dimanche 25 octobre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 47 – Le petit soldat et le Val d’Or

La soirée fut assez calme, Tom était toujours aussi mignon, il passa la soirée dans mes bras, en l’incitant un peu, il me fit beaucoup de confidences, il avait été heureux d’aller à St Pierre, il avait vu Gault les autres villages qu’il n’avait jamais vus, et la campagne, les esclaves dans les champs qui chantaient (j’avais demandé aux régisseurs qu’ils incitent les esclaves à chanter, cela ne se faisait plus, et maintenant les esclaves travaillaient en chantant), tout cela l’avait enchanté, et arrivé à St Pierre il avait ressenti la même peur et tristesse qu’ici avant mon arrivée. Mais aussi quand ils étaient revenus avec les chariots, beaucoup d’esclaves de Broc qui avaient repris le travail leur avaient fait des signes amicaux, il disait ça avec beaucoup de chaleur, il eut droit à des gros bisous.

Yves était là aussi, tout calme, je lui avais donné une belle preuve d’amour en ne le fouettant pas et en lui faisant l’amour, il était sur un petit nuage, le sourire aux lèvres…

Quand fut venue l’heure de se coucher, je les fis venir les deux dans mon lit, ce fut alors une longue séance de bisous, tous les trois nus sur le lit, j’étais fatigué, après Paul et Yves deux moments très intense dans la journée, j’étais assez calme, je leur dit de s’amuser librement entre les deux. Yves bandait bien il caressa Tom qui se mit à bander aussi, ils se sucèrent mutuellement et Tom se mit dans une position très soumise devant Yves qui le prit presque brusquement tellement il en avait envie, il le lima et jouit en lui assez rapidement, je le trouvai un peu brusque surtout que Tom bandait mais il n’osait apparemment pas se branler…

- Yves tu ne te préoccupes pas beaucoup du plaisir de Tom, c’est dommage il mérite bien de jouir non?

- Oh Maître oui, pardon!

- Yves offre ton cul à Tom, je n’ai pas encore vu Tom prendre quelqu’un!

- Volontiers, Maître, aller prends-moi, encule-moi Tom!

Il se mit à quatre pattes devant Tom, celui-ci hésita un peu mais il bandait bien il entra dans Yves sans difficultés, il le prit avec douceur et fermeté en le limant assez rapidement, c’était très excitant de voir pour la première fois les fesses de mon Tom vibrer en cadence en prenant un homme, il sentait son plaisir monter il me sourit et cria en se répandant à l’intérieur d’Yves!

Ils s’écroulèrent les deux sur le lit, épuisés, à force de les voir faire l’amour je bandais, je demandai à Tom de me sucer et à Yves de me lécher, Yves le fit si bien, sa langue s’insinuant dans mon intérieur, Tom m’aspirant dans sa bouche le désir monta le plaisir vint rapidement et ma jouissance éclata dans la bouche de Tom…

Inutile de dire qu’après ça la nuit fut calme je m’endormis rapidement dans leurs bras, eux aussi, pour une bonne nuit pleine de rêves…

Je me levai vers 8 heures détendu, j’avais demandé par message à Julien de venir prendre le petit déjeuner avec moi à 8h30, il fut là à l’heure Tom finissait de me raser. Quelques minutes après nous étions en tête à tête devant du café et plein de victuailles. Je mis Julien au courant de ma journée avec Paul et Adrien sans rien lui cacher, je lui demandai d’être souple avec eux, Xavier et Gabriel.

- Mais Julien tu déménages quand à St Pierre?

- Je voulais vous en demander l’autorisation, Monsieur, il y a de la place à St Pierre?

- Oui, bien sûr, tu habiteras au Château, tu peux prendre la chambre du jeune maître, elle est bien, tu prendras un des deux serviteurs avec toi, ton serviteur actuel restera ici il est habitué ici maintenant Georges.

- Oui Monsieur, Georges est beaucoup moins timide, mais vous aller le mettre où?

- Je le verrai et je déciderai, tu prendras plutôt Albert à ton service, Yvan sera mon serviteur quand j’irai à St Pierre et il devra être à la disposition de Xavier. Tu dois savoir que ces deux là couchent ensemble, ne les embête pas pour ça.

