mardi 8 septembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 28 – Tom puni et pardonné.

Le lendemain matin, Tom me servit mon petit déjeuner, il était consciencieux dans son travail mais on pouvait deviner une tension interne, il savait qu’il allait être corrigé. Depuis la veille, il réfléchissait à ce qui allait se passer, il se demandait comment il allait être battu, il ne craignait pas Yves, mais il avait peur d’Alex, de ses mains de battoir et de son habitude du martinet et du fouet. Quant à son Maître, il était sévère mais est-ce qu’il le pardonnera ?

Alex arriva avant que je finisse mon déjeuner, nous échangeâmes quelques nouvelles sur les gardes et le Domaine calmement.

Quand j’eus fini le déjeuner, je regardai Tom, il tremblait un peu, je dis:

- Le déjeuner est fini!

Aussitôt Tom sortit de la pièce, je passai au salon, Yves et Alex me suivirent. Tom ne tarda pas, il entra complètement nu et mit aussitôt ses mains sur sa tête, les jambes un peu écartées en position d’attente de la punition.

Je dis alors:

- Tom, suite à ta très grave faute, tu as été fouetté à la strap comme Aurélien. Aujourd’hui, c’est une punition plus personnelle, puisque tu m’as trompé alors que tu étais mon serviteur personnel. Tu vas être puni par nous trois, ici et maintenant! Chacun choisira comment te punir, à toi Yves!

Yves s’avança, il n’était pas très à l’aise, il me dit:

- Maître je dois vraiment le punir?

- Yves je te l’ai dit hier, ne discute pas aujourd’hui! Approche !

Il baissa la tête, et vint vers moi, je le pris par la ceinture de son pantalon, le déboutonnai, il se retrouva vite cul nu, je le fis se baisser à coté de moi, je pris sa taille sous mon bras gauche en le serrant bien et je commençai à le fesser vigoureusement de ma main droite. Il m’avait mis en colère, je le fessai pendant de longues minutes, il ne disait rien il se laissait faire, je sentais quand même les réactions de son corps puisqu’il était plaqué contre moi. Quand il eut ses belles fesses bien rougies, j’arrêtai, sur un ordre il se releva, me regarda tout piteux et me remercia.

- C’est tout ce que tu gagnes, Yves, à toujours discuter mes ordres, maintenant tu vas punir Tom, et pour ta peine c’est le martinet que tu vas lui donner! Exécution Yves! Et reste cul nu!

- Oui Maître. Il enleva complètement son pantalon et alla chercher le martinet. Tom s’avança vers lui, il prit de lui-même la position pour être fouetté, en prenant avec les mains les accoudoirs d’un fauteuil, il écartait les jambes et cambrait bien ses fesses, comme pour appeler la correction, pour qu’Yves n’hésite pas encore.

Yves se mit de coté et souleva le martinet, il cingla assez fortement les fesses de Tom, Tom sursauta un peu mais ne dit rien. Yves le fouetta alors moyennement fort, en plaçant bien ses coups, un peu partout sur les fesses du puni. Je m’étais déplacé un peu pour mieux voir, et là le spectacle était de toute beauté, Yves cul nu, bien rouge, avec un maillot court, qui fouettait Tom, les fesses bien présentées, son intimité offerte, le mouvement de fouetteur faisait travailler les muscles d’Yves, je pouvais voir ses fesses se tendre et se détendre à chaque mouvement.

- Yves un peu plus de nerf maintenant, ou tu prends sa place!

Yves donna plus de force à ses coups, Tom eut plus de réactions, mais il ne dit rien, pourtant la fessée au martinet devait être cuisante! Après une bonne série de coups, Yves me lança un regard interrogatif, je lui fis alors signe d’arrêter. Il posa le martinet, et se mit en attente toujours cul nu.

- Debout Tom ! Il se releva, mit les mains sur la tête et attendit.

- A toi Alex !

- Maître je pensais lui donner une correction au martinet comme je le ferais avec un garde de son âge, mais comme il vient de le subir, Maître est-ce que je peux le fesser à la main comme un apprenti?

- Fais comme tu veux Alex, prends cette chaise si tu veux!

