Le Domaine de Saint Christophe 30 – Mathias et Tommy

Après la punition d’Arnaud, je pris un bon repas servi par Tom, et je me détendis un peu au salon, je commençais à somnoler quand Tom m’annonça Mathias, il le fit entrer et il sortit.

Mathias se tenait devant moi dans sa tenue stricte, il était au garde-à-vous, mais je voyais bien sa tension! J’avoue que j’étais assez émoustillé de le voir là, fautif soumis prêt à être puni…

- Alors Mathias, tes camarades ont bien fouetté Arnaud, sauf toi! Pourquoi Mathias?

- Maître je n’ai pas su me contrôler…

- Oui facile à dire, je me demande si tu mérites d’être garde… Déjà qu’il a fallu te fouetter pour t’être endormi en poste!

- Oh Maître pardon…

- Pardon, pardon c’est vite dit, quand je t’ai donné le martinet tu as promis d’être mon meilleur garde… Et ce matin tu es le plus mauvais !

Il tomba à genoux, il bredouilla des ‘pardon’…

- Pardon, pardon oui c’est facile, mais ce que je veux moi c’est un garde obéissant respectant les ordres! Qu’est-ce que je peux faire de toi? Un garde qui dort et qui ne sait pas fouetter correctement!

- Maître pitié je ne suis pas si mauvais je vous obéirai Maître, Alex il n’est pas mécontent de moi Maître !

- Oui Alex, il n’est pas parfait, hier soir il à été fouetté ici même, vous ne vous rendez pas compte les gardes mais quand un de vous fait une connerie son chef est aussi puni…

- Oh Maître punissez- moi si je suis mauvais mais pas Alex!

- Alex est pourtant fautif de t’avoir laissé fouetter Arnaud, et que tu l’aies mal fait!

- Oh Maître pas Alex! Punissez-moi Maître !

- Déshabille-toi Mathias! Il se mit rapidement nu, il se mit à genoux tout près de moi, tête baissée dans une belle soumission!

- Mathias je te demande une obéissance totale cet après midi! Je vais te dresser en bon garde, tu n’as pas le droit de dire non!

- A vos ordres Maître!

J’avais un peu honte de mon attitude sadique, le pauvre Mathias n’avait pas fait grand-chose mais il allait être totalement soumis à mon plaisir, et beau comme il était, j’allais bien en profiter, mais je ne voulais pas le blesser plus!

- Bon garde Mathias pour ta faute tu vas être fessé! Sur mes genoux garde!

Sans hésitation il vint se coucher sur mes genoux, je l’avais déjà fouetté au martinet mais jamais fessé, c’était pourtant un des plus beaux garçons parmi mes esclaves, je tâtai ses fesses, bien rondes et fermes, une belle peau lisse, il tremblait un peu.

- Tu as peur garde?

- Oui Maître…

- Tu ne devrais pas, tu es à la disposition de ton Maître, non?

- Oui Maître, Pardon et il retint ses tremblement.

Je caressai ses fesses, doucement je levai la main et claquai ses fesses plusieurs fois, il se raidit un peu et il se détendit, j’aurais pu être bien plus méchant, mais je n’avais pas de réelle raison de punir Mathias, juste l’amener à mon plaisir et peut-être au sien!

Je le fessai doucement pendant quelques minutes, il avait compris que la punition ne serait pas trop forte il s’abandonnait avec confiance, je remplaçai les claques par des caresses, mes doigts s’insinuèrent un peu dans la raie des fesses, il frémit un peu, se tendit, mais il se contrôla, il se détendit et écarta plus les jambes!

- Ah mais voilà un bon garde, bien obéissant, tu aimes ça mon garçon? Mon doigt commença à s’occuper de sa rondelle…

- Oh Maître, vous êtes doux, je suis à vous j’obéis Maître!

Je le fis mettre à genoux devant moi, j’écartai les jambes, il avait la bosse sous mon pantalon, devant lui, je bandais déjà fortement:

- Prends-la dans ta bouche!

