samedi 26 septembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 38 – La punition de Fred

Je fus réveillé vers 6h00, par un bruit de casse dans ma salle de bain. J’avais décidé de me lever à 6h30, je fus étonné par ce bruit inadmissible alors que je dormais. Yves qui était dans mon lit se réveilla aussi, je lui dis:

- Vas voir ce qu’il se passe, petit Yves!

- J’y vais Maître!

Il alla vers la salle de bain et revint après un instant:

- Maître, ne vous fâchez pas, mais Tom a fait tomber votre pot de savon à barbe sur l’étagère en dessous et tout a été cassé ou renversé…

- Comment! Et tu dis que je ne dois pas me fâcher?

- Maître, ce ne sont que quelques objets cassés, Tom ne devait pas être très bien réveillé, il tremble maintenant, il est tout paniqué Maître!

- Tom! Viens ici!

Tom entra dans la chambre la tête basse, tout penaud, il se mit à genoux et dit:

- Oh Maître, pardon Maître… Je ne l’ai pas fait exprès Maître…

- J’espère bien!

Je me levai et entrai dans la salle de bains, il y avait beaucoup d’objets par terre, certains cassés, ce n’était pas très grave mais Tom méritait une punition pour cette faute.

- Tom, nettoie tout ça et que mon petit déjeuner soit là dans une demi heure, tu seras puni ce soir!

Tom sortit, je me remis au lit, avec Yves, je le pris dans mes bras, et nous restâmes ainsi pendant une demi heure, tendrement serrés l’un contre l’autre.

Après un bon petit déjeuner, une bonne douche, tout était net dans la salle de bain, je pus me raser avec du nouveau savon à barbe, Tom m’aidait sans un mot, mais avec tristesse, c’était visible qu’il avait peur de la punition à venir.

Je me préparai à partir pour Gault, Yves venait avec moi, je donnai encore des instructions à Tom pour le déjeuner avec le nouveau maître de St Pierre, mais avant de partir je pris Tom par la taille, et lui faisant une bise, je lui dis:

- Petit Tom, ne panique pas trop, tu ne seras pas fouetté, attends-toi à une bonne fessée ce soir!

- Merci Maître, encore pardon Maître…

Sur la route de Gault, au trot, avec Yves, Thomas avec sa marque à la joue, je ne voulais pas qu’il vienne mais il avait insisté disant qu’il était en grande forme, et Alex à qui j’avais demandé de venir, nous cavalcadions en discourant tranquillement.

Je m’approchai d’Alex:

- Tu as des nouvelles de Mathias?

- Maître, il a été cogné assez fort, Aurélien pense qu’il a deux côtes cassées, il va être au repos pendant un mois, avec votre permission Maître, mais en fait il souffrait beaucoup depuis hier soir, Maître!

- Pourquoi il n’a rien dit, deux côtes cassées c’est douloureux, ils sont durs tes gardes, mais quand on est blessé on est blessé, et on se soigne! Repos obligatoire pour Mathias, Alex!

- Oui Maître, c’est plus raisonnable. Ils sont durs Maître car ils ont été dressés comme ça, un garde ne se plaint pas, même si je les incite à dire quand ça ne va pas ils le font encore rarement, Maître, il reste toujours cette peur du fouet, d’avant.

- Mais Alex comment pourrais-je fouetter Mathias, il s’est battu avec courage, j’étais là, il a pris un mauvais coup, il n’a fait aucune faute!

- C’est ce que je lui ai dit Maître!

- J’irai le voir pour le féliciter pour son courage au combat, et lui ordonner d’être raisonnable et de se reposer!

- Merci Maître, si c’est vous qui le dîtes, il ne pourra pas désobéir!

- Alex, comment va Arnaud?

- Maître, je l’ai réintégré comme garde hier, il est devenu plus humble il fait les corvées comme vous l’avez ordonné!

- Comment il travaille de nouveaux avec Eric?

- Quand Arnaud est revenu Eric lui a serré la main comme si de rien n’était, Maître!

