mercredi 4 novembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 50 – Le régisseur fautif

A 6 heures Yvan se réveilla, comme mon bras l'enserrait, il le dégagea avec douceur et se leva, j'étais aussi réveillé:

- Déjà debout Yvan!

- Maître il est temps il faut que je me lave et fasse préparer votre petit déjeuner, et Maître pardon de vous avoir réveillé…

- Je m'étais réveillé avant, tu demanderas à Julien de venir déjeuner avec moi, à 7h30.

- Bien Maître, à vos ordres!

Il fila, je somnolai un peu et me levai, le doux Yvan me fit ma toilette, mon rasage, et m'habilla je fus vite fin prêt. Je descendis vers la salle à manger, y retrouvai Julien et Xavier qui me salua respectueusement, et s'éclipsa après m'avoir demandé si j'avais passé un bonne nuit.

Julien et moi nous nous attablâmes, Yvan arriva avec le café, le lait, un cuisinier portait un panier rempli de pains et de brioches, et un plateau avec des confitures, du beurre et du miel. Je commençais à discuter avec Julien quand il dit à Yvan:

- Mais Yvan tu as la joue rouge!

- Ce n'est rien Monsieur Julien…

- Tu as reçu une gifle Yvan? Demandai-je.

- Non Maître ce n'est qu'une rougeur…

- On voit la trace de la main, alors tu te moques de nous Yvan? C'est grave! C'est Xavier qui t'as giflé?

- Non Maître… Mais ce n'est rien Maître… Il tomba à genoux…

- Bon c'est Albert alors, vas le chercher!

- Oh Maître non, il était en colère c'est tout…

- Yvan tu vas le chercher! Si dans deux secondes tu n'es pas sorti de cette salle je te fouette!

Il fila immédiatement, la menace du fouet est toujours efficace… Julien me dit:

- Monsieur, Albert est un bon serviteur, il aime Yvan, il me l'a dit!

- Oui mais qui a le droit de gifler Yvan? Toi, Xavier et moi! Pas Albert!

Yvan revint, suivi d'Albert et Xavier.

- Albert pourquoi as-tu giflé Yvan?

- Maître… Il se mit à genoux.

- Pourquoi tu l'as giflé?

- Maître… J'étais en colère, il avait passé la nuit avec vous… Maître…

- Tu es jaloux, mais tu n'as pas droit de l'être, il a dormi avec moi sur mon ordre!

- Oui Maître, pardon…

- Aller, viens sur mes genoux, et vite!

Il se coucha sur mes genoux, je soulevai sa tunique et je commençai à le fesser assez durement, je le punis assez sévèrement, une bonne fessée vigoureuse de 10 minutes, il l'encaissa avec courage sans trop crier, je le fis se relever, il avait les larmes aux yeux, il s'agenouilla en me remerciant:

- Je te pardonne Albert, mais si tu recommences ce sera le martinet ou les verges, et la prochaine fois que je viendrai tu passeras aussi par mon lit! Aller file maintenant nous avons autre chose à faire!

Il était près de 9 heures, je pris le dossier concernant Gabriel, et me dirigeai vers mon bureau, mes bons gardes étaient là, ils me saluèrent, je leur répondis et les fis entrer dans le bureau en leur donnant des instructions pour se prévenir de toute réaction violente des deux qui allaient être jugés.

Xavier me signala que la femme de Gabriel était arrivée avec une charrette à bras et ses deux enfants. Je les retrouvai dans l'entrée, elle était assise, triste, elle se leva à mon arrivée, ses deux enfants, une fille d'environ 8 ans et un garçon de guère plus de 3 ans dormaient sur un banc.

- Ils ont mangé ces enfants?

- Non Maître je n'ai pas pu ce matin…

- Bon qu'on leur apporte du lait chaud et des tartines et qu'on les installe dans la salle à coté du bureau, du lait ça leur va?

