mardi 29 septembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 39 – Visite à Saint Pierre, faute de Thomas

Je me changeai rapidement pour le déjeuner, Tom avait mis sa tenue de serviteur pour les réceptions, un pantalon noir assez ajusté qui mettait merveilleusement bien ses fesses en valeur, une chemise blanche, et un nœud noir autour du coup, il était splendide comme ça, j’en profitai pour lui caresser les fesses et lui faire un bisou.

Mon invité arriva, nous prîmes l’apéritif et passâmes à table tout en discutant chaleureusement de choses et d’autres. C’est au début du repas qu’il commença à me dire pourquoi il souhaitait me rencontrer, et à ma grande surprise, il me proposa d’acheter la totalité de son domaine, terrains, bâtiments et esclaves, me précisant que s’il me faisait la priorité de cette offre c’était à cause de la complémentarité des deux domaines et aussi car il appréciait comment mes esclaves étaient traités.

Je fus très surpris, je n’avais pas réellement pensé à cette opportunité, il me donna une vision globale du domaine, sa superficie, le ‘petit’ château, trois villages, environ 500 esclaves. Il me donna aussi une évaluation du prix qu’il en attendait, il voulait investir cette somme dans son entreprise à la capitale.

Je le remerciai pour sa proposition, j’avais fait un calcul rapide dans ma tête, la somme demandée était tout à fait dans mes possibilités, et étendre mon domaine ne me déplaisait pas du tout. Je lui confirmai mon intérêt, mais qu’il me faudrait visiter le domaine et voir mon notaire.

Il était assez pressé, car il devait repartir le plus tôt possible, ses affaires n’attendant pas. Aussi nous avons convenu de visiter le domaine l’après midi même. Le repas fini, il me dit que, sincèrement, il avait rarement dégusté un aussi bon repas, que mes cuisiniers étaient plus qu’excellents, après quelques bons mots nous décidâmes de partir à St Pierre. Avant de partir je demandai à Tom de ne rien dire, à personne, de ce qu’il avait entendu.

Nous partîmes donc vers St Pierre, par la ville, le passage entre les deux domaines étant clos. Entré dans le domaine de St Pierre, j’ouvris grand mes yeux pour voir le maximum de choses. Nous arrivâmes au château sans rencontrer grand monde. Le château, plus petit que le mien était très beau, tout blanc, l’intérieur bien meublé, deux esclaves nous accueillirent, ils étaient maigres, mais très serviables. Le plus beau du château était sa terrasse, avec une vue très étendue sur un étang, de très beaux arbres dans un parc, avec en toile de fond les monts environnants et la vallée de Gault, on dominait vraiment le paysage et une atmosphère de calme régnait.

Nous rencontrâmes le régisseur du château et du village de St Pierre, un homme jeune, beau, nommé Xavier, je lui tendis la main, il ne la prit pas il s’inclina en disant:

- Excusez-moi Monsieur, je suis un esclave indigne de serrer votre main.

J’étais un peu gêné, je lui donnai une petite tape amicale sur l’épaule, son Maître dit:

- Oui Xavier est un esclave contrairement aux autres régisseurs.

Xavier nous fit visiter le parc et le village de St Pierre, autant le parc était beau, autant le village était triste, pauvre, les esclaves aux champs étaient maigres, souvent courbés, un détail m’étonna, tous les esclaves mâles portaient une tunique courte qui descendait juste en dessous des fesses, quand l’esclave se courbait on pouvait facilement voir ses fesses!

La visite des deux autres villages fut similaire, des esclaves assez malheureux, des champs correctement entretenus sans plus, des esclaves maigres en tunique, peu de femmes. Je vis les deux autres régisseurs qui me parurent assez sympathiques. Un des deux villages, St Alban possédait une vigne, et produisait un vin blanc connu dans la région, une équipe de vignerons s’en occupait.

Après cette visite, je pris congé de mon hôte, je lui donnai mon accord pour acheter son domaine, il me remercia chaleureusement aussi bien pour mon accord que pour le ‘sublime’ repas.


