mardi 13 octobre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 44 – Paul

Après une bonne nuit réparatrice dans les bras de mon fidèle Yves, nous avions été relativement sages cette nuit, étant tous les deux assez fatigués par la longue journée à St Pierre, nous discutions avec Yves calmement au lit, il était 7 heures, il allait falloir se lever sous peu…

- Je ne sais pas ce que je vais faire de Paul…

- Maître, il n’y est pour rien en fait.

- Mais tu te rends compte si le gros Nico ne s’était pas emballé on ne saurait rien, il y aurait encore des esclaves au cachot en train de mourir…

- Oui Maître, mais il y a la vigne, vous savez combien elle compte dans les chiffres de St Pierre!

- Je sais bien mon petit Yves, c’est le problème sinon il serait viré immédiatement, même si c’est un bel homme!

- Plus beau qu’Adrien Maître? Ne me dites pas que vous n’avez pas aimé le bel Adrien, Maître! Yves me dit ça malicieusement il était sur le ventre, nu avec un grand sourire.

- Petit voyou, tu vas voir!

Je donnai quelques douces claques sur ses fesses, il se cabra un peu pour mieux les offrir, il était alors irrésistible je le couvris de baisers, nous roulâmes sur le lit, je bandais déjà bien, je me mis sur le dos, il s’assit sur moi pour se faire empaler, mon sexe entra en lui sans difficulté il fit des va et vient sur mon sexe, le désir monta en moi, il bandait fort aussi, je le branlai doucement, il devint très dur, autant que moi, il me dit:

- Maître arrêtez, je vais jouir sur vous et vous me punirez!

- Et si tu risques la punition ça te fait débander?

- Non Maître, je ne peux pas me retenir…

- Moi non plus…

Et nous eûmes en même temps un violent orgasme, Yves se cabra, cela accentua la pression sur mon sexe, je me répandis en lui, il se répandit sur mon ventre et mon torse…

- Et bien voilà un bon début de journée…

- Maître je vous ai sali, pardon Maître…

Il était tout confus, j’étais encore dans son intimité, je sentais son sperme chaud sur moi.

- Ne fais pas cette tête Yves, tu sais bien que tu n’es plus puni pour ça, tu es Yves pendant l’amour, tu n’es plus mon esclave, tu es mon amant, et j’aime bien la chaleur de ton sperme!

- Oh Maître, je vous aime tellement, quand vous êtes en moi, je ne peux plus me contrôler, merci Maître…

Je me retirai de lui, je lui donnai un tendre baiser, en lui disant:

- Il faut nous lever maintenant, nous avons du travail mon garçon… Il est déjà 7h30… Bon Paul attendra…

Je regardai par la fenêtre, il pleuvait, le temps était gris et chargé, c’était surprenant après le beau temps de la veille, mais en bon propriétaire terrien, je me dis que ce ne serait pas mauvais pour les récoltes futures…

Après mon bain, ma toilette, mon rasage, le tout aidé par mon Tom, qui m’avait ému la veille quand de retour au Château, il m’avait dit qu’il n’y avait qu’à St Christophe que les esclaves étaient bien traités en embrassant ma main.

Tom servit mon petit déjeuner, je ne manquais de rien comme d’habitude, Alex frappa et il entra et me salua respectueusement:

- Maître, Monsieur Paul est arrivé il y a une demi-heure déjà.

- Il était en avance alors…

- Oui Maître c’est pour ça que je n’ai pas voulu me déranger, mais Maître…

- Oui Alex qu’est-ce qu’il y a?

- Maître il est trempé, il est venu à pieds! Il n’ose pas se présenter à vous dans cet état!

- A pieds depuis St Alban, il faut au moins 3 ou 4 heures! Ils sont fous dans ce domaine!

- Quand dois-je le faire entrer Maître?

- Dans un quart d’heure dans mon bureau Alex, j’y serai!

