samedi 31 octobre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 49 – Thomas injustement fouetté

J’étais stupéfait, mon Thomas que j’avais envoyé en mission, revenait dans un état de choc après avoir été fouetté!

- Mon garçon, ressaisis-toi et explique-nous tout!

Il était à mes pieds, pleurant, ne pouvant rien dire, je le tirai vers moi, contre mes jambes, sa tête sur mes genoux, je passai ma main dans ses cheveux, il se calma un peu.

- Parle mon Thomas!

- Pardon Maître… J’ai fait ma mission à St Alban, j’ai ramené Monsieur Adrien chez lui et j’ai remis l’enveloppe à Monsieur Paul, et je suis allé à Broc Maître…

- Et alors Thomas?

- Oh Maître, quand je suis arrivé à Broc devant la maison du régisseur, Monsieur Gabriel est sortit furieux avec un autre homme! Il m’a injurié, que j’étais un chien d’esclave que je ne devais pas être sur un cheval dans son village… Ils mont agrippé tous les deux en me mettant à terre brusquement!

- Quoi! Mais continue Thomas!

- Oh Maître, je ne m’y attendais pas, mais c’est après que ça été pire… Monsieur Gabriel m’a dit que j’étais un sale esclave, qu’il allait me faire passer l’envie de monter à cheval, avec l’autre homme ils m’ont déshabillé et fait coucher sur un banc… Monsieur Gabriel a enlevé son ceinturon, Maître et il m’a fouetté durement, l’homme me tenait les bras, il me disait plein de choses Maître…

Il se remit à pleurer, encore plus fort qu’avant, je demandai à Alex de le déshabiller, il le déculotta, et enleva sa chemise, Thomas se laissa faire bien sûr, ses fesses étaient un vrai carnage, des traces violettes partout, sur le bas du dos et sur les cuisses, mais surtout les traces caractéristiques de la cravache ou des verges, avec quelques marques au sang…

- Il te disait quoi Thomas?

- Que j’allais avoir le cul tanné, bien zébré et que… Que…

- Que quoi? Parle Thomas, dis tout!

- Que moi un mignon de vous Maître, vous me rejetteriez, Maître!

- Le salaud! Mais tu as été fouetté longtemps au ceinturon, et après?

- Oh longtemps Maître, je me débattais, je criais, il a arrêté et Monsieur Gabriel il a dit à l’autre de me finir avec 24 coups de verges… Ils m’ont attaché au banc les mains et les chevilles aux pieds du banc, oh maître je ne pouvais plus bouger dans les mains de ces monstres, j’avais les jambes bien écartées, Et Maître quand l’homme est venu il à parlé de mon cul, et il y a donné un grand coup de baguette, en plein dans la raie… Oh Maître ça fait mal!

- Il a dit quoi de ton cul?

- Oh Maître, que j’avais un cul de petite salope!

- Et il t’a fouetté aux verges?

- Oh oui Maître… Comme une brute, il a cassé deux fois sa baguette il disait que ça annule le coup, ça cingle, c’est terrible il allait vite, je ne pouvais plus reprendre ma respiration, je ne pouvais plus bouger, j’ai crié Maître, ça faisait trop mal Maître…

Je lui caressai la tête, ma colère montait, mais je voulais la fin du récit de Thomas:

- Ca s’est fini comment?

- A la fin des 24 coups il a lancé sa baguette, il m’a claqué les fesses à la main durement, plusieurs, fois, ils m’ont détaché, je tenais à peine debout, ils m’ont ordonné de m’habiller de ressortir, de prendre mon cheval à la main, d’aller au bout du village et de revenir pareil à pieds et soumis, que si je faisais la moindre erreur, je serais de nouveau fouetté!

- Il y avait des esclaves dehors?

- Oui Maître, mais l’homme les a traités de chiens et leur a ordonné de rentrer!

- Et tu as fait quoi?

- Oh Maître arrivé au bout du village j’ai eu peur, je suis monté sur le cheval et je l’ai lancé au galop, ça me faisait mal mais je voulais rentrer ici, Maître, j’ai pris des petits chemins… Ils ne m’ont pas suivi, Mais Maître je n’ai pas donné l’enveloppe, je n’ai pas fini ma mission, pardon Maître…

- Heureusement Thomas! Montre tes fesses Thomas!