Sur le chemin du retour, je passai voir mon notaire et mon banquier, la vente pourrait se faire vite, il n’y avait pas d’obstacles. Arrivé au Château, j’allai à mon bureau, là j’entendis des claquements nets, ceux d’une fessée. Je fus surpris, cela venait du bureau d’Yves juste à coté!

J’ouvris la porte, et découvris Yves assis sur une chaise et Tommy couché sur ses genoux cul nu, le short aux chevilles, les fesses bien rouges indiquaient que la fessée avait été dure. En me voyant Yves, surpris s’arrêta. Il chercha à se lever par respect, je lui fis signe de rester assis avec son puni.

- Eh bien Yves, qu’est-ce qu’il a fait ton élève?

- Maître, je le fesse car il a renversé un encrier sur un cahier, et tout le travail de la journée est fichu!

Tommy, en pleurs, dit alors d’une voix hachée:

- Pardon Maître… Pardon Yves… Je ferai attention…

- Pas la peine de pleurnicher Tommy, tu devrais remercier Yves plutôt, une fessée c’est peu, tu mérites largement le martinet, pour une faute comme ça!

- Maître, j’ai préféré une fessée sévère, il a été félicité Maître, depuis il a fait une petite faute et celle là plus grave…

- Tu as bien fait Yves, j’approuve ta décision, tu n’as pas fini?

- Je comptais le fesser encore un peu Maître!

- Eh bien continue, mon Yves, je regarde, ne t’occupe pas de moi!

Et Yves reprit la punition, il fessait son puni avec ardeur, le pauvre Tommy présentait bien ses fesses, à chaque claquement il poussait un petit cri, je le voyais sursauter. Tommy avait de très belles fesses, j’éprouvai un réel plaisir à le voir comme ça offert à son fesseur, la main qui claquait, les fesses bien rouges, il n’en fallut pas plus pour que le désir montât en moi, je me mis à bander!

Yves m’étonnait, il fessait parfaitement bien, vigoureusement, ce n’était pas des caresses, il devait être un peu en colère contre son élève. Au bout d’un moment il arrêta, il me regarda interrogatif, je lui fis signe qu’il pouvait arrêter. Il fit relever Tommy qui mit ses mains sur sa tête, il connaissait les règles!

- Tommy, vas au coin ici, à genoux, les mains sur la tête, jusqu’à ce qu’on te libère! Dis-je sévèrement.

Tommy s’agenouilla devant le coin du bureau, il nous présentait ses fesses rougies par la fessée, il ne bougea plus, l’interdiction de se toucher les fesses devait être dure, mais il fallait résister.

Je vis le cahier maculé d’une grosse tâche d’encre, je demandai à Yves ce dont il s’agissait, il me dit:

- Maître, c’est le nouveau registre des chevaux, je lui avais demandé de transcrire au propre ce brouillon, le cahier n’est plus utilisable, il faut le réécrire maintenant!

- Eh bien c’est facile, Tommy y passera toutes les prochaines soirées! Tu as entendu Tommy?

- Oui Maître, pardon Maître, je réparerai ma faute, Maître!

- Bon reste ici, Yves viens dans mon bureau j’ai à te parler!

Yves vint avec moi dans mon bureau, il paraissait craintif, il n’en était que plus mignon, mon Yves, je le fis asseoir.

- Alors Yves tu es un bon fesseur à ce que je vois!

- Maître, il l’avait mérité, mais pour donner une fessée, ce n’est pas dur, je fais comme vous quand je suis sur vos genoux Maître Mathieu!

- Tu as eu un bon professeur alors! Dis-je en riant.

- Bon Yves, passons aux choses sérieuses, tu sais où j’étais cet après midi?

- Non Maître, j’ai demandé à Tom, il n’a pas voulu me le dire!

- Tu en es sûr?

- Oui Maître, je lui ai demandé, il m’a dit que c’était un ‘ordre du Maître’, impossible d’en tirer quelque chose, mais c’est Tom, Maître, si vous lui donnez un ordre, il l’exécutera, je le connais bien maintenant, je n’ai pas insisté!

