Deux heures après le départ de Thomas et Eric j’entendis une cavalcade dans la cour, je regardai par la fenêtre et vis mes deux gardes, trois policiers et le Commissaire, un fourgon à prisonnier suivait. Je descendis au poste de garde, où je retrouvai le Commissaire et sa suite. Après les salutations d’usage, il me dit sa satisfaction pour l’arrestation du truand, nous allâmes le voir, je racontai les péripéties de sa capture, le prisonnier ne dit rien. J’ajoutai au Commissaire que je portait plainte contre lui pour vol, corruption de mes esclaves, coups et blessures sur deux de mes esclaves, je montrai Thomas et sa joue encore marquée, nous allâmes à l’infirmerie voir Mathias.
Ensuite nous vîmes l’esclave du truand, il fut très effrayé de nous voir, le Commissaire lui demanda d’un ton ferme, de dire tout sur son Maître, l’esclave se recroquevilla sur lui-même et ne dit rien. Je pris alors la parole:
- Esclave, tu as été capturé sur mon Domaine, tu es donc à moi tant que ton Maître ne te réclame pas et comme il devrait passer un moment en prison, tu n’es pas près de le revoir! Mon intention était de te garder, mais je ne veux pas d’un esclave muet, alors tu réponds au Commissaire et tu as une chance de rester ici, ou tu ne réponds pas et tu seras fouetté comme complice et vendu au marché!
Comme il était en boule, son maillot était un peu relevé, je vis des vilaines traces rouges sur son dos, je relevai son maillot, et vis qu’il avait été fouetté, à la cravache sûrement.
- Tu es un rebelle en plus? Pourquoi tu as été fouetté?
- J’ai… J’ai été fouetté à la cravache, juste avant de partir, parce que tout n’était pas prêt… Mons… Maître.
- Je ne serai pas ton Maître, si tu ne parles pas au Commissaire!
Après un court moment d’hésitation il se mit à tout raconter, tous les vols, larcins, escroqueries de son Maître, dans les propriétés de la région, c’était impressionnant, le Commissaire notait tout, l’esclave parla longtemps, donnant beaucoup de détails. Il répondit aux questions du Commissaire et celui-ci dit alors:
- Bon, c’est bien mon garçon, tu as bien fait de parler, en attendant le jugement tu restes ici, Monsieur de St Christophe disposera de toi comme il l’entend, après le jugement tu devrais être son esclave à part entière!
L’esclave qui était à genoux se prosterna devant moi, il m’embrassa les pieds, c’était la coutume dans certains domaines, je le relevai, le fis sortir de sa cellule et le confiai à Alex.
Je fis monter le Commissaire au salon, je demandai qu’on apporte de la bière pour les policiers au poste de garde. Avec le Commissaire, nous bûmes un bon cognac, il me fit part de sa satisfaction pour l’arrestation du voleur. Il ajouta:
- Monsieur de St Christophe, si je peux me permettre, je suis très surpris de la transformation de ce Domaine, la campagne est magnifique, vos paysans travaillent bien, ici tout est propre et les esclaves ne sont pas tristes, et l’infirmerie, je n’avais jamais vu ça dans un Domaine! Et vos deux gardes qui sont venus quelle discipline, quelle politesse, des gars bien respectueux mais qui savent transmettre un message… En plus ils sont tombés en pleine séance de punition!
- C’était ‘après midi de punition au commissariat’… Mais Monsieur le Commissaire, je prends soin de mes esclaves, je les punis quand il le faut, mais je ne les tue pas, l’esclave qui avait trafiqué avec le voleur a été fouetté sévèrement, et maintenant il subit une peine pour rembourser ses vols, mais il n’en mourra pas! Je punis chaque faute, mais je récompense aussi, et mes esclaves peuvent fonder une famille s’ils le veulent, ce n’est pas compliqué! Ils ne vivent plus sous la terreur.
- Monsieur, excusez mon indiscrétion, mais il y a une rumeur en ville à propos du Domaine de St Pierre…
- La rumeur est fondée! Dis-je en riant.
- Mais Monsieur le Commissaire gardez le secret encore un jour, demain je devrais signer pour acquérir le Domaine!
- Merci de votre confiance Monsieur, quel beau Domaine cela fera!
Nous bavardâmes un peu, de choses et d’autres, puis le Commissaire prit congé et partit avec sa troupe, le prisonnier enchaîné dans le fourgon.
