mercredi 7 octobre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 42 – Première journée à Saint Pierre

Je me suis levé de bonne heure ce matin, cette journée était importante, ma première journée de Maître de St Pierre, j’avais donné des ordres la veille pour que nous soyons tous prêts pour être à St Pierre vers 8 heures.

Nous partîmes donc vers 7 heures, j’étais accompagné d’Yves, Julien, Thomas, Aurélien, Angelo, Alex, Mathias, Eric, Arnaud, dont c’était la première sortie depuis sa punition. Cela faisait une très belle équipée, nous partîmes au trop, le jour était encore faible mais la journée s’annonçait belle, au trot nous passâmes à Gault où les premiers esclaves prenaient le chemin des champs.

Après St Marc, nous fûmes en vue du mur de séparation des deux domaines, j’avais demandé à Julien de faire procéder à la destruction du mur au niveau de la route, avec l’aide du bagne de Gault. Une large brèche avait été ouverte, le chemin était rétabli entre les deux domaines, les esclaves du bagne finissaient leur travail d’empierrage du chemin et du débroussaillage des abords. Ils avaient fait un bon travail après certainement avoir travaillé toute la nuit.

A mon arrivée les esclaves du bagne s’agenouillèrent tête baissée, c’était leur devoir de bagnard, leur chef Emile s’approcha de moi, il s’inclina en me saluant.

- Emile tes gars ont bien travaillé, depuis quand sont-ils sur ce chantier?

- Depuis hier soir vers 10 heures, Maître quand nous avons reçu les ordres.

- Vous allez rentrer au bagne?

- Dès que l’on aura fini, oui Maître.

- Et après?

- Nous avons une journée de travail à faire Maître vers Gault.

- Comme tes hommes ont bien travaillé, ils se reposeront la journée, douche et repos jusqu'à 14 heures, après travaux d’entretien du bagne, tu commenceras les travaux vers Gault un jour plus tard! Et pas de punition aujourd’hui!

- Merci pour eux Maître, bagnards remerciez votre Maître!

- Merci Maître! Dirent tous les bagnards, deux ou trois osèrent lever la tête et me regarder avec reconnaissance.

Je repris la route de St Pierre désormais bien ouverte, avec mes compagnons, je félicitai Julien pour ses bonnes instructions pour le rétablissement du chemin, il parut content de mon compliment.

La route montait doucement avec des lacets jusqu’à St Pierre, en passant vers Broc, Nous arrivâmes à St Pierre vers 8h 15, en avance par rapport aux 9h que j’avais annoncées la veille.

Au Château, Xavier nous accueilli, il était essoufflé, il baisa ma main, et m’aida à descendre de cheval.

- Tu as couru Xavier?

- Maître pardon j’étais au village voir un paysan blessé, je vous ai vu arriver de loin…

- Il est gravement blessé ce paysan?

- Une mauvaise coupure Maître.

- Aurélien tu vas voir, Xavier tu lui donnes un guide!

Aurélien fut vite parti avec un esclave courant avec lui, je rentai à l’intérieur, je gagnai mon nouveau bureau disant que je voulais avoir un entretien privé avec Xavier.

Je me retrouvai assis à mon bureau, Xavier devant moi était troublé il avait peur, je lui souris en lui demandant de s’asseoir, il le fit avec un peu d’hésitation.

- Dis-moi Xavier, comment as-tu vécu le fait d’être l’esclave et le fils de ton Maître?

- Maître vous le savez…

- Oui, le jeune Maître, ton demi-frère m’a raconté ton histoire! Mais il ne m’a peut être pas tout dit, alors raconte moi tout!

- Maître… Je suis né deux ans après le jeune Maître, le Maître avait pris ma mère, servante au Château comme ‘femme esclave’ la Maîtresse était déjà malade. Après ma naissance, tout le monde ici savait que le Maître était mon père…

- Et comment as-tu vécu toutes ces années?

