jeudi 26 novembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 52 – Punitions à Broc

Félix était nu attaché par les bras au pieu des punitions sur la place de Broc, il tremblait le petit chef arrogant, son maître venait de demander le début de sa punition, Alex avait pris la grande strap, il la fit claquer dans l'air, les fesses déjà zébrées de Félix étaient au vent, il avait honte, être nu le cul tendu pour être fouetté, les jambes un peu écartées, il sentait un courant d'air sur son sexe, il regarda la strap avec un regard d'angoisse…

Alex souleva la strap et l'abattit violemment en plein milieu des fesses du puni, avec une déflagration étonnante, Félix se cabra, il cria:

- Ahhhh… Un Maître… Merci Maître… Pitié…

Ce fut alors une succession de coups, à son habitude Alex fouettait sévèrement et le connaissant il n'avait pas dû apprécier ces petits chefs, ils allaient souffrir, ça ne me déplaisait pas, ils avaient cruellement fouetté plusieurs esclaves ils devaient payer…

- Arrghhhhh… 20 Maître… Merci… Maître…

Ses fesses étaient rouge violacé, le cuir claquait là où les verges avaient laissé leurs traces, Alex continuait la flagellation à un rythme soutenu, le puni avait du mal à suivre, je ne voulus pas faire de pause, une punition en un seul coup était plus dure…

- Ahhhhhhhh… 55 Maître… Maître… Merci… Pitiééééé…

La strap acheva son travail, les cinq derniers coups arrachèrent un cri rauque de la bouche du puni, le denier coup donné, il remercia d'une voix rauque et son corps s'affaissa, sa tension était finie, il n'en pouvait plus…

J'allai vers lui, il ne me vit pas arriver, je le pris par les cheveux pour lui lever la tête, sa face était noyée par les larmes, il avait l'air défait, un regard implorant…

- Alors, petit arrogant, tu as compris qui est le maître, ici?

- Oui Maître… Pardon Maître…

- Je ne te pardonne pas, je vais t'envoyer au bagne pour t'apprendre la discipline, on t'y dressera, si tu t'y conduis bien tu pourras en ressortir et travailler aux champs dans un village, si tu restes rebelle, tu finiras ta vie au bagne sous le fouet des gardiens, mais ta vie y sera longue crois moi…

- Pitié Maître… Pitié…

- Rachète-toi et j'aurai peut-être pitié de toi!

Il était assez mignon mon puni tout repentant mais ayant vu sa cruauté, je ne le croyais pas trop, le bagne le dressera et effacera tout ce qu'il avait appris à cette école!

- C'est bon qu'on le détache et le mette au cachot à St Pierre, et quand il aura récupéré des gardes viendront pour l'emmener au bagne! Maintenant à Camille! Avance petit chef!

Camille un beau gosse de mon âge, brun élancé, tomba à genoux, prosterné:

- Non Maître pas ça pas le fouet… Pitié Maître!

- Relève-toi et viens pour ta punition!

- Non Maître pas le fouet…

Il se coucha par terre se recroquevillant sur lui-même en gémissant et implorant.

- Garde emparez vous de lui et accrochez-le au pieu! 100 coups au lieu de 75 pour désobéissance!

Camille fut agrippé par Alex et Arnaud, ils l'emmenèrent jusqu'au pieu, et l'accrochèrent par les mains, ils lui firent écarter les jambes et j'eus le beau corps du futur puni sous les yeux, il n'osait plus rien dire, l'annonce des 100 coups l'avait surpris et avait annihilé toute résistance, il me regarda avec des yeux implorants. Je demandai la strap à Alex, je voulais me dégourdir un peu les bras sur un de ces petits chefs, je dis à Arnaud de me relayer sans pause à 50 coups. Le puni cria alors:

- Non Maître… Je suis chef… Vous n'avez pas le droit de me fouetter…

- Quoi esclave tu te rebiffes encore! 120 coups et le bagne pour te dresser ça ne sera pas trop!

Je soulevai la strap, et le frappai durement, 10 coups à un rythme soutenu, le beau gosse criait, il essaya de compter, il s'emmêla, je tapai ses fesses, ses cuisses, le bas du dos fortement en dix coups j'avais déjà bien rougi une bonne partie de son corps.

- Esclave tu comptes les coups par dix je n'ai pas envie d'entendre ta voix d'esclave rebelle 120 fois! On en est à combien esclave?

