet après-midi à mon
retour pour être fouettés, je vais vous apprendre à paresser au lit, à 9h.
Thomas tu iras voir Alex et tu feras les corvées qu’il te donnera, Aurélien,
toi, occupe-toi de tes malades!
Nicolas
était dans l’embrasure de la porte, il s’écarta pour me laisser sortir.
- Quant à
toi curieux, tu aurais dû les réveiller! Incapable!
Dix minutes
plus tard, après avoir quitté l’infirmerie dans un silence de mort, je
franchissais les portes de château avec ma troupe, Julien, Éric, Mathias et
Stéphane.
Je
m’approchai d’Éric:
- Tu vas
bien mon Éric, pas trop mal aux fesses, et tu n’as pas oublié de prendre la
strap?
- J’en ai
pris deux Maître, et mes fesses, elles piquent, Maître, surtout sur la selle!
- Tu aurais
dû les pommader mon garçon, Alex t’en aurait donné l’autorisation.
- Je n’ai
pas osé lui en parler Maître…
Je lui
caressai la nuque, ce brave Éric dont les belles fesses brûlaient encore me
sourit, il était très beau garçon comme ça.
Arrivés aux
Ormes nous sommes allés dans le salon, nous bûmes un bon café, et comme Camille
nous avait dit que les punis étaient encore au pilori, je décidai de les
fouetter dans cette position, je demandai à Camille de rassembler les esclaves
de la maison et des équipes des fautifs.
Une fois
dans la cour, bien ensoleillée ce jour, on ne pouvait pas louper du regard les
deux fessiers des punis, bien cambrés, jambes écartées, rien n’était caché! Éric
était avec moi, une longue strap à la main. Une petite troupe d’esclaves
étaient rassemblée dans un coin, ils écarquillaient les yeux, la punition de
deux fugitifs n’était pas chose courante et il valait mieux être spectateur que
puni!
Je
m’adressai à eux d’un ton ferme:
- Esclaves,
vous avez devant vous deux fugitifs, c’est une faute très grave pour un
esclave, il trahi son Maître! L’un deux s’est déjà enfui, sa punition sera donc
double, le fouet et le bagne, et croyez-moi la vie au bagne à St Christophe va
le dresser! Je condamne ces deux hommes à 100 coups de strap, appliqués
maintenant!
Je fis un
signe à Éric de venir vers moi, je lui dit à voie basse:
- Éric tu
frappes à pleine puissance le grand, je veux qu’il sente bien la strap, pour le
petit, sois moins sévère, il tremble depuis deux jours, il ne va pas tenir 100
coups à pleine force. Tu commences par 50 coups sur le grand, Mathias compte
les coups, aller travaille bien Éric!
- A vos ordres
Maître!
Éric prit
ses distances avec le puni, après avoir lancé sa strap doucement pour bien
ajuster ses coups il fixa sa position jambes écartées, bien stable prêt à
fouetter l’homme devant lui, il me regarda, je fis un signe d’acquiescement et
le supplice commença.
La longue lanière plate de cuir feula dans l’air et claqua
avec bruit sur le postérieur du puni, la peau des fesses blanchit et rougit
aussitôt, un cri surgit, le puni ne devait pas s’attendre à une telle force,
son corps de cabra, puis se relaxa. Aussitôt le deuxième coup s’abattit et ce
fut vite une succession de sifflements, claquements et cris qui suivirent. Les
fesses du puni rougissaient, au début les marques de la lanière apparurent
bien, puis se mélangèrent, lui il hurlait de plus en plus fort.
Les
premières traces de sang apparurent quand Mathias leva le bras en criant:
- 50 !
- 5 minutes
de pause pour Éric!
- Merci
Maître!
Les 5
minutes passèrent vite entre quelques commentaires de Camille et Stéphane, je
repris la parole plus haut:
- Éric, tu
es prêt pour 50 coups sur le "Petit"?
- Oui
Maître, à vos ordres!
Sur un
signe de ma tête, Éric prit position et la flagellation reprit, bien qu’Éric
ait bien suivi mes recommandations de frapper moins fort, l'effet des coups
restait impressionnant. Plus sensible le "Petit" criait à chaque coup,
son corps bougeait, à chaque claquement du cuir des marques se dessinaient sur
ses fesses, cuisses et bas du dos. Il endura quand même les 50 coups, à la fin
son corps se cabrait moins, il gémissait bruyamment, on l'entendait pleurer à
gros sanglots.
- 50 !
- Encore 5
minutes de pause et Mathias remplacera Éric!
Je
m'approchai de la tête du "Petit", il ne m'entendit pas il pleurait
en gémissant, je le pris par les cheveux, son visage était ravagé par les
larmes, il me regarda effaré.
- Alors
vaurien, tu comprends ce qu'il arrive aux fugitifs? Et sous l'ancien maître tu
aurais reçu le fouet au sang, tu le sais?
- Maître…
Pitié… Pardon…
- Pas de
pitié pour les vauriens, tu n'es qu'à la moitié de ta punition, tu la mérites!
Je le
quittai et je rejoignis Mathias qui avait déjà la strap en main, un redoutable
beau garçon prêt à fouetter! Je l'entretins à voie basse.
- Tu es en
forme Mathias?
- Oui
Maître pas de problèmes, à vos ordres Maître!
- Bon mon
garçon tu as vu qu’Éric n'avait pas fouetté les deux punis avec la même force?
- Oui
Maître, je fais pareil?
- Oui et
pour le "Petit" compte les coups et tu me regarderas au bout de 30
coups.
- Bien
Maître!
- Bon au
travail Mathias! Dis-je à haute voix.
Mathias se
posta derrière les fesses du "Grand", il écarta les jambes pour être
bien stables, ses belles fesses moulées dans son pantalon me donnèrent des
envies…
Je fus vite
distrait de mes pensées lubriques par les nouveaux claquements de la strap et
les cris du puni. Une nouvelle attaque du cuir sur les fesses bien marquées du
"Grand" devait être terrible, il cria à chaque coup, plus fort
qu'avant, Mathias y allait fort, presque plus fort qu’Éric, je le laissai
faire, le puni méritait une bonne correction.
La peau de
ses fesses devint cramoisie, du sang coulait un peu, les 50 coups se finirent
dans un long cri continu du puni…
- 50 !
Mathias
s'arrêta il souffla un bon coup, le puni était affalé il gémissait, la punition
était terminée, mais je ne dis rien pour lui, pour un récidiviste de l'évasion
c'était mérité!
Je regardai
le corps du "Petit", il s'était mis à trembler sachant que son tour
était venu, Mathias vint vers lui, sa lourde strap à la main, il me regarda, je
lui fis signe d'y aller doucement, il acquiesça.
- Aller
Mathias finissons-en!
- Pitié
Maître ! Gémit le puni, mais je fis signe à Mathias de commencer.
Les
premiers coups de la large lanière de cuir claquèrent sur les fesses du
"Petit", son corps se cabra nerveusement, il cria, pourtant Mathias
modérait bien ses coups. Ses fesses déjà bien rouges prirent une teinte
violacée, elles étaient en plein soleil, on ne voyait qu'elles.