Il se leva et se pencha en avant, un peu honteux, les marques étaient profondes, il pourrait en garder des cicatrices, mon beau Thomas, les salauds! J’avais contenu ma colère jusqu’à maintenant mais elle éclata!

- Alex, file te préparer avec quatre gardes, je vous rejoins on va aller s’occuper de ces ordures, départ dès que les chevaux sont prêts! Ah ils vont voir ce que c’est que toucher à mon garde, les salopards…

Je pris Thomas dans mes bras, je l’embrassai, il me serra fort, il était revenu chercher ma protection il l’aura et ses tortionnaires vont sentir ma colère!

- Je vais te venger mon garçon, personne n’avait le droit de te faire ça, Yves va t’emmener chez Aurélien, et tu y passeras la nuit, soigne-toi mon garde, mon petit Thomas…

Il pleurait, Yves le prit par les épaules, il lui mit une grande serviette sur les épaules, qu’il ne se promène pas tout nu, ils partir, j’eus un pincement au cœur pour Thomas, il ne méritait vraiment pas ça lui le doux garde… Ma colère se renforça…

- Aller Tom viens m’aider à m’habiller!

Tom ne put s’empêcher de me dire :

- Oh Maître pauvre Thomas, je peux aller le voir Maître? Oh Pardon je ne vous ai pas demandé la permission de vous questionner Maître!

- Pas grave petit Tom, bien sûr vas le voir mais laisse le se reposer.

- Merci Maître, prenez garde à vous Maître.

- J’espère que je ne risque rien dans mon domaine, mais ce Gabriel, il va passer un mauvais quart d’heure!

- Vous allez le fouetter Maître?

- S’il était mon esclave oui je le ferais et il irait au bagne ce salaud!

- Merci de défendre Thomas Maître! Ressortir à cette heure!

- Mais Tom c’est normal, ce serait pour toi ce serait pareil!

Il m’embrassa la main, j’étais prêt, bien habillé, je lui fis un bisou et je filai…

Je chevauchais assez rapidement avec mes gardes, il y avait Arnaud, Eric, Mathias et Denis, mes principaux gardes, au départ Alex m’avait dit qu’ils étaient tous content d’aller défendre Thomas, qu’ils avaient tous été très choqués de le sévère et injuste correction dont il avait été victime! Il faisait nuit, nous avions une torche à la main.

Nous arrivâmes à Broc au galop dans un fracas assourdissant, et nous nous arrêtâmes devant la maison du régisseur. Celui-ci sortit avec un air ahuri, un homme était derrière lui.

- Alors Gabriel ça te dérange que moi et mes esclaves on vienne te voir ce soir à cheval?

Il ne répondit rien, j’avais sortit ma cravache, je lui en donnais un dur coup sur les épaules, il cria, je descendis de mon cheval et je cravachai Gabriel, il tomba à terre, il criait, sa femme sortit elle s’accrocha à mon bras en me suppliant, j’arrêtai ne voulant pas la battre.

Elle se recula, Gabriel se releva avec difficulté, il titubait à moitié, je m’approchai de lui, il puait le vin, il était à moitié ivre!

- Sale régisseur, tu t’es cru tout permis tu vas le payer cher, tu n’es plus régisseur, je te vire! Et je devrais te fouetter avant!

Il ne dit rien il baissait la tête abasourdi, sa femme s’écria:

- Maître, pitié, pourquoi, parce qu’il a fouetté un esclave insolent? Ce n’est pas une faute Maître!

- Il a fouetté mon garde personnel, en l’injuriant, et en m’injuriant en plus! Il n’avait aucun droit de le faire avec ce gars là en plus qui c’est?

Gabriel prit enfin la parole:

- Maître c’est Hubert, mon esclave personnel, il m’appartient.

- Quoi! Un esclave qui vit ici sans que je le sache, sur mon domaine, qui fouette en l’injuriant un de mes esclaves, et qui traite mes esclaves de chien, avance racaille d’esclave!

Il avança tête baissée, il mit son bras devant sa tête pour se protéger, ma cravache lui tomba dessus, fortement, il reçu une volée bien méritée, ma colère lui valu une correction désordonnée mais sévère, il était roulé en boule par terre, la cravache frappai le dos et les fesses, c’était un garçon bien proportionné, il encaissait les coups, son maître n’osait rien dire…

J’arrêtai, je déclarai:

- Gabriel et ton chien d’esclave vous êtes en état d’arrestation, Gardes attachez-les et conduisez-les aux cachots de St Pierre! Toi femme tu as la nuit pour faire tes balluchons et présente-toi à St Pierre à 9 heures, tu en repartiras avec ton mari et tes enfants! Et pas la peine de discuter mes ordres!