- Brave Eric!

Nous arrivâmes à Gault, le village était calme, il était un peu plus de 8 heures, je vis une estrade et un carcan fixé dessus, un bon pilori pour le puni.

Je rencontrai Alain et Charles, je mis au point avec eux la punition à apporter au coupable, Charles insistant sur les qualités de cultivateur de Fred, je pensai à une solution, que tout le monde trouva intéressante.

Tout était bien prévu, à 8h30, tous les esclaves de Gault étaient sur la place, derrière leur chef, on amena Fred, nu, sur le perron de la maison du régisseur, il avait encore de belles marques sur les fesses, il était penaud, complètement perdu, un peu hagard. Il me regarda avec un regard implorant plein de soumission, j’avais presque envie de le prendre dans mes bras, mais je devais le punir.

Je m’adressai à tous:

- Si je viens à Gault aujourd’hui, c’est pour punir un voleur, j’aurais aimé venir vous voir à une meilleure occasion, mais ce sera pour une autre fois car je n’ai pas à me plaindre des esclaves de Gault, vous êtes tous de bons esclaves, mais quand il y a faute je dois punir.

- L’esclave que vous voyez ici, nu devant vous, est certainement l’esclave le plus stupide de Gault, il s’appelle Fred, il est marié, il a deux enfants, il avait une ferme indépendante qui marchait bien, sur la route de Maux, il cultivait des légumes, il m’avait bien aidé quand j’ai eu un accident près de chez lui, j’étais très content de lui. Alors pourquoi un jour il se mit à voler des légumes et à les revendre à un trafiquant venant de l’extérieur ? Je n’ai pas eu de réponse, mais hier Fred a avoué tout son commerce et cette nuit nous avons pu arrêter le trafiquant. Mais ce fut un combat rude, deux gardes ont étés frappés par le bandit, vous pouvez voir la marque du coup que le garde Thomas a reçu! Fred est un imbécile, il avait tout pour être à peu près heureux, et il a préféré tromper son Maître. Il a tout perdu par sa faute, et il va être puni sévèrement.

Fred pleurait maintenant, il tomba à genoux honteux après mes mots. Je le regardai et dis:

- Fred tu es condamné à recevoir maintenant 100 coups de strap, tu seras mis au pilori pendant deux jours, tu recevras 10 coups de strap, à 7h00, midi et 17h00 jusqu’à demain soir, ce qui te fera un total de150 coups! Demain soir tu seras mis au cachot, et après tu resteras à Gault où tu intègreras une équipe, mais à la fin du travail entre 17 et 18h00, tu devras continuer à travailler jusqu’à 22 ou 23 heures dans une parcelle spéciale où tu devras récolter trois fois tous les légumes que tu m’as volés! Ton Chef Charles suivra ton travail, il a carte blanche pour te fouetter autant qu’il le faudra pour te faire bien travailler. Pendant tout ce temps il t’est interdit d’avoir tout contact avec ta femme et tes enfants, ni avec aucune femme, tous les soirs tu dormiras au cachot. Tu retrouveras une vie normale d’esclave à Gault quand tu auras remboursé ta dette!

- Maintenant qu’on le fixe au pilori!

Deux esclaves approchèrent de lui, il se dirigea de lui-même vers le pilori, après avoir levé sur moi un regard très soumis, presque reconnaissant, il restait à Gault, il n’allait pas au bagne, ce qu’il craignait le plus.

Le pilori était une estrade mise au milieu de la place, un carcan composé de deux pièces de bois entre lesquelles on pouvait fixer le cou et les poignets du puni. En arrière une barre de fer sur le plancher de l’estrade, elle comptait deux anneaux métalliques.

Arrivé sur l’estrade il se mit à genoux, il se tourna vers moi et dit avec une voix mal assurée:

- Maître, pardon pour ce que j’ai fait, mais pitié Maître ne faites pas de mal à ma femme et aux enfants… Maître pitié pour eux!