Alex s’assit, il regarda Tom qui vint spontanément se coucher sur ses genoux, il prit la position impeccablement et Alex commença la fessée. La lourde main d’Alex claquait lourdement sur les fesses de Tom avec un rythme soutenu et métronomique. Il fessait très fortement, en soulevant bien sa grosse main. À chaque claque Tom sursautait mais il ne disait toujours rien, il supportait cette magistrale correction avec courage. Pourtant la force des coups était réelle, j’avais déjà vu Alex fesser un jeune, je comprenais que ses apprentis lui obéissaient toujours vite, ils craignaient la vigueur des fessées du chef. Tom avait les fesses écarlates, la dure fessée complétait bien le martinet, il endurait bien mais commençait à faiblir, il faut dire que chaque claquement émettait un son qui en disait long sur la force du traitement. Il commença à gémir, mais Alex le fessait toujours avec constance et force.

Alex me regarda, il avait donné à Tom une série de claque au nombre incalculable, le puni commençait à crier, ce qui vu la couleur de ses fesses n’était guère étonnant. Je lui fis signe d’arrêter. Il stoppa et demanda à Tom de se relever. A ma surprise Alex déclara:

- Tom, je t’ai fessé sévèrement car tu as blessé notre Maître, alors que, pour moi, tout esclave de St Christophe devrait le remercier pour les changements qu’il nous apportés depuis qu’il est revenu. Maître pardonnez moi d’avoir pris la parole sans votre autorisation mais c’est ce que je pense…

Tom baissa la tête, tout honteux, je dis alors :

- Alex, merci de tes paroles, c’est vrai j’ai été blessé par le comportement de Tom, à lui maintenant de se racheter! Tom à genoux sur le canapé, jambes bien écartées et cul cambré!

Tom s’installa vite, quelle vision j’eus alors, mon Tom le cul ouvert, bien cambré, les fesses bien rouges, j’attendis quelques minutes avant de m’occuper de lui. Je jetai un coup d’œil à Yves, il avait les mains sur son sexe, comme pour le cacher, je m’approchai de lui, soulevai ses mains et vis son sexe bien bandé, il baissait les yeux, n’osant pas me regarder. Je lui dis à l’oreille de façon à ne pas être entendu des autres:

- Alors petit Yves on est tout excité par le cul de Tom, petit voyou! Remets ton pantalon! Et je donnai une petite tape amicale sur ses fesses, il me sourit gentiment et se reculotta.

Je débouclai mon ceinturon et m’approchai de Tom, il m’avait vu faire et c’était visible qu’il craignait mes coups. Je pris la boucle dans ma main, fis quelques tour avec le ceinturon sur ma main, de manière à laisser une bonne longueur de la lanière libre pour claquer les fesses de mon puni. Je connaissais bien ce type de punition, en ayant été victime, quand mon père me punissait, j’avais alors entre 16 et 18 ans, quand il dégrafait son ceinturon je savais que je connaîtrais vite la morsure du cuir sur mes fesses, j’en avais des souvenirs cuisants. Mais je voulais reproduire cette punition sur Tom, il était mon garçon, mon serviteur, mon amant, et il m’avait trompé! Mais je ne ressentais presque plus de colère contre lui, presque au contraire, j’en avais pitié maintenant, et je souhaitais le reprendre dans mes bras, retrouver le Tom tout câlin.

Je frappai les fesses de Tom durement, le ceinturon claqua avec un bruit sec et très fort, c’était très impressionnant, Tom se cabra, gémit et retendit ses fesses pour le coup suivant, il était bien discipliné mon Tom, il savait bien qu’on n’échappe pas au Maître quand il corrige.

Je donnai alors une série de coups bien placés, les fesses de Tom violaçaient j’entendis que ses gémissements se transformaient en sanglots.