Ses
soubresauts s'amoindrirent, il perdait ses forces, on arriva au trentième coup,
Mathias me regarda, prêt à donner le coup suivant. Je levai la main pour
l'arrêter. Je me dirigeai vers la tête du petit en faisant signe à Stéphane de
me suivre.
Le
"Petit" ne nous vit pas arriver il sanglotait bruyamment, la tête
basse, je le pris par les cheveux et lui levai la tête, sa figure était trempée
de larmes, me voyant il murmura:
- Pitié…
Maître… Pitié… Je ne le referai plus…
- Je n'en
suis pas sûr, tu as voulu fuir, tu le referas, tu crois que ton jeune maître
Stéphane est content de ta fuite, et qu'il aime te voir fouetté?
- Pardon
Maître Stéphane… Je ne le ferai plus…
- Je n'en suis
pas sûr! Dit Stéphane d'un ton assez dur. Je repris la parole:
- Moi non
plus je n'en suis pas sûr, on peut te faire confiance mon gars, encore 20 coups
de fouet ça te fera du bien!
- Oh
Maître… Et il reprit ses sanglots.
- Bon mon
garçon, tu as reçu 80 coups il en reste 20, si tu promets d'être sage, je peux
mettre les 20 coups en sursis, on arrête là mais à la première faute tu les
recevras!
- Maître je
serai sage…
- Alors
Stéphane on en reste là?
- Oui mon
cousin, je préfère aussi.
Je fis
signe à Camille de venir et lui demandai de libérer le jeune puni, celui-ci
tomba à genoux abattu. Il pleurait toujours.
- Camille,
il dort où ce garçon?
- Comme il
est jardinier il dort au dessus de la réserve avec le "Bègue", le
garçon là bas! Il me désigna un garçon qui avait assisté à la punition.
- Fais-le
venir ici Camille.
Camille fit
un signe au garçon, celui-ci fut surpris, mais il vint et se jeta à genoux à
mes pieds:
- Maî… Maî…
tre… Pa… Pa… Par… Pardon… Je… Je…
- Ah je
comprends pourquoi on t'appelle le "Bègue"! De quoi je dois te
pardonner?
- La… la…
la… pio… pio… pio… pioche…
- Mais
quelle pioche, mon garçon? Il était terrifié, il tremblait à genoux devant moi.
Camille prit la parole:
- La
pioche, oui c'est arrivé hier, il piochait tout doucement ça m'a énervé, je lui
ai pris la pioche des mains et j'ai donné un grand coup là où il piochait, la
pioche a cassé, il y avait une grosse pierre, mais il n'y est pour rien, il a
voulu m'arrêter, mais le temps de le comprendre… C'est de ma faute pas de la
sienne!
- En effet!
On verra ça Camille, mais mon garçon je t'ai fait venir puisque tu es le voisin
du puni, tu vas t'en occuper, vas l'aider à aller dans votre chambre, et qu'il
s'y repose!
Le garçon
essaya de dire quelque chose, il n'y arriva pas, il prit ma main et l'embrassa,
je lui passai la main dans les cheveux, il n'était pas vilain garçon…
- Bon
rentrons à la maison, pour le "Grand", qu'on le mette au cachot, je
ferai envoyer des hommes pour l'emmener au bagne dans quelques jours!
Une fois
rentré, nous bûmes un verre frais, discutâmes un peu et je demandai alors à
Camille de m'accompagner au bureau. En entrant au bureau je remarquai qu'à part
le fauteuil du Maître il n'y avait plus de siège, je m'assis dans le fauteuil,
sur le bureau, il y avait le livre de comptes et le registre des punitions,
Camille resta debout presqu'au garde-à-vous. J'ouvris le livre de comptes et
nous avons parlé des dernières ventes de produits agricoles, il n'y avait rien
à dire de ce coté là, tout était net. J'ouvris alors le registre des punitions,
et en tirai la feuille concernant Camille, aussitôt je l'entendis bouger et en
levant la tête je le vis jambes écartées, mains sur la tête!
- Alors mon
gars tu sais pourquoi je sors cette feuille? Tu dois être puni?
- Maître
vous savez que je me suis emporté contre le "Bègue" et que j'ai cassé
une pioche, je vous en demande pardon, Maître!
- Je n'aime
pas du tout qu'on se fâche idiotement contre un esclave sans rien lui demander,
tu t'es emporté comme un gamin, je vais te punir, cul nu!
Il me
regarda un peu honteux, il déboucla sa ceinture, fit tomber son pantalon et son
caleçon, les rangea dans un coin et reprit la position du puni devant le bureau
prêt à s'y courber, il baissait la tête. Je reculai mon siège.
- Tu t'es
comporté comme un gamin, aller viens sur mes genoux!
- Maître…
- Aller,
dépêche-toi!
Il vint
alors docilement se coucher sur mes genoux, son sexe vint se placer entre mes
jambes, il écarta un peu les siennes et cambra ses fesses, il avait bien retenu
la position. Je ne reviens pas sur la beauté des fesses de Camille, la vue que
j'en avais, son dos musclé que sa chemise avait découvert, bref ce bel homme
soumis couché sur moi pour être puni, il n'en fallu pas plus pour que mon
membre se tende… Je commençai à le fesser doucement puis fermement, les coups
résonnaient bien, le puni se tendait à chaque claque. Après un quart d'heure
d'une vigoureuse fessée, mon puni ne réagissait presque plus, ses fesses
étaient écarlate, il devait sentir une forte chaleur. J'arrêtai, et posant ma
main sur ses fesses:
- Alors mon
garçon tu as compris la leçon?
- Oui
Maître, merci Maître…
- Tu
mérites la ceinture?
- C'est
vous le maître… La fessée a été forte Maître…
- Oui tu as
été fessé comme tu l'as mérité, j'aurais aimé te donner le martinet, mais je
n'en vois pas ici c'est dommage, il faudra que je t'en fasse livrer.
Ma main se
fit caressante, ses fesses rondes et chaudes étaient douces, mes doigts
allèrent au fond de sa raie, pour chatouiller son intimité, il écarta un peu
plus ses jambes, je sentis son sexe se dresser contre ma jambe…
- Tu aimes
ça mon voyou!
- Maître
vous êtes si doux après une bonne fessée… Prenez-moi Maître, mon cul est pour
vous!
- Et si je
ne veux pas?
- S'il vous
plait Maître…
-
Couche-toi sur le bureau!
Aussitôt
j'eus Camille prêt, cul bien cambré, je le lubrifiai avec un, deux et trois
doigts, il gémissait de plaisir. Bien sûr mon sexe fut vite bien tendu, je le
pénétrai facilement, et commençai mes allers et retours, Camille se mit à
émettre des petits cris de plaisir, il adorait ça, cela augmenta mon plaisir,
et j'éjaculai dans un bon orgasme. Je me retirai doucement haletant, son sexe
était bien tendu.
-
Branle-toi mon garçon!
Il se mit à
genoux par terre et il fallu peu de temps à sa main pour achever son plaisir qui
éclata dans des cris rauques. Je le rejoins et nous nous embrassâmes
longuement.
Plus tard
nous nous sommes rhabillés et nous avons pris le repas de midi avec tout le
monde.