Je remontai en selle, Alex et Arnaud attachaient les deux hommes, ils ne résistaient pas, mon ton était extrêmement dur, je m’adressai à mes gardes qui avaient regardé la scène prêts à intervenir:

- Mes gardes, nous allons aller passer la nuit à St Pierre, toi Mathias, tu vas retourner à St Christophe, tu préviendras Yves que je ne rentre pas!

- Bien Maître! Dit Mathias et il partit.

A la lumière des torches on pouvait voir que les esclaves s’étaient tous rassemblés un peu plus loin, du haut de mon cheval, je leur dit:

- Mes esclaves approchez, ce soir votre régisseur a commis une faute très grave, je le chasse, vous ne le reverrez plus, vous ne reverrez plus non plus son sale esclave Hubert…

Un murmure parcourut les esclaves, la nouvelle n’avait pas l’air de leur déplaire…

- Les chefs avancez!

Cinq gars avancèrent, quatre assez jeunes, pas 25 ans avec tous un martinet à la ceinture, le dernier, plus âgé, au moins 35 ans, n’avait pas de martinet, je le désignai:

- Toi avance et présente-toi.

- Maître je suis Edmond j’ai 36 ou 37 ans Maître. Il dit ça avec crainte.

- Tu n’es pas sûr de ton âge, alors 36 ans ce sera bien, tu es le plus vieux des chefs, tu n’as pas de martinet à la ceinture pourquoi?

- Maître je n’ai jamais pensé en mettre un, le martinet il est au dortoir, il sert si un paysan le mérite Maître.

- Bon Edmond, comme tu es le chef le plus âgé et que tu me parais plein de bon sens, je te nomme provisoirement chef de Broc, je veux que demain soit une journée ordinaire à Broc, il y a des récoltes à rentrer et des labours à faire, que tout le monde travaille bien, je reviendrai demain pour voir tous les chefs, mais interdiction de porter un martinet à la ceinture pour tous!

Edmond se courba en signe de remerciement et de soumission, je lui mis ma main sur la tête, il me remercia, je lançai un ‘au revoir à tous’ et pris le départ accompagné de mes gardes et des deux prisonniers je pris la direction de St Pierre, les prisonniers marchant nous avons été obligés de modérer l’allure.

Notre arrivée à St Pierre ne passa pas inaperçue, en arrivant au château Xavier nous accueilli très surpris, suivi de Julien qui m’avait dit qu’il passait la nuit ici, je dis:

- Eh bien ne soyez pas surpris je viens passer la nuit ici, et Xavier conduis Alex aux cachots qu’on y enferme ces deux salauds!

En voyant Gabriel il fut surpris mais il obtempéra.

J’ajoutai:

- Julien et Xavier, soyez dans le bureau dans 10 minutes, et qu’on nous apporte à tous à boire et à manger!

Xavier donna tous les ordres et en peu de temps je me retrouvai devant une table avec des boissons, du vin pour moi, du St Alban, et on nous apporta de la charcuterie, mes gardes étaient tout intimidés, il avait fallu que je leur donne l’ordre de s’asseoir avec moi à table pour qu’ils le fassent, ils mangèrent copieusement, les cuisiniers étaient doués pour réagir vite, ils apportèrent rapidement des pommes de terre chaudes, du fromage, du pain et des fruits de quoi largement nous rassasier, j’invitai Julien et Xavier à se joindre à nous, ce qui me permit de les informer des derniers évènements.

Après m’être restauré correctement je dis à Julien et Xavier de me rejoindre au bureau et nous avons discuté de Broc.

- Xavier tu connais cet esclave appartenant à Gabriel, Hubert?

- Oui Maître, je suis étonné qu’il ne vous en ait rien dit, Hubert est détesté à Broc, il dénonçait souvent les esclaves à son maître pour les faire fouetter…

- Je pourrais le fouetter puisqu’il est sur mes terres… Mais Xavier, tu peux m’apporter le livre des comptes de Broc, avec les salaires de Gabriel.