- Ta femme et tes enfants sont des esclaves attachés à Gault maintenant, comme les autres. Ta femme est libre de te quitter, elle a une raison valable pour demander à divorcer, ce sera son choix, pas le tien ni le mien!

Le carcan fut ouvert, Fred y posa le cou et les poignets, on le referma. Le puni était comme à quatre pattes, mais la tête placée un peu plus bas. On fixa ses pieds aux anneaux de la barre de fer, il se retrouva donc les jambes bien écartées, les épaules plus basses que les fesses, bref il présentait à toute l’assemblée ses superbes fesses, déjà marquées de traces rouges. En plus avec l’écartement de ses jambes, son intimité était parfaitement exposée. On pouvait difficilement imaginer une position plus humiliante, et en plus il resterait comme ça pendant deux jours!

Il avait été convenu que Charles, le chef du puni, donnerait 50 coups et Alex donnerait les 50 suivants. Charles approcha donc une grande strap à la main, je lui fis signe d’aller vers le puni, il monta sur l’estrade et attendit mes ordres. Je dis alors:

- Charles, donne les 50 premiers coups sévèrement, à ce voleur, le puni ne compte pas! Thomas fais le compte et arrête Charles à 50!

Thomas fit un pas en avant, les esclaves spectateurs regardaient, inquiets. Charles souleva la lourde strap et frappa violemment les fesses de Fred, le corps de celui-ci se tendit, brusquement, il cria! Une large marque rouge se dessina en travers des fesses, mais le deuxième coup arriva vite au même endroit Fred se cabra et cria plus fort. Charles châtiait durement l’esclave, j’étais un peu étonné, et au milieu des claquements, du bruit des chaînes quand le puni se cabrait et sa voix hurlant de douleur, je m’approchai d’Alain pour lui demander:

- Il n’est pas tendre Charles, il en veut au puni?

- Monsieur, il a été ennuyé que Fred le trompe en volant, il aimait bien Fred, il ne comprend pas pourquoi il a fait ça, en plus il a très peur d’âtre puni aussi.

- Puni? Parce qu’il est son chef? Mais il n’a pas commis de faute, au contraire c’est lui qui a démasqué le fautif, je lui parlerai tout à l’heure.

- Oui Monsieur ce serait bien, il a réellement peur d’être fouetté.

- Fred en fait les frais mais il l’a amplement mérité!

En effet la flagellation à la strap continuait, on devait en être à une trentaine de coups, les fesses de l’esclave puni étaient déjà bien rouges, et ses cris commençaient à devenir rauques. Avec le carcan il était bien immobilisé, il était réduit à une paire de fesses bien mises en valeur, que la strap venait mordre et brûler. Il avait beau se tendre et sursauter à chaque coup, le cuir ne pouvait pas l’épargner. Plusieurs coups tombèrent secs, rapprochés, Fred hurlait maintenant, il gigotait beaucoup, ses fesses vibraient sous la strap, ses cris devenaient hachés, les fers dans lesquels ses pieds étaient insérés résonnaient dans la cour de Gault.

- 50 coups Maître! Dit Thomas d’une voix ferme.

Charles stoppa, il me salua et remonta sur le perron.

- C’est bien Charles tu as bien puni cet esclave. Je vais voir le puni.

Je descendis vers le pilori, et me rendis vers la tête de Fred. Je ne voyais que sa tête baissée et ses mains fermées, le reste de son corps était caché par le carcan. Je mis ma main sur ses cheveux, il leva faiblement la tête vers moi :

- Oh… Maître… Pitié Maître… Je suis un misérable… Le fouet ça brûle Maître… Pardon… Pardon… Je vous rendrai tout ce que j’ai volé Maître…

- Fred, tu t’es mal comporté maintenant tu en payes le prix, c’est normal, je dois te punir comme le voleur que tu es, mais ne te plains pas avec mon père tu aurais été tué sous le fouet! Je n’ai qu’un message à te donner, c’est de travailler le mieux possible pour me restituer trois fois tout ce que tu m’as volé, si ce n’est pas fait dans un an ce sera le bagne pour toi!