Il avait du mal à tenir, les larmes venaient automatiquement. En plus Tom savait qu’il avait mérité la correction, mais avant tout il aimerait que le Maître lui pardonne cette faute, il n’en pouvait plus, le ceinturon lui mettait les fesses en feu, peut-être que le Maître ne l’aime plus, comment il pourrait faire pour être pardonné, et être aimé du Maître? Il n’y avait pas de recette, il était idiot, il était aimé du Maître, et il s’était laissé aller à son désir avec Aurélien, comment avait-il pu faire ça? Mais le Maître s’arrête de fouetter, il s’approche, il met ses mains sur les fesses de Tom et les caresse, Tom frémit, il tremble légèrement il se redresse un peu. C’est alors que le Maître le prend et le serre contre lui, il le retourne, le Maître prend sa bouche dans le sienne, Tom n’en peut plus après la douleur c’est le bonheur, il se blottit dans les bras accueillants du Maître, il pleure il demande pardon plusieurs fois, il remercie pour la punition, il promet de ne jamais recommencer, il supplie, oh mais comme il est bien dans les bras de son Maître! Il se colle à lui, même après cette correction il aime son Maître, il lui dit tout doucement, le Maître ne répond pas mais il embrasse tendrement Tom…

Après ces quelques moments de tendresse, je relâchai l’étreinte de Tom, il tomba aussitôt à mes genoux, embrassa ma main chaleureusement, tout en demandant pardon. Je pris alors la parole :

- Tom, pour cette fois tu es complètement pardonné, mais ne recommence surtout pas, car je serais contraint d’être de la plus grande sévérité en cas de récidive! Je posai ma main sur sa tête penchée:

- Tu jures Tom de m’être totalement fidèle?

- Maître, je vous serai fidèle jusqu’à la fin de mes jours, je le jure!

Je fis un signe à Yves qui alla chercher quelque chose dans un placard, Tom avait les yeux à terre, Yves me donna un vêtement, je dis:

- Tom relève toi et rhabille-toi avec ça! Et je lui montrai le costume blanc de serviteur personnel, celui qu’il portait avant sa faute et dans lequel il était tellement mignon!

- Oh merci Maître! Vous êtes bon Maître… Et il se remit à pleurer.

- Aller, debout, habille-toi et arrête tes pleurs, il y a du travail mon petit Tom!

Il obéit tout revigoré par mes paroles, il s’habilla, Yves et Alex lui donnèrent une accolade, un peu plus appuyée pour Yves, ça ne m’étonnait pas.

Alex partit, Yves et Tom s’activaient, Tom un peu difficilement. Alex revint peu de temps après avec Jérôme et Alain qui étaient venus pour les nouveaux esclaves, nous allâmes dans mon bureau pour discuter de leurs besoins, j’avais un certain plaisir à discuter avec ces deux gars, ils connaissaient bien leur village, et ils étaient tous les deux de beaux garçons. Nous travaillâmes sur la liste des femmes, après avoir exclu certaines sur l’avis d’Alex. Ils obtinrent chacun 15 femmes pour St Christophe et Gault. Nous allâmes ensuite les choisir. Ils obtinrent aussi trois hommes chacun, les autres étant pour les autres villages. Je donnai les deux fugitifs à Alain pour Gault.

J’observai les femmes qui avaient été mises de côté par Alex, elles étaient assez mignonnes, mes gardes n’avaient pas mauvais goût! Ce qui me frappa aussi, c’est les sourires sur les faces des nouveaux esclaves qui apparaissaient de temps en temps, alors que quand je les avais achetés, ils étaient tous et toutes tristes. Je vis aussi pour la première fois le petit garçon de 4 ans de l’esclave repérée par Alex, le gamin se blottissait dans les jupes de sa mère, mais quand je vins et le pris dans mes bras, il se laissa faire

- Alors petit bonhomme, tu t’appelles comment?

- Albert, Monsieur ! Répondit-il d’une voix claire.

Sa mère s’approcha de nous et dit:

- Pardonnez-lui Maître... Il ne sait pas qui vous êtes… Albert, ne dis pas Monsieur, dis Maître!

Le gamin me regarda :

- C’est toi notre Maître?

- Oui c’est moi, mon petit Albert, et toi sois le bienvenu parmi nous! Et je lui donnai le baiser symbolique sur le front, sa mère étonnée me souriait.

