Trois jours après, Thomas était toujours à l’Hôpital, il y était soigné, les nouvelles étaient bonnes. Comme il faisait beau je décidai d’aller avec Yves le matin sur les lieux de l’accident, nous en profiterions pour aller voir les fermiers qui nous avaient secourus, je demandai à Yves de préparer un paquet avec des draps, des serviettes de toilette, du savon, j’avais remarqué que les leurs étaient plus des chiffons qu’autre chose, on rajouta la tenue de Fred que j’avais mise, plus une neuve, une robe pour sa femme, et en plus une brioche.
Yves me dit en souriant :
- Maître Mathieu, j’aime mieux vous voir gentil comme ça !
- Yves je suis gentil avec ceux qui me rendent service et méchant avec les méchants !
- Je suis un méchant Maître ?
- Oui un vilain méchant, plus sérieusement ne me contredit pas ! Et je lui fis une bise.
Arrivés sur les lieux de l’accident, la flaque d’eau avait disparu, à sa place un morceau de rocher dépassait, je compris alors l’accident, la roue avant gauche en heurtant le rocher caché s’était brisée ! Des traces sur le rocher et par terre restaient en témoignage de l’accident, tout le reste avait été bien nettoyé.
Quand nous arrivâmes chez les fermiers, lui était dans ses terres, mais il accourut, sa femme était en train de s’occuper des enfants, un petit garçon de 3-4 ans, et un bébé de quelques mois. Yves leur donna le gros paquet, je leur dis que c’était en remerciement, pour le soir de l’accident. La fermière déballant le paquet n’en revenait pas elle se confondit en remerciements, lui aussi était heureux il le dit.
- Fred, ta ferme elle dépend de Gault, c’est loin Gault, et ton Chef c’est qui ?
- Maître c’est Chef Charles, il vient de temps en temps.
- Il est sévère ? Tu as déjà été fouetté ?
Il baissa la tête :
- Oui Maître deux fois, en présence de Monsieur le régisseur.
- C’était mérité ?
- Je ne sais pas Maître, sûrement mais Chef Charles maintenant il est gentil, et Monsieur Alain le nouveau régisseur il est venu aussi, il a bien parlé avec moi des cultures, il connaît bien, il m’a donné des conseils, il n’a pas parlé de fouet Maître ! Oh Maître si je peux me permettre… Il tomba à genoux, prit ma main et l’embrassa.
- Merci Maître pour ce que vous avez fait pour Gault, et merci de vos cadeaux, on n’en est pas digne Maître…
- Comment ça pas digne ? Ta femme et toi vous êtes des bons fermiers serviables, mais dis moi Fred tu ne m’as pas présenté tes enfants !
Il me présenta alors le garçon de trois ans, qui était en bonne santé, et la petite dernière de neuf mois toute éveillée et gazouillante, je caressai leur tête à tous les deux et les embrassai, c’était un geste particulier de la part du Maître, qui était un peu comme une bénédiction, la femme en eut une larme à l’œil !
Nous partîmes en les remerciant encore, je leur fis de nouveau une bise, il me plaisait ce jeune couple, et Fred était un beau garçon, mais je ne voulais pas sauter sur tous mes beaux esclaves !
Sur le chemin du retour, nous croisâmes Alain et Charles qui justement devaient inspecter ce coin reculé de Gault. Ils furent surpris, me saluèrent respectueusement. Après quelques échanges de routine, je les mis au courant de ce que je venais de faire, et leur dis d’être souple avec Fred et de ne pas le fouetter sans mon accord.
Charles dit alors :
- Maître, Fred est l’un de nos meilleurs fermiers, il serait étonnant qu’il mérite le fouet, quand il a été fouetté dans le passé c’était toujours sur les ordres du régisseur, mais je ne pouvais rien faire contre, ce n’était pourtant pas justifié !
- J’ai bien vu que c’était un bon gars, et ce couple avec deux enfants, travaillant bien, est pour moi un bon exemple de ce que je veux dans ce Domaine, il vaut mieux les citer comme modèle que les fouetter !
Alain dit qu’il me comprenait bien et qu’il n’irait pas créer des problèmes à un gars qui travaille correctement, que ce n’était pas sa fonction !