- Je en sais pas Maître… 10 peut-être…

J'attendis quelques seconde son remerciement, je donnai alors un coup violent bien à la base de ses fesses, il se cabra en criant.

- Et alors qu'est-ce qu'on dit quand on est fouetté par son maître?

- 11 Maître… Merci Maître…

Un nouveau coup parti, pour le milieu des fesses?

- Non 10 esclave! On repart à 11 et estime-toi heureux de ne pas repartir à zéro! Je donnai les dix coups suivants sur les épaules, les reins, le haut des cuisses, toujours avec une vigueur redoutable…

- Aiiiiieeeee… 20 Maître… Merci Maître…

- Ah tu as quand même compris!

La suite de la correction fut très dure la strap claquait, le cuir mordait la peau, de rouge elle devenait violette des épaules aux genoux mais c'est les fesses qui prenaient le plus, sans répit.

- Ahhhhhrrrrggggg… 60 Maître… Merci…. Maître...

Je tendis la strap à Arnaud qui me relaya immédiatement, comme il était plus fort que moi ses coups furent plus puissants. Le puni se cabra, et il encaissa sa punition en pleurant, criant, hurlant, gémissant, tous les dix coups il remerciait avec une voix de plus en plus cassée, sanglotante. Après le centième coup il n'émit plus qu'un râle constant entrecoupé de cris, il était pendu par les bras n'ayant plus la force de tenir debout. Presque tout l'arrière de son corps était violet maintenant.

Après que les 120 coups furent donnés, j'allai le voir et comme pour Félix, je le pris par les cheveux:

- Alors petit chef tu vas obéir à ton maître maintenant que tu es le dernier des esclaves fouetté, nu devant tout le monde et bientôt la discipline du bagne pour te dresser, tu en as bien besoin!

Il me regardait implorant, il tenta de parler mais sans succès, je le lâchai et donnai les mêmes ordres que pour Félix, à part que je le destinai au bagne de la route, je ne voulais pas qu'ils soient ensemble!

- Au Suivant!

Pierre approcha tête basse, il s'agenouilla devant mois, on était en train de détacher Camille et de le trainer hors de l'espace du pieu.

- Maître…

- Tu as quelque chose à dire Pierre?

- Maître… Pardon Maître… Depuis deux jours… Je suis esclave ordinaire… J'ai été bien accueilli dans le Camp 2… J'ai travaillé avec les esclaves… Je regrette ce que j'ai fait Maître, Pardon Maître, le régisseur il nous incitait à fouetter mais… J'ai trop fouetté mes esclaves Maître… Je… Je leur demande pardon… Maître…

- Il est un peu tard pour regretter mais tu demandes publiquement pardon… Tu as déjà été puni pour avoir donné les verges à Jacquot le berger, tu dois l'être aussi pour ta cruauté passée, mais elle s'est appliquée quand je n'étais pas ton Maître… Donc je veux bien me montrer clément tu vas recevoir dix coups de strap, pour que tu en connaisses le "goût" les 40 coups qui restent seront en sursis à toi à ne pas commettre de faute grave!

Il se courba encore pour embrasser mes pieds, Alex le souleva pour l'emmener au pieu, il se laissa faire…

Il y fut vite attaché, il était beau aussi, ces quatre anciens élèves de cette école de petits chefs étaient des beaux gosses mais pas des gentils garçons, je pris la strap et en assenai dix coups violents uniquement sur ses fesses bien cambrées, elles appelaient la punition… En plus précédemment zébrées par les verges, le puni a dû souffrir, les deux lobes de ses fesses furent vite rouges, il ne put compter, les dix coups donnés, il reprit son souffle et dit:

- Ahhhh… Merci Maître… Et merci de votre clémence Maître… Maître c'était dur mais Maître…

Il s'arrêta, j'allai le voir, il baissait la tête, au contraire des deux autres je ne la soulevai pas par les cheveux, il m'avait touché ce Pierre par ses excuses aux esclaves, je lui dis doucement:

- Mais quoi Pierre?

- Maître Félix et Camille ils ne sont pas si mauvais…

- Oui Pierre mais ils iront au bagne, jusqu'à ce qu'ils soient de bon esclaves comme tu devras l'être…

- Je le serai Maître… Merci de m'avoir écouté… Je vous aime Maître…

- Comment ça?

- Oh pardon Maître… Vous êtes juste Maître… Et il pleura!