Quand je remontai à mon bureau, je tombai sur Tom, dans son beau costume, il me sourit doucement, n’osant pas être trop familier, je m’approchai de lui, je dis «petit Tom» je le pris dans mes bras, il était tellement mignon, tout tendre et tout soumis! Je l’embrassai et commençai à lui passer la main sous sa chemise, son doux torse était un plaisir à caresser, j’avais une terrible envie de lui, aussi je l’emmenai dans ma chambre, le couchai brusquement sur le lit et le rejoignis aussitôt, plein de désir, je lui dis de me déshabiller, je le déshabillai en même temps, nous fûmes rapidement complètement nus, je le serrai contre moi puis je guidai sa tête vers mon sexe, qu’il lécha doucement et qu’il prit à pleine bouche, il me pompa pendant un moment, j’allai jouir, je me retirai, l’embrassai doucement, je le fis mettre à quatre pattes, son cul bien cambré, ses fesses toutes rouges zébrées de violet, toutes chaudes de la punition endurée, mon sexe tendu n’eut aucun mal à le pénétrer, il râla doucement, plus de plaisir que de douleur, je fis de nombreux allers et retours dans son intérieur, je ne fus pas lent à jouir pleinement dans mon Tom, en poussant un cri de plaisir, Tom tourna sa tête, il me fit un grand sourire. Je me retirai de lui, le retournai sur le dos, il bandait fort, je ne pus m’empêcher de le sucer, il avait un très beau sexe, il était propre, son sexe avait très bon goût, je le suçai longtemps, il se durcit, se cambra, il se retira de ma bouche, ne voulant pas éjaculer dedans, je pris alors son sexe dans ma main et en serrant son sexe tendu je le branlai fermement, il éjacula violemment en criant, râlant, un peu comme sous le fouet, mais la quantité de sperme qu’il émit, et son sourire après montrait que mon Tom était comblé, je l’embrassai avec passion il me serra dans ses bras en bafouillant des « merci Maître… je vous aime Maître… » Je mis un doigt sur sa bouche et le maintins serré contre moi, il était heureux d’avoir retrouvé l’amour de son Maître. Nous passâmes un bon moment comme ça dans le lit, j’étais tellement bien…


L’après midi je demandai à Yves d’aller chercher Tommy pour lui faire faire une dictée, dont je choisis le texte dans un livre classique de la bibliothèque, et des calculs à faire d’un livre d’arithmétique qui m’avait bien fait souffrir il y a quelques années.

Je restai dans mon bureau pendant ce temps, Yves avait pris Tommy dans son bureau attenant au mien, j’entendais la dictée, puis un long temps mort, les calculs je suppose, puis je les entendis discuter. J’ouvris la porte et les convoquai les deux dans mon bureau avec les textes des épreuves.

Tommy avait un air gêné, il avait l’air d’avoir bien récupéré après les corrections de la veille, il baissait la tête, il était très mignon, je me disais que même rebelle, il était si beau que je ne regretterais jamais de l’avoir acheté!

- Alors Yves quels sont les résultats de la dictée et du calcul?

Yves avait l’air embêté, il hésita avant de répondre, mais dit :

- Maître, les résultats de la dictée ne sont pas très bons, mais en calcul Tommy est excellent Maître.

- Montre-moi ça Yves… Il me tendit alors deux feuilles, je regardai la dictée, il y avait 6 fautes de grammaire dans un texte assez court, l’écriture était de bonne qualité.

Je dis d’un ton sévère :

- Tommy, six fautes graves dans une dictée aussi courte c’est inadmissible, tu t’es vanté hier de savoir écrire, c’est faux, comment te confier la rédaction d’une lettre comme je peux le faire avec Yves! Tu es un menteur Tommy!

Tommy tomba à genoux :

- Maître, pardonnez moi, ne tenez pas compte des mots que j’ai dit hier, j’aimerais n’avoir rien dit Maître…

Yves s’approcha de moi et me montra la feuille des calculs, tout était parfait, Tommy était très doué en calcul, il avait même résolu des problèmes très durs sur lesquels je me serais peut-être cassé les dents.

- Tu es bon en calcul Tommy, comment ça se fait?

- Maître mon père m’avait confié les comptes du magasin, il ne fallait pas que je me trompe, à l’école j’étais bon en calcul… J’étais moins bon en dictée. Il baissa la tête.

- Tommy lève toi et baisse ton pantalon! Il obéit immédiatement, son attitude était complètement différente de celle de la veille.

Je le fis tourner un peu pour voir ses fesses, elles étaient toujours aussi belles, encore bien marquées mais moins que je l’attendais.

- On t’a soigné les fesses à l’infirmerie, mon garçon?

- Oui Maître, l’infirmier m’a mis de la pommade…

- Quel infirmier?