- Oh oui Maître merci pour eux…

- Ce sont des enfants ils ne sont pas responsables des bêtises de leur père! Je pense que la petite peut s'occuper de son petit frère.

- Oh oui Maître…

- Bon allons au bureau. Je donnai des ordres pour que les prisonniers soient remontés.

Nous nous retrouvâmes dans le bureau, devant chaque issue un garde, je pouvais être fiers d'eux, par leur tenue, leur sérieux… Et leur beauté… La femme de Gabriel avait été invitée à s'asseoir sur une chaise, Julien était assis à ma droite, Xavier à ma gauche, il était un peu comme mon secrétaire. Gabriel la mine défaite, les vêtements fripés était debout la tête basse, son esclave Hubert se tenait à côté de lui l'air absent comme s'il n'était en rien concerné. Je pris la parole:

- Nous sommes ici pour juger une action grave, inqualifiable de cruauté et d'injustice envers un homme de ma garde, en plus mon garde personnel donc sous ma protection! En plus des injures contre lui et contre moi ont été prononcées. Donc il est impossible de continuer pour moi de travailler avec toi Gabriel comme régisseur, nous allons donc procéder à la clôture de ton compte. Mais avant je voudrais revenir sur les actions de ton esclave personnel Hubert, que je ne connaissais pas; cet esclave a porté la main sur Thomas mon garde en le fouettant cruellement, et il a aussi dénoncé plusieurs fois des esclaves de Broc pour les faire fouetter, tout ceci sur un domaine qui m'appartient sans mon autorisation, son cas devra être transmis à la justice!

L'esclave réagit:

- Quoi! Je suis l'esclave de mon Maître pas le vôtre…

- Insolent, tu es chez moi, tu es sous ma loi, Alex prends-le et donne-lui 50 coups de martinet sévèrement dans l'entrée à côté!

Alex le prit et l'emmena, dans l'entrée, on entendit du tumulte, Alex appela Arnaud qui fila, j'allai voir, ils réussirent à l'immobiliser sur un banc, l'esclave s'était débattu Arnaud l'attacha sur une lourde table qui était là.

- Bien les gars, mettez le cul nu et rajoutez 25 coups puisqu'il s'est débattu, et ne soyez pas tendres, pensez à Thomas!

Le puni Hubert était nu couché sur la table, les jambes et les bras attachés, il n'était pas moche, musclé un beau cul tout rond, avec des fossettes sur le côté, Alex souleva le martinet et après m'avoir consulté du regard, il l'abattit sur les fesses du puni, cela claqua fort, il cria et une marque bien rouge apparut…

Je repassai au bureau, Gabriel était déstabilisé, mais il savait parfaitement que sur mon domaine j'avais tous les droits sauf de tuer son esclave, mais il ne mourrait pas de 75 coups de martinet… Je pris les papiers devant moi:

- Bon donc Gabriel, pour ta paye nous sommes à jour, le garde que tu as sauvagement agressé t'apportait ta paye du mois prochain, au moins je n'ai pas besoin de te demander de la restituer! Mais outre tes salaires je voudrais revenir sur cet emprunt que tu as fait auprès du vieux maître il y a deux ans…

Gabriel baissa encore la tête, j'ai cru qu'il allait s'évanouir, il accusa le coup…

- Un emprunt! Quel emprunt? S'exclama sa femme.

- Et bien un emprunt de 2 000 Ecus, j'ai là la reconnaissance de dette! Tu as des preuves d'éventuels remboursements Gabriel?

- Euh non Maître…

Sa femme se leva, lui bondit dessus en criant après lui et le frappant de ses mains il ne répliqua pas.

- Quoi salaud tu as emprunté de l'argent! 2 000 Ecus! Mais pourquoi? Pourquoi?

Elle se rassit en larmes, l'atmosphère était lourde, en plus le martinet claquait, le puni criait, les enfants étaient venus vers leur mère, cela devenait pathétique, mais je pensais à mon bon Thomas ça me donnait des forces!