Le truand fut jugé dans le mois qui suivait, il fut condamné durement, au bagne, un large dédommagement pour ses vols me fut attribué, son esclave me fut donné en compensation en totale propriété, il fut envoyé à Gault, il y travailla bien, s’y maria, devint chef d’équipe, je n’entendis jamais qu’il commît aucune faute, un bon esclave en somme!
Après le départ du Commissaire je restai au salon, lus un peu le journal, Thomas entra pour demander si j’avais besoin de lui, il était soumis, au garde à vous, mignon comme tout à son habitude, j’éprouvai beaucoup de tendresse pour Thomas, il devenait dans mon cœur comme Tom, un esclave amant et aimant, je pris un pot de baume calmant dans mon placard, il ne vit pas ce que je faisais, je prenais peut-être un instrument de correction et lui fis signe d’approcher, il mit ses mains sur sa tête comme un esclave qui va être puni. Je lui fis signe de se coucher sur mes genoux, il baissa son pantalon, et se coucha présentant parfaitement ses belles fesses.
- Tu as encore mérité une punition Thomas?
- Oui Maître, si vous me faites mettre sur vos genoux c’est que j’ai fais une faute Maître, mais Maître je vous ai déplu? Des sanglots émaillèrent sa voix.
Je posai ma main sur son postérieur encore bien marqué par la strap, le massai légèrement, je pris de la pommade et lui enduisis les fesses, je dis :
- Gros bête, je ne veux pas te punir mais te soigner mon bon petit garde!
- Oh merci Maître, vous êtes gentil Maître… Merci!
- Tu as eu mal aux fesses à cheval?
- Oui Maître, ça cuisait mais c’est moins douloureux que pendant la punition Maître!
- Et quand je t’ai pris?
- Quand vous m’avez encul… Oh pardon Maître ! Oh non c’est pas pareil, vous être doux…
Je donnais une petite claque sur ses fesses:
- C’est pour t’apprendre à mieux parler, petit voyou!
- Pardon Maître, merci!
- Debout mon garçon ou tu vas me donner envie de recommencer à te prendre avec ton joli petit cul présenté comme ça!
Il se releva, la figure un peu rouge, il ne répondit rien, Thomas avait eu peur de recevoir à nouveau le fouet, mais son Maître est tout gentil, il est rassuré, et si le Maître veut de nouveau l’enculer, il se laissera faire, il n’a pas le choix, mais aurait-il envie de dire non?
- Thomas viens près de moi!
Il s’agenouilla devant moi, j’étais assis dans le canapé, je l’attirai entre mes jambes et je le serrai contre moi, il était nu, moi habillé, il mit sa tête contre mon torse, je lui caressai les cheveux doucement.
- Thomas comment ça c’est passé au commissariat? Vous avez été bien accueillis?
- Oh Maître, ce n’était pas facile au commissariat, c’était ‘l’après midi des punitions’ comme ils disent. Au début les deux policiers à l’entrée n’ont pas compris pourquoi on venait, ils nous ont parlé durement en nous demandant notre ‘bon de punition’, on ne savait pas ce qu’ils voulaient, l’un a commencé à crier, il sortit une cravache, mais l’autre a vu nos écussons, il a dit:
- Attends, ils sont de St Christophe, on n’a jamais d’esclave de St Christophe à fouetter! Vous venez pourquoi les gars?
- On leur a expliqué qu’on voulait voir le Commissaire, pour lui remettre un message de vous. Ils se sont regardés drôlement, ils sont allés voir, et nous ont dit que le Commissaire nous verrait quand il aurait fini l’interrogatoire en cours. Un des deux nous a emmenés vers le bureau du Commissaire, on a passé plusieurs portes, on entendait un bruit de plus en plus fort de coups de fouet et de cris, on a eu un peu peur. Arrivés devant la porte du Commissaire, il nous a dit:
- C’est là, attendez un bon quart d’heure, mais vous avez de la chance c’est ‘l’après midi des punitions’ vous pouvez aller voir pour vous distraire, c’est par là…
- Ah oui je sais que ça existe, les gens envoient leurs esclaves fautifs au commissariat en écrivant la punition voulue. Tu racontes bien petit Thomas continue, j’ai l’impression que tu as été impressionné mon garçon… Je le caressai doucement sur les cheveux, la nuque. Il me regarda tendrement.