- Maître vous n’allez pas le punir… Il n’a rien fait de mal…

- Je n’ai pas dit ça… Tu dois répondre à mes questions, esclave!

- C’est Nicolas Maître… On a parlé…

- Je m’en doute, bon aller, sur mes genoux et vite, tu dois être puni pour tes fautes d’orthographe!

Il me regarda avec un air craintif, mais il se coucha sur mes genoux docilement, je ne le reconnaissais pas, je lui fis ajuster sa position, jambes légèrement écartées, fesses cambrées. Je lui caressai les fesses doucement, elles étaient fermes et bien dessinées.

Je donnai la première claque assez fortement au milieu de ses fesses, il sursauta et gémit, le coup réveillait les douleurs de la veille. Je lui dis:

- Il t’as dit quoi Nicolas, mon garçon?

- Maître on a parlé de moi… De lui aussi… De sa fuite… De sa reprise… Il m’a donné des conseils… Maître il n’a rien dit de mal! Punissez-moi… Maître… Mais pas lui…

Je donnai une deuxième claque forte, il se cabra, je laissai ma main sur ses fesses, le massant doucement.

- Quels conseils il t’a donnés?

- Maître… Il m’a dit que j’avais tort de me rebeller, que j’étais un esclave, que je devais l’accepter… Il m’a dit aussi que je serais plus heureux ici, que dehors à la rue… Que beaucoup de choses avaient changé depuis que vous êtes là Maître… Il vous aime bien Maître… Il m’a beaucoup parlé du Domaine, des blessés qu’il soignait, alors qu’avant ils auraient été tués… On a beaucoup parlé Maître…

La troisième claque tomba, il sursauta.

- Tommy, tu jures d’être un bon esclave, de m’obéir et de bien me servir?

- Oui Maître, pardonnez-moi pour hier… Pardon aussi pour la grammaire Maître, je travaillerai pour m’améliorer… Maître!

La veille il n’avait pas dit autant le mot ‘Maître’, Nicolas avait fait du bon travail, il était touchant en esclave se soumettant à la punition, je n’avais pas trop envie de le punir sévèrement, il ne le méritait pas, en plus il était tellement bon en calcul, et j’avais besoin de ses services, je dis alors:

- Tommy tu as fait six fautes de grammaire, mais tu as bien réussi les problèmes, je réduis donc ta punition à six claques

En disant cela je caressai ses fesses, et je lui donnai trois autres coups sur les fesses, tout en le caressant, il réagissait à chaque coup, mais après le sixième il se détendit. Je continuai à lui masser les fesses doucement, il me faisait envie, mais j’aurais d’autres occasions de l’avoir.

Je le fis se lever et remettre son pantalon, il resta la tête baissée, je m’adressai alors à Yves:

- Yves, Tommy travaillera avec toi pour gérer les comptes, tu seras son chef. Tu le mettras au courant des règles du Domaine, tu lui apprendras son travail, et tu lui apprendras la grammaire. Tu seras personnellement responsable de ses progrès en orthographe, compris Yves?

Yves me regarda drôlement.

- Maître je suppose que je n’ai pas le choix?

- Non Yves tu n’as pas le choix! Pour ta gouverne, Tommy, si tu ne fais pas de progrès en orthographe, tu seras fouetté mais ton professeur Yves risque exactement la même punition, alors attention! Tommy, Yves est ton chef maintenant, tu lui dois entière obéissance, comme à moi, il peut te fesser ou te donner le martinet comme il le veut, tu dois l’appeler ‘Chef’ maintenant!

- Merci Maître, je ferai tout pour être digne du travail que vous me confiez Maître. Dit Tommy. Il fit un salut à Yves en signe de soumission.

- Bien, Yves vas dans ton bureau avec Tommy, et commence à l’éduquer, je te verrai plus tard… Dis-je avec une certaine autorité.

Ils partirent et me laissèrent seul. Tom était là souriant, je lui fis une petite caresse qu’il apprécia. Je l’envoyai chercher Nicolas, je voulais le voir dans mon bureau. Peu de temps après Nicolas était devant moi, pas du tout à l’aise, être convoqué par le Maître faisait toujours peur. Il me salua humblement.