- Bon Gabriel, as-tu les 2 000 Ecus que tu dois au domaine?

- Non Maître… Je les ai empruntés pour une dette de jeu… Dit-il en regardant sa femme.

- Bon je pense que tu sais où ça te mène, la Justice va s'occuper du dossier, tes biens seront vendus, et puis toi, ta femme et tes enfants au marché aux esclaves, jusqu'à ce que les 2 000 Ecus soient atteins, je doute que cela suffise, mais je serai bien obligé de m'en contenter…

Sa femme réagit, on entendit un coup de martinet bien cinglant, et un cri de douleur:

- Oh Maître pas les enfants, ils n'y sont pour rien, leur père est ignoble mais pas eux!

- Et vous?

Elle se remit à pleurer:

- Maître je n'ai pas le choix, je vais devenir esclave à cause de mon maudit mari mais les enfants Maître par pitié.

Ses enfants se pressèrent contre elle surtout le petit, j'en avais pitié de ces pauvres gosses…

- Mais vous connaissez la loi qui est passée il y a environ un an?

- Non Maître quelle loi?

- Une loi qui dégage la responsabilité de la femme et de ses enfants si une demande de divorce a été formulée avant le dépôt de la plainte.

- Mais Maître je ne l'ai pas fait!

Les coups de martinet s'arrêtèrent, Alex entra et me déclara que la punition était finie, je lui dis d'amener l'esclave, il le traina jusque devant le bureau, l'esclave s'effondra à genoux, prostré.

- Debout esclave et les mains sur la tête!

Il se leva difficilement il obéit, il apparut nu, les joues pleines de larmes, les mains sur la tête…

- Alors tu fais moins le malin esclave, et ton maître non plus, et il ne peut rien pour toi, alors ton sort dépend de qui?

- …

- Tu veux le fouet pour te délier la langue?

- Maître pitié… Pas le fouet! Mon sort il dépend de vous je le sais maintenant, mais pitié Maître… Pitié…

- Alors esclave je te laisse le choix: ou tu es vendu demain au marché, et comme tu viens d'être fouetté tu seras acheté pour rien pour les mines ou des chantiers où les esclaves ne durent pas 3 mois, ou tu deviens mon esclave, je te confisque à ton maître vu ses dettes, et dans ce cas tu seras fouetté au martinet à Broc puis emmené à St Christophe pour que Thomas te corrige et ensuite selon ton comportement tu seras intégré dans une équipe de travail dans le domaine… Alors esclave ton choix?

- Maître pas le marché, pas ça Maître, mais pitié Maître… Je veux être à vous!

- Bon voilà la question de l'esclave réglée, Gabriel je vais te faire une proposition, tu es prêt à l'entendre?

- Oh Maître est-ce que j'ai un autre choix? Il baissa encore plus la tête.

- Donc Gabriel, on va faire un papier que tu signeras où il sera écrit, que tu me donnes ton esclave en dédommagement, que tu confirmes ton divorce avec ta femme, et abandonnes tout droit sur tes enfants, et que tu me serviras d'esclave pour rembourser ta dette pendant un minimum de 10 ans, au terme de ces 10 ans un calcul sera effectué pour voir si ta dette est comblée ou non!

- Maître comment calculer ça?

- Tu auras une ferme dont tu t'occuperas, tu dépendras d'un village, tu pourras être puni au fouet mais pas à mort! Idem pour ton ex-esclave Hubert, il ne sera pas condamné à mort mais tout cela est vrai pour tous mes esclaves…

- Bien Maître, je signerai je serai votre esclave, mais ma femme et mes enfants ils seront libres?

- Oui c'est l'avantage de cette nouvelle loi, tu pourras embrasser tes enfants avant qu'ils partent… Mais vous savez où vous allez? Demandai-je à sa femme.

- Oui Maître j'ai mes parents et ma sœur en ville mais Maître merci pour les enfants!

Elle contourna le bureau et vint m'embrasser la main, je lui répondis en l'embrassant sur les deux joues!