- Oh oui Maître, Eric et moi, on ne s’attendait pas à ça! On a parcouru le couloir et on est arrivé devant une grande salle avec des barreaux, il y avait pleins d’esclaves nus avec un papier à la main, ils formaient une file, au centre de la pièce, un esclave était en train d’être fouetté attaché à une croix de St André, oh Maître le policier il fouettait fort! Le gars criait, il saignait Maître! Il y avait aussi un autre esclave couché sur une espèce de chevalet avec du cuir dessus, les fesses bien exposées en haut, un policier lui attachait les mains et les chevilles, le gars se laissait faire, il avait une vingtaine d’année, le policier a lu le papier ’50 coups de canne!‘ Il a pris un grand morceau de bois, souple, il a fouetté l’air avec, ça faisait beaucoup de bruit Maître! Il a cinglé durement les fesses du puni qui a crié et bougé, une trace blanche a marqué ses fesses, elle a rougi tout de suite et le policier a recommencé. Oh Maître, c’était cruel, le bruit du fouet, de la canne, les cris des punis, leurs sursauts, tous ces esclaves nus qui allaient être punis sévèrement, il y en avait qui tremblaient! Sur la gauche il y avait deux esclaves, à genoux devant le mur, ils venaient d’être fouettés, l’un avait le dos en sang l’autre les fesses et le dos presque violet. Un policier a parcouru la file d’attente en demandant un puni à fouetter au martinet, un jeune esclave s’est avancé, il tremblait, le policier a pris son papier, l’a lu et il a attaché le jeune aux barreaux de la pièce juste devant nous, sa face tournée contre nous. Pendant qu’on l’attachait il a eu un drôle de regard en nous voyant, il avait l’air terrifié. Le policier a pris un grand martinet et a frappé le pauvre esclave, il a crié en faisant une horrible grimace, après plusieurs coups violents il nous a lancé un regard désespéré, on voyait sur son visage chaque coup donné, Oh Maître, le fouet, la canne, le martinet, tous ces cris en même temps, j’ai été faible Maître, j’ai pris le bras d’Eric et je lui ai dit ‘on s’en va Eric’… Oh Maître c’était trop dur, pourquoi on fouette comme ça ces esclaves, c’étaient des criminels Maître?
Le tendre Thomas se mit à pleurer doucement sur ma poitrine, je le câlinai un peu pour sécher ses larmes, il reprit ses esprits. Il avait été choqué par ce qu’il avait vu, j’avais remarqué qu’il n’était pas à l’aise depuis qu’il était revenu, il racontait tout maintenant, comme pour se libérer.
- Thomas, je ne sais pas quelle faute ils ont commise, chaque Maître punit ses esclaves comme il veut, mais tu sais bien que tu ne verras pas ça ici, je n’ai pas eu de punitions collectives à donner et pas avec cette force…
- Maître, merci, Maître je voulais vous raconter ça, ça m’a tellement éprouvé, Maître pardon je suis trop faible…
- Non Thomas tu n’es pas faible tu es un garde courageux, tu me sers bien, je suis fier de toi comme garde personnel, tu es sensible au sort des autres c’est bien mon grand…
Je l’embrassai sur la bouche, il me serra dans ses bras, il se câlina contre moi, il était plein de confiance, Thomas dans mes bras! Après de longues minutes sans rien dire, je lui dis:
- Demain tu m’accompagneras en ville, chez le Notaire, préviens Alex qu’il vienne avec nous, Yves viendra aussi, l’après midi nous irons à St Pierre.
Je fis venir Julien au salon, je demandai à Tom de nous servir l’apéritif, Julien opta comme moi pour un whisky, nous parlâmes de St Pierre, de son organisation, je lui demandai aussi de faire rétablir le chemin de la vallée de Gault entre les deux domaines, en faisant dégager le portail du mur de séparation, les bagnards de la route feraient ça le lendemain soir dussent-ils y passer toute la nuit. Tom nous resservit sur un geste de ma part, Julien devenait plus bavard, il était beau, bien habillé, il parlait librement. Je me fis verser un troisième whisky, demandant à Julien s’il en voulait aussi, il répondit oui, je fus étonné voyant que déjà deux whiskies lui faisait de l’effet. Mais il était de plus en plus mignon l’ivresse lui allait bien.
En faisant un grand geste, il envoya balader son verre qui s’écrasa par terre, il parut tout confus, Tom se précipita et nettoya tout, je demandai alors à Tom de quitter la pièce, et je regardai sévèrement Julien et dit:
- Tu ne sais plus te tenir Julien?
- Pardon Monsieur, j’ai trop bu je crains!
- Je vais t’apprendre à faire attention, debout!
- Pardon Monsieur, mais punissez moi, je dois le mériter!
- Oui viens ici!