- Je n’ai pas été un esclave comme les autres, j’ai été élevé durement mais le Maître m’a toujours suivi, il ne m’a jamais abandonné, même s’il ne m’a jamais appelé son fils, quand il m’a fait chef de St Pierre j’ai su que j’étais différent à ses yeux…

- Il te punissait comme un esclave?

- Il était dur avec moi mais il me donnait des fessées quand j’étais enfant et son ceinturon après, mais je n’ai jamais été fouetté au sang Maître…

- Et ta mère Xavier?

- Elle est à Broc dans une maison pour elle, elle fait son jardin, le Maître ne l’a jamais abandonnée.

- Tu as peur de mon arrivée ici?

- Oui Maître, hier surtout, je suis un esclave chef de village, ce n’est pas normal, mais hier vous nous avez demandé d’être moins durs avec les esclaves…

- Tu n’as pas à avoir peur de moi, je sais qui tu es, je ne change rien à tes responsabilités, tu sais c’est un esclave qui dirige St Christophe mon principal village, alors tu seras le deuxième!

Il se mit à genoux devant moi, j’ajoutai:

- Tu as bien fait de parler de Justin et Simon hier, ils sont à St Christophe maintenant, on a réussi à les arracher des mines de sel!

- Oh c’est vrai Maître! Je suis content… Oh merci Maître…

- Pour moi ils n’ont rien fait de mal… Ils ont suivi leurs désirs, et toi Xavier, tu es chef de village tu n’as pas de fille ou de garçon dans ton lit?

- Maître… J’aime plutôt les filles mais le Maître m’a toujours interdit tout rapport sexuel, et il me faisait surveiller, la seule fois où j’ai pu approcher une esclave, le Maître l’a su et j’ai été sévèrement puni, Maître…

- Pourquoi?

- Maître il ne voulait pas que j’aie des enfants, il disait souvent qu’un batard c’était suffisant…

Pauvre Xavier, soumis à un Maître et père à la fois, il n’avait pas beaucoup de choix, maintenant il devenait l’esclave d’un nouveau Maître pour qui il n’était rien. Il avait peur et c’était bien normal!

- Xavier tu es maintenant à moi, je connais tes origines tu es le chef de St Pierre, alors sers moi bien, en plus tu es totalement libre pour tes relations sexuelles tu écouteras ce que je dirai tout à l’heure à tous.

- Merci Maître, j’espère être digne de vos attentes Maître…

- Tu le seras Xavier, si tu es franc avec moi… Mais maintenant j’ai à faire avec les autres responsables des villages!

Je le pris par les épaules, il était gentil ce Xavier, il parlait franchement, mais surtout j’étais content qu’il ait pris à cœur les cas de Justin et Simon. Je sortis dans le hall mon équipe y était, je sortis vers le perron, il commençait à y avoir une animation dans la cour, les esclaves et leurs chef arrivaient par groupe. Je demandai à Xavier de faire venir Paul le régisseur de St Alban et son voleur de pain.

Alex revint avec Paul, un esclave en bonne santé et un autre d’une maigreur effrayante.

- Paul présente-moi ces deux gars!

- Maître voici Henri chef esclave et Jules l’esclave voleur!

Bien sûr Jules était l’esclave voleur, il était maigre, je lui dis:

- Jules, à genoux devant moi, viens près de moi!

Il était terrifié il vint se prosterner à mes pieds, je le soulevai pour lui mettre sa tête sur mes genoux, il me regarda, il était épuisé ses yeux n’exprimaient plus rien, pourtant il serra mes jambes avec ses bras, comme un appel au secours.

- Paul il a volé du pain, non?

- Oui Monsieur, c’est ce qu’a dit son chef!

- Mais Paul pourquoi est-il si maigre?

- Pour l’ancien maître, les esclaves sont nourris s’ils le méritent!

- Henri tu accuses cet esclave, exprime-toi et justifie la punition que tu demandes!