Je leur serrai la main à tous les deux, Charles serra la main d’Yves et à ma surprise, Alain en fit autant, il était rare qu’un homme libre serrât la main d’un esclave, jamais l’autre régisseur n’en eût fait autant, Yves rougit légèrement et s’inclina.
Sur le chemin du retour je discutai un peu avec lui gentiment, il me dit que jamais un homme libre ne lui avait serré la main, il en était très ému. Je lui dis que je règlerais le problème d’Angelo et de Bob cet après midi, que j’avais décidé d’une bonne correction au martinet pour Angelo pour ne pas m’avoir prévenu de ses problèmes avec Bob, mais que pour Bob ce sera le bagne après une flagellation publique.
Il baissa la tête et dit :
- Mathieu, j’ai été bien fessé pour avoir dit quelque chose pour Angelo, je comprends votre colère contre lui, ne soyez pas trop dur avec lui s’il vous plait, pour Bob je ne sais pas quoi dire, je ne comprends pas pourquoi il a fait ça !
- J’aimerais comprendre aussi Yves, on saura peut-être tout à l’heure…
De retour au Château, nous laissâmes nos chevaux à Ben, je lui dis de dire à Angelo qu’il était convoqué à 15 h dans le bureau des gardes. Une fois rentré j’envoyai Tom dire à Alex que j’irais à la salle des punitions à cette même heure.
A 15 h exactement je descendis chez les gardes, Angelo y était, inquiet, Alex était vers lui. Je dis à Alex :
- Alex, nous allons à la salle des punitions, sors Bob de son cachot !
Nous descendîmes les trois à la salle des punitions, Alex alla au fond, vers les cachots, ouvrit l’un d’eux en sortit Bob, il faisait attention à ne pas faire traîner sa jambe, il le porta presque jusque vers nous, il le posa par terre, couché sur le ventre, il était nu, il se souleva un peu sur ses deux bras, me vit avec Angelo, il articula avec difficulté :
- Maî… Maître…
Je m’assis sur une chaise, Angelo resta debout, je fis signe à Alex de rester un peu à l’écart, je m’adressai à Bob avec un ton assez neutre :
- Bob je suis là pour entendre tes explications sur ce qui s’est passé ! Commençons par le commencement, pourquoi tu allais si vite ?
- Maître… Il faisait froid, il pleuvait…J’avais envie de rentrer… Et en plus j’étais énervé…
- Enervé pourquoi ?
- Je m’étais disputé avec Angelo, Maître…
- Disputé pourquoi ?
Il se tut, il jeta un coup d’œil à Angelo, et se renfrogna. Je pris une cravache accrochée au mur derrière il sans qu’il m’entende venir, je cinglai ses fesses violemment, de surprise il sursauta et cria.
- Réponds à mes questions et vite ! Dis-je d’un ton agressif.
Il gémit, une belle trace rouge traversait ses fesses !
- Oh Maître, je ne sais plus…Ahhhhh !!!!
Un deuxième coup venait de tomber.
- Maître avec Angelo on s’entend mal, il me dit ce qu’il faut que je fasse, comme si je connaissais pas mon boulot…
- Angelo qu’est-ce que tu as à dire ?
- Maître, c’est vrai on se dispute souvent, c’est un peu comme s’il ne voulait pas de mes ordres… Dit Angelo qui semblait très gêné.
- Bob tu aurais voulu être chef à la place d’Angelo ?
- Ça aurait été normal, j’étais le plus vieux ! Lui il y connaît rien !
- Je commence à comprendre, revenons à l’accident, une roue se casse, la voiture bascule, et toi Bob ?
- Maître j’ai été éjecté et je suis tombé dans de l’herbe, je ne me suis pas fait mal… Quand j’ai vu Thomas et vous Maître, par terre, j’ai eu peur j’ai paniqué, j’ai eu peur du fouet Maître, je me suis enfoncé dans le bois, j’ai couru, jusqu’à la nuit, j’ai encore couru dans la nuit mais j’ai mis le pied dans un trou, et je me suis fais mal. Mais j’avais peur Maître, et les gardes m’ont trouvé…
- Tu voulais quitter le Domaine ? Pour aller où ?