Nous
repartîmes peu après, Julien, Stéphane, mes gardes et moi. Sur le chemin du
retour en passant sur un boulevard de la ville, je vis une nouvelle boutique
isolée, au dessus d'une vitrine une plaque indiquait simplement "Tout les
Cuirs", j'étais le dernier le la file avec Mathias, lui faisant un signe
je fis tourner mon cheval, Mathias me suivit, nous regardâmes le vitrine. IL y
avait toute sortes de fouets, martinets, straps, plaques de bois, canes en
rotin, cravaches bref tout pour punir les mauvais esclaves.
- Voila une
boutique bien intéressante, il faudra que j'y vienne faire un tour…
- Maître
vous avez vu ce fouet? Il me montra un gros fouet de cuir en forme de serpent qui
rétrécit.
- Oui ça
doit être efficace!, je quittai la vitrine pour regagner la route.
- Maître
vous voulez acheter ça?
- Tu es
bien curieux Mathias! Tu en mériterais quelques coups!
Pardon Maître. Et il baissa la tête, honteux.
Je
m'approchai de lui, et le prenant par la nuque:
- Tu crois
que je punirais un curieux comme toi, en lui déchirant la peau avec ce fouet?
- Non
Maître pardonnez-moi.
- Tu es
pardonné mon grand, ais plus confiance en moi!
- Maître je
peux vous dire encore quelque chose, vous ne serez pas fâché?
- Ca dépend
de ce que tu demande, vas-y!
- Maître
c'est pour Thomas…
- Ah je m'y
attendais, ça m'étonnait que personne ne le défende! Mais je ne vais pas le
tuer Thomas, je l'aime bien tu le sais et il a été puni injustement à Broc,
alors il ne risque pas grand-chose, une bonne fessée, comme rappel à l'ordre,
et toi Mathias tu pourrais t'en prendre une aussi si tu m'embêtes encore! Mais
à la fin mon ton était plus gai. Il me sourit doucement, le charmant garçon, en
disant:
- Merci
Maître…
mercredi 21 décembre 2011
Le Domaine de Saint Christophe 61 – Une ‘tranquille’ promenade
Le lendemain matin je pris un copieux petit déjeuner, le jeune cuisinier qui apportait le plateau après l’avoir préparé avait oublié le beurre, il dû courir aux cuisine en chercher, je le réprimandai, il tomba à genoux en demandant pardon, je me levai:
- Debout!
Il se leva, tête baissée, tout rouge, je défis le bouton de son pantalon, je le baissai et c’est cul nu que je le courbai sous mon bras gauche, son beau petit cul reçu les premières claques bien données, il frémissait, je le fessai régulièrement pendant quelques minutes, ses fesses étaient bien roses, j’arrêtai, caressant doucement ses fesses fermes de jeune gars.
- Voilà mon garçon pour ton oubli!
- Merci Maître, pardon Maître… Je ferai plus attention…
Il était tout mignon, je le fis se reculotter et il partit après avoir embrassé ma main. Tom avait suivi la scène, quand ce n’était pas lui qui était fessé il ne disait rien, surtout que la fessée n’avait pas été méchante.
- Tu vois Tom une journée qui commence par une fessée sera une bonne journée.
Il sourit:
- Peut-être Maître, mais pas toujours pour celui qui la reçoit…
- Tu as à te plaindre mon garçon?
Je le serrai contre moi mon Tom, comme toujours il répondait à mon étreinte comme s’il se donnait à moi, en pleine confiance, je pris sa bouche dans un long baiser auquel il réagit bien.
- Bon aller, nous avons du travail…
- Oui Maître!
Un peu plus tard dans la matinée, Alex arriva:
- Maître, Monsieur Paul vient d’arriver avec un jeune esclave.
- Fais-le monter Alex, mais à l’avenir quand il arrive laisse-le monter au bureau d’Yves directement, pareil pour tous mes régisseurs.
- A vos ordres Maître!
Peu après Paul entra, il était accompagné de l’esclave qui voyait mal.
- Monsieur, pardon de vous déranger, mais je ne peux pas venir ici sans vous saluer, j’ai amené le jeune vigneron qui a mauvaise vue pour qu’il soit vu par votre infirmier, comme vous l’aviez demandé.
- En effet Paul, il va être examiné par Aurélien.
Le jeune esclave n’était pas à l’aise, il portait un pantalon et une chemise propre mais il avait l’air terrifié d’être dans le bureau de son Maître, il tremblait la tête baissée, je m’approchai de lui:
- Tu as l’air d’avoir peur mon garçon, pourquoi?
- Maître… Non…. Mais il va me faire quoi Monsieur l’Infirmier?
- N’aies pas peur, il regardera tes yeux et ton corps, mais je te l’ai déjà dit tu ne seras ni vendu ni puni, alors ne tremble pas.
Pour accompagner mes paroles je lui pris la nuque en la tapotant, il arrêta de trembler, j’appelai Tom, il entra très vite.
- Tom emmène ce garçon chez Aurélien, c’est le vigneron de St Alban qui voit mal, Aurélien est au courant, qu’il revienne ici avec lui dans une demi heure, pas avant, je dois m’entretenir avec Paul!
- A vos ordres Maître! Et il partit avec le vigneron.
Je restai seul avec Paul, il me regarda avec humilité et dit:
- Maître, à propos de ce garçon, je sais que je mérite une punition…
- En effet Paul, tu l’as fouetté alors qu’il ne le méritait pas, et je t’ai promis une bonne fessée.
Il mit ses mains sur sa tête, jambes écartée, tête baissée.
- A votre disposition Maître!
- Bon déculotte-toi et viens sur mes genoux.
Je m’assis sur une chaise, les cuisses disponibles pour que mon puni s’y couche, une fois cul nu avec sa chemise Paul s’allongea sur mes genoux. Il se plaça très correctement en cambrant bien ses fesses, en attente de la punition. Je posai ma main sur ses fesses, je connaissais Paul, il était un bel homme, avec un beau postérieur.
- Mon gars je vais te fesser jusqu’à ce que tu aies des fesses bien rouges, j’aurais dû te donner le martinet comme tu l’as fait à ce garçon, mais comme tu es un bon gars une fessée suffira.
- Oui Maître, merci Maître!
- Tu n’as pas honte d’être cul nu sur les genoux de ton Maître, mon gars?
- Un peu Maître mais fessez moi, c’est bien mérité!
Je commençai la fessée assez doucement puis de plus en plus fermement, ma main n’arrêtait pas de claquer, à droite, à gauche, au-dessus, en dessous, bref toutes ses fesses rosirent rapidement, mon puni commença à gémir, mais il ne fit rien pour échapper aux coups.
- Alors mon gars?
- Ça fait mal Maître…
- Et le garçon, il n’a pas eu mal quand tu l’as fouetté au martinet?
- Si Maître, et il a été courageux…
- Sois le donc autant!
Et je repris la fessée sur ses fesses fermes, c’était un plaisir, je le fessai vigoureusement pendant un quart d’heure, il avait pris ma cheville avec ses mains, et ses gémissements continuaient.
J’arrêtai quand son cul fut bien rouge, je contemplai mon travail, la belle couleur rouge était bien uniforme sur ses fesses, il devait sentir des picotements et une grande chaleur…
- Alors tu trouves toujours que ça fait mal?
