jeudi 17 septembre 2009

Le Domaine de Saint Christophe 35 – St Marc et l’insolent Angelo

L’après midi, je partis avec Julien faire un grand tour dans le Domaine, pour discuter des améliorations à apporter aux chemins et routes du domaine, bien sûr je lui avais demandé s’il supporterait le contact de la selle sur ses fesses, courageusement il avait répondu oui.

Nous inspectâmes ensemble des parties du Domaine que Julien ne connaissait pas, il fut étonné de sa grandeur, et sa diversité. Il vit de nombreux esclaves au travail, on en croisa aussi sur les chemins, comme à mon habitude, je leur disais toujours un mot, demandant qui ils étaient, ce qu’ils faisaient après qu’ils m’aient salué toujours respectueusement mais rarement avec crainte. Ces contacts, je les aimais bien, ils me donnaient un peu l’état d’esprit de mes esclaves. Je pus vérifier aussi que mes consignes sur une meilleure alimentation avaient porté, les esclaves n’étaient plus maigres. Je vis aussi plusieurs femmes enceintes, je les félicitai, les mettant en général dans la confusion, des compliments du Maître elle n’en avaient pas l’habitude!

Nous arrivâmes au bout de la vallée de Gault, tombant devant un grand mur de pierre, Julien parut surpris, je lui expliquai que c’était la limite entre le Domaine de St Christophe et celui de St Pierre, qui occupait tout le fond de la vallée. Son Maître était un vieillard qui laissait son domaine et ses cinq cents esclaves un peu à l’abandon. On le disait très malade, il avait un fils pour sa succession mais il ne vivait plus au domaine depuis longtemps. Cette limite murée avait été faite à une époque où les deux familles étaient fâchées, maintenant les rapports étaient meilleurs même si les contacts étaient rares.

En revenant vers Gault, nous discutions tranquillement, Julien était comme toujours agréable, il commentait avec intelligence tout ce qu’on voyait, il était à l’aise, à une question sur l’état de ses fesses il me répondit :

- Oh Mathieu, elles brûlent un peu, mais j’avais bien mérité cette correction, et avec ce que l’on a fait après, ça m’a fait tellement de bien que je n’oserais pas me plaindre, Monsieur!

J’approchai mon cheval du sien, je le pris par le cou, lui donnai un baiser, et lui dis:

- Julien, plus de Monsieur entre nous, tu es un brave garçon courageux et un bon amant, mais tu sais que mon principal amant c’est Yves, mais ça n’empêche pas des contacts fréquents entre nous!

- Yves ne dira rien?

- Non, déjà il est un esclave, il est soumis, il sait que je l’aime et que je ne l’abandonnerai pas, il sait bien que je ne suis pas pour un seul homme!

- Vous l’aimez et le punissez aussi?

- Oui, ce n’est pas incompatible, et nos meilleurs moment c’est des fois après une punition, tu as connu ça ce matin!

- Oh oui Mathieu, c’était très bon après le fouet!

- Nous arrivons vers St Marc, le dernier village de la vallée de Gault, nous allons y passer, j’y viens très peu.

Notre arrivée dans le petit village de St Marc, ne passa pas inaperçue, des esclaves présents nous regardaient étonnés, la plupart des hommes étaient aux champs, le temps était beau. Le régisseur du village, Pierre, un homme d’un peu plus de 30 ans, sortit d’un hangar et vint me saluer, il paraissait inquiet. Tout en descendant de cheval, je dis:

- Bonjour Pierre, je passais par là, je viens voir si tout va bien.

- Bonjour Monsieur venez à la maison, vous rafraîchir, il n’y a rien de particulier au village.

Je lui présentai Julien, ils se serrèrent la main. Je vis le pieu de punition vers l’entrée de la maison du régisseur, je dis:

- J’espère qu’il ne sert plus beaucoup ce pieu maintenant?

- Rarement Monsieur, mais il a servi hier, deux gars ont été fouettés au martinet, et ils seront fouettés ce soir à la strap, ils se sont battus!

- Entrons on verra ça plus tard. Dis-je calmement.