- Sous les yeux du vieux maître, c’est surprenant!

- Oui c’est ça qui est drôle, les relations entre hommes étaient interdites mais que se soient Yvan et Albert et Paul et Adrien ils n’ont rien vu, sauf pour les deux qui ont été fouettés.

- Comment ils vont eux, et vous allez les renvoyer à St Pierre?

- Ils vont mieux mais je verrai avec eux pour St Pierre!

- Monsieur, je compte voir les régisseurs et les chefs des trois villages, vous n’avez rien contre?

- Non bien sûr, mais fais bien passer le message de moins fouetter les esclaves et dis-leur de réduire l’utilisation des verges, il vaut mieux la fessée et le martinet!

- J’en suis convaincu Monsieur.

- Les vendanges de St Alban vont bientôt commencer, c’est un des moments les plus important pour la vie du domaine et son économie, il faut que ça se déroule bien, c’est Paul qui dirigera les opérations. Je veux développer cette activité du vin, c’est un bon vin, il se vend plutôt bien, même s’il va falloir que j’aide Adrien pour mieux le vendre.

Nous discutâmes encore un peu sur St Pierre, et sur le chemin de fer, dont les travaux avançaient peu pour moi, il me confirma qu’il avait suivi le chantier de loin mais que les erreurs s’accumulaient, et que ça n’avançait pas vite, puis Julien partit pour St Pierre, il paraissait heureux de ses nouvelles responsabilités. Nous nous quittâmes avec un tendre baiser.

Après une fin de matinée travailleuse et un bon repas, mon petit Tom a eu droit à quelques caresses sur ses fesses, je parti en ville avec ma voiture ordinaire, Ernest était mon cocher, j’avais vu le bel Angelo, tout se passait bien aux écuries, je lui demandai de me faire l’état du nombre de chevaux, et leur qualité dans les deux domaines.

J’avais donné rendez-vous à Adrien vers l’entrée d’un parc en ville, le long d’une avenue. Arrivé vers le lieu de rencontre je vis un petit attroupement, des policiers s’en prenaient à un homme, m’approchant je vis que c’était mon Adrien qui était pris à partie! Je fis arrêter la voiture, en descendis rapidement et me trouvai derrière Adrien, qui ne m’avait pas vu, un policier le tenait par le col et lui donnait des gifles!

- Alors esclave tu vas dire à qui tu es, chien!

- Arrête policier… Dis-je fermement

- De quoi tu te mêles toi, fous nous la paix!

Je vis un homme gradé arriver, un sergent, il prit sa badine et en donna un coup fort sur les fesses du policier qui agressait Adrien. Le policier poussa un cri, lâcha Adrien qui vint aussitôt tout contre moi, il tremblait.

- Soldat tu as vu à qui tu parles! En position!

Le soldat policier se figea, il était comme foudroyé et le petit soldat agressif, un assez beau gosse de guère plus de 20 ans, écarta les jambes, mit les mains sur les cuisses et présenta ses fesses à la badine du chef, une longues baguette recouverte de cuir, un redoutable instrument pour fouetter les esclaves et soldats indisciplinés!

- Chef je dois enlever mon pantalon?

- Non pas en pleine rue, tu le feras tout à l’heure dans le bureau du Capitaine…

- Pardon Chef, pardon Monsieur! Chef le premier coup s’il vous plait!

Le chef leva la badine elle émit un sifflement aigu, et vint cingler les fesses du soldat, son pantalon assez mince ne devait pas le protéger beaucoup.

- Merci Chef, le 2ème coup s’il vous plait Chef!

Et la badine siffla et cingla le soldat, il demandait toujours le coup suivant, il ne criait pas, il était durement fouetté le petit soldat, il remerciait bien et demandait poliment le coup suivant. Comme j’étais devant lui je voyais que sur son visage, ce n’était pas si simple, il réfrénait ses cris, il faisait des grimaces de douleur à chaque coup, c’est sûr que je n’aurai pas aimé être à sa place, sa faute était grave, il m’avait très mal parlé il n’avait pas vu le blason de ma voiture, son chef, l’avait vu lui…

- Merci… Chef… Le quator… Le quatorzième coup s’il… Vous plait… Chef…

Il faiblissait le petit soldat, je me demandai combien de coups son chef voulait lui donner, il n’était pas tendre, la discipline militaire était dure en plus il lui avait parlé du Capitaine et qu’il devrait se déculotter dans son bureau ou dans la cour de la caserne, pour une autre punition, encore plus sévère?