- Oh oui Maître, ça brûle!
- Tu as été assez puni ou tu mérites une bonne autre session?
- Maître c’est vous qui voyez…
Il recambra un peu son cul en s’offrant à la main punitive. Mais ma main se posa doucement sur ses courbes chaudes, et je caressai ces belles fesses doucement, il se détendit, ma main frottait doucement sa peau douce, un de mes doigts caressa sa raie, puis un second plus insistant, il écarta un peu plus les jambes, offrant mieux son intimité à mes sensuels attouchements. Je sentis son sexe grossir sur ma cuisse…
- Tu aimes mieux les caresses mon coquin?
- Vous savez bien Maître que je ne résisterai jamais aux gentillesses d’un homme comme vous… Même en me promettant la torture je ne résisterais pas!
- Un homme comme moi?
- Maître on ne vous a jamais dit que vous êtes beau, un des plus beaux hommes que je connaisse!
- Et Adrien?
- Ce n’est pas pareil… Vous être un Maître, vous punissez, vous dominez, et vous aimez vos gars, Adrien c’est un agneau, il est doux, jamais dur.
- Je comprends, redresse-toi Paul, la punition est finie!
Il se retira de mes genoux, il se mit à genoux devant moi, me regardant, une larme sur chaque joue, il avait pleuré sous la fessée, il était mignon comme tout, je le pris entre mes jambes et le serrai contre moi, il posa sa tête sur mon ventre sans bouger, je caressai ses cheveux, je pouvais voir son dos, et plus bas ses fesses rouges.
Après quelques minutes de calme tendresse, je le fis se rhabiller et il s’assit avec une petite grimace sur la chaise devant le bureau. Nous avons alors parlé de Stéphane, que j’irai un jour le présenter à St Pierre. Il me dit aussi que les vendanges étaient finies et que la récolte était bonne et prometteuse.
- Oui Paul, c’est bien, il faut féliciter tes vignerons, je devais assister au repas des vignerons, mais je suis trop pris en ce moment avec les Ormes, il faut le faire dans deux jours avec tous les vignerons, Adrien, Julien et toi. Avant de partir tu ira voir Jojo le chef des cuisines pour te fournir en victuailles, un bon repas, avec des viandes, je veux récompenser mes vignerons, pas toujours les fouetter, le vin rapporte beaucoup tu le sais.
- Merci pour eux Monsieur, ils ont très bien travaillé cette année, j’en ai puni deux pour paresse au martinet, mais le fait qu’il n’y ait pas de punition systématique chaque soir, et comme les deux punis l’avaient bien mérité, ils ne sont plus dans la crainte, ils travaillent normalement.
- C’est ce que je veux Paul, à chaque faute une punition, mais pas de faute, pas de punition…
On frappa à la porte, c’était Aurélien qui revenait avec le vigneron, sur mon ordre il entra, me salua, le jeune vigneron avait l’air plus détendu qu’à son départ.
- Maître, j’ai examiné ce jeune homme, sa vue est déficiente, mais pour le reste il est en excellente santé, encore un peu maigre, mais fort. Pour sa vue il faudrait que je le vois tous les ans pour détecter une évolution possible. Avec sa vue Maître il vaut mieux qu’il travaille à la lumière.
- Merci Aurélien pour ce compte rendu, Paul prends en compte ces remarques pour le travail de ce garçon, et pour qu’il revienne ici chaque année. Comme tu dois voir Jojo, vas-y maintenant avec ce garçon qu’il en profite pour manger et toi aussi!
Paul me salua, le vigneron se mit à genoux devant moi pour embrasser mes pieds, je le relevai et la main sur sa nuque je déposai un baiser sur son front, il rougit et sortit en même temps que Paul.
Le bel Aurélien était resté, tout mignon, il avait un air triste, mais il s’activa un peu pour dire:
- Maître un messager de Gault est venu ce matin, une femme a une grossesse difficile, des jumeaux d’après les femmes du village, M. Alain me demande si je peux y aller.
- Vas-y cet après midi, tu verras quoi faire, tu saurais aider une femme à accoucher des jumeaux?
- Maître je l’ai déjà fait à l’Hôpital.
- Bon et bien vas à Gault, tu verras sur place! Mais tu as l’air triste mon garçon, qu’est-ce qui ne va pas?
Il rougit, baissant la tête:
- Ce n’est rien Maître, pardon…
Je m’approchai de lui, je pris sa taille en le pressant contre moi:
- Tu me cache quelque chose mon garçon…
- Non Maître, je suis triste parce que le soir je suis tout seul Maître!
- Tu aimes les garçons Aurélien, et tu n’en as pas trouvé au Château c’est ça?
- Oui Maître, vous devinez tout… Il se mit à pleurer.
- Ici il y a beaucoup de garçons qui aiment les femmes, les gardes, les cuisiniers, les palefreniers, bien sûr ils ne se refusent pas à moi mais ce n’est pas si facile pour toi, Yves et Tom sont à moi, tu as déjà été puni pour avoir profité de Tom, mais il reste Thomas, Tommy…
- Thomas il n’est pas à vous Maître?
- Il est mon garde, pas mon amant sauf quelque fois, mais attention Aurélien, c’est un garçon fragile Thomas, et je l’aime bien ce garçon, ne lui fais pas de peine!
- Maître je vous promets d’être doux avec lui, il est tellement beau Thomas, je n’aurais jamais osé!
- Eh bien tente mon gars, mais restons-en là j’ai du travail, et toi aussi!
Je l’embrassai doucement, le serrai dans mes bras, il me remercia et quitta mon bureau nettement moins triste qu’avant.
La matinée s’acheva calmement, un repas pris avec Stéphane, et nous partîmes Stéphane, Thomas Mathias et moi à cheval. Je regardai Stéphane sur son cheval plus petit que les nôtres, il se débrouillait bien avec son cheval.
Nous partîmes par le plateau, après la montée, nous avons fait un tour pour voir les moutons et les bergeries, une rencontre avec Louis et Raoul nous permit de présenter à Stéphane leur travail, je racontai l’accident de Raoul à Stéphane, Raoul rougit mais vint vers moi et embrasser ma main, Stéphane était impressionné.
Nous redescendîmes vers Gault, où nous fûmes accueillis par Alain, Aurélien était avec lui. Pendant qu’Alain parlait de Gault avec Stéphane, Aurélien vint me dire que la fille qui était grosse allait accoucher sous peu et qu’il aimerait bien la ramener au château ce jour même. Je demandai à Alain de faire préparer une carriole avec une paillasse et une couverture.
Peu après les ordres donnés, un chariot arriva trainé par un cheval. J’allai voir la fille avec Aurélien, elle était énorme se tenant le ventre, c’était une jeune femme, un homme bien jeune aussi était près d’elle.
- Eh bien ma fille tu as bien travaillé pour avoir un aussi gros bébé!
- Maître ce sont au moins des jumeaux je les ai sentis en la palpant dit Aurélien.
- C’est très bien ça, et toi mon gars tu es le père? Dis-je au jeune de 18 – 20 ans qui était derrière.
- Oui Maître, il rougit.
