mardi 20 octobre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 46 – Paul, Adrien, quelques punitions et de l’amour

Après nos tendres câlins Paul et moi primes une douche et, comme il était près de midi, nous nous sommes dirigés vers la salle à manger, nous avons bu l’apéritif servi par Tom, Paul était tout intimidé:

- Monsieur c’est la première fois que je déjeune avec un maître, j’espère que je ne ferai pas d’erreurs…

- Pas de problèmes Paul, nous ne sommes que tous les deux, pas de protocole particulier, ça me change, je mange souvent seul…

- Monsieur votre serviteur est vraiment parfait…

- C’est Tom, il est très mignon mon Tom, et gentil comme tout, mais Paul, attention pas touche!

- Oh Monsieur je n’oserais pas et je vous comprends tellement…

- Petit coquin, mais sache que mon amant officiel c’est Yves, mon secrétaire, depuis plus de 6 ans, mais je lui suis quelques fois infidèle il le sait.

- Monsieur, j’ai Adrien aussi, il est fidèle mais je le suis moins.

- Il semble bien encore soumis Adrien, comme quand il était esclave, non?

- Oui Monsieur, je lui dis toujours mais l’ancien maître l’accablait toujours et il le fouettait, et vous savez il gagne très peu, et il se faisait souvent rouler par le maître pour sa paye!

- Oui il faut que je redéfinisse tout ça avec lui, si je comprends bien c’est toi qui le nourris!

- Souvent Monsieur, et il a souvent faim!

- Et Florent tu ne l’as jamais revu?

- Depuis ma fuite non, quand j’étais à l’école et que je rentrais à la maison, entre mes punitions et les siennes, je le voyais, il se donnait toujours avec amour et il pleurait quand je partais. Le pauvre gars il doit toujours être sous la domination de mon beau-père!

- Tu n’es jamais retourné dans ta ville?

- Non Monsieur, c’est loin d’ici.

Nous mangeâmes ensemble, en bavardant du Domaine, Paul mangeait de bon cœur, il dit plusieurs fois que c’était délicieux, après un bon dessert nous avons décidé d’attendre Adrien pour le café, quand tout à coup, j’entendis des cris, une discussion forte, je reconnu la voix de Tommy, comme il y avait une porte d’accès direct entre le salon et le bureau d’Yves, les sons passaient bien, je m’y rendis, ouvris la porte brusquement, je vis Yves et Tommy en grande discussion:

- Tous les deux au salon immédiatement!

Ils se turent instantanément et me suivirent, je m’assis, Paul était assis il regardait surpris. Yves et Tommy se tenaient tête baissée. Je dis d’une voix dure:

- Je ne peux plus être tranquille au salon maintenant, c’était quoi ces cris Tommy?

Tommy tomba à genoux:

- Pardon Maître mais on n’est pas d’accord sur une façon de calculer.

- Qui est le chef Yves ou toi? Yves tu en dis quoi?

- Maître Tommy veut calculer d’une autre manière, je ne suis pas sûr que ce soit juste, mais on a du travail alors pas de temps à perdre avec ça mais il est têtu Tommy!

- Et bien vous allez prendre le temps de vérifier ces deux méthodes de calcul et vous me présenterez les résultats, et celui qui a tort recevra le martinet ce soir! Mais Tommy tu n’as aucune excuse pour avoir crié, je vais te fesser tout de suite et tu recevras d’office le martinet ce soir! Avec double ration si tu as tort! Sur mes genoux vaurien!

Tommy se leva, il regarda Paul tout gêné il rougit, mais il se déculotta et vint se coucher sur mes genoux en prenant bien la position.

- Tu es honteux parce que Paul est là mais tu sais il en a vu Paul des fesses de garçons désobéissants rougies par la fessée ou le fouet!

Je commençais la fessée durement, ses belles fesses furent claquées sans pitié, ma main alterna tout d’abord d’une fesse à l’autre, sa peau était douce ses fesses rondes étaient fermes ma main claquai fortement, les cotés des fesses, le haut et le bas, toute la surface des fesses eut sa ration de claques! Le pauvre Tommy geignait doucement à chaque coup puis il poussa des petits cris, avec ses mains il agrippa mes chevilles, peut-être pour s’empêcher lui-même de projeter ses mains en arrière pour protéger ses fesses, geste formellement interdit qui conduit à ma colère, et à l’utilisation du martinet au minimum!