- Bien Maître.

Je finis calmement mon déjeuner, Tom était là tout mignon, je lui caressai les fesses doucement, il sourit, je l’embrassai sur la bouche et le quittai pour gagner mon bureau.

Cinq minutes après on frappa à mon bureau, Alex entra avec Paul, il était dans un état minable, ses vêtement déjà bien éculés étaient trempés, ses chaussures et le bas de son pantalon étaient tous boueux, il baissait la tête, il portait un baluchon assez lourd, qu’il posa par terre avant de me saluer en se courbant, Alex nous laissa seuls.

- Mais dans quel état tu es Paul!

- Maître, j’ai été surpris par la pluie il ne pleuvait pas quand je suis parti, pardon Maître de me présenter comme ça…

- Et ce baluchon c’est quoi?

- Maître ce sont mes affaires, comme je vais devoir quitter St Alban, que vous allez me renvoyer je préfère ne pas y remettre les pieds!

- Tu mérites d’être viré?

- Maître depuis hier, à votre ton je n’ai pas d’autre espoir…

- Mais le mérites-tu?

- Maître, j’ai bien été obligé d’obéir au vieux maître et de laisser Nico agir, ça ne m’a pas fait plaisir Maître, mais qu’est-ce que j’aurais dû faire d’autre pour vous?

- Pour moi, tant que tu étais sous l’autorité du vieux maître tu ne pouvais pas faire beaucoup, tu aurais pu partir, mais moi ce que je te reproche c’est de ne m’avoir rien dit ces deux jours derniers, il a fallu que je découvre les choses moi-même!

- Maître je n’ai pas osé, je ne vous connaissais pas…

- Il aurait fallu, c’est une faute grave, je ne veux pas d’un régisseur qui ne défende pas les esclaves sous sa domination, pour cette faute tu mérites en effet d’être viré!

- Je sais Maître, mais Maître j’aime bien mes esclaves, les vignerons n’ont jamais été sous la coupe de Nico, Maître, je n’ai pas de mort à me reprocher parmi eux…

- Oui c’est bien, mais tu es régisseur de St Alban, et si je regarde les chiffres…

Il était pitoyable, debout devant moi, trempé, tête baissée il se mit à grelotter…

- Tu as froid?

Je sonnai ma cloche, Tom arriva immédiatement.

- Tom apporte deux grandes serviettes de toilette et une couverture chaude!

Tom revint vite avec ce que j’avais demandé et il sortit.

- Paul déshabille-toi, essuie-toi et enveloppe-toi dans cette couverture!

- Merci Maître…

Il me regarda avec des yeux rouges et se déshabilla, enlevant ses vêtement trempés, il apparu rapidement en caleçon. C’était un bel homme, presque nu devant moi et dans une attitude soumise.

- Essuie-toi avec les serviettes, enveloppe-toi dans la couverture et assieds-toi sur cette chaise!

Il s’assit devant moi enveloppé dans sa couverture:

- Merci Maître, je n’ai plus froid.

- Tu es venu à pieds, il n’y a pas de chevaux à St Alban?

- Non Maître les chevaux sont à St Pierre il faut demander pour les utiliser…

- Xavier t’en aurait donné un, non?

- Sûrement Maître je n’ai pas voulu le gêner!

- Adrien, il fait comment?

- Il va à pieds Maître comme tout le monde!

- Bon revenons à ton cas qu’est qui pourrait m’encourager à te garder Paul?

- Maître je ne sais pas… Si vous me chassez je mourrai de faim ou de froid surement…

Pauvre Paul, il était sûr d’être viré, il ne défendait pas son travail, je vis une larme couler sur sa joue, pour lui c’était fini!

- Mais Paul au Domaine tu apportais quelque chose ou rien?