- Bien sûr Maître.

Les comptes étaient clairs, la paye de Gabriel avait été bien versée, je ne lui devais plus rien, c’est alors que Xavier qui était debout derrière moi, me glissa un mince dossier.

- Il y a aussi ça, Maître…

Dans le dossier je découvris un papier fort intéressant, Xavier m’apportais une aide précieuse en me montrant ça…

- Merci Xavier, ce sera très utile, tu avais de bons rapports avec Gabriel?

- Pas trop bons Maître, il critiquait souvent ma gestion de St Pierre, et le vieux maître me fouettait, il m’a fouetté aussi une fois que j’étais à Broc, pour lui j’avais été impoli…

- Je commence à voir le personnage! Et le chef Edmond tu le connais?

- Je l’aime bien Maître c’est le dernier des anciens chefs de Broc, ce n’est pas une brute comme les nouveaux chefs.

- Qui les a nommés ces nouveaux chefs?

- Le vieux maître, avec Gabriel et Nico, Maître.

- Qu’est-ce qu’il allait faire là-bas, Nico?

- Il était partout, avec le vieux maître.

- Bon ce soir c’est Edmond qui est le chef de Broc, je verrai les autres demain, j’irai avec toi Julien!

- Bien Monsieur, je n’avais pas eu le temps d’aller voir les gens de Broc, mais je suis outré pour le brave Thomas, s’il y en avait un qui ne méritait pas ça!

- Oui c’est sûr!

- Maître, Thomas c’est le garde qui était avec votre infirmier pour soigner les affamés?

- Oui Xavier, un garçon très gentil, Ils vont le payer cher ces deux imbéciles, ils ont voulu jouer contre moi, ils vont comprendre qui est le maître ici! Je veux tout le monde, vous deux, les gardes, les deux prisonniers, la femme et les enfants de Gabriel, à 9heures demain matin dans mon bureau! Maintenant il est temps de se reposer et d’aller dormir…

- Maître j’ai demandé à Yvan de préparer votre chambre, si vous voulez que je vous y accompagne…

- Non c’est bien Xavier, vas te reposer aussi, toi aussi Julien, à demain matin, au fait Xavier tu as installé les gardes où?

- Dans la grande salle au deuxième Maître il y a plusieurs lits ils devraient y être au calme.

- Tu es parfait Xavier!

- Merci Maître, j’aimerais que personne n’ait à se plaindre de son séjour ici.

- C’est bien bonne nuit Xavier.

- Bonne nuit Maître.

Il se courba pour me saluer il était bien ce Xavier, je l’appréciais de plus en plus. J’entrai dans ma chambre, Yvan m’y attendait en tunique blanche, debout devant le lit, il se courba profondément pour me saluer.

- Bonsoir Yvan, tu vas bien?

- Oui Maître Merci.

- Tu es mon serviteur personnel quand je suis ici, ça te plait?

- Oui Maître, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, je ne connais pas vos habitudes Maître.

- Tu les connaitras vite, sois bien attentif c’est tout!

- A vos ordres Maître!

- Et Albert, tu le vois un peu moins?

- On se voit le soir Maître, Monsieur Julien nous a permis de garder notre chambre.

- C’est bien, bon aide-moi à me préparer pour la nuit.

Le mignon Yvan commença à me déshabiller délicatement, comme Tom le faisait tous les soirs, il était très doux, il baissait la tête ne cherchait pas mon regard, il enleva ma chemise, il m’effleura le torse sa main était douce, je sentis l’excitation monter, il défit mon pantalon le baissant doucement, à genoux il défit mes chaussures et mes chaussettes, j’étais maintenant en caleçon, il n’osait pas y toucher.

- Maître?

- Oui Yvan.

- Dans quelle tenue dormez-vous Maître, et vous désirez faire un peu de toilette avant de vous coucher, Maître?

- Je dors nu, et oui j’aime bien que mon serviteur me rafraichisse un peu, retire moi mon caleçon!

Il parut surpris il descendit mon caleçon très doucement, il fermait les yeux, il ne vis pas qu’en étant libéré mon sexe montrait une semi érection, j’étais étonné de son comportement mais pas tellement surpris, on peut interdire aux esclaves de voir leur maître nu, ça se faisait dans certains domaines.

- Debout Yvan!

Il se leva devant moi et détourna son regard.