- Je ne sais pas Maître je connais bien la ville…
- Bob ça suffit ! Et me tournant vers Angelo :
- Quelque chose à ajouter toi ?
- Maître, on se disputait souvent avec Bob, c’est de ma faute, je n’ai pas su m’y prendre Maître, j’aurais dû vous en parler…
- Oui Angelo, c’est de ta faute de n’avoir rien dit, mais Bob est fautif de ne pas t’avoir obéi !
Je pris la parole solennellement :
- Bob tu es coupable de désobéissance envers ton Chef et ton Maître, tu as causé un accident qui a fait un blessé grave, et causé la perte d’une voiture et d’un cheval, tu n’as pas prêté assistance à ton Maître et à un garde, et tu as tenté de t’enfuir du Domaine !
Bob baissa la tête, il ne put rien dire.
- En conséquence, quand ta cheville sera réparée, tu seras fouetté publiquement devant tous les esclaves par ton chef Angelo, et tu seras envoyé au bagne de la route pour y finir tes jours, et que je n’entende plus parler de toi ça vaudrait mieux pour toi ! Alex mets-le au cachot !
Alex le souleva et le remit au cachot, Bob demanda ma pitié d’une voix rauque cassée. Une fois qu’il fut au cachot nous remontâmes les trois. Je dis à Alex d’être dur avec le prisonnier, en faisant attention à sa cheville.
Je dis à Angelo de me suivre et nous entrâmes dans mon bureau, il était tendu, je m’assis au bureau, il te tenait tête baissée, j’étais fâché contre lui mais quel beau gosse !
- Alors Angelo, dis-moi un peu plus sur ces disputes !
- Maître, il vous l’a dit, il n’acceptait pas que je sois chef, au début j’ai pensé que ça passerait mais ça a empiré… Maître, j’aurais dû vous en parler, mais j’ai eu peur, j’ai pensé que vous me trouveriez faible… Mais maintenant je réalise combien j’ai eu tort…
- Oui tu a eu tort Angelo, quand un chef a un problème qu’il ne peut pas résoudre, il vient m’en parler et on cherche une solution !
Il baissa un peu plus la tête et dit :
- Pardon Maître…
- Angelo pour cette faute qui a coûté très cher, surtout à Thomas, je suis obligé de te punir, comme tu es chef la correction aura lieu entre nous deux, pas publiquement ! Et tout de suite ! Déshabille-toi !
Angelo obtempéra immédiatement, nu il mit les mains sur sa tête, et la baissa. Je lui dis froidement :
- Angelo, pour ta faute tu seras fouetté au martinet mais auparavant comme tu t’es comporté comme un gamin je vais déjà te fesser, aller en position sur mes genoux !
Je n’ai pas pu me priver du plaisir de le fesser, avec des fesses comme celles d’Angelo devant les yeux, à ma portée, le plaisir était fort, je commençai à bander, Angelo le senti peut-être, il ne dit rien, il avait rougi quand je lui avais annoncé la fessée, il ne s’y attendait pas, mais il prit la position, je dis :
- Cambre-moi ce cul, présente bien tes fesses, et écarte un peu les jambes !
Là la position était parfaite, c’était la première fois que je punissais Angelo, il était magnifique je caressai un peu ses fesses, quelle douceur, des fesses fermes, rondes, parfaitement formées, un vrai modèle ! Je donnai la première claque vigoureusement, le bruit fut net, le puni sursauta et émis un petit cri. Ensuite les claques tombèrent vite, c’était une punition il ne fallait pas l’oublier, je claquai avec force toute la surface de ses fesses qui devinrent rose rapidement. A ma surprise Angelo réagissait beaucoup, il bougeait, gémissait, criait, mais il ne fit aucun geste pour se protéger, il gardait bien la position.
J’arrêtai un peu pour contempler mon ouvrage, ses fesses étaient d’un beau rose, bien uniforme, je passai mes mains dessus, il se détendit et balbutia :
- Oh Maître… Pardon… Pitié…
- Courage mon garçon !
Et je recommençai toujours aussi durement, le bruit des claques envahissait la pièce, la fessée allait bon train, Angelo, gémissait toujours, je commençais à entendre des sanglots, je continuai encore et m’arrêtai quand j’eus moi-même trop mal à la main.