Mais les fesses du puni continuaient à subir les cuisantes attaques de la badine.

- Ahhh… Merci Chef… Le vingt et… Unième Chef… S’il vous plait…

Je fis un signe de la main au sergent, il arrêta, et vint vers moi, je me reculai un peu que le soldat ne nous entende pas, des larmes coulaient sur ses joues…

- Sergent vous pensez donner combien de coups à ce soldat policier?

- Monsieur de St Christophe, il vous a gravement manqué de respect, je compte lui donner trente coups et il sera présenté au Capitaine ce soir Monsieur!

- Il sera fouetté par le Capitaine?

- Sûrement Monsieur, ou publiquement dans la cour.

- C’est un mauvais soldat ce gars?

- Non Monsieur, jusqu’à maintenant il était un bon soldat obéissant.

- Bon sergent je souhaite que vous arrêtiez sa punition et ne le convoquiez pas chez le Capitaine, mais qu’il s’excuse auprès de moi et de mon employé, qui n’est pas esclave et je tiens à ce que mes employés et esclaves ne soient pas ennuyés par vos services, sinon je devrais en référer à Monsieur le Gouverneur de la région.

Le sergent se mit au garde-à-vous.

- Monsieur, cela n’arrivera plus de ma part.

- Je préfère sergent, et votre soldat toujours en position?

- Soldat, viens ici, et demande pardon à Monsieur de St Christophe et à son employé!

Le petit soldat se releva, il ne put retenir de grimacer, il vint avec une démarche un peu raide, il fit une génuflexion devant moi et demanda humblement pardon pour sa faute il demanda pardon aussi à Adrien, son chef lui dit:

- Tu peux aussi remercier Monsieur de St Christophe pour son intercession, j’ai arrêté ta punition et tu ne seras pas présenté au capitaine!

Le petit soldat se courba devant moi très bas:

- Merci Maître… Il sanglotait

Je le relevai, le tins par le bras et lui dis:

- Tu es un bon soldat courageux, mais ne sois plus agressif comme tu l’as été!

- Oui Maître merci…

Je fis un petit salut au sergent qui s’inclina et je montai dans la voiture avec Adrien qui semblait assez éprouvé.

Adrien s’installa dans la voiture en face de moi, il paraissait un peu honteux, et pas très à l’aise.

- Qu’est-ce qui est arrivé Adrien avec ces policiers?

- Maître, oh pardon Monsieur, j’étais un peu en avance et j’attendais le long du parc, je me suis assis sur le bord d’un banc, et j’étais un peu pensif, je n’ai pas vu les policiers arriver, ils m’ont demandé mes papiers, j’avais oublié mon certificat d’affranchissement, je leur ai dit qui j’étais, ils ne m’ont pas cru, ils m’ont brusqué en me demandant qui était mon maître et vous êtes arrivé…

- Mais pourquoi ton certificat d’affranchissement, tu as bien d’autres papiers à toi?

- Non Monsieur, je n’ai jamais pu avoir de papier d’identité à mon nom, et mon certificat d’affranchissement, le vieux maître me l’avait pris.

- Ah bon, mais tu l’as maintenant?

- Oui Monsieur quand le jeune maître a fouillé dans les papiers de son père, il l’a trouvé et me l’a rendu.

- Pourquoi on t’a refusé des papiers d’identité?

- C’est le vieux maître il n’a jamais voulu, Monsieur! Et il a interdit à Paul d’être témoin!

Je compris, pour qu’un affranchi ait des papiers il lui fallait une personne libre qui l’accompagne.

- Bon on réglera ça rapidement, mais tu n’as jamais eu de papiers, et tu ne t’es jamais fait prendre?

- Si Monsieur deux fois, le vieux maître a envoyé Paul pour me rechercher et il m’a fouetté au retour, pour m’être fait prendre!