On parla ensuite de beaucoup de sujets, du domaine voisin, des chemins, des besoins de St Marc, village isolé, qui produisait beaucoup de produits agricoles, je lui demandai s’il y avait des malades, il me dit que les esclaves étaient suivis assez bien par sa femme quand ils avaient des blessures ou des maladies, et que donc il faisait peu appel au Château. Je lui demandai si je pouvais voir sa femme, il la fit chercher, elle arriva quelques minutes après:

- Oh Monsieur, excusez-moi, j’étais avec un des garçons punis hier, à la cave, je ne vous ai pas entendu arriver, on vous à offert des rafraîchissements Messieurs?

Elle était ravissante, une jeune femme active, d’une trentaine d’années. Je la questionnai sur les soins qu’elle apportait aux esclaves, nous eûmes une discussion passionnante et ouverte sur tous les problèmes, je lui dis que j’enverrai Aurélien la voir, avec des médicaments et des pansements, elle me répondit qu’elle en serait ravie, qu’elle avait depuis longtemps envie d’aller au Château mais qu’elle n’osait pas. Je lui dis alors:

- Il n’y a aucun problème à venir au Château surtout si c’est pour parler de la santé des esclaves, vous faites ici un travail remarquable, je connais l’état de la population de St Marc, je ne savais pas que ces bons résultats étaient votre œuvre Madame, je vous en remercie sincèrement, mais parlez moi des ces deux punis…

- Oh Monsieur, vous êtes le Maître, vous ne pouvez pas savoir comme j’ai été heureuse le jour où on est venu chercher les fouets d’ici, et qu’on a distribué des instruments moins cruels. Mais nos deux punis, Monsieur, je les connais bien ce ne sont pas deux mauvais garçons, ils ont 18 et 19 ans, l’un est fort et pas très malin, l’autre plus faible est plus malin, ils se chamaillent souvent verbalement, hier ils en sont venus aux mains… Je sais bien que mon mari doit maintenir l’ordre, et la punition publique au martinet me semble suffisante, j’ai demandé à Pierre de ne pas les fouetter à nouveau ce soir, mais il ne veut pas m’entendre…

Pierre, essaya de dire quelque chose mais je le coupai, et dis:

- Faisons venir les deux punis et on verra!

Peu de temps après les deux esclaves étaient là à genoux devant nous, vêtus d’un caleçon beige, qu’ils avaient dû mettre pour venir, l’un était fort, l’autre plus malingre, ils étaient assez beaux tous les deux, ils étaient impressionnés d’être devant moi, ils tremblaient. Je leur dis d’une voix sévère:

- Alors les garçons, je passe par hasard dans votre village et je découvre deux bagarreurs, vous savez pourtant que je ne veux pas que mes esclave se battent! Alors pourquoi vous l’avez fait?

Le plus grand essaya de parler mais rien ne sorti de sa gorge, le plus petit arriva à dire:

- Maître, pardon… On s’est battu… On a eu tort…

- Et toi le grand tu n’as rien à dire?

- Maî… Maître… Pardon… On s’est disputé… Comme on fait souvent… Mais on s’est battu Maître…

- Vous vous êtes dit quoi?

Le petit dit:

- Maître… Je l’ai traité de grand bête, lui de petit malingre… On s’est disputé et battu Maître… Pardon Maître…

- Vous vous disputez souvent?

- Oui Maître… Mais on s’était jamais battus… Maître… Dit le grand.

- Levez vous, approchez, baissez votre culotte et tournez vous que je vois vos fesses!

Ils me présentèrent leurs fesses, elles étaient bien zébrées de marques rouges, du martinet, le fouetteur, n’y était pas allé de main morte, le dos était aussi bien marqué, je demandais à Pierre:

- Combien de coups ils ont reçus, Pierre, et qui les a donnés?

- Cinquante coups Monsieur, c’est moi qui les ai donnés Monsieur.

- C’est bien Pierre, tu punis bien, et pour ce soir tu as prévu quoi?

- 50 coups de strap, Monsieur… Se battre c’est grave… Pierre paraissait anxieux, sa femme désapprouvait visiblement.

- Tu as parfaitement raison Pierre, 50 coups de martinet et de strap, pour une bagarre, ce n’est pas excessif, et le faire en deux fois c’est très bien!

- Merci Monsieur. Dit Pierre.

Sa femme paraissait triste de savoir que les deux garçons allaient de nouveau être fouettés, je dis alors:

- Mais comme je passe par hasard ici je peux être clément, mais je ne le peux pas si ces deux garçons continuent, alors les garçons faites vous face!

- Toi le grand mets-toi à genoux et demande pardon au petit, et promets-lui de ne plus jamais te disputer avec lui, après le petit fera pareil!