- Maintenant procédons à la rédaction des actes, Xavier, prends une feuille et de quoi écrire!

- Mais Maître, je ne sais pas écrire…

- Quoi mais ce n'est pas ce que tu m'as dit, mais on verra ça plus tard, Julien charge-t-en!

- Bien Monsieur!

Et il prit un papier, un encrier et une plume et il écrivit le contrat et la procédure de divorce sous ma dictée, Gabriel signa les deux papiers, sa femme en signa un. Une fois les papiers signés Hubert fut emmené, Gabriel embrassa ses deux enfants qui pleuraient, ce fut touchant, mais il valait mieux pour eux qu'ils partent, je fis préparer le fiacre pour les emmener en ville, ils partirent…

Peu de temps après, Xavier vint me dire que Paul était là, je le fis entrer.

- Alors Paul on vient aux nouvelles?

- Pardon Monsieur mais j'ai appris que Gabriel avait des problèmes?

- Oui et comment?

- Oh Monsieur tout se sait, le boulanger de St Pierre vient nous apporter le pain tout les matins il fait le messager, il n'y a rien de mal Monsieur ne le punissez pas…

- Mais non Paul, ce n'était pas un secret! Mais Gabriel a commis une faute impardonnable, il est mon esclave maintenant!

- Oui Monsieur, il a fouetté un de vos gardes sans raison, c'est grave, mais il n'y avait pas une autre solution comme pour moi…

- Non Paul pas pour cette faute, tu aurais des sentiments pour quelqu'un qui fouetterais comme ça Adrien?

- Monsieur, à la réflexion, non, et c'est vrai que je vous comprends, le jeune garde il est venu me voir avant… J'ai apprécié sa gentillesse et son dévouement, il a été très prévenant avec Adrien en le ramenant sur son cheval…

- Oui c'est un bon garçon, il n'avait jamais mérité la correction d'hier, et on ne fouette pas impunément un de mes esclaves sans raison…

- Je comprends mieux Monsieur, mais je voulais vous annoncer aussi que j'aimerais commencer les vendanges demain matin, le temps s'annonce bon.

- Enfin une bonne nouvelle! Mais je t'ai dit c'est toi qui décides pour les vendanges, le temps se découvre ce matin mais va-t-il rester beau?

- J'ai un vigneron qui me conseille toujours pour le temps, il annonce trois jours de temps sec, c'est juste ce qu'il nous faut…

- Le vieux maître c'est toujours lui qui lançait les vendanges?

- Oui selon ce que je lui disais après m'avoir contredit et disputé mais il ne décidait pas d'une autre date, il lançait les vendanges en menaçant les vignerons du fouet si tout n'était pas fini dans les temps…

- Et ils étaient fouettés tes vignerons?

- Tous les soirs il fallait que j'en fouette deux, aux verges ou au fouet!

- Bon Paul, demain tu lances les vendanges, sans menaces, et je passerai dans la matinée pour les encourager, mais pendant les vendanges, pas de punitions systématiques le soir, que si c'est nécessaire!

- Monsieur ça devrait bien se passer, j'ai confiance en mes gens… Mais monsieur est-ce que je peux vous demander quelque chose?

- Tu peux toujours demander!

- Dans le premier domaine où j'ai travaillé, à la fin des vendanges, tous les esclaves faisaient un grand repas avec leur chef…

- Très bonne idée Paul! Alors que ce soit un bon repas j'y serai, et Adrien aussi, mais n'en parle pas aux esclaves, et on ne le fera que s'ils travaillent bien, et une fois la récolte faite!

- Merci Monsieur, je les aime bien mes vignerons…

- Et les autres de St Alban?

- Oh Monsieur depuis que Nico a été fouetté, ils sont moins peureux, ils ont plus à manger, ils travaillent bien, je n'ai pas eu à les punir, je ne les reconnais plus…

- C'est mieux comme ça et Adrien il va bien?