- Alex détache-le, et qu'il rejoigne son équipe!

Je donnai à Pierre une caresse sur sa nuque, et je le quittai, il ne paraissait pas si mauvais ce Pierre, laissons lui sa chance. Je demandai à Edmond que les esclaves regagnent leur dortoirs et de venir avec moi à l'intérieur, avec Vincent aussi, j'invitai aussi Julien à nous rejoindre. Avant je demandai à Alex de retourner à St Christophe avec Arnaud et le malade et le blessé, et de me renvoyer Eric comme convenu.

- Ah au fait Alex demain matin tu enverras deux gardes au Val D'or, j'ai acheté deux esclaves à Bertin, je les destine à être garde, tu devras les tester avant!

- Merci Maître, deux nouveaux gardes ça sera bien, merci pour nous Maître!

Je rentrai à l'intérieur, Julien était assis, Edmond et Vincent debout derrière lui, je les fis tous asseoir disant que pour travailler c'était mieux.

- Bon je vous vois tous les quatre pour définir l'organisation de Broc, il y a cinq équipes pour un seul chef Vincent, Edmond étant chef du village, je le confirme dans ce poste aujourd'hui, il ne peut plus être chef de son équipe, je veux que l'on nomme maintenant 4 chefs d'équipe, parmi les esclaves méritants et pas les plus jeunes. Proposez des noms, quand on en aura quatre on les fera venir.

Au début il y eut un silence, Edmond proposa deux noms, le père du jeune malade et un gars de son ancienne équipe, plus un troisième qui lui parut sérieux… Vincent ne dit rien il avait la tête baissée, troublé après les dures punitions de ses anciens collègues.

- Et toi Vincent?

- Pardon Maître, les gars qu'Edmond a proposés sont biens… Dans mon équipe il y a un gars qui travaille bien… Mais il est encore jeune, Maître.

- Il a quel âge?

- 27 ou 28 ans je ne sais plus…

- C'est Léonard dit Edmond?

- Oui Chef!

- C'est un bon gars il fera un bon chef en effet.

- Bon on a nos quatre chefs vous êtes d'accord? Léonard remplacera Pierre!

- Oui Maître dirent-ils les deux.

- Bon Vincent va les chercher tous!

Peu de temps après j'eus quatre gars tous étonnés dans mon bureau et Vincent alignés devant mois, ils avaient un peu peur. Je leur annonçai leur nominations, et ce que je voulais d'eux, qu'ils traitent bien les esclaves et que le travail soit bien fait. Ils se détendirent, je discutai brièvement avec tous, Julien aussi et décidai de partir pour St Pierre.

En chemin je discourrai avec Julien qui avait été bien discret dans toutes ces discussions…

- Mais Monsieur quand vous parlez, je ne me permets pas de parler et je suis admiratif devant vos nominations des chefs de Broc, je n'oserais pas ajouter quelque chose, je suis fier de travailler pour vous Monsieur…

- Merci mon Julien, mais dis-moi, tu as des relations avec les esclaves de St Pierre?

- Monsieur, je parle avec Xavier et Albert principalement, j'ai vu Paul hier c'est tout!

- Tu es très sage avec ton sexe alors…

- Oh Monsieur, je sais que je n'ai pas le droit de coucher avec vos esclaves!

- Oui c'est vrai, mais il n'y a pas un esclave qui te plait?

- Oh Monsieur, il y a un gars aux écuries qui me plait bien, il est mignon…

- Bon tu as ma permission de tenter quelque chose avec lui, il t'obéira s'il est bien discipliné!

- Merci Monsieur, il me plait tant ce garçon…

- Et Albert ton serviteur?

- Il est gentil Monsieur mais il aime Yvan Et c'est bien…

- Ce soir tu enverras Albert dans ma chambre, je l'ai averti après sa fessée ce matin!

- Oui Monsieur, je me rappelle, il y sera.

En arrivant à St Pierre, deux garçons d'écurie virent chercher nos chevaux, un des deux était très mignon, je regardai Julien, il rougit, il avait bon goût Julien!

Je travaillai avec Xavier, une bonne heure, puis me reposai un moment au salon Yvan me servit à boire, quand Xavier me dit qu'Eric était là, je le fis entrer rapidement au salon:

- Alors Eric, comment va Thomas?