- Rien apparemment le vieux maître m’engueulait toujours pour mon travail, et vous pareil hier… Je ne suis bon à rien…

- Tu ne me donne pas une image bien haute de toi…

- Tout est foutu Maître, je vivais durement avant et maintenant ce sera encore plus dur, chassé de St Christophe, je n’ai plus qu’à me jeter dans la rivière, ou me vendre comme esclave, je ne retrouverai jamais un travail…

Il était désespéré, mais j’en avais pitié, il était beau gosse en plus, je l’avais peut-être trop brusqué hier, mais il fallait que je le secoue un peu.

- Et la vigne et le vin tu n’y es pour rien?

- Je n’en ai jamais eu de compliments Maître!

- Adrien il le vend bien, non?

- Oui Maître il me dit que les clients sont contents, mais je n’en ai jamais eu aucun remerciement…

- Pourtant le vieux maître, s’il n’avait pas eu le vin de St Alban, son domaine aurait vite été en faillite!

- C’est vrai Maître?

- Tu ne le sais pas?

- Maître je sais ce que rapporte le vin, c’est une grosse somme…

- Et tu n’y es pour rien?

- Peut-être Maître, je le connais bien ce vignoble…

Je fis le tour du bureau et vins m’asseoir juste devant lui.

- Mais Paul tu as commis une faute, d’accord mais tu n’es pas si nul!

- Maître mais si je suis ici c’est bien pour être viré!

- Je n’ai jamais dit que tu seras viré!

Il me regarda étonné, il bredouilla:

- Mais avec ce que vous m’avez dit hier, que je ne régissais rien…

- Oui j’étais en colère hier, je n’ai pas voulu prendre de décision sous la colère, c’est pour ça que tu es ici, pour qu’on reparte avec de nouvelles bases, si tu le veux, mais tu ne me parais pas très motivé! Et il faut qu’on règle cette question de ta faute d’hier, c’est inadmissible que tu n’aies rien dit pour Nico!

- Maître je suis motivé pour travailler, j’aime bien la vigne, j’ai une bonne équipe de vignerons, je les ai protégés de Nico, je reconnais que j’ai eu tort de ne pas vous signaler les méfaits de Nico… Comment vous voulez régler cette question Maître?

- Tu sais ici quand un régisseur fait une faute, je le vire, si je vois que je ne pourrai plus travailler avec lui, par contre si je pense que le régisseur peut rester, je le puni pour sa faute, c’est déjà arrivé et c’est ce que je te propose aujourd’hui!

- Vous voulez me faire fouetter en public, Maître?

- Pourquoi? Je n’ai pas parlé de punition publique!

- J’ai vu un régisseur fouetté au sang dans le domaine où j’étais avant, et il a été viré après, il avait volé, Maître.

- Pour mes régisseurs, c’est une punition privée, administrée par moi. Pour ta faute tu mérites 50 coups de martinet, tu les recevras maintenant si tu donnes ton accord, sinon tu es viré!

Il baissa la tête, ses cheveux blonds avaient séché, il était très mignon enveloppé dans sa couverture, il prit son souffle, il se leva, enleva sa couverture, mit ses mains sur sa tête, écarta un peu les jambes et me dit:

- Maître je vous demande pardon pour ma faute, je mérite le fouet, Maître, fouettez moi!

J’étais très étonné, le beau Paul, en caleçon réagissant comme l’esclave le mieux dressé, il baissait les yeux, je le contournai en le détaillant, son caleçon était assez élimé, il y avait un trou sur le coté. Ses fesses bombaient bien en arrière. Je sortis un martinet de taille moyenne:

- Prends la position sur le dossier de ce fauteuil, mains sur les accoudoirs.

Il prit parfaitement la position, courbé sur le dossier il avait agrippé les accoudoirs, il était tendu, il n’osait pas me regarder, ses fesses étaient bien projetées en arrière, mais toujours recouvertes avec le caleçon. Je posai ma main sur ses fesses.

- Ici le martinet se donne cul nu!