- A vos ordre Maître, mais… Maître je peux déboutonner votre pantalon et déboucler votre ceinture Maître?

- Tu peux faire tout ça mon bon Mathias, surtout ma ceinture, si c’est moi qui la déboucle c’est pour te fouetter avec!

- Oh Maître…

Il dégagea mon sexe avec douceur, il ouvrit mon pantalon, je me soulevai de mon siège pour qu’il puisse le descendre, il entrebâilla mon caleçon, mon membre surgit bien gonflé, il me regarda avec des yeux interrogateurs, je luis dis:

- Vas-y mon bon garde!

Il ouvrit sa bouche et sans hésitation, bien soumis, ce beau jeune marié prit mon membre dans sa bouche, il commença un va-et-vient doux, j’étais bien le désir montait, il me suça bien, doucement, sa pratique manquait d’expérience, mais il était si doux si obéissant…

Avant que je ne sois près de l’orgasme, je lui dis brusquement:

-Arrête!

- Il s’arrêta immédiatement libéra mon sexe et parut confus.

- Oh pardon Maître!

- Mais non petit garde tu suces très bien, mais j’étais trop près du désir…

Je me penchai pour prendre sa bouche et quand je l’embrassai il se donna parfaitement ma langue chercha la sienne, il la donna, il soupira, se redressa pour se coller à moi, je sentis son sexe se tendre…

J’arrêtai mon baiser, je le retournai, il se laissa faire, je caressai ses fesses, le fis mettre à quatre pattes, jambes écartées, son cul était magnifique, je pris un flacon de vaseline à ma portée, et avec un doigt je le lubrifiai doucement il se dilata, en gémissant un peu, de douleur ou de plaisir je ne savais pas, mais ses réactions firent monter mon désir et mon sexe bien tendu se présenta devant son orifice! Mon membre y entra sans grande difficulté, le garde Mathias gémit :

- Courage mon garçon je ne veux pas te faire mal !

- Maître allez-y… Je suis votre esclave et si vous voulez encore de moi comme garde… Oh Maître!

Je venais de le pénétrer entièrement, après un moment de tension, il se détendit réalisant que son Maître n’était pas dur, il se rappelait la matraque et là c’était tellement plus doux…

Je le limai doucement et mon désir augmentant un peu plus vivement, il gémit doucement, je pris son sexe, il était déjà bien tendu, je le branlai assez vigoureusement il réagit vite il me lança un regard interrogatif, j’étais proche de l’orgasme dans son cul je fis oui de la tête, il se laissa aller, il était superbe j’étais tellement bien en lui, mon sexe gonfla encore je sentis une vibration intérieure et je déchargeai dans son intimité, l’orgasme fut violent, total, un instant de plaisir que j’atteignais rarement, mais la beauté de Mathias, sa soumission y étaient pour beaucoup, je continuai à le branler, je lui dis:

- Aller petit garde, laisse ton plaisir venir…

- Oh Maître je ne peux pas faire autrement...

Et Mathias à quatre pattes, le cul ouvert, pénétré encore par le membre de son Maître, branlé par celui-ci éclata de plaisir, son sperme se répandit par terre, il émit un grognement de plaisir!

Je me retirai de son intérieur, je le pris dans mes bras, il se laissa faire, et même il sourit, encore tout à son plaisir, nous nos embrassâmes et en roulant sur le tapis, je me couchai sur le dos et je le fis se coucher sur moi les jambes écartées, je l’embrassai en lui caressant les fesses, il s’abandonnait couché sur moi, il n’était pas tendu. Je sentis même son sexe regonfler sur le mien…

- Et bien tu es en forme mon garçon!

- Maître pardon…

- Non je ne pardonne pas!

Il se releva un peu et me regarda inquiet.

- Mais non n’aie pas peur, il n’y a pas de faute, donc pas de pardon!