Les fesses d’Angelo étaient bien rouges cette fois, bien prêtes pour le martinet, je dis :
- Debout, Angelo !
Il se leva les mains sur la tête, je vis une larme couler sur sa joue, je l’écrasai avec mon pouce en disant :
- Aller Angelo finissons-en, va chercher le martinet qui est sur le meuble, et mets toi en position, à genoux sur le canapé !
Il me donna le martinet en baissant les yeux, et alla se mettre à genoux sur le canapé, je lui fis écarter les bras sur le dossier, un peu aussi les jambes, et bien cambrer son cul. Quel spectacle, Angelo complètement offert au fouet, il me regarda d’un air triste, je dis :
- Angelo je vais te donner le martinet, tu l’as mérité, tu le sais, pas la peine de compter, je vais te corriger jusqu’à ce que je pense que ce sera suffisant !
Je pris le martinet bien en main et cinglai les fesses bien offertes, le puni cria, se raidit, il n’avait pas repris sa position que le deuxième coup tomba, puis un troisième et la raclée continua à un rythme effréné, je claquais les fesses, le dos, les cuisses, chaque coup de martinet laissait une série de zébrures rose foncé, je changeai de coté et continuai à frapper sévèrement, j’en voulait quand même à Angelo, de n’avoir rien dit, et je savais bien que même si cette punition avait lieu dans mon bureau, elle devait s’entendre en dehors, donc la correction avait aussi valeur d’exemple.
Angelo souffrait, il criait, râlait, pleurait, implorait, rien n’y faisait le martinet tombait, il claquait, cinglait, mordait sa peau. Il n’en pouvait plus Angelo, il savait qu’il devait s’attendre à une bonne correction, il s’attendait à la strap, mais déjà avec la fessée il avait eu du mal à tenir, et le martinet, oh comme c’est dur ! Ca brûle, ça pique, il se dit qu’il ne tiendra plus longtemps, il était désespéré, il aimait bien son Maître pourtant, il lui devait tout, la vie de sa femme et de son fils, oh mais comme il est sévère ! Mais il savait qu’il avait été stupide, quand il y pensait, le Maître aurait pu être tué dans l’accident, c’est normal qu’il soit en colère, alors qu’il passe sa colère sur ses fesses, il l’avait mérité, mais il ne lui pardonnera peut-être pas ses erreurs, oh comme il voudrait revenir en arrière ! Quand le Maître avait confiance en lui, qu’il l’aimait…
Je vis la tête d’Angelo se pencher, il eut des soubresauts, il pleurait, mais je vis aussi son corps se détendre, il s’abandonnait totalement à son Maître, il sursautait à chaque coup, il émettait un son rauque. Ses fesses portaient maintenant des traces violacées, son dos et ses cuisses étaient rouges, je décidai que la punition était suffisante, surtout maintenant qu’Angelo avait cessé toute résistance, il était cassé, continuer m’apportait rien de plus. J’arrêtai donc les coups.
Je m’approchai de lui, il pleurait et tremblait légèrement, il gardait la position, je posai ma main sur sa nuque et m’approchant de son oreille :
- Tu as compris la leçon Angelo ? Relève-toi mon garçon ! C’est fini !
Il se releva difficilement, il tomba à genoux à mes pieds en disant !
- Pardon… Pardon… Maître… Je m’assis sur le canapé, il prit ma main droite qui tenait encore le martinet pour l’embrasser.
- Merci Maître… Merci… Pardon !
Je posai le martinet, mis ma main dans ses cheveux.
- Tu es pardonné Angelo, on n’en parlera plus, tu restes mon Angelo…
Il éclata en sanglots, je l’attirai contre moi, il se blottit contre moi, il pleurait moins.
- Merci, merci Maître !
Je lui caressai les fesses pour le soulager, bien sûr il se laissait faire. Une fois qu’il fut un peu calmé, il me dit :
- Maître vous ne m’en voulez plus ?
- Non Angelo, tu es pardonné donc je ne t’en veux plus, mais ne recommence pas, viens me parler si tu as des problèmes !
- Je le ferai Maître, promis… Mais Maître je peux vous demander quelque chose ?
- Oui quoi Angelo ?
- Maître vous avez dit à Bob, que je le fouetterais… Mais j’ai peur de ne pas pouvoir Maître !