- Euh oui Monsieur… Il m'a raconté pour hier…

- Ah oui, hier, je n'ai pas pu résister à mon pouvoir, tu m'en veux?

- Monsieur, un peu quand il me l'a dit mais il m'a rappelé que j'avais fait la même chose la veille…

- Il a eu bien raison…

Je le pris dans mes bras le serrai et je l'embrassai, il ne se refusa pas au contraire…

- Bien Paul, je passerai à St Alban, demain matin quand les vendanges seront commencées, alors à demain…

- A demain Monsieur, et il partit.

Je me rendis au bureau, je regardai quelques papiers qui s'y trouvaient quand on frappa, Xavier entra, il se mit devant le bureau baissa la tête:

- Maître je vous demande pardon, je ne sais pas écrire et je vous ai laissé croire que je savais…

- Oui Xavier, lors de notre première conversation, comme le jeune maître m'avait dit que tu avais suivi aussi ses cours, je pensais que tu savais lire, je t'ai même donné un papier à lire… Pourquoi tu n'as rien dit?

- Pardon Maître mais sans savoir lire je ne pensais pas que vous me garderiez à cette place, j'ai eu tort de ne rien dire, Maître, je ne suis pas digne de diriger St Pierre…

Il tomba à genoux, sa voix s'était cassée pendant sa dernière phrase, j'étais un peu en colère contre lui, savoir lire n'était pas indispensable à son travail, il savait très bien organiser St Pierre, les résultats du village étaient bons, bien meilleurs que les deux autre.

- Mais tu étais bien présent aux cours avec le jeune maître?

- Oui Maître pour essuyer le tableau, tailler les crayons, et recevoir des coups de règle!

- Bon donc tu ne sais pas lire…

Je me levai le rejoignis devant le bureau sur lequel je m'assis ma jambe droite à terre, ma cuisse gauche reposant sur le bureau, Xavier était à genoux entre mes jambes.

- Debout Xavier!

Il se leva, et comme mon ton avait été très autoritaire, il prit instinctivement la position du puni, mains sur la tête jambes écartées, regard à terre!

- Oui Xavier, ne pas savoir lire ne t'empêche pas de diriger St Pierre, mais tu vas être puni pour avoir menti par omission, déshabille-toi!

Il se mit nu rapidement, je ne l'avais jamais vu comme ça, il était encore plus beau que je pensais, bien fait, un peu musclé, je me levai et en fis le tour, ils était nu jambes écartées les mains sur la tête, ah le beau petit mâle, des fesses rondes, je me mis à bander comme toujours quand j'ai un beau garçon soumis devant moi…

Je me rassis de la même façon, la cuisse gauche bien à plat, je tapotai ma cuisse, en le regardant il comprit il se courba sur le bureau, son sexe contre ma cuisse et les pieds à terre, les fesses écartées bien offertes pour une bonne fessée!

Avant de le fesser ma main droite caressa ses fesses, histoire d'en faire connaissance, quel plaisir, des fesses fermes rondes, offertes, mon puni frémissait, il tremblait légèrement, quand un de mes doigts pénétra dans sa raie, il eu un frisson! De peur ou de plaisir? Je sentais la chaleur de son ventre sur ma cuisse, son sexe ne se tendit pas, il avait trop peur de cette première punition…

La fessée commença, assez fermement, les claques tombèrent à un rythme rapide, Xavier sursautait à chaque claque, ses fesses rosirent et rougirent vite, je claquai plus fort, il commença à geindre, à pousser des petits gémissements mais il encaissait très bien cette dure fessée qui dura longtemps. Quand j'eus mal à la mal à la main, je pris une règle plate en bois sur le bureau et la posai sur ses fesses.

- Alors mon garçon, la règle ça te rappelle ton enfance?

- Oui Maître, mais celle là je la connais bien, le vieux maître, mon père, il l'utilisait souvent!

- Et pour avoir menti tu recevais quoi comme punition?