- Tu as bien travaillé aussi, c’est bien, vous êtes mariés?
- Non Maître, je vous demande pardon.
- Il n’y a pas de faute mon garçon mais tu t’occuperas aussi de tes enfants!
- Oui Maître, vous l’emmenez au Château?
- Oui c’est plus sûr toi tu restes là on te préviendra quand se sera fait!
- A vos ordres Maître!
La fille fut amenée sur son chariot, il suivit, se tenant à coté, il était bien mignon ce futur jeune père de famille. Me souvenant de la discussion de ce matin, je pris la parole:
- Thomas tu vas accompagner Aurélien et le chariot jusqu’au Château, on ne sait jamais, tu pourrais être utile, Mathias restera avec nous, pour aller à St Christophe nous n’aurons pas de problèmes!
- Bien Maître, dit Thomas.
La petite troupe partit, nous restâmes un peu à discuter et visiter Gault avec Alain, Stéphane regardait tout, posait beaucoup de questions, Alain lui fournissait toutes les explications.
Nous repartîmes pour St Christophe en prenant des petits chemins, non loin du village nous traversions une pommeraie, les arbres croulaient sous les fruits, une équipe de cueilleurs y travaillait au loin quand on entendit des bruits de voix fortes, nous nous approchâmes en entrant sous les arbres, les cris se précisaient, un homme en colère disputait un autre. Notre arrivée sur place surprit, le silence se fit, je vis un groupe d’esclaves, l’un d’eux prenant à parti un jeune tête baissée.
- Eh bien que se passe-t-il ici?
L’homme qui criait se courba devant moi.
- Maître mes respects, pardon pour mes cris, mais ce vaurien…
Nous descendîmes de cheval, pendant que je dis:
- Tu es le chef de cette équipe, je suppose?
- Oui Maître, Benjamin, pour vous servir.
- Alors qu’est-ce qui se passe avec ce garçon?
- Maître, vous ne savez peut-être pas, mais nous devons faire le tri des pommes en trois catégories…
- Je sais Benjamin, j’ai établi cette règle avec Jérôme et j’ai demandé une stricte application, les plus belles pommes réservées à la vente, les un peu moins belles pour la consommation de tout le domaine, moi compris, et les plus abîmées pour faire des conserves de compotes, pour tous aussi, cet hiver.
- Et bien Maître ce vaurien, je l’ai surpris à croquer dans une très belle pomme! Il a pris une belle pomme, il s’est éloigné vers les buissons, je l’ai vu, je l’ai suivi et je l’ai vu faire!
- Tu le disputais, tu aurais fait quoi après?
- J’en aurais parlé à Monsieur Jérôme Maître mais à cause de lui je peux être puni aussi.
- Pourquoi Jérôme est si sévère?
- Maître on a déjà cassé un outil dans notre équipe il y a deux jours…
- Bon tu es franc toi au moins! Garçon ici!!! Mon ton final était très sec. Le jeune s’approcha, il se jeta à mes pieds, à genoux tremblant!
- Présente-toi vaurien!
- Maître… Pardon… Je m’appelle Serge Maître, votre esclave… J’ai 19 ans Maître… Je ne le referai plus….
- Bien sur que tu ne le referas plus, après la leçon que je vais te donner mais pourquoi avoir mangé cette pomme? Parce que c’est interdit?
- Je… Je pensais qu’elles étaient meilleures… Maître…
- Et alors tu désobéis aux ordres vaurien!
- Maître pitié… Je suis un bon garçon…
- Un bon garçon? Un esclave qui ne suit pas les ordres de ses chefs un vaurien oui! Tu ne mérites que le fouet c’est sûr!
- Pitié… Maître…
Il se prosterna encore plus en embrassant mes pieds je le poussai du pied il roula par terre entourant sa tête de ses bras, il tremblait. Je regardai autours de moi, et ordonnai :
- Benjamin, prends cette caisse vide et retourne-la ici, ça fera un bon poste de punition!
Il le fit rapidement, je me tournai vers Mathias qui se tenait à côté de moi et lui dis discrètement:
- Mon beau Mathias, si tu enlèves ce beau ceinturon, tu ne te retrouveras pas cul nu?
- Maître mon pantalon devrait tenir tout seul, vous le voulez?
- Oui tu vas punir ce vaurien avec, et ne modère pas tes coups!
- A vos ordres Maître!
Mes ordres furent vite suivis, le coupable fut durement levé, déshabillé complètement, il n’était pas moche ce vaurien, il fut placé sur la caisse, les fesses en haut, les jambes écartées, deux esclaves prirent ses mains le maintenant bien en position, un bâton qui se trouvait là fut attaché à ses chevilles pour le tenir jambes écartées, du puni on voyait principalement les fesses, bien rondes, projetées prêtes à la morsure du cuir. Serge ainsi exposé, sentait un courant d’air entre ses fesses, son cul était visible, son sexe pendouillait sur la caisse, il y eu quelques commentaires humoristiques parmi les esclaves, je ne leur dis rien, le puni devait être humilié.
Mathias avait son ceinturon en main, je lui fis prendre la boucle et le bout dans sa main, il fouettera avec la double épaisseur du cuir, ce n’est pas vraiment plus douloureux mais plus sonore, de quoi faire réfléchir les éventuels esclaves tentés par la désobéissance.
Sur un signe de ma tête, Mathias commença la flagellation, le ceinturon siffla et claqua très fort sur les fesses du puni, un cri jaillit, une marque nette, large apparu sur la chair, d’un beau rose, le coup suivant tomba, le puni se cambra en criant, et les coups continuèrent. Le beau Mathias était superbe en fouetteur, son pantalon et sa chemise ajustés suivaient chaque mouvement de son corps musclé, j’étais fier de mon beau garde! Je n’avais pas fixé le nombre de coups, j’attendais de voir la couleur des fesses du vaurien.
Et cela continua, sifflement, claquement, cri du puni, une trentaine de coups étaient tombée, je fis un signe à Mathias, il s’arrêta.
J’allai vers la tête du puni, elle était baissée, mais il pleurait comme un enfant… Je le pris par les cheveux et le regardant dans ses yeux pleins de larmes:
- Alors vaurien, voleur désobéissant, tu comprends ta faute et pourquoi je te punis?
- Oui Maître… Je… Je ne le ferai plus… Mais Maître ce n’est qu’une pomme… C’est pas juste de me fouetter comme ça pour une seule pomme…
- Sale vaurien, tu dis que je suis injuste! Tu as désobéi aux ordres et je suis injuste! Tu ne comprends pas ta faute vaurien, Mathias reprends ton œuvre!
J’étais très en colère, Mathias leva la ceinture et fouetta le gars, il cria, je vis sa douleur dans son expression, mais je m’éloignai pour mieux voir l’action de Mathias en fouetteur, il donnait chaque coup avec force, toujours sur les fesses, elles devenaient d’un rouge vif, violacé, je lui fis signe de s’attaquer au dos du vaurien, celui-ci rougit vite, les marques du ceinturon étaient encore plus visibles.
Je perdis le compte, le puni ne criait plus il prenait chaque coup avec un soubresaut, sans cri, je fis signe à Mathias d’arrêter, j’entendis quelqu’un courir dernière moi et je vis Jérôme arriver haletant.