On assista à une drôle de scène, ils se demandèrent chacun pardon, et se firent des promesses de paix, apparemment sans réticence, après ils se tinrent debout l’un devant l’autre. Je leur dis:

- Serrez vous la main et embrassez vous!

Ils le firent sans problème, je repris la parole:

- Eh bien vous voyez que ce n’est pas difficile de s’entendre! Je suspends la punition à la strap, mais attention je demande à votre Chef de bien vous surveiller, si vous vous disputez à nouveaux ou si pire vous vous battez, je demande à votre chef de me prévenir et je viendrai vous fouetter!

- Je n’y manquerai pas Monsieur!

Les deux garçons tombèrent à genoux devant moi, me remerciant, je dis alors:

- Mais je dois dire une chose c’est que votre chef a oublié de vous punir pour ce que vous êtes, des gamins idiots, et donc vous devez être punis comme des gosses, par une fessée! Et cette fessée je vais vous la donner!

Ils baissèrent la tête, la femme de Pierre était surprise, je lui dis doucement que c’était une fessée d’homme et que je préférerais qu’elle s’éclipse pour ne pas les humilier plus. Elle sourit et partit dans la pièce d’à coté après m’avoir remercié pour ma clémence.

Je m’assis alors sur une chaise isolée et fis venir mes deux punis. Je les fis se coucher chacun sur un de mes genoux, leurs jambes au milieu, ils se cambrèrent un peu pour bien offrir leurs fesses, je les fis écarter les jambes un peu plus. J’avais devant les yeux deux paires de fesses zébrées de rouge et prêtes, offertes à la fessée. Je pouvais voir leurs culs leurs rondelles, ils étaient plutôt pas mal ces deux bagarreurs, je sentis mon sexe qui réagissait, je palpai leur fesses, le caressant aussi, j’avais là deux beaux spécimens de garçons à fesser. Je soulevai ma main et l’abattit sur les fesses du grand, fortement, il fut surpris, il sursauta, je fis pareil avec le petit aussi fort, il réagit un peu moins, il était courageux ce petit! La suite des claques fut rapide, ma main dansait sur leurs fesses, ça claquait fort, les deux punis gémissaient, sur des fesses déjà zébrées les coups devaient se faire ressentir violemment mais mes garçons étaient bien disciplinés, ils tendaient leurs culs pour la punition. Quand ils furent bien rouges, j’arrêtai, ma main resta sur les fesses du petit, il était assez mignon celui là!

- Alors les garçons vous serez sages maintenant?

- Oui Maître… Je promets… Dit le petit, d’une voix un peu hésitante.

- Et toi le grand?

On entendit alors le grand répondre d’une voix pleurnicharde:

- Oui Maître… Pardon… Pardon… Je promets aussi…

- Relevez-vous, et à genoux!

Ils se mirent à genoux devant moi, les mains sur la tête, le grand avait les yeux rouges, le petit n’était pas à l’aise, je les sermonnai à nouveau, et leur dis qu’ils pouvaient se rhabiller, le grand se courba pour embrasser mes pieds en remerciant, je le relevai, il pleurait, je lui frottai la tête, doucement, le petit m’embrassa doucement sur ma main sans oser la toucher plus, je les fis se relever, je me levai aussi et les serrai fort dans mes bras, et je les libérai. Ils remirent leurs vêtements qu’on avait apportés, ils me saluèrent encore une fois et quittèrent la pièce.

Je pris alors congé de Pierre et de sa femme, les félicitant pour leur gestion du village, je repris la route avec Julien à mes cotés, Julien se dit impressionné de ce qu’il avait vu, du village bien entretenu, des esclaves disciplinés mais pas malheureux, il n’en revenait pas non plus de l’effet d’une fessée du Maître, et du respect manifesté par les esclaves…

Je demandai à Julien de voir dans les prochains jours les chefs du Château dont il avait la responsabilité et de bien connaître leurs activités, les besoins de chaque équipe, et de me faire un compte rendu de ce qu’il en pense.