- Tu as bien fait, brave petit Tom! Mais faisons le venir aussi! Et je sonnai la cloche pour appeler mon serviteur, Tom entra je le fis asseoir aussi.

- Tom, tu as remis ta tenue normale, tu étais mignon comme tout à midi, et tu nous as bien servis, je te félicite, tu as bien gardé le secret de ma promenade de cet après midi, ça c’est normal, tu aurais été puni si tu ne l’avais pas fait!

- Oh Maître, je ne mérite pas vos félicitations, mais je suis content de vous avoir bien servi Maître… Pour votre après midi, Yves m’a demandé où vous étiez, j’ai dit que je ne pouvais pas le dire, vous me l’aviez ordonné Maître!

- Tu es un bon garçon, Tom! Mais pour renseigner Yves, cet après midi j’étais au domaine de St Pierre, car le jeune Maître de St Pierre m’a proposé d’acheter son domaine, et après l’avoir visité j’ai décidé de dire oui, donc St Christophe va s’agrandir, et compter 500 esclaves de plus! Les papiers devraient être faits dans deux ou trois jours. Mais il y aura du travail, l’état du domaine n’est pas meilleur que St Christophe il y a un an, sinon pire!

- Oh Maître, le domaine de St Pierre! Dit Yves, admiratif.

- Oui il y a un joli petit château, un très beau parc, trois villages, des vignes, des esclaves maigres en tunique, mais on devrait en faire un bel endroit, le prix est aussi très raisonnable, il y aura du travail pour toi Yves, et pour tous! En attendant que les papiers soient complètement faits je vous demande à tous les deux le silence!

- Bien Maître!

- A vos ordres Maître!

- Bon les garçons, je dois travailler, Yves libère ton puni et mets-le au travail, Tom vas aux cuisines, rapporte moi un rafraîchissement et dis à Jojo de venir!

Ils partirent, peu de temps après Jojo était là craintif devant moi, j’étais un peu étonné de sa peur, mais j’en profitai un peu :

- Dis donc, Jojo, je t’avais demandé un très bon repas pour ce midi?

- Oui Maître… Quelque chose n’allait pas?

- Et bien mon invité ne l’a pas trouvé très bon ce repas!

Jojo blanchit et baissa la tête, je repris:

- Il l’a trouvé excellent et sublime! Alors bravo Jojo!

Jojo se détendit il dit:

- Maître, nous avons fait de notre mieux, merci à votre invité Maître, mais vous, vous en avez pensé quoi?

- Moi Jojo? Que j’avais rarement aussi bien mangé, des mets aussi fins… Félicitation Jojo tu es le meilleur cuisinier, ton équipe aussi, tu leur diras!

- Maître, merci pour eux et pour moi, je ne sais pas quoi dire, bien sûr je leur dirai…

- Dis-moi Jojo qu’est-ce qui leur ferait plaisir à tes cuisiniers?

- Maître, si vous voulez les récompenser, vous pouvez leur accorder un sursis sur punitions ou un repas amélioré, mais je les connais Maître, ils aimeraient bien entendre de votre voix ce que vous m’avez dit!

- Merci Jojo, ne dis rien à tes cuisiniers j’irai les voir demain matin! Au fait pour ce soir repas léger pour moi!

Je congédiai Jojo après lui avoir chaleureusement serré la main, fait l’accolade et embrassé sur les deux joues, il repartit joyeux.

Revenu au salon je retrouvai Tom, il avait posé les boissons sur la table du salon, il me servit, je vis qu’il avait l’air gêné, je ne dis rien, je me désaltérai lentement quand Tom dit:

- Maître?

- Tu veux dire quelque chose Tom?

- Oui Maître, pour la faute de ce matin, Maître, vous avez dit que je serais fessé ce soir…

- Oui Tom, en effet, je n’ai pas oublié, tu dois être fessé, alors finissons-en, viens sur mes genoux!