- Maître… Il a volé, c’est mon chef qui l’a dit, je dois le fouetter je dois obéir à ses ordres Maître…

- Ton chef c’est Paul non? Alors Paul pourquoi cet esclave est si maigre et quelle punition il mérite?

- Maître, le chef d’Henri c’est Nico, je vous ai dit hier qu’il y avait un chef pour tout St Alban sauf les vignerons…

- Mais Paul tu es le patron de St Alban, alors qu’est-ce que veut dire tout ça?

- Maître depuis longtemps Nico gouverne le village de St Alban, de par la volonté du Maître!

- Et bien va me chercher ce Nico, et vite!

Paul sortit, le pauvre Jules restait vers moi, contre moi il était angoissé mais son seul secours semblait être moi, je posai ma main sur sa tête rasée…

Nico entra avec Paul, c’était un homme d’une quarantaine d’année, grand, gros, la figure rouge, tout le contraire du pauvre Jules…

- Nico présente-toi!

- Nico 42 ans Chef de St Alban, par la volonté de notre Maître!

- Maître défunt maintenant c’est moi ton Maître! Mais pour moi quand j’ai acheté le domaine on m’a bien spécifié que le chef de St Alban c’était Paul, je ne vois nulle motion d’un Nico, sur l’acte de vente j’ai St Alban avec 177 esclaves, son régisseur Paul est un homme libre il ne m’appartient pas!

- Oui mais je suis le chef de tous ces chien d’esclave!

- Par la volonté de ton ancien Maître si j’ai bien compris… Tu le servais bien ou mal?

- Je le servais bien et il le reconnaissait, si un esclave travaillait mal il fallait le fouetter et restreindre sa nourriture jusqu’à ce qu’il retravaille!

- Et Jules qui est à mes pieds, il crève de faim, il a volé, donc il va être fouetté?

- Pour sûr, je le ferai danser sous le fouet et s’il crève ça fera un bon exemple!

- Et le Maître appréciais bien tes méthodes, ça m’étonne!

- Pourquoi, je sais mater ces chiens!

- Pourtant tu ne sembles pas très efficace!

- Pas très efficace moi! Alors que je matais bien ses esclaves, que je le mettais au courant des problèmes du Domaine!

- Je ne suis pas convaincu il n’y a pas beaucoup de problèmes au domaine, je ne vois pas en quoi tu as été utile!

- Et comment et quand son batard protège ces chiens, qu’il laisse des esclaves s’enculer, heureusement que je suis là pour ouvrir les yeux au Maître!

- C’est grâce à toi que Justin et Simon sont aux mines de sel?

- Ah oui et qu’ils y crèvent ces chiens et vite!

Nico était rouge de colère, Paul baissait la tête, Xavier était tout blanc, mes accompagnateurs de St Christophe suivaient la scène intéressés et offusqués à la fois, je fis un signe discret aux gardes de garder les portes…

- Nico tu as changé de Maître, tu ne t’en ais pas rendu compte, tu ne m’appelles pas Maître, c’est bien dommage pour toi, tu es un sale esclave coupable d’assassinat d’esclaves, au cachot immédiatement!

Il me regarda avec surprise, Alex et Arnaud s’emparèrent de lui en le maitrisant, j’ajoutai alors:

- Si j’entends encore une fois le mot batard, le fouet claquera! Je veux qu’à 11 heures quand tous les esclaves seront là, ce sinistre Nico soit nu au pilori dans la cour!

Nico maugréa quand il fut emporté, il gigota un peu mais n’opposa pas une réelle résistance. Je me tournai vers Paul:

- Eh bien il n’y avait pas de problèmes à St Alban! Combien de tes esclaves meurent de faim? Ils sont tous dans la cour maintenant, Yves et Thomas allez les compter et ne vous trompez pas!

Paul baissa la tête, la réprimande publique était forte, il ne put pas ajouter un mot.

Je pris Xavier par les épaules en signe d’affection en lui disant à l’oreille:

- Oublie les paroles de cet imbécile, Xavier, je ne tolèrerai pas qu’on te manque de respect, mais maintenant tu vas aller me chercher Gabriel, les deux bergers sous ses ordres et le chef de ces bergers.