- Yvan, je ne t’interdis pas de me voir nu, c’est permis pour mon serviteur personnel, ni de croiser mon regard!

- Maître vous ne me fouetterez pas si je fais ça?

- Mais non Yvan, je ne punis mon serviteur, qu’en cas de faute grave, tu peux me toucher, me voir nu, parler assez librement si c’est pour mieux me servir, et tu es mon serviteur donc à ma disposition complète, tu ne dois refuser aucun ordre, mais tu peux toujours poser des questions si tu n’as pas compris totalement l’ordre! C’est comme ça que ça se passe avec Tom à St Christophe, et ça se passera pareil ici!

- Oh Maître, merci, je veux être votre meilleur serviteur, punissez moi quand je le mérite, comme l’autre jour, j’ai cru qu’après la fessée c’était le fouet que nous méritions et que vous nous chasseriez, oh Maître merci quand Xavier nous a dit que je serais votre serviteur et Albert celui de Monsieur Julien, je me suis dit que vous ne en vouliez pas et pas non plus de notre amour.

- Vous avez reçu une bonne fessées et vous avez été pardonnés donc je ne vous en voulais plus, c’est pour ça que vous avez chacun une chance!

- Merci Maître!

- Allons donc faire ma toilette!

Dans la salle de toilette de ma chambre il y avait un lavabo et un grand bac pour prendre un bain, mais il fallait que des esclaves le remplissent d’eau chaude, c’était très différent de St Christophe où une chaudière moderne permettait d’avoir une réserve d’eau chaude pour la douche du Maître et ses bains.

Mais Yvan disposait d’un broc d’eau chaude, qu’il avait dû aller chercher aux cuisines, il le mélangea à de l’eau froide et il me lava le torse, sous les bras, sur mon ordre, il lava mon sexe, il le toucha, le lava, c’était presque des caresses, je me mis à bander, Yvan était tout mignon, en me frottant, mes mains soulevèrent sa tunique pour aller caresser ses fesses, elles étaient rondes et fermes, je me rappelai sa fessée et la beauté de son postérieur.

- J’ai envie de toi, mon Yvan! Mais Albert il dira quoi?

- Maître j’aime Albert mais je suis votre esclave je suis à votre disposition…

- Mon petit Yvan tu passeras la nuit avec moi dans mon lit, prépare-toi!

- Bien Maître!

Il enleva sa tunique, il était vraiment beau, 18 ans, près à venir avec moi, il fit quelques ablutions. J’allai me coucher nu sur le lit ouvert, et j’attendis. Yvan arriva nu superbe il se planta devant le lit, au début il ne me regardait pas puis se rappelant les ordres, il me regarda, mon sexe étais dressé, il parcouru mon corps du regard, puis mes yeux où il a dû voir du désir.

- Viens contre moi mon petit Yvan!

Il vint se coucher, sur le lit tout doucement, à côté de moi sans oser me toucher, il avait été bien dressé en esclave soumis, je le pris dans mes bras et le fis se coucher sur moi, il n’était pas très lourd, il avait la peau très douce, je lui caressai le dos et les fesses doucement, je pris sa bouche nos langues se trouvèrent il avait de l’expérience ça se voyait. Je sentis son sexe grossir sur mon aine…

- Tu aimes ça mon garçon!

- Oui Maître, pardon Maître…

- Pas de pardons ou de freins pendant l’amour, tu fais l’amour avec moi laisse monter tes désirs, aller suce-moi mon garçon!

Il se retourna et sans aucune hésitation il prit mon sexe dans sa bouche, et commença la fellation, il était doux et il faisait ça divinement bien, ses fesses étaient à portée de main, je le caressai et mon doigt s’insinua dans sa raie et pénétra son anus, il frémit en râlant, il bandait très fortement, il était très chaud mon Yvan, expert pour sucer, son cul se dilatait, il réclamait à être pris…

Je lui demandai de se retourner, mon sexe se présenta et le pénétra facilement, il était trop mignon mon Yvan, je le limai, et le branlai à la fois, son sexe devint tendu à l’extrême il cria:

- Maître je peux pas me retenir…

- Et bien ne te retiens pas!