Au bout de dix minutes de fessée, les fesses étaient bien rouges et j’entendis les premiers sanglots, il me suppliait d’arrêter, je continuai quelques minutes et arrêtai, posant ma main sur ses fesses.

- Alors mon garçon, tu recommenceras à crier comme ça ?

- Non Maître, pardon je ne le ferai plus Maître!

- Tu vas aller travailler maintenant et que je ne t’entende plus, tu recevras le martinet ce soir avant d’aller au lit, ça te calmera, si Yves doit être fouetté il le sera en même temps que toi! Aller debout!

Il se releva et tomba à genoux, il pleurait, il embrassa ma main:

- Pardon Maître, merci Maître!

- Je ne pardonne pas, on verra ce soir quand tu auras été fouetté, comme tu es toujours en punition tu restes cul nu jusqu’à ce soir, tu mets ton maillot et tu files travailler!

C’est donc avec ses fesses rouges et bien exposées qu’il repartit au bureau. Paul me regardait assez neutre.

- Alors Paul tu penses quoi de cette punition?

- Oh Monsieur la fessée était bonne c’est très dissuasif, en plus le garçon avait des fesses non marquées, il n’est pas souvent puni?

- Il l’a été quand il a fallu le dresser, mais il est plus raisonnable maintenant.

- Mais Maître, vous allez donner le martinet à Yves?

- C’est toi qui va le recevoir si tu m’appelles Maître!

- Excusez-moi Monsieur!

- Pour Yves s’il fait une faute, il est puni, c’est normal, je n’aime pas le punir sévèrement, il ne risque pas beaucoup, surtout après la punition…

Paul sourit, il était vraiment mignon avec le sourire, je lui dis, en disant qu’il n’y a qu’aujourd’hui que je l’ai vu sourire comme ça!

- Monsieur, maintenant je pense mieux vous connaitre, je me permets de sourire, parce que pour la première fois je me sens en confiance avec un Maître ou quelqu’un qui à autorité sur moi, ça ne m’est jamais arrivé depuis que mon père est mort… Je comprends pourquoi les esclaves ici sont gentils, ils sont obéissants, vous êtes sévère avec eux mais pas cruel, et ils sourient aussi quand vous leur parlez comme Tom pendant le repas.

- Oui cette confiance c’est ce que je recherche, mais quand un esclave comme le jeune Tommy fait une faute, il passe un mauvais moment mais sans conséquences graves.

- A St Pierre, pour avoir dérangé le maître comme il l’a fait, il aurait été fouetté au sang, surement!

- Oui mais tu vois il est ingénieux ce petit Tommy, ils se sont disputé pour savoir quelle était la meilleure méthode de travail, pas sur des bêtises et je ne serais pas étonné de devoir donner le martinet à Yves ce soir!

- Pauvre Yves, mais lui il vous aime, c’est criant, J’ai vu qu’il vous aimait et quand il a raccompagné le jeune Tommy il vous a lancé un regard d’amoureux…

- J’ai vu tout ça Paul, mais il est plus de 2 heures, Adrien est en retard, pourquoi?

- Monsieur je ne sais pas, pourtant, il fait toujours très attention à être très ponctuel chez un client, il a peut-être été retardé…

- J’espère qu’il a une bonne raison…

- Oh Monsieur vous n’allez pas le fouetter?

- Le fouetter non, le fesser peut-être s’il le mérite!

- Monsieur il est vite émotif Adrien ne la brusquez pas il est sensible, quand l’ancien maître le fouettait il pleurait comme un gosse…

- J’en prendrai soin de ton Adrien, s’il est franc avec moi, sinon gare à lui et à ses fesses!

- Merci Maî… Monsieur, je l’aime tant…

- Mais tu te donnes à moi…

- Oh Monsieur, avec votre autorité, votre tendresse et sachant que vous aimiez les garçons je n’ai pas pu résister en plus vous êtes beau Monsieur, et j’ai eu raison nous avons eu chacun du plaisir, c’est rare…

- Pas si rare pour moi, quand je fais l’amour avec un esclave je m’arrange toujours pour qu’il ait du plaisir aussi, il m’en remercie toujours et ne dit jamais non pour une deuxième fois!