- Mes respects Maître, qu’est-il arrivé?
Je lui racontai en détail les faits, il s’approcha du puni et dit:
- Mais c’est Serge! Ce n’est pas un mauvais esclave Maître…
- Là, il l’a été, voleur, désobéissant et trouvant que sa punition était injuste, un comble!
Je pris le puni par les cheveux, il pleurait, les fesses et le dos en feu, il me regarda tristement:
- Pardon Maître… J’obéirai…
- Ah quand même une demande de pardon, il est temps! Je relâchai sa tête.
- La punition est finie, le puni sera fixé au pilori dans la cours de St Christophe pour la soirée, et Serge si j’entends encore parler de toi, ce sera le bagne! Compris!
- Oui Maître, pas le bagne Maître… je serai sage…
- J’espère pour toi!
Jérôme était visiblement en colère contre le garçon, il me dit de compter sur lui pour le surveiller, il me demanda s’il fallait punir son chef, je dis non, un avertissement suffirait.
Je lui présentai Stéphane qui n’avait rien loupé de la punition, nous allâmes visiter St Christophe, et nous rentrâmes au Château en discutant calmement…
- Debout!
Il se leva, tête baissée, tout rouge, je défis le bouton de son pantalon, je le baissai et c’est cul nu que je le courbai sous mon bras gauche, son beau petit cul reçu les premières claques bien données, il frémissait, je le fessai régulièrement pendant quelques minutes, ses fesses étaient bien roses, j’arrêtai, caressant doucement ses fesses fermes de jeune gars.
- Voilà mon garçon pour ton oubli!
- Merci Maître, pardon Maître… Je ferai plus attention…
Il était tout mignon, je le fis se reculotter et il partit après avoir embrassé ma main. Tom avait suivi la scène, quand ce n’était pas lui qui était fessé il ne disait rien, surtout que la fessée n’avait pas été méchante.
- Tu vois Tom une journée qui commence par une fessée sera une bonne journée.
Il sourit:
- Peut-être Maître, mais pas toujours pour celui qui la reçoit…
- Tu as à te plaindre mon garçon?
Je le serrai contre moi mon Tom, comme toujours il répondait à mon étreinte comme s’il se donnait à moi, en pleine confiance, je pris sa bouche dans un long baiser auquel il réagit bien.
- Bon aller, nous avons du travail…
- Oui Maître!
Un peu plus tard dans la matinée, Alex arriva:
- Maître, Monsieur Paul vient d’arriver avec un jeune esclave.
- Fais-le monter Alex, mais à l’avenir quand il arrive laisse-le monter au bureau d’Yves directement, pareil pour tous mes régisseurs.
- A vos ordres Maître!
Peu après Paul entra, il était accompagné de l’esclave qui voyait mal.
- Monsieur, pardon de vous déranger, mais je ne peux pas venir ici sans vous saluer, j’ai amené le jeune vigneron qui a mauvaise vue pour qu’il soit vu par votre infirmier, comme vous l’aviez demandé.
- En effet Paul, il va être examiné par Aurélien.
Le jeune esclave n’était pas à l’aise, il portait un pantalon et une chemise propre mais il avait l’air terrifié d’être dans le bureau de son Maître, il tremblait la tête baissée, je m’approchai de lui:
- Tu as l’air d’avoir peur mon garçon, pourquoi?
- Maître… Non…. Mais il va me faire quoi Monsieur l’Infirmier?
- N’aies pas peur, il regardera tes yeux et ton corps, mais je te l’ai déjà dit tu ne seras ni vendu ni puni, alors ne tremble pas.
Pour accompagner mes paroles je lui pris la nuque en la tapotant, il arrêta de trembler, j’appelai Tom, il entra très vite.
- Tom emmène ce garçon chez Aurélien, c’est le vigneron de St Alban qui voit mal, Aurélien est au courant, qu’il revienne ici avec lui dans une demi heure, pas avant, je dois m’entretenir avec Paul!
- A vos ordres Maître! Et il partit avec le vigneron.
Je restai seul avec Paul, il me regarda avec humilité et dit:
- Maître, à propos de ce garçon, je sais que je mérite une punition…
- En effet Paul, tu l’as fouetté alors qu’il ne le méritait pas, et je t’ai promis une bonne fessée.
Il mit ses mains sur sa tête, jambes écartée, tête baissée.
- A votre disposition Maître!
- Bon déculotte-toi et viens sur mes genoux.
Je m’assis sur une chaise, les cuisses disponibles pour que mon puni s’y couche, une fois cul nu avec sa chemise Paul s’allongea sur mes genoux. Il se plaça très correctement en cambrant bien ses fesses, en attente de la punition. Je posai ma main sur ses fesses, je connaissais Paul, il était un bel homme, avec un beau postérieur.
- Mon gars je vais te fesser jusqu’à ce que tu aies des fesses bien rouges, j’aurais dû te donner le martinet comme tu l’as fait à ce garçon, mais comme tu es un bon gars une fessée suffira.
- Oui Maître, merci Maître!
- Tu n’as pas honte d’être cul nu sur les genoux de ton Maître, mon gars?
- Un peu Maître mais fessez moi, c’est bien mérité!
Je commençai la fessée assez doucement puis de plus en plus fermement, ma main n’arrêtait pas de claquer, à droite, à gauche, au-dessus, en dessous, bref toutes ses fesses rosirent rapidement, mon puni commença à gémir, mais il ne fit rien pour échapper aux coups.
- Alors mon gars?
- Ça fait mal Maître…
- Et le garçon, il n’a pas eu mal quand tu l’as fouetté au martinet?
- Si Maître, et il a été courageux…
- Sois le donc autant!
Et je repris la fessée sur ses fesses fermes, c’était un plaisir, je le fessai vigoureusement pendant un quart d’heure, il avait pris ma cheville avec ses mains, et ses gémissements continuaient.
J’arrêtai quand son cul fut bien rouge, je contemplai mon travail, la belle couleur rouge était bien uniforme sur ses fesses, il devait sentir des picotements et une grande chaleur…
- Alors tu trouves toujours que ça fait mal?
- Oh oui Maître, ça brûle!
- Tu as été assez puni ou tu mérites une bonne autre session?
- Maître c’est vous qui voyez…
Il recambra un peu son cul en s’offrant à la main punitive. Mais ma main se posa doucement sur ses courbes chaudes, et je caressai ces belles fesses doucement, il se détendit, ma main frottait doucement sa peau douce, un de mes doigts caressa sa raie, puis un second plus insistant, il écarta un peu plus les jambes, offrant mieux son intimité à mes sensuels attouchements. Je sentis son sexe grossir sur ma cuisse…
- Tu aimes mieux les caresses mon coquin?
- Vous savez bien Maître que je ne résisterai jamais aux gentillesses d’un homme comme vous… Même en me promettant la torture je ne résisterais pas!
- Un homme comme moi?
- Maître on ne vous a jamais dit que vous êtes beau, un des plus beaux hommes que je connaisse!
- Et Adrien?
- Ce n’est pas pareil… Vous être un Maître, vous punissez, vous dominez, et vous aimez vos gars, Adrien c’est un agneau, il est doux, jamais dur.