Il émit des cris rauque et se rependit sur le lit, quelque seconde après c’est moi qui éjacula en lui, le plaisir fut intense…

Je me retirai de lui et je l'envoyai chercher une serviette, et sur mes indications il m'essuya le sexe, puis le sien et il nettoya un peu le lit, il était mignon comme tout, il faisait très attention il était la douceur même… Quand il eut fini, il me recouvra avec la couverture, et se dirigea vers une paillasse dans un coin.

- Yvan mon garçon, viens dans mon lit!

- Maître je peux?

- Bien sûr, je n'aime pas dormir seul, et ta paillasse elle doit être dure!

Il entra dans mon lit, je le serrai dans mes bras, je lui fis plein de bisous, il sourit, je l'installai contre moi en 'cuillère', ses fesses contre mon sexe, je lui dis dans l'oreille des mots doux, il dit d'un ton un peu inquiet:

- Maître je vous ai plu? Je n'ai pas fait de fautes?

- Oui tu es un bon garçon, il n'y a pas de fautes pendant l'amour, tu es mon esclave et mon amant, tu es très gentil Yvan, je ne t'oublierai pas et tu es maintenant sous ma protection, personne me peut te punir sauf moi…

- Oh mon Maître…

Je pris sa bouche il était heureux mon Yvan, et tellement craquant avec le sourire…

9 commentaires:

  1. MARCDORANGE@YAHOO.FR2 novembre 2009 à 19:42

    CHER MARC
    JE SUIS TOUJOURS AUSSI ENTHOUSIATE PAR TON RECIT
    DONTINUE JE T EN PRIE
    MARCDORANGE

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  2. Oui tu es enthousiaste, mais tu es le seul depuis plusieurs récits à me le dire, et c'est bien dommage! Je me demande quand même s'il faut continuer, je reste perplexe!

    Bisous Marc.

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  3. stp Marcus termine ton récits

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  4. Bonjour Marc

    D'abord je suis jaloux, parce que depuis au moins dix récits je te fais des commentaires ... toujours pour te prier (humblement) de continuer et voila que tu dis à ce M. Dorange qu'il est le seul à t'en faire !

    Ensuite j'ai trouvé que l'épisode N° 49 est, comme le vin de St Alban, du meilleur cru ! Si j'ai bien compris, avec ce N° 49 nous entrons réellement dans la vendange 2009. Et bien c'est une réussite mêlant l'action, le suspense, et la tendresse. Bref du très bon "Marcus".

    Alors oui, encore ! et merci. Frank

    N.B. le "termine ton récit" de l'Anonyme précédent est tout à fait ambigüe. Le mot "termine" n'est-il pas synonyme de "arrête" ? Moi je ne vois pas que ce récit doive avoir une fin, la vie d'un domaine bien conduit s'étale sur au moins des décennies. Il y a de quoi dire ! Comme je te l'ai écrit un jour, je me sens un peu comme ces lecteurs des gazettes du XIXème siècle qui attendaient leur "feuilleton" avec impatience, pendant des années ! Là je sais bien que le courage pourrait te manquer ! En tout cas, un grand, grand merci.

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  5. Bon vous êtes tous bien gentils, et voila Frank jaloux, mais tu es moins intervenu ces temps derniers.

    Alors terminer le récit? Il le faudra bien un jour, je ne vais pas continuer des années, il a été commencé en 2006...

    Mais je suis en train d'écrire le chapitre 50, je n'ai plus d'avance maintenant, j'ai des idées pour au moins 5 épisodes encore, et il en viendra d'autres j'espère...

    En tous cas merci beaucoup pour ces commentaires souvent passionnés ça me motive pour écrire.

    Bisous à tous.

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  6. Bonjour (réponse à Mr Fank)
    Je suis désolé mais j’ai pas voulu que Mr Marcus arrêter son récits, mais au contraire je voulais juste lui demander de terminer le chapitre suivant:-(… De toute façon je vous prie de m’excuser si je me suis mal exprimé.
    J’aime ce récits alors s’il vous plait Mr Marcus n’arrêtez pas…

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  7. Bonjour M. Anonyme,

    Je ne suis pas M. Marcus, mais Marcus plus simplement et plus convivialement, et je ne vais pas arrêter maintenant.

    Amicalement

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  8. vraiment domage que l'histoire sois intérompue . J'appréciaitla qualité de l'écriture et le scénario .

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  9. salut marcus a quand la suite de ton roman que j apprécie fortement xxx Félicitation pour ton talen ! Christian

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