- Mais vous aimez vos esclaves vous, et c’est la première fois que je vois un maître comme vous…

- Arrête tes compliments Paul, tiens j’entends du bruit…

On frappa et Mathias qui était de service me dit qu’Adrien était là. Je donnai l’ordre de le faire entrer, Le bel Adrien entra la tête basse.

- Maître, je vous demande pardon je suis en retard! Et il tomba à genoux.

- Ah non pas à genoux Adrien! Relève-toi et explique-moi ce retard!

Il se releva tête baissée et dit:

- Maître j’avais rendez-vous au restaurant du Val d’Or à 10 heures, j’étais en avance, mais on m’a fait attendre plus de deux heures dehors avant de me recevoir, j’ai été reçu par l’acheteur qui m’a disputé violemment parce que le vin est trop cher qu’à 1 écu il ne pouvait pas et que c’était 50 centimes ou rien!

- 50 centimes? Tu vends tes bouteilles combien Adrien normalement?

- Entre 0,90 et 1,20 voire 1,50 quand je peux, Maître!

- Et tu lui as vendu à 50 centimes?

- Non Maître, je lui ai dit que je devais en rendre compte Maître!

- Donc tu as perdu ta matinée et tu es en retard…

Il baissa encore plus la tête et blanchit.

- Pardon Maître…

- Du temps de l’ancien maître, il te serait arrivé quoi?

- Beaucoup de reproches et les verges ou le martinet Maître!

- Et tu as mérité une correction maintenant Adrien?

- Maître il était intraitable, j’ai tout essayé, il m’a dit que je voulais voler son maître…

- C’est un esclave l’acheteur?

- Oui Maître mais il a la confiance de son maître.

- Mais 50 centimes, ce n’est pas un prix, j’ai vu dans le livre de comptes de St Alban pour la vigne, j’ai fini par le trouver hier, que le vin se vend aux prix que tu as indiqués.

- Oui Maître, je ne l’ai pas compris.

- Bon je n’ai rien à te reprocher sur ta vente ratée, on va en reparler, je connais bien ce restaurant, ni sur ton retard, mais tu as quand même fait une faute!

Paul me regardait troublé, Adrien tomba à genoux:

- Maître pardon je ne vois pas quelle faute mais vous avez surement raison…

- Qu’est-ce que je t’ai donné comme ordre quand nous nous sommes quittés hier?

- Je ne sais plus Maître, oh pardon Maître!

- Tu ne dois pas m’appeler ‘Maître’ et tu ne fais que ça depuis que tu es là!

- Oui Monsieur, je me rappelle maintenant…

- Alors Paul il mérite quoi Adrien?

- Oh Monsieur excusez Adrien, ne le fouettez pas il a oublié votre ordre mais ce n’est pas méchant.

- Oui mais un ordre est un ordre! Adrien il faut te mettre dans la tête que tu n’es plus un esclave et que tu n’as plus de maître, mais un patron, mais tu connais les usages, et tu sais ce que je t’ai dis hier, un patron peut appliquer des punitions corporelles alors viens sur mes genoux pour être fessé! Ne te déculotte pas!

J’étais tout émoustillé par ce que j’allais faire, fesser le bel Adrien, je voulais commencer doucement, je regardai Paul, il paraissait soulagé pour Adrien, une fessée c’est mieux que le fouet…

Adrien vint se coucher doucement sur mes genoux, il me regarda humblement, il s’allongea, mettant ses fesses en évidence, en tapotant entre ses cuisses, je lui fis écarter les jambes, il était en costume noir son fond de culotte bien élimé, et surtout des trous entre les jambes, je remontai les pans de sa veste pour bien dégager ses rotondités bien moulées, de superbes fesses! Nues ça allait être un plaisir, je posai ma main dessus, la deuxième fessée en peu de temps, ma main allait encore souffrir!

Je commençai à le fesser doucement il sursauta à la première claque et resta calme après, je ne claquais pas trop fort, tout en faisant des commentaires sur sa tenue:

- Mais ton pantalon il va bientôt craquer, et il est sale! Et ta veste toute élimée! Et tu vas voir des clients dans cette tenue! Tu devrais avoir honte!

- Monsieur je n’en ai pas d’autres, ou alors dans un état pire que ça! Ce sont de vieux costumes du jeune Maître, Monsieur, j’essaye de cacher les trous et de raccommoder Monsieur!

- Et en racheter un neuf?