Je pris le caleçon sur le côté où il y avait le trou, et je le tirai d’un coup vif, il craqua immédiatement, je déchirai complètement son caleçon, et le jetai à terre, il était enfin nu devant moi, très beau, tout soumis, en attente du fouet, je vis sur ses fesse une ligne, une ancienne cicatrice, une légère marque plus claire.

- C’est quoi cette trace?

- Un coup de canne un peu fort Maître…

- Tu as souvent été fouetté?

- Oui Maître à partir de 16 ans, la canne c’était vers 19 ans…

- Et tu mérites encore le fouet à 29 ans!

- Oui Maître, pardon Maître.

- Aller 50 coups, tu ne les comptes pas, sois courageux!

Je levai le martinet et l’abattis sur les belles fesses bien présentées, il siffla et claqua durement, Paul eut un soubresaut et c’est tout. De belles traces rouges ornèrent la peau, ses jambes étaient écartées je pouvais voir tout de lui, je donnai une petites série de coups rapprochés, des coups bien forts, mon puni avait un petit mouvement à chaque coup mais rien ne sortait de sa bouche, il prenait sa punition comme un homme courageux.

Mes coups de martinet tombaient, les zébrures des fesses s’étendirent sur le haut des cuisses et le haut des fesses, je m’appliquais à le corriger le plus efficacement, je donnai deux coups de façon à ce que le bout des lanières atteignent l’entre cuisses sans toucher le sexe, les deux coups claquèrent bien il émit un grognement, et à chaque coup maintenant un ‘hummmmm’ s’entendait.

J’avais donné 25 coups, nous avions le temps, je pris les lanières en main, et m’approchai de lui, et mis le martinet sur ses fesses en disant:

- Tu es un dur Paul… Tu ne dis rien…

- Maître, vous donnez le martinet durement, vous êtes sévère, ça brûle mais je ne veux pas crier comme un gamin…

- Tu sais que tu es un bel homme, Paul, pourquoi tu n’es pas marié?

- Je n’en ai pas les moyens Maître, et je ne voudrais pas vivre avec une femme qui doive travailler comme une esclave…

- Tu n’as pas de vie sexuelle alors? Ou alors avec des garçons?

- …

- Tu préfère ne pas répondre à ma question indiscrète tu en a le droit et je ne t’en voudrai pas, je ne suis pas ton Maître et tu es libre de coucher avec qui tu veux, comme les esclaves du Domaine d’ailleurs!

- Ça m’arrive Maître…

- De coucher avec des garçons?

- Pas des garçons Maître, avec un seul…

- Le bel Adrien non?

- Oh Maître… Comment vous savez?

- Il y a des choses qui se voient, et Adrien il parle bien de toi!

- Maître, vous ne le punirez pas, il vient cet après-midi je crois…

- Pourquoi je le punirai, il n’a rien fait de mal, je vais parler de son statut de représentant parce que j’ai l’impression que le vieux maître le traitait comme un esclave!

- Oui Maître il était souvent puni, avec les verges ou le ceinturon, il fallait que je m’occupe de lui après.

- Tu le consolais…

- Oui Maître, sinon il serait partit… Mais où?

Je posai ma main sur ses fesses le caressant un peu:

- Tu sais que j’aime les garçons aussi, vous formez un beau couple, je ne tolérerai jamais qu’on vous embête!

- Merci Maître…

- Bon mon garçon nous avons une punition à finir, comme tu as parlé avec franchise je ne te donnerai pas 25 coups mais 10!

- Je suis prêt Maître, merci de réduire ma punition!

Je donnai les 10 coups régulièrement, sévèrement comme l’a dit mon puni, il se laissa gémir à chaque coup, et c’est avec le cul bien rouge que la punition finit, je n’ai pas été cruel, il m’a touché ce Paul, dur sous le fouet mais qui se confie en répondant à mes questions…

Les 10 coups donnés, je posai le martinet et m’approchai de Paul et je me mis à caresser ses fesses, il gardait la position, encore un peu tendu, il se laissa faire, je lui donnai une petite claque sur les fesses:

- C’est bon mon garçon, la punition est finie, tu peux te relever!