- Merci Maître…

- Alors le mauvais garde, tu as été bien puni ?

- Oh Maître, si toutes les punitions étaient comme ça… Pardon Maître d’être toujours votre mauvais garde… Vous avez été déçu de moi Maître?

- Ce matin oui, cet après-midi tu es adorable tu m’as donné du plaisir… Comme si tu avais toujours fait ça…

- C’est vrai Maître, vous êtes content de moi?

- Oui je suis content de toi Mathias, tu as obéi, tu as eu confiance en moi, et tu vois il ne t’est rien arrivé de mal!

- Merci Maître, je ne veux plus être votre mauvais garde!

Il me regarda les yeux plein de larmes, je le pris dans mes bras, je le caressai et je lui murmurai dans l’oreille, qu’il était un bon garde que je lui pardonnai sa faute et qu’il était mon Mathias…


Plus tard, comme je l’avais promis je fis faire une dictée au jeune ancien rebelle Tommy. J’avais choisi un texte particulièrement dur avec des accords grammaticaux difficiles, je fis la dictée en présence d’Yves qui n’était pas très à l’aise. Tommy fit quatre fautes.

- Bon Tommy, quatre fautes, c’est un peu mieux que la première dictée, mais ce sont quatre fautes de trop, tu n’as pas bien écouté ton professeur? Dis-je sévèrement.

Tommy, debout à coté de moi, tête baissée, dit timidement:

- Maître pardon, la dictée était dure, mais je n’ai pas d’excuse Maître!

- Bien Tommy tu vas donc être puni, et ton professeur recevra la même punition!

Yves baissa la tête mais ne dit rien, il connaissait la règle. Tommy dit:

- Maître ne le fouettez pas il a passé beaucoup de temps avec moi Maître, donnez moi sa part de punition, s’il vous plait Maître!

- Suffit, Tommy, c’est moi qui décide, déshabille-toi et viens vers moi!

Il fut nu assez vite et vint vers moi qui étais assis sur le canapé, je tapotai sur mes genoux, il vint s’y coucher docilement et ajustant bien sa position. Depuis un mois qu’il était là, il avait embelli, il était moins maigre, j’avais devant mes yeux un superbe garçon, avec de belles fesses fermes, en plus il se soumettait complètement à son Maître.

Je posai la main sur ses fesses les massai doucement, pour le puni c’était agréable, je donnai la première claque assez fortement, il sursauta, gémit, et cambra de nouveau ses fesses pour le coup suivant. Je lui administrai alors une sévère fessée, je ne voulais pas le fouetter au martinet ou à la strap, son comportement s’était tellement amélioré! Mais une bonne fessée cuisante était méritée pour les fautes, je l’administrai donc sans pitié. Les coups pleuvaient sur ses fesses bien offertes, il n’était pas tendu, il s’offrait bien à la punition du Maître, avec une main il tenait une de mes chevilles, il gémissait, criait et commença à pleurer. Ses fesses étaient bien rouges, les claques fortes tombaient rapidement, pendant une vingtaine de minutes. J’arrêtai alors, il ne bougea pas, il pleurait doucement, je reposai ma main sur ses fesses, il se tendit un petit peu, mais je le caressai doucement en laissant un doigt pénétrer dans sa raie entr’ouverte. Il frémit, ses pleurs cessèrent. Je déclarai alors la fin de la punition et lui dis de se relever. Il se releva et tomba à genoux devant moi, embrassa ma main et resta prostré. Je le soulevai un peu, l’amenant entre mes jambes et mis sa tête contre mon ventre, il se serra alors contre moi, n’osant pas me regarder, je passai mes mains dans ses cheveux et lui dis :

- Mon garçon, tu as fait des progrès, mais ce n’est pas encore suffisant alors travaille bien sinon la prochaine fois ce ne serra pas la fessée que tu recevras mais le fouet!