- Maître je travaillerai… Pour votre confiance Maître…

- On verra Fred, sois courageux pour la suite!

Je le quittai passant devant les esclaves et leurs chefs, je vis Bruno, le frère d’Angelo, il devenait aussi mignon que son frère! Tout à coup un petit garçon de 4 ou 5 ans qui courrait atterrit dans mes jambes, je le soulevai de terre à bout de bras:

- Eh bien, qu’est-ce que tu fais là toi? Une femme accourut et se mit à genoux :

- Oh Maître, pardon… Pardon… Ne le fouettez pas!

- Mais comment je pourrais fouetter un jeune garçon comme ça, mais ma fille, ce garçon n’a rien à faire ici, ce n’est pas un spectacle pour lui! Remmène-le chez toi!

Elle reprit son fils et repartit après avoir remercié, les esclaves qui avaient vu cette scène se détendirent, ce Maître il était dur avec les fautifs, mais pas avec les autres…

Mes esclaves étaient en assez bonne forme, nettement moins maigres maintenant, ils me parurent en bonne santé, ils baissaient les yeux quand mon regard venait à croiser le leur, en bons esclaves soumis, beaucoup étaient assez beaux… Mais je n’étais pas là pour ça, je regagnai le perron, Alex était en place la longue strap à la main, je lui fis un signe en vérifiant que Thomas était prêt, il eut droit à un sourire auquel il répondit timidement, quel brave Thomas!

On entendit un sifflement, un dur claquement, un bruit de chaînes, un cri sourd, la punition avait repris! Je regardai les fesses du puni, déjà bien rouges, la reprise de la flagellation devait être dure, en plus il n’avait pas pu soulager ses fesses en les touchant. La strap frappa sans relâche, Alex fouettait à un rythme plus rapide que Charles, avec une force équivalente, le corps du puni se cabrait à chaque coup, les cris devinrent hurlements rauques.

Je fis signe à Charles de venir vers moi, il s’approcha il semblait craintif.

- Charles, il paraît que tu as peur d’être fouetté aussi?

- Oui Maître, c’est l’usage pour le chef d’un esclave qui fait une faute grave.

- Tu le mérites?

- Je pense Maître, je m’en remets à votre jugement…

- Charles un chef est fouetté quand il a mal surveillé l’esclave fautif, ou l’a mal formé, ce n’est pas ton cas, tu n’as fait aucune faute, au contraire tu as confondu le coupable, alors il est hors de question de te fouetter! Tu mérites plutôt des félicitations, Charles!

- Oh Maître, merci, j’avais tellement peur que vous soyez fâché contre moi, Maître! Sans s’occuper du monde autour de nous il m’embrassa la main.

On arrivait, pendant que je discutais sous le bruit de la flagellation, aux 20 derniers coups, Fred bougeait beaucoup moins, il semblait avachi, à chaque claquement il émettait un cri mêlé de sanglots, ses fesses qui continuaient à trembler sous chaque impact du cuir, avaient maintenant une couleur rouge violacé assez foncée. Alex ne faiblissait pas, toute la surface du bas du dos au haut des cuisses était bien marquée, le puni devrait se rappeler de cette correction!

- 100 coups Maître! Dit Thomas.

Alex arrêta, jeta un coup d’œil à son œuvre, et remonta sur le perron. Je fis signe à Alain de venir:

- Tu feras donner 10 coups à midi, et en présence de tous les esclaves au retour du travail, pareil demain avec en plus une correction à l’heure du départ au travail vers 7 heures devant tout le monde. Cette nuit qu’il soit mis au cachot, mets un esclave en faction vers lui, s’il a des crampes, on le libère quelques minutes.

- Bien Monsieur, tout sera fait selon vos ordres!