- Mieux Maître, Aurélien a voulu le garder à l'infirmerie, il le soigne, il a peur que quelques cicatrices restent, Thomas vous remercie Maître, on lui a appris tout ce qui s'est passé à Broc il n'en revient pas.

Il s'agenouilla et embrassa ma main, il me dit que Thomas le lui avait demandé. Je le fis se relever en lui caressant les cheveux, il sourit, je lui fis la bise.

- Eric tu seras mon garde demain matin, nous irons à St Alban et nous retournerons à St Christophe, sois à ma disposition ce soir mais je ne devrais pas avoir besoin de toi, vas te restaurer aux cuisines.

- Merci maître de m'avoir choisi comme garde, je vous servirai de mon mieux Maître!

Je lui donnai deux petites claques sur la nuque et il partit. Je pris mon diner en compagnie de Julien, nous étions détendus, Yvan nous servait, il le faisait bien il allait à la cuisine et revenait avec les plats, après avoir apporté les desserts, je remarquai que sa tunique était toute sale, une grosse tache rouge sur le coté!

- Yvan qu'est-ce que c'est que cette tenue, tu oses te présenté sale à ton Maître et à ton chef?

Mon ton avait été sévère, Yvan se recula de la table et baissa la tête, il se mit à trembler:

- Maître… Par… Pardon, je me suis tâché à la cuisine… Pardon Maître…

Il prit la position de l'esclave en attente de sa punition, jambes écartées mains sur la tête…

- Julien comment va-t-on punir ce mauvais serviteur?

- Monsieur, il n'est pas trop mauvais mais sa faute doit être punie, soit par une bonne fessée ou le martinet, ou les verges Monsieur, mais je n'aime pas trop utiliser les verges, Monsieur, sauf pour les fautes graves. Mais Monsieur, comment a-t-il pu se salir comme ça aux cuisines?

Yvan trembla moins mais ne dit rien.

- Yvan tu as entendu la question?

- Maître… Un cuisinier a renversé une coupelle de fruits, je jus a coulé sur moi… Maître pardon!

- Yvan vas à la cuisine chercher le coupable et son chef!

Il y fila et revint avec le chef, un garçon d'une trentaine d'année, et un jeune cuisinier d'une vingtaine d'années. Ils se tinrent les deux tête baissée.

- Alors chef cuistot, on travaille salement dans tes cuisines?

- Maître je viens d'être mis au courant de ce qui est arrivé, pardon pour cette faute, je ferai tout pour qu'elle ne se reproduise pas, Maître, mais j'assume la responsabilité de cette faute, punissez moi Maître!

- Je ne pense pas te punir toi sauf si ça se reproduit, les responsables sont ton cuisinier et Yvan, ils vont être punis mais toi fais attention à mieux surveiller tes cuisiniers à l'avenir…

- Merci Maître, je suivrai vos ordres mais Maître…

- Oui?

- Mon cuisinier et Yvan ce n'est pas une très grosse faute Maître… Benoît est un bon cuisinier Maître…

- Merci, rassure-toi il sera de nouveau au travail sous peu… Yvan aussi… Tu peux te retirer, le repas était très bon, tu pourras féliciter tes cuisiniers!

- Merci Maître…

Il se courba et nous quitta, je dis à Julien:

- Nous voilà avec deux garçon à punir, dans les propositions que tu as faites, je pense qu'une bonne fessée cuisante sera bonne pour eux, tu vas fesser Benoît immédiatement je fesserai Yvan dans ma chambre tout à l'heure.

- Bien Monsieur, Benoît viens ici!

Il recula sa chaise écarta un peu les jambes, le cuisinier Benoît un garçon pas très grand mais bien proportionné s'approcha de lui hésitant, Julien le fit se courber et l'installa parfaitement sur ses genoux, il souleva sa tunique assez haut et je vis alors les fesses, le bas du dos et les cuisses du jeune cuistot, cela faisait un bel ensemble, je regrettai presque de ne pas le fesser moi-même!

- Yvan, enlève cette sale tunique et à genoux les mains sur la tête pendant la punition de Benoît et regarde bien tu recevras la même tout à l'heure!