Les deux jours suivants furent calmes, j’eus des moments particulièrement doux et plein de sexe avec Yves, il savait, bien sûr, que j’avais couché avec Julien, il ne m’en fit pas reproche, mais il voulait savoir s’il avait, lui, une place aussi importante dans mon cœur, je le rassurai par plusieurs preuves d’affection et d’amour, il pleura dans mes bras de soulagement, il m’aimait très fortement, je ne voulais pas le décevoir, d’autant que je l’aimais d’un plein amour, je cherchais d’ailleurs un moyen de lui prouver mon amour et ma reconnaissance…

Un après midi, il faisait très beau, je décidai d’aller faire un tour à cheval, je descendis donc aux écuries chercher Etendard, mon fidèle cheval.

Quand j’entrai dans les écuries, j’entendis au fond une vive discussion, Ben était là et écoutait, reconnaissant les voix de Julien et d’Angelo, je lui fis signe de s’éloigner et j’approchai sans bruit, j’entendis alors Angelo, dire très en colère:

- … Vous arrivez ici, tout ce que vous trouvez à dire, c’est que cette botte de paille est mal rangée… Vous croyez que j’ai que ça à faire… Je m’occupe des chevaux moi et de mes gars… Le Maître il m’a jamais rien reproché… C’est moi qui soigne Etendard… Toujours… Parce que le Maître, il est bon, il a sauvé ma femme et mon fils… Je lui dois tout, toute ma vie… Lui c’est un Maître… Je suis tout à son service… Vous, vous m’embêtez pour une botte de paille, vous voulez que je punisse le responsable… Il n’y en a pas, c’est moi le responsable… Alors fouettez-moi… Je m’en fous… Çà vous intéresse pas de savoir qu’on manque de chevaux… J’ose pas en parler au Maître, je veux pas le déranger… Mais vous, vous voyez que les bottes de paille, pas ce qui compte!

- Oh, qu’est-ce qui se passe ici? J’intervins d’une voix forte:

- Angelo c’est quoi ce ton et ce langage vis-à-vis de ton chef? Déshabille-toi immédiatement!

Angelo fut sidéré de me voir, Julien aussi, il était pâle en entendant Angelo, il rougit. Angelo obéit immédiatement, il se déshabilla, il comprenait que sa faute était grave, il s’était emporté, il fut rapidement nu, main sur la tête, baissant les yeux devant moi.

- Angelo, ta conduite est inqualifiable, tu parles à ton chef d’une manière agressive, alors que quoique tu aies à dire tu dois être respectueux, si tu manques de respect à ton chef, c’est à moi que tu en manques!

J’avisai une belle courroie de cuir, plus large et plus lourde qu’un ceinturon, pendue à un pilier, elle devait servir pour les chevaux.

- Angelo vas chercher cette courroie!

Nu, tête basse, il alla décrocher la courroie, il comprenait bien l’usage qui allait en être fait, il me la tendit en bredouillant:

- Maître… Maître…

- Quoi insolent! J’en ai assez entendu! Je ne peux pas tolérer un tel langage, vas contre ce mur, et tiens ces deux anneaux!

En effet contre le mur il y avait deux anneaux à un peu moins de deux mètres de haut, distant d’à peu près la même distance, Angelo pris les gros anneaux en main, ça lui mettait les bras un peu fléchis et en croix.

- Cambre ton cul, écarte mieux tes jambes, tu sais pourquoi tu te mets dans cette position insolent!

- Oh Maître… Pardon… Pitié…

- Monsieur, soyez clément… Il s’est emporté…

- Non Julien, il s’est opposé à ton autorité et donc à la mienne, c’est une faute très grave, il faut qu’il soit puni!

J’avais plié la courroie en deux, et en tirant dessus, je faisais claquer les deux morceaux l’un contre l’autre, le claquement était très fort, retentissant, Angelo frémissait à chaque sinistre claquement, cela lui promettait une sévère correction.

- Angelo tu as quelque chose à dire pour ta défense?

J’en avais un peu pitié, quand même, en plus dans cette position bien cambré, il était magnifique mon Angelo, son corps qui appelait le fouet, appelai aussi l’amour… Mais je savais que je devais être ferme!

- Maître… Pardon… Je me suis emporté, Maître… Pardon aussi Chef… J’obéirai Maître… Je suis votre Angelo… Maître… Oh pitié Maître…

- C’est facile de me demander ma pitié, je vais te mater petit rebelle, tu réfléchiras plus tard, avant de t’énerver, je vais te calmer moi!

Je soulevai mon bras et assenai le premier coup, Angelo ne s’y attendait pas, le cuir frappa ses fesses, avec force en claquant bruyamment. Angelo se cabra, il cria:

- Ahhhhhhhhh… Une marque rouge apparu vite!