- Merci Maître!

Il était debout nu, les fesses bien rouges, il se tourna vers moi, me regardant, hésitant, je le pris dans mes bras, il mit sa tête contre mon épaule et le petit dur eut quelques sanglots.

- Ce n’est pas ta première correction mon garçon, je lui caressai le dos…

- Oh non Maître! Je suis un homme libre mais j’ai été fouetté plus souvent qu’un esclave!

- Mais pourquoi?

- Maître ce serait trop long à raconter, et à part Adrien il y a longtemps que quelqu’un m’ait pris dans ses bras!

- J’aimerais bien connaitre ta vie, tu veux me la raconter Paul? Je te connaitrai mieux…

- Si vous voulez Maître et si vous avez le temps.

- J’ai le temps, Paul, mais tu ne vas pas rester tout nu! Attends-moi mon garçon!

Je sortis du bureau et j’ai vite trouvé Tom, je lui demandai des vêtements à moi pour Paul et un caleçon neuf.

Je retournai au bureau, Paul était en train de regarder ses vêtements du matin mouillés, et son caleçon déchiré, je lui mis la couverture sur le dos. Tom frappa, j’allai à la porte, pris les vêtements et remerciai Tom qui partit.

- Tiens Paul, habille-toi avec ça, nous faisons la même taille, je pense.

- Oh merci Maître c’est trop beau pour moi!

Il trouva le caleçon, il sourit en regardant l’autre et s’habilla rapidement.

- Eh tu es tout beau comme ça!

- Merci Maître, je n’ai jamais porté de si beaux vêtements!

- Assieds-toi et raconte moi ton histoire, tu déjeuneras avec moi ce midi, et nous verrons Adrien cet après midi, nous avons donc le temps, je sonnai la cloche pour appeler Tom, je lui donnai des ordres pour midi et lui demandai du café après avoir demandé à Paul s’il en voulait.

Tom ne traina pas il nous servit le café, Paul le but avec délectation en mangeant quelques petits gâteaux avec.

- Bon Paul je t’écoute…

5 commentaires:

  1. Et dire qu'il va falloir attendre au moins jusqu'à la fin de la semaine pour avoir la suite ! C'est frustrant ! je vous le dis, ce Marcus a certainement un côté sadique, pas avec ses personnages, avec ses lecteurs !!! Et il faut qu'on lui dise merci, comme les punis de son roman.
    "Merci Maître !". Frank

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  2. Frank, tu exagères, je ne suis pas sadique du tout, surtout que j'aimerai avoir le plus de lecteurs possible et plus de messages à propos de ce roman!
    Écrire un épisode est parfois long alors tu veux quoi, que je poste 2 nouveaux épisodes tout de suite et que tu restes plusieurs semaines sans texte? Ou que j'arrête tout?

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  3. Je sais bien que c'est du travail, et j'admire ! Quoique n'ayant pas une trop mauvaise plume, je serai bien incapable de le faire moi-même par manque d'imagination (et peut être de courage !). Surtout ne change rien.
    J'ai déjà remarqué que tu fais preuve d'une certaine susceptibilité là où je ne voulais mettre que de l'humour. C'est promis, je ne le ferai plus, mais CONTINUE STP !
    Et je te souhaite des milliers de lecteurs.
    Un admirateur (presque) anonyme. Frank

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  4. Oui tu m'as mis en colère mon cher Frank, c'est vrai que je suis un peu susceptible, enfin bref tu mériterais une bonne fessée!

    Amicalement

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  5. ca se fera à une prochaine réunion de clef. Je n'y suis jamais allé mais suis sûr que vous êtes des fidèles. Sorry for polluted your topic

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