- Pourquoi Angelo ?
- Maître je n’ai jamais fouetté un homme, j’aurais peur de le tuer Maître.
- Je comprends Angelo, mais c’est important qu’il soit corrigé par toi, il t’a désobéi, donc on commencera par une séance de strap que tu donneras, ensuite il sera fouetté par un garde, mais pas trop, il faut qu’il aille au bagne !
- Bien Maître merci de me comprendre… Il se serra un peu plus contre moi, je le caressai toujours, je commençais à durcir sérieusement, j’avais fait l’amour avec Angelo quelques fois depuis la première fois, j’aimais bien son corps.
- Angelo, j’ai envie de toi, mon garçon…
- Maître je suis à vous, vous le savez, j’avais tellement peur que vous me détestiez Maître…
- Je ne te déteste pas petit Angelo…
Je l’embrassai, puis le fis mettre dans la position dans laquelle il avait été fouetté, je caressai ses fesses toutes rouges, mes doigts s’insinuèrent dans sa raie, je le lubrifiai avec de la vaseline et le doigtai doucement, il gémit de plaisir cette fois, je bandais très fort je me mis nu, j’approchai mon membre de son cul, je forçai doucement le passage, et fus assez rapidement complètement en lui, il commença à bander, la correction qu’il venait de prendre ne l’empêchait pas d’être en forme, je le branlai doucement tout en le limant de plus en plus rapidement, à ce rythme et depuis le temps que le désirais j’éjaculai assez vite en lui-même, je continuai à le branler, il se cabra, gémit et éjacula en mettant sa main pour ne pas en mettre plein le canapé !
Je pris un linge de toilette dans le bureau (tout était prévu), je m’essuyai le sexe, et je donnai le linge à Angelo, qui me faisait un beau sourire, je le pris dans mes bras et l’embrassai passionnément en lui disant :
- Merci Angelo tu es un bel homme et un gentil garçon !
- Maître je préfère vous voir comme ça mais ne me remerciez pas Maître, c’est moi, vous n’oubliez jamais mon plaisir quand vous me prenez !
- C’est normal Angelo, je ne viole pas un esclave, je fais l’amour avec un homme…mais rhabille-toi mon garçon, il faut aller te reposer, demain tu devras m’emmener en ville, tu mettras un coussin sur ton siège…
- Merci Maître… Je serai votre cocher avec honneur Maître !
- Oui mais il faudra retrouver un cocher, peut-être en acheter un.
- Oui Maître, comme vous voulez, il n’y a personne dans mon équipe pour l’être j’y ai réfléchi, il y a bien Ben mais il est tellement étourdit !
- Il est bien gentil Ben mais il est étourdit comme tu dis, je me rappelle pour Princesse et Étendard, mais c’est des fois pas mal, Princesse a l’air en forme, mais il faut du temps pour avoir un poulain…
- Oui 11 mois Maître, c’est long, mais il devrait être superbe !
- Tu aimes bien les chevaux ?
- Oui Maître, j’aime bien mon travail, les chevaux c’est intéressant !
- C’est bien Angelo, avant de rejoindre ton écurie demande de la pommade calmante, à Tom ou à Yves et demande à Rose de te soigner les fesses !
Il quitta le bureau après m’avoir salué avec un joli sourire, il alla voir Tom, moi je rejoignis Yves, pour revoir le dossier du chemin de fer, puisque j’allai signer l’accord le lendemain, il y avait quelques corrections légères à apporter.
Le lendemain matin je signait donc l’accord avec la compagnie de chemin de fer pour le passage d’une voie au travers du Domaine, le Maire et toutes les autorités de la ville étaient là, j’avais pu obtenir de nombreux avantages, et la somme payée pour faire passer les trains était forte. Le directeur de la compagnie me dit que le responsable des travaux, prendrait rendez vous avec moi aussitôt que possible, qu’il devrait être mon interlocuteur mais que bien sûr lui le Directeur était toujours à ma disposition.
Je rentrai en fin de matinée, Angelo avait été un cocher parfait, je le félicitai, et lui demandai discrètement comment ses fesses allaient, il répondit en souriant que ça piquait bien mais que ça allait, je lui fis la bise avant de le quitter.
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