- Je comprends, redresse-toi Paul, la punition est finie!
Il se retira de mes genoux, il se mit à genoux devant moi, me regardant, une larme sur chaque joue, il avait pleuré sous la fessée, il était mignon comme tout, je le pris entre mes jambes et le serrai contre moi, il posa sa tête sur mon ventre sans bouger, je caressai ses cheveux, je pouvais voir son dos, et plus bas ses fesses rouges.
Après quelques minutes de calme tendresse, je le fis se rhabiller et il s’assit avec une petite grimace sur la chaise devant le bureau. Nous avons alors parlé de Stéphane, que j’irai un jour le présenter à St Pierre. Il me dit aussi que les vendanges étaient finies et que la récolte était bonne et prometteuse.
- Oui Paul, c’est bien, il faut féliciter tes vignerons, je devais assister au repas des vignerons, mais je suis trop pris en ce moment avec les Ormes, il faut le faire dans deux jours avec tous les vignerons, Adrien, Julien et toi. Avant de partir tu ira voir Jojo le chef des cuisines pour te fournir en victuailles, un bon repas, avec des viandes, je veux récompenser mes vignerons, pas toujours les fouetter, le vin rapporte beaucoup tu le sais.
- Merci pour eux Monsieur, ils ont très bien travaillé cette année, j’en ai puni deux pour paresse au martinet, mais le fait qu’il n’y ait pas de punition systématique chaque soir, et comme les deux punis l’avaient bien mérité, ils ne sont plus dans la crainte, ils travaillent normalement.
- C’est ce que je veux Paul, à chaque faute une punition, mais pas de faute, pas de punition…
On frappa à la porte, c’était Aurélien qui revenait avec le vigneron, sur mon ordre il entra, me salua, le jeune vigneron avait l’air plus détendu qu’à son départ.
- Maître, j’ai examiné ce jeune homme, sa vue est déficiente, mais pour le reste il est en excellente santé, encore un peu maigre, mais fort. Pour sa vue il faudrait que je le vois tous les ans pour détecter une évolution possible. Avec sa vue Maître il vaut mieux qu’il travaille à la lumière.
- Merci Aurélien pour ce compte rendu, Paul prends en compte ces remarques pour le travail de ce garçon, et pour qu’il revienne ici chaque année. Comme tu dois voir Jojo, vas-y maintenant avec ce garçon qu’il en profite pour manger et toi aussi!
Paul me salua, le vigneron se mit à genoux devant moi pour embrasser mes pieds, je le relevai et la main sur sa nuque je déposai un baiser sur son front, il rougit et sortit en même temps que Paul.
Le bel Aurélien était resté, tout mignon, il avait un air triste, mais il s’activa un peu pour dire:
- Maître un messager de Gault est venu ce matin, une femme a une grossesse difficile, des jumeaux d’après les femmes du village, M. Alain me demande si je peux y aller.
- Vas-y cet après midi, tu verras quoi faire, tu saurais aider une femme à accoucher des jumeaux?
- Maître je l’ai déjà fait à l’Hôpital.
- Bon et bien vas à Gault, tu verras sur place! Mais tu as l’air triste mon garçon, qu’est-ce qui ne va pas?
Il rougit, baissant la tête:
- Ce n’est rien Maître, pardon…
Je m’approchai de lui, je pris sa taille en le pressant contre moi:
- Tu me cache quelque chose mon garçon…
- Non Maître, je suis triste parce que le soir je suis tout seul Maître!
- Tu aimes les garçons Aurélien, et tu n’en as pas trouvé au Château c’est ça?
- Oui Maître, vous devinez tout… Il se mit à pleurer.
- Ici il y a beaucoup de garçons qui aiment les femmes, les gardes, les cuisiniers, les palefreniers, bien sûr ils ne se refusent pas à moi mais ce n’est pas si facile pour toi, Yves et Tom sont à moi, tu as déjà été puni pour avoir profité de Tom, mais il reste Thomas, Tommy…
- Thomas il n’est pas à vous Maître?
- Il est mon garde, pas mon amant sauf quelque fois, mais attention Aurélien, c’est un garçon fragile Thomas, et je l’aime bien ce garçon, ne lui fais pas de peine!
- Maître je vous promets d’être doux avec lui, il est tellement beau Thomas, je n’aurais jamais osé!
- Eh bien tente mon gars, mais restons-en là j’ai du travail, et toi aussi!
Je l’embrassai doucement, le serrai dans mes bras, il me remercia et quitta mon bureau nettement moins triste qu’avant.
La matinée s’acheva calmement, un repas pris avec Stéphane, et nous partîmes Stéphane, Thomas Mathias et moi à cheval. Je regardai Stéphane sur son cheval plus petit que les nôtres, il se débrouillait bien avec son cheval.
Nous partîmes par le plateau, après la montée, nous avons fait un tour pour voir les moutons et les bergeries, une rencontre avec Louis et Raoul nous permit de présenter à Stéphane leur travail, je racontai l’accident de Raoul à Stéphane, Raoul rougit mais vint vers moi et embrasser ma main, Stéphane était impressionné.
Nous redescendîmes vers Gault, où nous fûmes accueillis par Alain, Aurélien était avec lui. Pendant qu’Alain parlait de Gault avec Stéphane, Aurélien vint me dire que la fille qui était grosse allait accoucher sous peu et qu’il aimerait bien la ramener au château ce jour même. Je demandai à Alain de faire préparer une carriole avec une paillasse et une couverture.
Peu après les ordres donnés, un chariot arriva trainé par un cheval. J’allai voir la fille avec Aurélien, elle était énorme se tenant le ventre, c’était une jeune femme, un homme bien jeune aussi était près d’elle.
- Eh bien ma fille tu as bien travaillé pour avoir un aussi gros bébé!
- Maître ce sont au moins des jumeaux je les ai sentis en la palpant dit Aurélien.
- C’est très bien ça, et toi mon gars tu es le père? Dis-je au jeune de 18 – 20 ans qui était derrière.
- Oui Maître, il rougit.
- Tu as bien travaillé aussi, c’est bien, vous êtes mariés?
- Non Maître, je vous demande pardon.
- Il n’y a pas de faute mon garçon mais tu t’occuperas aussi de tes enfants!
- Oui Maître, vous l’emmenez au Château?
- Oui c’est plus sûr toi tu restes là on te préviendra quand se sera fait!
- A vos ordres Maître!
La fille fut amenée sur son chariot, il suivit, se tenant à coté, il était bien mignon ce futur jeune père de famille. Me souvenant de la discussion de ce matin, je pris la parole:
- Thomas tu vas accompagner Aurélien et le chariot jusqu’au Château, on ne sait jamais, tu pourrais être utile, Mathias restera avec nous, pour aller à St Christophe nous n’aurons pas de problèmes!
- Bien Maître, dit Thomas.
La petite troupe partit, nous restâmes un peu à discuter et visiter Gault avec Alain, Stéphane regardait tout, posait beaucoup de questions, Alain lui fournissait toutes les explications.