Aurélien arriva à ce moment, sur un signe il vint vers moi et me donna des nouvelles du blessé, disant qu’il avait nettoyé la plaie et fait un bon pansement et que le jeune esclave concerné s’était bien laissé faire et qu’il lui avait donné l’ordre de signaler à son chef et à Xavier si son état ne s’améliorait pas.

- C’est très bien Aurélien, mais tu vois cet esclave, je lui montrai Jules, il crève de faim occupe toi-s-en! Et après tu iras jeter un coup d’œil à tous les esclaves dans la cour, pour voir s’il y a des faibles ou malades.

- Bien Maître!

Gabriel entra avec 3 hommes suivis de Xavier, Gabriel dit:

- Vous nous avez demandé Maître?

- Oui Gabriel.

Je regardai les deux plus jeunes des quatre:

- Vous êtes les deux bergers qui est Jacquot?

Un jeune s’avança très peureux, il était tout mignon ce Jacquot, un garçon bien fait.

- Jacquot enlève ta tunique et montre-moi tes fesses!

Il le fit et se pencha un peu en avant me montrant son postérieur et son dos, tout était zébré de traces rouges et violettes.

- Je veux des explications sur l’état de cet esclave! Jacquot rhabille-toi!

- Je ne sais pas pourquoi il a été puni, Maître. Dit Gabriel.

- Son chef le sait peut-être?

- Je l’ai surpris en train de bavarder Maître… Dit son chef un gars pas mal non plus 25 ans au plus.

- Présente-toi esclave avant de m’adresser la parole!

- Pierre Maître! 26 ans chef à Broc!

- Bien mais Pierre tu as sévèrement puni un berger pour avoir bavardé, pour une telle punition tu as vu qu’il ne faisait pas son travail de berger, je suppose…

- Maître il bavardait, c’est interdit je l’ai fouetté c’est tout!

- Tu as donné combien de coups?

- 30 Maître!

- Tu es sûr? Tu veux qu’on compte les traces? Avec qui il bavardait?

- Peut-être un peu plus Maître… Je ne sais plus… Il parlait avec un berger de Gault Maître.

- Oui plutôt 50 coups sévèrement, et tu lui as dit quoi au berger de Gault?

- Maître vous le savez je l’ai menacé… Il n’aurait pas dû parler avec Jacquot, il aurait dû être fouetté aussi!

- Oui Pierre je sais tout, le berger de Gault, Léon m’a tout dit, je ne l’ai pas fouetté comme tu lui as dit. Je ne fouette pas mes esclaves sans raison. Alors que toi tu as fouetté cruellement Jacquot, tu as mis ses moutons en fuite en riant et tu as menacé un de mes esclaves, c’est une faute grave, je te condamne à recevoir 50 coups de verge immédiatement!

Xavier fit venir un banc de punition, le chef fut rapidement déshabillé et couché sur le banc, c’était un bel homme, assez musclé, des fesses bien rondes, je me mis à bander, il ne dit rien il paraissait suffoqué après avoir entendu ma sentence, je demandai à Gabriel de procéder à la punition, il prit une longue baquette de bois, épaisse, il fouetta l’air pour la tester, un sifflement caractéristique se fit entendre!

Le premier coup tomba, sifflement, claquement sec, le corps du puni se cabra il poussa un cri, une trace rouge apparu rapidement. La punition continua, c’était très dur les verges, les gars de St-Christophe étaient étonnés, Pierre bougeait mais ne s’opposait pas à la punition, les coups pleuvaient sans relâche, Gabriel était un dur fouetteur, les belles fesses de Pierre furent vite zébrées durement les marques étaient profondes elles violaçaient rapidement, Gabriel était dur, je ne savais pas pourquoi.

Gabriel s’arrêta, son puni vagissait sur le banc:

- 50 coups Maître… Monsieur!