- Oh Maître…Monsieur pardon, c’est trop cher!

Au Mot ‘Maître’ je lui avais donné trois claques assez dures, de quoi le faire obéir, il avait aussitôt rectifié ses paroles!

- Bon on verra ça après, aller debout et enlève ton pantalon et ta veste!

Il se leva, me regarda avec honte il défit sa ceinture et baissa son pantalon, il était nu dessous, il enleva sa veste, plia le tout rapidement sur une chaise et revint se coucher cul nu sur mes genoux, comme j’étais dans le canapé et que Paul était dans un fauteuil juste à côté, Adrien le regarda, je vis que Paul le rassurait du regard, moi j’étais en contemplation devant ses fesses, il était au niveau de mes esclaves préférés, mais je me ressaisis et recommençai la fessée, elle ne fut pas très forte j’avais surtout envie de faire connaissance avec ses fesses, et c’était un vrai bonheur, je bandais fort, il n’a pas pu ne pas s’en apercevoir! Je le fessai assez méthodiquement mais pas fortement il émit quelques gémissements, j’avais vue sur son orifice, il était beau, peu poilu, j’arrêtai la fessée et y mis le doigt, il frémit aussitôt et je sentis son membre sur ma cuisse!

- Ah petit voyou, tu aimes ça!

- Monsieur, pardon je ne peux pas m’en empêcher!

- Ce n’est pas grave mon garçon c’est Paul qui a de la chance!

- Pourquoi Paul Monsieur?

- Parce qu’il est ton amant et qu’il te prend, et que tu aimes ça!

- Monsieur, Paul vous a dit, vous ne voulez pas qu’on soit ensemble…

- Moi je veux tout, mon garçon, Paul est régisseur de St Alban, tu es un homme libre tu peux vivre et coucher avec lui, tant que tu veux!

- Oh merci Monsieur, on s’est tellement caché!

- Tu sais mon garçon ce matin j’étais en colère contre Paul, il s’est expliqué, je l’ai puni, maintenant il n’y a plus de problèmes, et tu vois toi aussi, une fessée te fait du bien, tu ne m’appelle plus ‘Maître’ depuis que tu es sur mes genoux!

- Merci pour nous deux Monsieur, j’aurais reçu bien pire que cette fessée avec l’ancien maître, mais fesser moi encore si je le mérite Monsieur!

Je donnai une dizaine de claques supplémentaires, douces comme les autres et dis:

- Voila mon garçon ta punition est finie, je n’ai pas du tout été dur avec toi, mais méfie-toi n’en cherche pas d’autres.

- Oh non Monsieur mais merci pour votre clémence Monsieur.

- Debout et rhabille-toi, sans ta veste et installe-toi au salon!

Il remit son pantalon, ses chaussure et nous rejoignit en restant debout.

- Eh bien Adrien, Assieds-toi!

Il prit une chaise et s’assit dessus.

- Et le fauteuil ici il est pour qui?

- Oh je peux Monsieur?

- Oui bien sur, mais tu n’as pas dit bonjour à Paul tu ne le fais jamais?

- Oh si Monsieur, merci!

Il alla vers Paul et lui fit un gros bison sur les lèvres, Paul le pressa contre lui…

Adrien se rassit, je lui demandai s’il avait mangé, sur sa réponse négative j’envoyai Tom chercher un plateau de victuailles à la cuisine, une fois servi, il mangea assez avidement, il avait une faim de loup, pendant ce temps là je discutai avec Paul qui complètement rassuré était en pleine confiance, je définis bien ses responsabilités sur St Alban, et la position de Julien comme dirigeant du domaine, lui disant qu’il pouvait toujours me voir en direct, je discutai de sa rémunération qui était médiocre, je l’augmentai, il était ravi.

Une fois qu’Adrien fût rassasié, Tom récupéra son plateau et je discutai aussi de sa rémunération, je lui fixai une part fixe et une commission sur ses ventes, il n’en revenait pas!

- Bon en plus vous savez monter à cheval tous les deux?

- Moi oui. Dit Paul.

- Non je ne sais pas je n’ai jamais eu l’autorisation d’apprendre Monsieur…

- Et bien il faudra apprendre, tu peux lui apprendre Paul?

- Bien sûr Monsieur, j’espère qu’il apprendra vite!

- Sinon tu es autorisé à le fesser!