Les deux gars étaient nus, l'un à genoux en attente, l'autre en fâcheuse posture, les fesses nues en l'air, prêtes à être fessées, je fis signe à Julien de commencer, il leva la main et claqua les fesses du puni durement, celui-ci sursauta, mais ne dit rien. Julien le fessa méthodiquement durement, à un rythme accéléré les fesses rosirent puis rougirent, je voyais la tête du puni, il grimaçait à chaque claque, il devint tout rouge, et Julien continuait, j'avais parlé d'une fessée cuisante, elle était méritée, et le beau Julien fessait ce jeune gars le spectacle était beau, je me mis à bander…

- Arrête Julien! Je vais finir sa punition!

Le gars se releva et vint vers moi il pleurait, il avait peur, il se coucha docilement sur mes genoux, j'eus devant les yeux ses belles fesses bien rouges, je posai la main dessus, elles étaient fermes, douces et toutes chaudes, je les claquai une dizaine de fois, durement, le puni gémit, je posai ma main sur ses fesses et les massai doucement…

- Alors mon garçon tu feras attention aux cuisines?

- Oui Maître… Pardon Maître… Dit-il d'une voix pleine de sanglots.

- A genoux!

Il se tint à genoux devant moi, tête baissée, tout mignon, tout soumis après une bonne fessée

- Benoît, embrasse la main qui t'a fessé, demande pardon et remercie le maître de t'avoir puni! Dit Julien.

Benoît pris doucement ma main pour l'embrasser, une larme coula sur ma main il se confondit en pardons et mercis, je lui caressai la tête et lui dis de regagner sa cuisine.

Il partit tout honteux je fis signe à Yvan de se lever et lui dis:

- Yvan debout ne remets pas cette tunique sale, tu nous serviras nu un digestif et tu monteras dans ma chambre pour m'attendre à genoux les mains sur la tête!

Je repartis dans une discussion avec Julien sur le chemin de fer, nous allâmes au salon et sur mon ordre Yvan nous servit un cognac, il était très mignon Yvan tout nu pour nous servir et une fois que ce fut fait, je lui montrai la porte, il sortit tout piteux.

- Vous êtes sévère Monsieur avec lui! Dit Julien.

- Il le faut Julien, j'aurais été aussi sévère avec Tom, mes serviteurs doivent être parfaits dans leur tenue! Un esclave doit obéir!

- Oui Monsieur, je comprends…

- Bon donc il sera puni tout à l'heure, à ta santé Julien!

8 commentaires:

  1. J'ai lu avec plaisir ce chapitre; Toutefois une petite anomalie : dans un precedent chapitre tu avais donné une fessée à Albert qui avait gifflé Yvan et tu avais dit qu il serait dans son lit la prochaine nuit qu'il passerait a St Pierre et là on se dirige pour une nouvelle nuit avec Yvan ???

    Quand est ce qu'on aura la suite ??

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  2. Tu n'as pas bien lu ce chapitre, Albert sera dans la chambre du maître, Yvan aussi... Tu n'aimes pas l'amour à trois?

    La suite elle est dans ma tête, pas encore dans l'ordi...

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  3. Si j aime comme matthieu avec Yves et Tim

    Janou

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  4. Bonjour Maître Marcus !
    Toujours plaisants tes textes : la mise en scène, à Broc, de petits cons formés dans une "grande école" m'a bien plu. Cela ressemble à un règlement de comptes ! Ceux qui ont un peu vécu et rencontré (ou subi) ce genre de situation pourront, avec ton récit, assouvir une partie de leurs fantasmes. Qui n'a rêvé de voir certains petits cons remis à leur place manu militari ?

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  5. Merci beaucoup Frank, tu es très sympa. Les petits cons fouettés ça les éduque au moins...

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  6. Salut Marcus, et Bon Noël !

    Ai-je manqué un épisode ou le N° 53 peine-t-il à passer de ta tête à l'ordi ?

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  7. "Tout vient à temps pour qui sait attendre"

    Tu sais pour écrire il faut être disponible intellectuellement et moralement, l'épisode 53 est en ligne mais il n'a pas été facile pour moi de m'y consacrer, heureusement que certains d'entre vous m'ont encouragé!

    Merci à tous!

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  8. Bonour, je pense qie franck pensait aux écoles de commerce et aux grandes écoles. C'est vrai qu'au nom du profit, on fait des choses absurdes. Là l'ebitda c'est le nombre de coups de martinet que ces crétins ont donné.
    L'ebit on le calcule sous excel, ici c'est le carnet de punition hebdomadaire qui sert pour le contrôle de gestion...cf les premiers chapitres : bref pas mal de similitudes avec le monde libre

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