- Bien Gabriel

Le corps du puni était affalé sur le banc, le chef esclave durement fouetté avait honte, en plus fouetté devant tant d’inconnus, je fis signe à Gabriel de venir:

- Gabriel Tu l’as fouetté durement, c’est un bon chef ce Pierre?

- Maître j’étais un peu en colère contre lui, il ne m’avait pas parlé de ce berger, 24 coups de verges auraient été suffisant pour le berger, et il lui était interdit de menacer un esclave extérieur, personne ne savait il y a deux jours que les domaines seraient réunis. Il est comme les autres jeunes chefs Maître, ils sont durs avec les esclaves, mais c’étaient les ordres Monsieur.

- Esclave Pierre debout! Il se leva tête baissée, il mit ses mains sur ses fesses.

- Esclave de quel droit tu touches tes fesses! Mains sur la tête! Tu n’es plus chef à partir de maintenant!

Il mit ses mains sur sa tête, il était terrifié, mon ton n’appelai aucune réplique, il tomba à genoux devant moi, les yeux rouges:

- Pardon Maître…

- Va donc à genoux contre le mur au piquet et que je ne t’entende plus!

- Les deux bergers venez ici.

Jacquot et son collègue, un garçon assez ordinaire, vinrent vers moi, ils avaient assisté à la punition de ce Pierre qu’ils n’aimaient pas, ils étaient sidérés par ma décision, ils avaient aussi un peu peur de ce nouveau Maître si sévère… Ils s’agenouillèrent devant moi spontanément, je mis mes mains sur leurs têtes et dit:

- Mes garçons à partir d’aujourd’hui vous changez de chef, vous serez rattachés au village de Gault comme les autres bergers, avec les mêmes règles qu’eux. Soyez d’aussi bons bergers qu’eux et vous n’aurez pas d’ennuis…

- Oh Maître, on sera comme Léon, Maître? Dit Jacquot.

- Oui bien sûr Jacquot, qu’est-ce qu’il a de différent entre toi et Léon?

- Maître, il n’est jamais battu… Quand son chef vient il ne le dispute pas trop… Et Maître… Oh non rien Maître, pardon…

- Tu voulais dire quoi Jacquot? N’aie pas peur!

- Il a un chien Maître on en aura un aussi? Pardon Maître!

- Vous n’en avez pas… Bien sûr que vous en aurez un!

- Oh merci Maître!

- Merci Maître. Dit le second berger il était très timide, tout rouge…

Je leur fis un bisou à tout les deux ils n’en revenaient pas, un Maître gentil qui punissait leur chef qui les fouettait régulièrement sans pitié, ils me baisèrent les pieds je les relevai et leur dis:

- Regagnez la cour dans votre équipe pour la dernière fois, et soyez sages…

Ils partirent heureux, en souriant, pendant ce temps là leur chef à genoux nu, les fesses zébrées, au piquet pleurait doucement dans sa position honteuse…

3 commentaires:

  1. MARCDORANGE@YAHOO.FR9 octobre 2009 à 17:15

    décidément j'adore ce récit ; je regrette parfois que les scènes d'amour ne soient pas plus développées, je pense que le talent de Marcus nous ferai encore plus réver
    Marc

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  2. Merci pour mon 'talent', c'est vrai je ne développe pas toujours les scènes de sexe, pour ne pas toujours me répéter et aussi parce que mon récit est plus orienté sur la fessée et autres punitions corporelles...

    Mais j'y réfléchirai.

    Marcus

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  3. les scènes de sexe trop développées pourraient je pense choquer. On a bien compris que pour mathieu la fessée est souvent un acte préliminaire, c'est une main de fer dans un gant de velour c'est ce qui rend ce long récit si exceptionnel. Long car il se renouvelle, il est chef d'entreprise en qqe sorte, pas dans le sens ennuyeux. j'ai tout lu et prends bcp de plaisir. même si je ne commente pas histoire par histoire.

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