Tom se déculotta et vint se coucher tout soumis sur mes genoux, ses magnifiques fesses étaient de nouveau à ma disposition pour une bonne fessée, mais elles suscitaient plutôt d’autres envies chez moi, la casse du matin était presque oubliée, le gentil et beau serveur de ce midi, le bon serviteur qui avait bien gardé le silence, appelaient des mesures de clémence. Je lui fis part de mes réflexions, et commençai néanmoins à le fesser, pas trop durement, je donnai une vingtaine de coups pas trop forts mais qui rosirent quand même les fesses de Tom qui s’offrait en parfaite confiance à son Maître. Après ces coups ma main s’attarda sur ses fesses, pénétra sa fente, il gémit. Yves entra à ce moment, je lui fis signe d’approcher, et je les emmenai dans ma chambre où nous fîmes l’amour divinement, comme souvent mes deux amants se surpassèrent pour un chaud moment de détente après une dure et excitante journée…


Le lendemain matin après une petite promenade à cheval aux alentours du château, je convoquai Thomas pour lui faire porter un message au commissaire de la ville, qu’il vienne récupérer mon prisonnier, le trafiquant. Je mis en garde Thomas à propos des travaux du chemin de fer qui gênaient l’accès habituel du centre ville, lui conseillant un autre itinéraire. Thomas très mignon ce matin prit mon message me salua et il partit.

Je passai le reste de la matinée à mon bureau avec Yves, sur les comptes du Domaine en particulier pour préparer l’achat du domaine de St Pierre, qui devait être signé le lendemain. Mon repas fut servi vers midi et demi, j’étais en train de manger, il était plus d’une heure quand Thomas rentra, je vis tout de suite à son allure que quelque chose n’allait pas, je dis quand même:

- Alors Thomas?

A ma surprise il tomba à genoux, tête baissée et dit:

- Maître, pardon… Je suis arrivé trop tard… Après midi c’est fermé… Maître j’ai été coincé par les travaux…

- Comment coincé par les travaux? Je t’avais pourtant prévenu!

- Oh Maître, j’ai pensé qu’avec un cheval, je pourrais passer, mais tout était bouché, j’ai eu du mal à faire demi-tour… Et quand je suis arrivé au commissariat il venait de fermer…

- Tu n’as pas suivi mes conseils alors?

- Oh Maître pardon, je suis coupable… Maître, je suis revenu… Je ne me suis pas enfui, pourtant j’ai peur du fouet!

J’étais un peu étonné de sa phrase, je l’imaginais en ville, devant le commissariat fermé, avec son cheval, il pouvait fuir, mais il était revenu chez son Maître pour affronter sa colère, j’en étais ému de la confiance de mon Thomas. Mais je pris un ton ferme.

- Donc tu m’as désobéi, tu n’as pas accompli ta mission, c’est très grave pour un garde, je suis très mécontent tu mériterais le fouet dans la cour et le bagne, esclave!

- Maître… Pitié… Je suis votre Thomas, votre garde… Pardon Maître…

- Je ne sais pas si tu mérites de rester mon garde, tu as failli gravement à ta mission, tu n’es qu’un bon à rien, sauf peut être aux champs!

J’étais en colère, Thomas était décomposé, mais il était tellement mignon, et je l’aimais bien, je décidai de le punir immédiatement, je reculai ma chaise et lui dis durement:

- Esclave, debout approche de ton Maître!

Il se leva et vint vers moi timidement, je pris le bouton de son pantalon, l’arrachai et baissai le pantalon brusquement, je le pris par le bras et le couchai sur mes genoux, très rapidement. Il n’eut pas le temps de prendre la position correctement qu’une volée de claques s’abattit fortement sur ses fesses nues, Thomas, surpris par la violence des coups, se mit à gémir, mais il ne fit rien pour s’opposer à ma colère, pendant que je le fessais il ajusta sa position pour bien tendre son cul à son Maître. Pourtant la fessée était vigoureuse, je claquais sans relâche ses belles fesses qui rougirent très vite.

Je l’ai fessé durement pendant plus d’un quart d’heure, ses fesses étaient rouge vif, il pleurait, il s’agrippait à mes jambes les serrant entre ses mains, mais il ne fit rien pour échapper à la violence de cette fessée, il ne résistait pas en bon esclave qui sait avoir mérité une bonne correction. Commençant à avoir sérieusement mal à la main j’arrêtai les claquements.