- Rhaaaaaaa… Le deuxième coup avait suivi aussi violent, Angelo criait, se cabrait tirait sur les anneaux, mais il reprenait aussitôt la position pour recevoir le coup suivant.

Je fouettai alors durement Angelo, la redoutable courroie, claquait plus fort que n’importe quel ceinturon, les fesses d’Angelo, devinrent rouge vif, je claquai aussi le bas du dos et le haut des cuisses, puis toutes les cuisses avant de réattaquer la courbure de ses superbes fesses! Il se cabrait à chaque coup, ses cris devinrent plus forts, j’aperçus dans l’autre bout de l’écurie les esclaves de son équipe, qui avaient l’air effaré.

Angelo hurlait de douleur, chaque coup était violent, la douleur irradiait de ses fesses vers tout son corps, il ne pouvait pas se retenir de crier. Mais le pire pour lui, c’était la colère du Maître, oh pourquoi il avait dit ça Angelo? C’est vrai qu’il était embêtant ce nouveau chef, avec son histoire de botte de paille, mais c’est idiot d’avoir dit tout ça, pourquoi il ne s’est pas retenu, il a honte maintenant d’être fouetté comme le dernier des esclaves, par le Maître qu’il a mis en colère, pourtant le Maître il pouvait être bon… Oh stupide Angelo! Mais toujours ce cuir qui claque, qui mord, qui brûle la peau de ses fesses… Oh ça fait trop mal, il ne va pas tenir Angelo, il agrippe les anneaux avec ses mains, et ça continue à claquer, oh c’est trop! Il n’en peut plus, il s’en veut, les larmes montent…

- Oh… Maître… Pitié… Pitié…

Angelo avait dit ça avec une petite voix pleine de sanglots, je voyais bien qu’il allait lâcher, je voulais l’amener aux larmes, il ne tenait presque plus sur ses jambes, ses fesses étaient presque violettes maintenant, j’avais dû lui donner environ cinquante coups, une sévère punition bien méritée.

J’arrêtai, Angelo haletait contre le mur, il n’avait plus la force de cambrer ses fesses, il avait déjà du mal à tenir les anneaux. Julien regardait, il n’avait rien osé dire, il était très gêné. Je dis à Angelo:

- Puni, vas dans ton bureau et attends-moi! Angelo me regarda, les yeux pleins de larmes, il partit nu avec difficulté. Je me tournai vers Julien, j’aperçus alors les esclaves attroupés plus loin, je leur lançai:

- Alors là-bas, vous n’avez rien à faire, vous voulez prendre sa place peut-être? Vous voyez ce que ça coûte la désobéissance!

Ils se dispersèrent vers leur occupation normale, je dis à Julien:

- Julien on reparlera de cette affaire plus tard, je vais voir Angelo, il n’est pas dans mon intention de le dégrader, mais sa conduite est grave.

- Monsieur, je suis confus d’avoir causé cette affaire… je ne sais plus comment faire!

- Ne t’en fais pas tant, je vais calmer Angelo! Mais tu ne devais pas aller en ville?

- Si Monsieur, je venais justement chercher un cheval… J’avais demandé à Angelo de le faire préparer quand on s’est disputé.

J’appelai Ben d’une voix forte, il vint l’air tout timide et paniqué.

- Ben prépare un cheval pour Monsieur Julien!

- Oui Maître tout de suite!

Il me regarda avec beaucoup de crainte et dit tout timidement:

- Maître… Pardon… Mais c’est grave… Maître… Pour Angelo… Pardon Maître pour ma question!

- N’aies pas peur mon Ben, il a été corrigé, mais il restera votre chef!

- Merci Maître!

Il s’agenouilla et embrassa ma main, j’étais surpris, je le fis se relever, et en lui donnant deux gentilles petites claques sur les fesses, je dis:

- Au travail, petit Ben, et vite…

Je pris la direction du bureau. J’entrai brusquement et trouvai Angelo à genoux, devant le bureau, les mains sur la tête, il frémit. Il avait raison je n’avais pas déclaré la fin de la punition, je ne dis rien, je m’assis sur sa chaise à son bureau, sa tête baissée, dépassait juste le bureau, j’aimais bien Angelo, mais son caractère entier n’est pas toujours facile à diriger, aussi je décidai de poursuivre un peu le jeu, peu par sadisme mais plutôt pour le faire parler et lui donner une leçon.