- Mon pauvre Adrien…

Il se mit à pleurer, le contrecoup de sa peur, et sa sensibilité dont m’avait parlé Paul. Je m’assis à côté de lui, lui mis mon bras autour des épaules, il se courba contre moi, et vint pleurer contre moi, mon bel Adrien me serrait dans ses bras…

- Bon mon garçon, ressaisis-toi, on arrive au Val d’Or!

Il se releva la figure trempée par les larmes, je lui essuyai avec un mouchoir et quand nous descendîmes de voiture. Bertin le propriétaire, je l’avais fait prévenir la veille sans lui dire le motif de ma visite, nous reçu dans son bureau. Après quelques mots aimables j’attaquai la conversation.

- Monsieur Bertin, je suis ici aujourd’hui avec Adrien, la personne qui vient chez vous pour commercialiser le vin de St Alban. Hier il a été très mal reçu par votre acheteur, alors étant moi-même et avec mes amis un assez bon client de votre restaurant je suis très surpris de ce mauvais accueil.

- Monsieur de St Christophe, je suis très surpris, je n’ai rien entendu sur ce sujet que c’est-il passé?

- Adrien pourra vous confirmer qu’on l’a fait attendre deux heures et qu’on lui a proposé 50 centimes la bouteille, selon vos ordres, alors que les choses soient claires, le St Alban ne sera jamais vendu à un prix si bas!

- Mais je n’ai jamais donné un tel ordre, Monsieur, je ne me serais jamais permis et j’ai toujours eu du St Alban à ma table! Je demande à mon acheteur de venir s’expliquer!

Il ouvrit une porte appela un serveur et lui donna sèchement l’ordre d’aller chercher l’acheteur.

Moins d’une minute après on frappa à la porte et l’acheteur entra, c’était un assez bel homme la trentaine, habillé en esclave qui a une bonne situation. Son maître le regarda durement et lui demanda sèchement:

- Romain, comment s’est passé la visite la visite d’hier du vendeur de St Alban?

- Maître, il n’a pas voulu nous vendre le vin à un prix acceptable!

- Et pourquoi tu l’as fait attendre deux heures?

- Pas deux heures Maître !

J’intervins:

- C’est combien ‘un prix acceptable’?

- Vers un Ecu Monsieur de St Christophe.

Je me tournai vers Bertin pour lui demander s’il avait les prix d’achat du vin des dernières années, il me répondit par l’affirmative et alla chercher un livre de compte dans la pièce voisine. Quand il revint je dis à Romain:

- Tu mens, Adrien a attendu deux heures et tu lui as proposé 50 centime la bouteille!

- Non Monsieur, je n’ai pas proposé ce prix!

Adrien s’agita, je lui fis signe de se calmer et je dis:

- Comment esclave tu mets en doute les dires d’un homme libre? Mais Monsieur Bertin, vous avez vos chiffres, j’ai les miens aussi, combien avez-vous payé pour une bouteille l’année dernière?

- 1,30 Ecu Monsieur.

- 0,90 Ecu pour moi, ou est passée la différence? Et l’année d’avant?

- 1,30 aussi !

- 1 Ecu tout rond!

Bertin devint tout rouge il venait de comprendre d’où venait la différence, comme les transactions se faisaient en argent liquide, l’acheteur en mettait une part dans sa poche au passage, il se leva très en colère :

- Romain, sale chien tu m’as volé combien, voleur, menteur, tu n’as pas le droit d’avoir de l’argent à toi, il est où cet argent?

Romain tomba à genoux, il se prosterna devant son maître:

- Pardon Maître, pitié, je ne le ferai plus!

- L’argent il est où?

- …

- Tu veux que je t’emmène au commissariat, ou que je te confie à Monsieur de St Christophe que tu as volé, ils vont savoir te faire parler!

- Non Maître pitié, l’argent il est dans la remise... Bien caché dans une corbeille, une boite en fer, Maître pitié…

Bertin s’adressa à moi, après avoir envoyé un jeune serveur chercher la boite:

- Monsieur de St Christophe, je suis désolé, j’aurais dû contrôler les comptes…

- Je ne suis certainement pas le seul fournisseur en cause, mais qu’allez vous faire de ce voleur?

- Je ne sais pas, le faire fouetter et pendre par la police, il n’est pas vendable, un voleur!