Je dis quelques mots gentils aux esclaves de Gault, en les renvoyant au travail. Je réunis Alain et Yves pour discuter des affaires de Gault, des bons résultats, des améliorations à apporter, je demandai à Alain de prévoir des plans de construction de maisons pour remplacer les quatre sinistres baraquements où les esclaves sont logés à Gault.

Je repris le chemin du Château avec mon équipe, quand nous arrivâmes il était environ 11 heures, je montai directement à l’infirmerie, je vis Aurélien, il me conduisit vers Mathias dans la salle des malades. Mathias était allongé sur un lit, un bandage autour de la poitrine, Aurélien dit:

- Maître, il a deux côtes cassées, j’ai vérifié ce matin, son hématome est gros mais pas trop grave.

- Que faut-il faire pour ses côtes?

- Pas grand-chose Maître, ça se remettra tout seul, mais il faut du repos, c’est le seul remède, j’ai mis un bandage pour qu’il ne bouge pas trop. Il a mal mais il est brave.

- Tu as entendu Mathias, repos obligatoire, mais tu avais mal hier soir, tu n’as rien dit!

- Maître j’avais mal, mais je ne l’ai pas dit, mais je ne peux pas ne rien faire, je suis un garde!

- Tu es un garde donc tu obéis, si Aurélien dit repos, tu te reposes, tu retourneras avec les gardes mais pas d’actions et d’exercices avant d’être rétabli! Et obéis, tu as mal au torse, on peut encore te rougir les fesses à la cravache, alors attention!

- Oh Maître je ne voulais pas vous fâcher, pardon Maître, j’obéirai à Aurélien, Maître!

- Bien tu es un bon garçon quand tu veux! Je lui caressai les cheveux.

Je me dirigeai vers le lit d’Olivier le jeune amputé, il était à moitié assis sur son lit, il me regardait un peu craintivement, je lui dis d’un ton enjoué:

- Alors Olivier, ça a l’air de bien aller!

- Oh oui Maître, je suis tellement bien soigné…

- La cicatrisation est très bonne Maître, on va bientôt le remettre debout qu’il fasse ses premiers pas avec des grandes cannes.

- Parfait, et quand est-ce qu’on pourra lui mettre une jambe de bois?

- Plus tard Maître, mais Maître… Vous en connaissez le prix?

- Oui Aurélien, mais il est jeune notre Olivier!

Olivier nous écoutait et nous regardait bouche bée, je posai ma main sur sa nuque, il me regarda avec un regard embrumé de larmes, il essaya de parler mais rien ne sortit, je lui dis qu’il était courageux et de bien se soigner, et je le quittai après lui avoir fait un bisou.

Sur un troisième lit il y avait un garçon d’une vingtaine d’années, le bras dans le plâtre, quand il me vit approcher il se leva brusquement, bien trop rapidement, il eut un vertige il tomba, je n’eus que le temps de rattraper son bras valide, et de le faire s’asseoir dans son lit. Il bafouilla:

- Maître… Maître…

- Du calme, reste couché, le Maître ne t’en voudra pas! Dit Aurélien et s’adressant à moi:

- Maître c’est un gars de Maux, il s’est cassé le bras hier, je l’ai plâtré hier soir, là il est au repos, il s’est levé trop vite!

- Reste couché mon garçon, tu vois tu n’es pas encore en état de te lever, mais ça reviendra vite, comment tu t’es fait ça à Maux?

- Maître… J’ai glissé sur la terre mouillée, je suis tombé sur le bras, ça a craqué, j’ai eu mal et mon chef et Monsieur le Régisseur, ils m’ont envoyé ici, Maître…

Il était joli garçon, j’avais bien aimé l’avoir dans mes bras, je lui donnai des conseils de repos, mais l’heure tournait il fallait que j’aille me préparer pour le déjeuner avec le Maître de St Pierre…

2 commentaires:

  1. Toujours aussi passionnante cette histoire ! Je la guette tous les jours. Bravo, merci et courage pour la suite !

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  2. Merci Frank, tu es fidèle c'est bien mais sois patient pour la suite...

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