- Alors Angelo, tu me poses un grave problème… je ne sais plus quoi faire de toi… Debout Angelo! Il se leva aussitôt, gardant les mains sur la tête.

- Maî… Maître…

- Insolent Angelo, il y a quelques mois, je te tire des griffes d’un mauvais chef, je sauve ta femme et ton fils Marco, je te nomme chef des écuries, tout se passe bien, sauf que j’ai déjà dû te fouetter à cause d’un mauvais cocher, Bob, ensuite le jour où je nomme Julien comme régisseur du Château, tu l’insultes à la première remarque, alors comment je peux te faire confiance? Je préfère t’envoyer au bagne ou te vendre, et acheter un nouvel esclave pour diriger mon écurie, j’aurais moins de problèmes…

Au fur et à mesure que je parlais je voyais Angelo changer de couleur, deux grosses larmes coulèrent sur ses joues.

- Tu dois comprendre, Angelo, qu’être chef au Château, c’est un honneur, et qu’il faut être digne de cette fonction, mais surtout pas s’opposer aux décisions de ton Maître, en particulier si tu as un nouveau régisseur, à qui tu dois obéir totalement puisque c’est l’ordre de ton Maître! Quel exemple tu donnes à ton équipe autrement! Alors tu ferais quoi à ma place: le bagne ou te vendre à qui voudra un beau mâle reproducteur, mais insoumis et marqué par le fouet!

Angelo était décomposé, il ne retenait plus ses larmes, il réussit à dire dans un mélange de sanglots:

- Maître… Si vous me chassez… Maître… Pour Rose et Marco… Maître… Maître… Ils seront vendus… Oh non… Maître… Maître…

Pauvre Angelo, il pensait à sa femme et à son fils, plus qu’à lui, je commençais à en avoir pitié, c’était Angelo un de mes plus beaux esclaves, je l’avais possédé en plus, et à part quelques erreurs graves, il me servait bien. Mais je poursuivis:

- Je veux ta réponse Angelo, bagne ou vente?

- Le bagne Maître, je… Resterai à vous Maître… Après avoir dit ça il tomba à genoux, et s’écroula en sanglots.

- Angelo, viens vers moi!

Je me dégageai du bureau, il vint devant moi, j’étais assis, les jambes semi écartées, Angelo toujours les mains sur la tête, la figure noyée dans les larmes. Il pleurait doucement, essayant de bien garder sa position.

- Baisse tes bras et viens plus près de moi!

Il vint entre mes jambes, il n’osait pas me toucher, je pris sa tête dans mes mains et l’attirai contre moi, jusqu’à mon ventre, il passa ses bras autour de moi et se blottit contre moi, et ses pleurs redoublèrent. Je sentais mon Angelo vibrer, pleurer, il mouillait ma chemise avec ses larmes, je me mis à caresser sa tête, je pouvais voir son dos et ses fesses très marquées, je me penchai et commençai à caresser ses fesses, il gémit de plaisir, je le fis se relever, il s’assit sur mes cuisses, jambes écartées, je le serrai dans mes bras, il me serra aussi, je lui caressai les fesses, sentir mon Angelo tout offert, me serrant comme ça, me fit bander.

- Alors je dois t’envoyer au bagne, méchant Angelo?

- Où vous voulez Maître, mais ne faites pas de mal à Marco, à Rose et… Au futur bébé… Maître, Rose elle attend un nouveau bébé, et j’ai peur Maître… J’ai peur pour elle…

- Tu ne m’avais pas dis ça mon garçon! Pourquoi avoir peur?

- Maître, ça c’est mal passé pour Marco… J’ai peur pour Rose, Maître… Je ne veux pas la perdre!

- Mais ça se passera bien, elle ira voir Aurélien, il la suivra, si ça se présente mal on fera comme la dernière fois! Il est bien venu le petit Marco!

- Mais si c’est pire Maître?

- Pourquoi penser au pire, Angelo?

- Oh Maître depuis hier, je ne vis plus, depuis qu’elle m’a dit qu’elle était enceinte!

- Tu y pensais tout à l’heure?

- Oh oui Maître, quand Monsieur Julien m’a reproché qu’une botte de paille était mal rangée, je ne pensais qu’à Rose, et je suis parti dans la colère que vous savez, oh Maître pardon…

- Tu es compliqué Angelo! Mais il fallait bien que je te fouette pour ton insolence!