Paul et Adrien sourirent, quel beau couple! Je dis qu’ils auraient deux chevaux, Paul confirma qu’il y avait une ancienne écurie à St Alban, ils étaient enchantés tous les deux, ne plus avoir à marcher sur des longs trajets…

La discussion s’engagea alors sur le commerce du vin, la future présence du train à Gault pouvait offrir un débouché plus rapide pour livrer le vin plus loin, Adrien avait plein d’idées, il était passionné pendant la conversation. Je demandai à Paul quand commençaient les prochaines vendanges, il me dit que le raisin serait mûr assez vite maintenant, il surveillait la vigne et le temps, mais avant c’était toujours le maître qui décidait et qui lançait les vendanges. Je lui laissai le choix de la décision, il était plus compétent que moi en la matière, je voulais simplement être prévenu de la date de départ, j’irais à St Alban ce jour là. Je revins vers Adrien:

- Dis-moi au restaurant du Val d’Or, tu ne vois jamais le patron, M. Bertin?

- Non Monsieur je ne vois que l’acheteur!

- Tu es libre demain après midi?

- Oui Monsieur, je vais dans un autre restaurant le matin.

- Bien nous irons voir ce Bertin, je te rejoindrai en début d’après midi!

Nous fixâmes un lieu de rendez-vous en ville, c’était presque une rencontre galante avec un beau garçon…

Je fis venir Yves, il entra et resta debout, Adrien se leva et lui serra la main avec un grand sourire ce qui dérida Yves qui paraissait préoccupé.

- Yves tu vas chercher le carnet de commande chez le marchand de vêtement et tu fais une demande pour 3 costumes de régisseur pour Paul et 3 costumes pour Adrien, 5 chemises, des chaussettes et 5 caleçons!

- Oh merci Monsieur! Dirent presque ensemble, mes deux gars.

- Vous irez vous-même choisir vos vêtements, chez ce commerçant, bon je crois qu’on s’est tout dit, je vais faire préparer une voiture pour vous ramener à St Alban, et au fait Yves qui a tort dans les méthodes de calcul?

- Moi, Maître… Ce Tommy il est trop savant pour moi, Maître…

- Bon tu recevras le martinet avec Tommy, ce soir avant d’aller au lit, aller vas dans ton bureau!

Tom qui avait été envoyé aux écuries revint pour dire que la voiture serait prête dans deux minutes. Je dis au revoir à mes deux mignons de St Alban, en les embrassant chaleureusement, ils me remercièrent avec émotion, Paul me dit doucement:

- Monsieur, soyez clément avec Yves, il vous aime, et il a l’air tellement malheureux quand il a fauté et qu’il risque le fouet.

- Rassure-toi Paul il ne sera pas malheureux au lit!

Il sourit encore une fois et ils partirent, j’entendis la voiture partir peu après dans une cavalcade. J’étais content de ces deux là, deux gentils garçons en qui je devrais pouvoir avoir confiance. Il me restait cette affaire entre Yves et Tommy, je les fis venir les deux dans mon bureau. Ils entrèrent dans le bureau, tristes et tête baissée, Tommy toujours cul nu et sexe à l’air, je le fis se retourner, ses fesses étaient encore un peu rouges la zone devait être sensible…

- Alors vous vous êtes mis d’accord?

- Maître voilà la comparaison des deux calculs, j’ai eu tort, je mérite le fouet Maître, mon obstination a poussé Tommy à crier et a vous déranger, il a reçu une bonne fessée, c’est suffisant si vous devez châtier quelqu’un au martinet Maître c’est moi, pas Tommy!

Je ne répondis pas j’étais embêté, Yves était bizarre, il devait savoir que j’avais fait l’amour avec Paul, impossible de se cacher des esclaves domestiques, et il avait bien vu la douce fessée d’Adrien, plus sensuelle que punitive, il était peut-être jaloux mon Yves, en tout cas il était malheureux maintenant, je n’aimais pas ça, je regardai leur feuille de calculs, je dis à Yves de venir vers moi pour m’expliquer, il vint et commença à m’expliquer:

- Maître le problème était de calculer le volume de blé récolté par hectare aussi en fonction du nombre d’esclaves, Tommy a trouvé un calcul plus simple Maître mais je n’ai pas voulu le reconnaitre…