Nous repartîmes pour St Christophe en prenant des petits chemins, non loin du village nous traversions une pommeraie, les arbres croulaient sous les fruits, une équipe de cueilleurs y travaillait au loin quand on entendit des bruits de voix fortes, nous nous approchâmes en entrant sous les arbres, les cris se précisaient, un homme en colère disputait un autre. Notre arrivée sur place surprit, le silence se fit, je vis un groupe d’esclaves, l’un d’eux prenant à parti un jeune tête baissée.
- Eh bien que se passe-t-il ici?
L’homme qui criait se courba devant moi.
- Maître mes respects, pardon pour mes cris, mais ce vaurien…
Nous descendîmes de cheval, pendant que je dis:
- Tu es le chef de cette équipe, je suppose?
- Oui Maître, Benjamin, pour vous servir.
- Alors qu’est-ce qui se passe avec ce garçon?
- Maître, vous ne savez peut-être pas, mais nous devons faire le tri des pommes en trois catégories…
- Je sais Benjamin, j’ai établi cette règle avec Jérôme et j’ai demandé une stricte application, les plus belles pommes réservées à la vente, les un peu moins belles pour la consommation de tout le domaine, moi compris, et les plus abîmées pour faire des conserves de compotes, pour tous aussi, cet hiver.
- Et bien Maître ce vaurien, je l’ai surpris à croquer dans une très belle pomme! Il a pris une belle pomme, il s’est éloigné vers les buissons, je l’ai vu, je l’ai suivi et je l’ai vu faire!
- Tu le disputais, tu aurais fait quoi après?
- J’en aurais parlé à Monsieur Jérôme Maître mais à cause de lui je peux être puni aussi.
- Pourquoi Jérôme est si sévère?
- Maître on a déjà cassé un outil dans notre équipe il y a deux jours…
- Bon tu es franc toi au moins! Garçon ici!!! Mon ton final était très sec. Le jeune s’approcha, il se jeta à mes pieds, à genoux tremblant!
- Présente-toi vaurien!
- Maître… Pardon… Je m’appelle Serge Maître, votre esclave… J’ai 19 ans Maître… Je ne le referai plus….
- Bien sur que tu ne le referas plus, après la leçon que je vais te donner mais pourquoi avoir mangé cette pomme? Parce que c’est interdit?
- Je… Je pensais qu’elles étaient meilleures… Maître…
- Et alors tu désobéis aux ordres vaurien!
- Maître pitié… Je suis un bon garçon…
- Un bon garçon? Un esclave qui ne suit pas les ordres de ses chefs un vaurien oui! Tu ne mérites que le fouet c’est sûr!
- Pitié… Maître…
Il se prosterna encore plus en embrassant mes pieds je le poussai du pied il roula par terre entourant sa tête de ses bras, il tremblait. Je regardai autours de moi, et ordonnai :
- Benjamin, prends cette caisse vide et retourne-la ici, ça fera un bon poste de punition!
Il le fit rapidement, je me tournai vers Mathias qui se tenait à côté de moi et lui dis discrètement:
- Mon beau Mathias, si tu enlèves ce beau ceinturon, tu ne te retrouveras pas cul nu?
- Maître mon pantalon devrait tenir tout seul, vous le voulez?
- Oui tu vas punir ce vaurien avec, et ne modère pas tes coups!
- A vos ordres Maître!
Mes ordres furent vite suivis, le coupable fut durement levé, déshabillé complètement, il n’était pas moche ce vaurien, il fut placé sur la caisse, les fesses en haut, les jambes écartées, deux esclaves prirent ses mains le maintenant bien en position, un bâton qui se trouvait là fut attaché à ses chevilles pour le tenir jambes écartées, du puni on voyait principalement les fesses, bien rondes, projetées prêtes à la morsure du cuir. Serge ainsi exposé, sentait un courant d’air entre ses fesses, son cul était visible, son sexe pendouillait sur la caisse, il y eu quelques commentaires humoristiques parmi les esclaves, je ne leur dis rien, le puni devait être humilié.
Mathias avait son ceinturon en main, je lui fis prendre la boucle et le bout dans sa main, il fouettera avec la double épaisseur du cuir, ce n’est pas vraiment plus douloureux mais plus sonore, de quoi faire réfléchir les éventuels esclaves tentés par la désobéissance.
Sur un signe de ma tête, Mathias commença la flagellation, le ceinturon siffla et claqua très fort sur les fesses du puni, un cri jaillit, une marque nette, large apparu sur la chair, d’un beau rose, le coup suivant tomba, le puni se cambra en criant, et les coups continuèrent. Le beau Mathias était superbe en fouetteur, son pantalon et sa chemise ajustés suivaient chaque mouvement de son corps musclé, j’étais fier de mon beau garde! Je n’avais pas fixé le nombre de coups, j’attendais de voir la couleur des fesses du vaurien.
Et cela continua, sifflement, claquement, cri du puni, une trentaine de coups étaient tombée, je fis un signe à Mathias, il s’arrêta.
J’allai vers la tête du puni, elle était baissée, mais il pleurait comme un enfant… Je le pris par les cheveux et le regardant dans ses yeux pleins de larmes:
- Alors vaurien, voleur désobéissant, tu comprends ta faute et pourquoi je te punis?
- Oui Maître… Je… Je ne le ferai plus… Mais Maître ce n’est qu’une pomme… C’est pas juste de me fouetter comme ça pour une seule pomme…
- Sale vaurien, tu dis que je suis injuste! Tu as désobéi aux ordres et je suis injuste! Tu ne comprends pas ta faute vaurien, Mathias reprends ton œuvre!
J’étais très en colère, Mathias leva la ceinture et fouetta le gars, il cria, je vis sa douleur dans son expression, mais je m’éloignai pour mieux voir l’action de Mathias en fouetteur, il donnait chaque coup avec force, toujours sur les fesses, elles devenaient d’un rouge vif, violacé, je lui fis signe de s’attaquer au dos du vaurien, celui-ci rougit vite, les marques du ceinturon étaient encore plus visibles.
Je perdis le compte, le puni ne criait plus il prenait chaque coup avec un soubresaut, sans cri, je fis signe à Mathias d’arrêter, j’entendis quelqu’un courir dernière moi et je vis Jérôme arriver haletant.
- Mes respects Maître, qu’est-il arrivé?
Je lui racontai en détail les faits, il s’approcha du puni et dit:
- Mais c’est Serge! Ce n’est pas un mauvais esclave Maître…
- Là, il l’a été, voleur, désobéissant et trouvant que sa punition était injuste, un comble!
Je pris le puni par les cheveux, il pleurait, les fesses et le dos en feu, il me regarda tristement:
- Pardon Maître… J’obéirai…
- Ah quand même une demande de pardon, il est temps! Je relâchai sa tête.
- La punition est finie, le puni sera fixé au pilori dans la cours de St Christophe pour la soirée, et Serge si j’entends encore parler de toi, ce sera le bagne! Compris!
- Oui Maître, pas le bagne Maître… je serai sage…
- J’espère pour toi!
Jérôme était visiblement en colère contre le garçon, il me dit de compter sur lui pour le surveiller, il me demanda s’il fallait punir son chef, je dis non, un avertissement suffirait.
Je lui présentai Stéphane qui n’avait rien loupé de la punition, nous allâmes visiter St Christophe, et nous rentrâmes au Château en discutant calmement…
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