- Pardon Maître… Pardon…

- Tu sais Angelo, dans ta colère, tu as dis du bien de moi, je l’ai entendu, tu as dis aussi qu’on manquait de chevaux, et tu as raison, pourquoi ne pas en parler calmement?

- Je n’ai pas osé vous déranger Maître…

Pendant notre discussion il était contre moi, je pouvais caresser ses fesses ouvertes, un de mes doigts s’égarait de temps en temps pour entrer dans sa raie et aller chatouiller sa tendre rondelle, il frémissait à chaque fois. Je lui dis plus tendrement:

- Petit Angelo, pourquoi tu ne dis pas tout? Tu as mal répondu à Julien, tu devais être fouetté, c’est normal, mais tu aurais dû t’expliquer je t’en ai donné la possibilité!

- Je n’ai pas osé Maître, vous étiez en colère…

- Alors tu mérites le bagne? Pourquoi avoir choisi le bagne?

- Oh Maître, pitié… J’ai mérité ce que vous décidez Maître… Pourquoi le bagne Maître? Pour rester à vous, peut-être avoir une chance de revoir Rose, Maître…

- Bon ça suffit Angelo, tu n’iras pas au bagne, je te garde comme chef, c’est bien parce que tu es mon Angelo!

Il me serra dans ses bras, il en tremblait, il se confondit en remerciements, promesses de fidélité, de bonne obéissance. J’ajoutai:

- Angelo je te pardonne, mais j’y mets une condition, c’est que demain à la première heure tu ailles demander pardon à Julien, il est à son bureau vers 8h00, bien sûr, il peut te corriger, il a été publiquement injurié par tes phrases, je ne lui donnerais pas tort! Tu as dit aussi qu’on manquait de chevaux, je te veux demain à 10h00, avec Julien dans mon bureau avec une proposition justifiée d’achats de chevaux! Tu préviendras Julien, je ne devrais pas le voir avant.

Angelo se leva, il dit ‘à vos ordres, Maître’. Aussitôt il tomba à genoux, il embrassa ma main, en me remerciant encore.

Je le relevai, lui demandai de me montrer ses fesses, elles étaient durement marquées, encore très chaudes, il a dû sentir passer la correction, je me levai, me plaquai contre ses fesses et son dos, je lui dis:

- J’ai envie de toi beau gosse fouetté…

- Maître je suis à vous… Vous le savez…

- Bien commence par me sucer mon garçon…

Il s’agenouilla devant moi, il défit mon pantalon, je savais bien qu’il avait des réticences, mais il n’en montra rien, il me regarda pour avoir l’autorisation de sortir mon sexe, je fis oui de la tête, il ouvrit sa bouche et lécha déjà le bout de mon sexe, le gland, puis il engloutit tout très doucement, il savait faire, peut-être Rose lui faisait-elle ce type de plaisir?

Il me suça longuement, je bandait comme un âne, être sucé par le bel Angelo, je voyais ses fesses meurtries, je le fis se relever et se courber sur le bureau, il offrit son cul à son Maître, je le pénétrai doucement, il gémit doucement, j’arrivai au bout, et je commençai à le limer lentement et de plus en plus vite, quand mon aine venait au contact de ses fesses, je sentais la chaleur je pris son sexe, il bandait, malgré le fouet, malgré sa douleur, le plaisir qu’il ressentait était trop fort, je le branlai. Le sentir dur comme ça dans ma main, la chaleur de ses fesses, la douceur de son intérieur, un bel écrin pour les allers et retours de mon sexe, tout ceci fit monter mon plaisir et j’éclatai de plaisir dans un râle d’amour, envoyant plusieurs jets de sperme dans l’intérieur de mon Angelo. Je continuai à le branler, il ne tarda pas à jouir, j’étais encore en lui, il répandit son sperme sur son bureau, en criant légèrement. Nous restâmes un peu enlacés, nous nous embrassions tendrement…

Nous nous détachâmes, je le fis se rhabiller, il grimaça en mettant son short, je lui dis de monter me voir dans une heure que je soigne un peu ses fesses, encore une bonne occasion pour moi de caresser ses fesses, je sortis après un gentil bisou sur ses lèvres, et partis pour ma promenade à cheval, bien retardée…

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