Il s’approcha de moi, je défis sa ceinture, déboutonnai son pantalon, le descendis doucement, aussitôt comme un esclave il mit les mains sur sa tête et écarta un peu les jambes, je le fis se tourner un peu que je voie ses fesses, son caleçon serrait un peu ses deux beau lobes des fesses, je caressai le tissu blanc, la fermeté des fesses était toujours là, il se laissa faire, il baissa la tête, honteux, je baissai le caleçon doucement pour découvrir les belle fesses de mon puni. Il dit:
- Pardon Monsieur, je ne sais pas me conduire Maître…
- Aller sur mes genoux jeune indiscipliné, une bonne fessée te remettra les idées en place!
Il se coucha docilement sur mes genoux, tout honteux d’être de nouveau cul nu devant moi pour être puni comme un sale gamin, même s’il savait qu’une fessée ici c’était dur à supporter même pour un homme endurant. Il prit la position parfaitement, offrant ses belles fesses, à mes mains punitives. Mes mains commencèrent par des caresses, il était impossible d’avoir les fesses de Julien devant les yeux sans y poser les mains, les palper, sentir la douceur de sa peau, la fermeté des muscles, la rondeur que les mains épousaient bien, enfin les deux fossettes de coté étaient bien marquées. Je relevai un peu sa chemise pour mieux voir le bas de son dos. Je sentis son sexe sur ma cuisse, le beau Julien appréciait mes caresses, il cambra ses fesses, je claquai un coup sec, je vis l’empreinte de ma main s’inscrire en rose sur ses fesses, je recommençai, mon puni sursautait, il gémissait mais était-ce de la douleur ou du plaisir? Son sexe toujours tendu créait un doute. Je donnai des claques supplémentaires, il se donnait totalement malgré la couleur rouge de ses fesses il ne perdait pas son excitation…
Je le fis se relever, il se mit en position du puni, il ne pouvait pas cacher son sexe tendu, je ne pus m’empêcher de lui dire:
- Tu aimes ça voyou, tu bandes mon garçon!
- Pardon Maître, je ne peux pas l’empêcher!
- Mets-toi en position de la brouette!
Il me regarda étonné, je le fis mettre devant moi, fesses de mon coté, je m’étais assis sur une chaise, jambes écartées, je le fis s’asseoir sur mes cuisses, ses jambes à l’extérieur et je le fis basculer en avant, il mit ses coudes à terre, et resserra ses jambes autour de moi il avait compris la position. Devant moi entre mes jambes j’avais les fesses de Julien écartées, je voyais bien sa rondelle, ses couilles, son pénis tendu, son dos, sa nuque, ses cheveux étaient alignés devant moi. Sous mes deux mains j’avais un lobe de ses fesses.
- Tu es bien comme ça mon garçon?
- Maître, vous voyez tout de moi, je suis complètement offert, j’ai honte, mais je ressens une drôle de sensation de plaisir Maître, prenez-moi, fessez-moi, je suis à vous, faites ce que vous voulez, je suis votre esclave, à vous Maître…
Je donnai une bonne dizaine de claques des deux mains sur ses fesses, la position de la brouette permettait une rapidité des coups des deux mains, et offrait une si belle vue au Maître, mon Julien bandait toujours il avait l’air en grande forme, il gémissait sous les coups, ses fesses étaient bien marquées par la punition! Je le fessai encore et encore, il présentait toujours aussi bien ses fesses et son cul, il ne pouvait pas faire autrement, son corps était réduit à une paire de fesses bien tendues en hauteur sous le pouvoir du Maître.
J’arrêtai, la punition était suffisante mon puni bandait toujours, il haletait un peu, je pris son sexe dans ma main gauche et le branlai, de ma main droite je travaillai son cul, j’entrai un doigt il tendit son cul, il se cabra, grogna, eut quelques soubresauts et il éjacula violemment aspergeant le sol sous lui de sperme, c’était la première fois que j’amenai un homme au plaisir en le fessant, il me réservait des surprises mon Julien!
- Maître… Pardon, j’ai sali votre tapis… Je n’ai pas pu me retenir…
Je le fis se relever il était tout penaud, je le pris dans mes bras, je l’embrassai, il répondit fougueusement à mon baiser, je l’emmenai dans ma chambre, me dévêtis, il me tendit ses fesses avec plaisir, je le pénétrai doucement puis plus rapidement, il avait tellement excité mes sens que j’éjaculai en lui sans retenue, mon Julien, le cul tendu autant pour la fessée que pour être pris, je n’en revenais pas, il était un si beau mâle offert…
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