- Debout garde! Va chercher la strap, la petite! Et vite, en position sur le canapé!

Mon ton n’appelait aucune réplique ou supplication, Thomas se releva difficilement de mes genoux, il prit la strap, me la tendit respectueusement, je vis sa figure pleine de larmes, il alla s’agenouiller sur le canapé, cambrant ses fesses, jambes écartées, les bras le long du dossier, il baissait la tête contre le dossier, il n’osait pas me regarder, voir ses fesses rouges tendues, son cul ouvert, me fit monter le désir, j’eus envie du corps de mon beau Thomas, mais je devais le fouetter. Aussi, tout en bandant, je soulevai la strap et commençai à cingler les fesses offertes, durement, rapidement. Thomas gémit fortement au premier coup et les suivants arrivant sans relâche il eut du mal à reprendre son souffle, il râla avec un son rauque. Mais les claquements bruyants de la strap couvraient son râle. Chaque impact de la strap rougissait encore plus la peau des fesses, des traces violettes apparurent. Je donnai une bonne cinquantaine de coups, Thomas pleurait presque cassé sur le canapé.

Je commençai à avoir pitié de lui, mais son beau corps courbé, ses belles fesses rouges, je ne pus résister à cet appel, ne voulant pas lui faire mal, je pris le pot de vaseline, en mis sur mon doigt, et je le travaillai doucement, il parut surpris, mais ne dit rien, il savait ce que j’allais faire, il cambra un peu plus ses fesses, j’ôtai mon pantalon et mon caleçon, mon sexe bandé à fond n’eut aucun mal à forcer son ouverture bien lubrifiée, je le pénétrai doucement à fond, quand mon aine toucha ses fesses je sentis une forte chaleur, il avait les fesses en feu! Je le limai doucement, puis plus rapidement sortant de lui et le pénétrant à nouveau aussitôt, mon plaisir s’accrut, son intimité était tellement douce, un écrin pour mon sexe, j’éjaculai en lui en ressentant un plaisir intense, un orgasme violent et délicieux.

Je n’avais plus aucune colère contre Thomas, il n’avait pas bougé il s’était complètement donné, après une dure punition, je le soulevai doucement pour plaquer son dos contre moi, j’étais encore en lui, je l’embrassai dans le cou, il tourna un peu sa tête, il avait un regard très soumis, je pris sa bouche avec la mienne dans un long baiser. Je sortis de son intimité, je le pris dans mes bras, m’assis dans le canapé, et Thomas vint se lover dans mes bras, s’abandonnant totalement, il pleurait encore doucement sa tête sur ma poitrine, je lui caressais ses fesses endolories.

- Petit Thomas, tu vois où ça te mène de ne pas écouter ton Maître!

- Maître pardon… Pardon… Merci pour la punition et pour votre tendresse… Mais Maître est-ce que je suis encore digne d’être votre garde?

- Oui mon Thomas, mais ne recommence pas à me mettre en colère!

- Maître, je dois achever ma mission cet après midi, je dois aller au commissariat, il ouvre à 2 heures, Maître, s’il vous plait…

- Tu es en état?

- Oui Maître, j’ai mal mais peu importe, je dois accomplir ma mission Maître, puisque je suis votre garde personnel Maître!

- Bien mon Thomas, vas te rafraîchir sous la douche, et je vais demander à Eric de t’accompagner, tu devras rentrer si tu te sens mal!

- Oh merci Maître, merci de me garder votre confiance!

Il me serra plus fort, j’étais content de lui, ce si beau Thomas dans mes bras, soumis, courageux, prêt à servir son Maître, il venait de me donner beaucoup de plaisir alors comment ne pas lui pardonner?

- Thomas, tu es pardonné, mais achève ta mission avec Eric!

- Oh merci Maître!

Il se leva, et comme il n’était pas loin de 2 heures, il se prépara à partir, il alla chercher Eric d’une démarche un peu raide, et ils partirent.

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