- Bonjour Nicolas, alors tu as bien discuté avec Tommy? Dis-je d’un ton assez enjoué.

- Oui Maître, j’ai discuté avec lui comme je le fais avec les autres esclaves que je soigne… Maître, j’ai eu tort? Je vous demande pardon si j’ai trop parlé… Il baissa la tête.

- Mais non Nicolas! Tu n’as rien fait de mal! Je me levai et mis mon bras sur ses épaules:

- Au contraire, tu lui a très bien parlé à ce petit rebelle, je l’ai à peine reconnu tout à l’heure, je te remercie, je n’aurais pas aimé le fouetter de nouveau comme hier.

- Merci Maître, je lui ai dit d’être raisonnable, mais vous savez Maître, ce n’est pas facile pour lui…

- Je m’en doute un peu Nicolas, mais le Monde est ainsi fait. Je suis content de toi, Nicolas, tu es un bon infirmier maintenant, et tu aimes ton travail. C’est très bien.

- Merci, Maître…

Je lui passai la main dans le dos, en descendant vers ses fesses, Nicolas était un très beau garçon, je caressai ses fesses en entrant ma main sous son pantalon, il ne dit rien, je les palpai doucement, il ne disait rien mais se laissait faire.

- Tu aimes être caressé comme ça mon garçon? Tu as déjà eu des rapports entre hommes?

- Oh Maître, ce n’est pas désagréable, J’ai… J’ai eu des rapports à Gault… J’avais 18 ans… J’ai été pris par un chef… j’ai eu un peu mal… Mais Maître je suis à vous… Faites ce que vous voulez, Maître, mais s’il vous plait pas trop durement… Maître…

- Mon petit Nicolas, je ne veux pas te violer sauvagement, mais j’ai envie de toi tu es trop beau, mais je t’ai convoqué ici pour te féliciter de ton attitude avec Tommy, pas pour te déplaire, alors tu as le choix de me dire oui ou non Nicolas, si tu dis non je ne t’en tiendrai pas rigueur!

-Maître j’ai confiance en vous… Et vos caresses Maître… Vous êtes doux… Maître… Prenez –moi Maître! J’espère être à la hauteur…

- Merci mon Nicolas, tu es gentil, et tu vas voir tu vas être à la hauteur mon garçon…

Je déboutonnai son pantalon et le descendit, je lui enlevai sa chemise, il fut vite nu, se laissant faire, ses fesses étaient encore légèrement marquées par la cravache d’Aurélien, je les caressai doucement, il se détendit, je le pris dans mes bras, je l’embrassai dans le cou, lui caressai le torse, je l’emmenai sur le canapé, je me déshabillai, je le serrai dans mes bras, mes caresses devinrent plus intimes, j’explorai la raie de ses fesses, il écarta ses jambes, il commença à bander, moi il y avait longtemps que j’étais raide, je me levai, pris de la vaseline, je le lubrifiai avec précaution, j’enfonçai un et deux doigts puis mon sexe se présenta, j’opérai doucement il se cabra, son sexe était complètement tendu, il se détendit encore pour me laisser pénétrer, il se donnait complètement confiant, je fis des allers et retours doucement et un peu plus rapidement, il râla un peu je pris son sexe dans ma main, il était d’un volume imposant, je le branlai, je sentis le plaisir monter en moi, j’éjaculai avec un orgasme violent, lui aussi, il cria presque en jouissant, il largua une quantité de sperme importante. Je me retirai de lui, lui tendis une serviette, il m’essuya et s’essuya aussi, je lui souriais, il souriait aussi, je le pris dans mes bras il se serra contre moi, il avait besoin de tendresse, cela se voyait, nous restâmes un moment l’un contre l’autre, je lui dis merci, nous échangeâmes des mots doux. Il me dit qu’il n’avait pas eu mal, qu’il avait aimé ma douceur, qu’il avait eu beaucoup de plaisir, qu’il n’en revenait pas!

Nous nous relevâmes et nous nous rhabillâmes, il était beau mon Nicolas après l’amour. Il allait partir quand on frappa, Tom annonça Alex, qui entra, il était troublé, il dit après m’avoir salué:

- Maître pardon de vous déranger… Mais je voulais vous dire… Que je viens de surprendre Arnaud en train de violer une des nouvelles esclaves!

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