- Oh Maître pas le fouet, je ferai de mon mieux Maître…

Je le relevai, et dis :

- Maintenant c’est à Yves d’être fessé comme toi, mais tu n’as pas besoin d’être là à ne rien faire, vas aux écuries et fais la liste de tous les chevaux avec Angelo, avec leur description et leur âge! Il prit un carnet et un crayon et fila en marchant un peu bizarrement.

Je fis signe à Yves de venir, il avait suivi la fessée et s’attendait à passer un mauvais quart d’heure, mais résigné, il se déshabilla et se plaça à coté de moi nu, les mains sur la tête en disant:

- Maître à vos ordres!

Sans rien dire, je claquai des doigts en montrant mes genoux, voir Yves comme ça, nu, soumis, me fit durcir dans mon pantalon, alors quand il s’allongea, se cambra en écartant ses jambes, je bandai carrément. Je posai mes mains sur ses fesses et lui dis:

- Alors Yves qu’est-ce que tu mérites?

- La même fessée que mon élève Maître, s’il vous plait!

- Est-ce que je ne devrais pas te fouetter plutôt? Tu n’es plus un petit jeune nouveau!

- Oh Maître, si je le mérite, oh pardon, pitié Maître…

Je claquai une fois ses fesses durement, il sursauta, mais au lieu de taper à nouveau je le caressai doucement, je dis alors doucement:

- Je ne suis pas sûr que mon petit Yves mérite une punition aussi forte, tu ne sens pas l’effet que tu me fais?

- Si Maître, je sens bien que votre sexe est tendu…

- Et bien alors, mets toi à genoux et occupe-toi en mon garçon! J’allai pouvoir faire un comparatif entre Mathias et Yves, même si Mathias m’avait bien plu, je ne me faisais pas d’illusion Yves avait une bonne expertise.

Il se mit à genoux devant mes jambes écartées, il mordilla ma bosse, ouvrit mon pantalon sortit mon sexe bien tendu, il le lécha, le prit complètement dans sa bouche, et me fit une fellation d’enfer, il était très doué pour ça, quand je sentis le plaisir venir je lui dis d’arrêter, nous nous relevâmes, je l’embrassai à pleine bouche très tendrement et passionnément, nous roulâmes sur le tapis, il présenta son cul, je le pris tel quel, avec fougue, je le pénétrai à fond, il grogna de plaisir, je fis des va-et-vient de plus en plus rapides et éclatai en lui avec un plaisir exacerbé par la douceur de son intérieur. Je me retirai et m’affalai sur le tapis. Yves était devant moi, il bandait, mais n’avait pas joui. Je m’approchai de lui, il était tout soumis, je le fis coucher sur le dos, je pris son sexe dans ma bouche, ce n’était pas la première fois que je suçais Yves, j’aimais bien, son sexe de bonne taille avait bon goût, il répondait bien à mes caresses, il me dit soudain:

- Maître je vais…

Je retirai ma bouche et le finis à la main en le branlant, il jouit avec force en criant presque, son corps se tendit, et il expulsa deux violents jets de sperme en l’air qui retombèrent sur lui. Il souriait, et resta quelques secondes sur le dos, se releva en faisant attention au sperme dont il était couvert, prit une serviette dans un tiroir, s’essuya, en prit une autre et vint m’essuyer le sexe. J’étais assis dans le canapé, il vint s’agenouiller devant moi:

- Maître, je dois me remettre en place pour la fessée?

Il avait remis les mains sur la tête et était prêt pour la punition arrêtée. Là franchement je n’aurais pas pu lui faire le moindre mal je venais de jouir avec lui, j’en étais de plus en plus amoureux, je lui dis:

- Gros bête, pourquoi crois-tu que j’ai envoyé Tommy aux écuries? Je ne voulais pas te fesser, tu ne le mérites pas, mais tu diras à Tommy que tu l’as été comme lui! Aller viens là!

Il se jeta dans mes bras en me remerciant, nous nous embrassâmes longtemps, enlacés par terre, et restâmes sans bouger…