- Maître pitié…

Je le regardai, un homme bien bâti, bien nourri, une belle gueule, bref un bel homme de 30 ans, le pendre c’était dommage, il pouvait encore travailler, et peut-être se racheter, je fis signe à Bertin de venir avec moi vers la fenêtre pour discuter doucement sans être entendu et lui fis part de mes réflexions, il se dit tout à fait d’accord avec moi, mais embarrassé quand même…

- Mais vous savez Monsieur Bertin, ces dernières années quand le vendeur Adrien revenait à St Pierre, le vieux maître le corrigeait en l’accusant de mal vendre, il en est peut-être pareil pour d’autres fournisseurs… Pour moi le mieux serait de le punir très sévèrement, et de lui attribuer un poste chez vous, le plus bas possible en le maintenant enchaîné pour qu’il ne se sauve pas!

- Pour le poste, il y en a un, celui qui nettoie les cuisines et le restaurant, qui est chargé des ordures, actuellement j’y ai un jeune gars qui pourrait faire mieux il le mérite, il ferait un bon serveur ou cuisinier…

- Eh bien voilà pour son avenir mais sa punition, vous pouvez le punir ici?

- Le fouetter ici, je ne suis pas très équipé, je n’ai pas de fouet, juste des martinets, plaques de bois et cravaches pour les cuisiniers et les serveurs…

- Vous le fouettez souvent vos cuisiniers? Ils sont pourtant bons, votre restaurant est réputé!

- Il leur arrive de rater un plat, le chef veille, j’entends quelquefois le martinet claquer, mais je n’interviens pas!

- Vous devriez le fouetter dans la cour immédiatement, sévèrement et le dégrader publiquement, c’est ce que je ferais à St Christophe!

- Monsieur de St Christophe je ne sais pas faire ça…

Nous fûmes interrompus par le jeune serveur qui revint avec une boite en métal, il dit à son maître:

- Maître il y a plein d’argent dedans!

Bertin l’ouvrit il y avait une grosse somme, des grosses coupures, la somme devait être considérable!

- Monsieur Bertin, je vous laisse le soin de faire le compte précis de cette cagnotte, de ce qui me revient et de ce qui revient à d’autres fournisseurs, mon secrétaire vous fera communiquer les ventes de St Pierre de ces 5 dernières années, j’attends de vos nouvelles dans quelques jours.

- Merci Monsieur de St Christophe, mais pour ce que vous disiez avant, puis-je vous demander si vous pourriez m’aider, dans votre domaine vous avez plus l’habitude…

- Bien sûr faisons l’inventaire de ce dont vous disposez en instruments de persuasion!

Dans la cuisine un bon martinet et une large plaque de bois étaient accrochés à un mur, les serveurs tout en blanc portaient bien en évidence un beau ceinturon de cuir large et épais, en cuisine je vis aussi de larges spatules de métal et de bois, bref largement de quoi punir durement un esclave fautif! Dans la cour arrière je vis deux anneaux accrochés au mur, juste à bonne hauteur pour attacher un puni!

- Eh bien Monsieur Bertin nous avons tout ce qu’il pour punir un voleur, je peux m’en charger…

2 commentaires:

  1. Tu "tiens" 2 épisodes par semaine, nous sommes gâtés ! Tu es (presque) chaste dans les scènes d'amour. Oui, tout est relatif, mais enfin ce n'est pas du porno graveleux et l'insistance sur la réciprocité est sympathique; enfin je n'oublie pas que la raison première de ce roman, c'est bien les fessées.
    En tout cas un épisode agréable, varié dans l'action et les sentiments et que, je pense, tu as coupé en deux parce que la matière était trop riche !

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  2. Merci Frank,

    Je risque de ne pas tenir 2 épisodes par semaine, je n'ai plus d'avance dans ma rédaction, le 48ème est presque fini quand même.

    Pour les scènes d'amour, je ne me vois pas plus les développer, pourquoi plus de détails, j'en donne assez je pense pour que l'imagination des lecteurs prenne le relai. Mais tu as raison c'est la fessée ou plutôt la correction sous domination qui est le fil conducteur de ce blog...

    Si j'avais inclus la punition de Romain dans cet épisode, il aurait été trop long, et j'aime bien avoir une fin ouverte comme dans un bon feuilleton, l'épisode suivant sera pareil!

    à suivre...

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