Il était tout honteux, dépassé par son élève, et il allait être fouetté par ce maître qu’il aimait, il était tout penaud, à coté de moi, tête baissée, ses fesses à portée de ma main je ne résistai pas je mis ma main sur ses fesses et dans son pantalon, la douceur de ses fesses était là, il frémit, je demandai alors à Tommy de quitter la pièce, Yves tomba alors à mes genoux sans rien dire, je ne dis rien non plus, j’écartai les jambes, Yves vint s’y blottir, il éclata en sanglot, il était compliqué mon Yves, moi j’avais envie de lui, et je lui dit, il me regarda avec ses yeux mouillés, il mit sa bouche sur mon sexe, je commençai à bander, il me mordilla au travers du pantalon, il avait envie de moi aussi, Je mis ma main dans ses cheveux et l’encourageai, il déboutonna doucement ma braguette, ouvrit mon caleçon, mon sexe ne demandait qu’à sortir il le prit dans sa bouche, je caressais toujours ses doux cheveux, il leva les yeux sur moi je souriais, il redoubla d’ardeur pour me sucer, je commençais à sentir le plaisir venir, il fallait arrêter…

Je lui fis signe, je le déshabillai, il me déshabilla, nous fûmes vite nus à nous embrasser, il bandait aussi fort que moi, je pris son sexe dans ma main, il était allongé sur le dos, je me mis à quatre pattes sur lui, mon sexe au dessus de sa tête et moi allant prendre son sexe avec ma bouche, il pris le mien aussi, en me suçant puis en léchant mes bourses, il connaissait mes goûts, il se mis à attaquer mon cul avec sa langue, je frémis de plaisir je lâchai son sexe de ma bouche et me relevant un peu, il se mis à me ‘bouffer le cul’ avec avidité, il y introduisait la langue, des décharges de plaisir montaient en moi, comme il faisait ça bien, c’était la première fois qu’il le faisait de sa propre initiative ce n’en était que meilleur! J’allais jouir, je me relevai, il se retourna offrant son cul, je le pris rapidement et j’étais tellement excité que je déchargeai assez vite en lui en émettant un long cri rauque…

Yves n’avait pas joui, il bandait toujours fort, je le léchai sous les bourses et donnai de grands coups de langue sur sa queue en caressant ses fesses, et son cul, il éjacula tout à coup en grognant, trois jets de sperme partirent violemment pour aller se perdre sur le tapis, il était tout haletant à quatre pattes, il était beau mon Yves, comme ça après le plaisir! Après beaucoup de baisers, de caresses et que l’on se soit bien serré dans nos bras, nous nous relevâmes tous exténués!

- Alors c’est meilleur que le martinet, petit Yves?

- Oh Mathieu c’en est l’opposé… mon Maître…

5 commentaires:

  1. Le titre est bien choisi ! moi ca me fait plaisir quand tout se termine bien pour les gentils !
    Le flah-back du chapitre precedent n'a en rien retarde le fil de l'intrigue, mais au contraire donne de l'epaisseur au personnage de Paul. Au fait, tu pourrais nous retrouver Florent ? (Matthieu tout puissant pourrait sans doute lui assurer un sort plus en rapport avec sa gentillesse !)

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  2. Quel gredin ce Frank, maintenant il devine ce que je pense écrire pour les futurs épisodes :-)

    Un épisode peut mal se terminer pour un gentil mais la suite réparera tout... Mathieu est un gentil, comme moi, il punit et console, le titre de cet épisode résume un peu tout le récit.

    Merci de tes bons commentaires Frank!

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  3. Juste pour dire que j'aimais beaucoup les histoires de St Christophe...

    J'ais 20 ans et j'adorerais être entre les mains de Mathieu en ayant fait une faute LOL

    non y a vraiment une qualité d'écriture, mais j'aimerais aussi voire une histoire un jour autre que St Christophe pour voire un peu...!

    Sinon j'aime beaucoup !!! et j'imagine comment devait être le père de Mathieu avec son fils

    voila

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  4. Merci mon anonyme de 20 ans...

    Sois patient il y aura d'autres histoires mais il faut les écrire.

    Mais comme tu as fait des fautes d'orthographe tu mérites une bonne fessée, alors gare à toi!

    Tu peux aussi m'envoyer un mail...

    Bises de Marcus

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  5. anonyme n'a pas dû tout lire. Le père de mathieu était très sévère, moins avec son fils.

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