- Maître les verges ou le ceinturon, longtemps, beaucoup de coups…

- Jamais de fessée?

- Il y avait longtemps Maître que je n'avais pas reçu la fessée manuelle…

- Bon 20 coups de règle tu les comptes!

- Oui Maître.

Il ajusta sa position, cambra bien ses fesses, il était très bien dressé mon Xavier…

La règle tomba bien à plat, le coup fut bien sonore, et dur pour le puni il gémit fortement…

- Ah! Un merci Maître, s'il vous plait Maître le deuxième!

J'étais surpris, cette habitude de demander le coup suivant était connue chez les militaires mais guère chez les particuliers, je commençais à mieux comprendre le type d'éducation que Xavier avait reçu. La règle tombai durement sur ses deux beaux lobes fessiers, des traces rectangulaires, plus rouges apparurent, bien marquées!

- Ahhhhrrrr… 9 merci Maître… S'il vous plait Maître le dixième… Et il sanglota…

- C'est dur mon garçon? Je passai ma main dans ses cheveux…

- Maître… Pardon… Vous êtes sévère mais… Maître je l'ai mérité! Je ne mentirai plus Maître, Pardon…

Je donnai encore un dur coup de règle!

- Ahhhrrrrr… 10 merci Maître… Le onzième s'il vous plait Maître…

- C'est sûr que tu ne mentiras plus?

- Oui Maître j'ai eu tort pardon, pardon.

Je posai la règle sur le bureau, il me faisait pitié le beau Xavier, je mis ma main sur ses fesses, elles étaient bien chaudes, je le caressai doucement il se détendit, je l'entendis pleurer…

- Tu vois Xavier, je veux que mes esclaves qui me servent de près soient le plus franc possible, tu dois toujours me dire la vérité, sans chercher à rien cacher, aller lève-toi mon grand, ta punition est terminée, tu es pardonné.

Il se leva, il me remercia d'avoir écourté la punition, il pleurait, je lui tendis les bras et il vint tout timidement dans mes bras, il s'y blottit, je le serrai, c'était mon premier moment de tendresse avec lui, il ne s'y refusait pas, bien au contraire, il bredouillait des 'pardon', des 'merci', je commençais à bien comprendre que sa vie de 'batard' du maître n'avait pas dû être facile… La tendresse n'en faisait pas partie, il avait dû être dur avec lui-même… Et maintenant il se laissait aller, il était bien, ses fesses étaient brûlantes, les caresses calmaient, il n'était pas envoyé aux champs, il était dans les bras de son jeune maître sévère…

5 commentaires:

  1. Merci Marcus c’est passionnant comme toujours

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  2. Toujours aussi intéressantes et captivantes ces scènes de la vie quotidienne du domaine St Christophe-St Pierre. Matthieu fait preuve de beaucoup d'équité.

    Et Marcus, sans doute pour ne pas lasser ses lecteurs, fait maintenant fouetter un esclave dans l'antichambre pendant que nous restons dans la pièce principale. C'est ingénieux et parfaitement adapté aux circonstances, à cause de la présence des enfants.

    Merci et bon courage pour la suite.

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  3. Merci tous les deux!

    J'essaie de varier, merci d'être patients pour la suite, j'essaierai de publier une histoire par semaine...

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  4. une semaine!?!? c'est troooooop je peux pas tenir tout ce temps...
    stp Marcus fait un effort pour tes admirateurs ne soit pas trop dur avec eux

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  5. vraiment intéressante cette histoire. J'apprécie ta clémence par rapport à la dette de gabriel. matgieu ne se comporte pas en banquier des subprimes quoique maintenant les gens resteraient dans leurs maisons pour ne pas aggraver la crise par popérisation des quartyiers.
    ensuite la fessée de xavier qui est en réalité victime et devait bien mentir par omission est un régal. mayhieu devait le punir c'est son rôle de maître. Mais par rapport à la barbarie de l'esclavage, mathieu est un maître paternaliste...

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