Quand j'entrai dans ma chambre, je trouvai Yvan, nu, à genoux les mains sur la tête devant le lit, il attendait mon arrivée, il baissait la tête, tout honteux. Quand je m'approchai de lui sans un mot, je le vis trembler légèrement il jeta un coup d'œil vers moi, il paraissait très nerveux.
- Tu trembles mon garçon?
- Maître… Maître… Je… Je…
- Tu as bien mérité une bonne fessée, non?
- Oui Maître… Pardon Maître…
Je m'assis sur le lit, à ce moment on frappa à la porte, comme j'avais demandé à Julien de m'envoyer Albert, je ne fus pas surpris, je lui dis d'entrer, et Albert entra doucement me salua très respectueusement, il parut surpris de voir Yvan à genoux.
- Albert, tout d'abord je dois punir Yvan, alors déshabille-toi et va t'installer en face pour assister à la punition!
Il obéit sans rien dire et se mit en face en me regardant tristement…
- Yvan sur mes genoux!
Yvan vint se coucher sur mes genoux, il y resta deux secondes et il se souvint de la position à prendre, écarter légèrement les cuisses et cambrer les fesses. Sans aucune caresse préalable ma main tomba fortement à droite, à gauche, au milieu en dessous, au dessus, ce fut une avalanche de claques fortes, les fesses rougirent vite. Le puni, gémissait, il agrippa ma cheville, mais je continuais un peu moins vite mais régulièrement et fortement, le pauvre Yvan maintenait bien la position, mais il commençait à s'agiter. Quand ses fesses furent bien rouges j'arrêtai de frapper.
- Alors mon garçon tu te représenteras sale devant ton maître?
- Oh non Maître… Pitié Maître… Mais Maître…
- Mais quoi Yvan?
- Maître j'aurais dû faire quoi?
- Yvan, tu t'es sali à la cuisine, si tu pouvais changer de tunique, il fallait le faire, sinon tu devais me demander pardon en entrant pour te présenter taché!
- Merci Maître, je ferai comme ça… Maître pardon d'avoir été un mauvais serviteur…
Je lui caressai les fesses, elles étaient chaudes, douces, j'eus envie de lui, ce beau petit Yvan tout soumis… Mais j'avais aussi son amant bien désirable aussi…
- Relève-toi Yvan, tu es pardonné, ne recommence pas!
- Merci Maître, à genoux il embrassa ma main.
Je me levai en me dirigeant vers le cabinet de toilette, Yvan me suivait, en passant vers Albert qui baissait les yeux, je le pris par la taille, le serrant contre moi, il parut tendu, il se laissa faire je lui palpai les fesses et lui dit:
- Mon petit Albert, tu vois que je n'ai pas été trop méchant avec ton Yvan, mais maintenant j'ai envie de toi, tu vas aller sur le lit, t'y coucher sur le ventre en présentant bien tes fesses, je te rejoindrai plus tard!
- Mais Maître…
- Il n'y a pas de 'mais', obéis et vite!
Je le laissai pour entrer dans le cabinet de toilette avec Yvan. En bon serviteur Yvan me déshabilla, il était moins timide que la veille il se débrouilla bien pour me laver, quand il lava mon sexe je me mis bien sûr à bander…
- Maître…
- Oui Yvan.
- Maître vous allez… Enc… Prendre Albert… Maître?
- Oui bien sûr il est beau ton Albert j'ai envie de lui!
- Mais Maître… Il ne l'a jamais fait Albert… Il me prend moi…
- Et bien ça le changera… Je ne le ferai pas comme une brute rassure-toi!
- Merci Maître.
J'entrai nu dans la chambre je vis Albert couché sur le ventre sur le lit, il avait les jambes serrées, il me lança un regard craintif.
- Ecarte les jambes Albert!
- Oh Maître… Non Maître… Pas ça…
- Ecarte!
- Non Maître! Je ne veux pas être enculé! Maître… Pitié!
- Yvan, va chercher Xavier et remonte avec un martinet, des verges et une corde! Et vite!
Il fila consterné, nu les fesses rouges, je mis un peignoir, peu de temps après Xavier entra avec Yvan, un gros martinet, des verges et un cordage en mains. Xavier me salua en silence et attendit mes ordres.
- Xavier, je ne sais pas comment ces serviteurs ont été dressés, mais j'en ai assez de leurs désobéissances, maintenant c'est Albert qui ne veut pas se donner à moi, tu m'en rendras compte Xavier demain matin mais pour l'instant attache les chevilles et les poignets de cet indiscipliné aux bois du lit! Exécution!
- Oui Maître… Pardon Maître!
Il attrapa une cheville d'Albert et l'attacha d'un coté et il prit l'autre pour l'attacher de l'autre coté, Albert se débattit un peu mais il fut vite attaché les jambes bien écartées, il lui attacha aussi les mains, Albert était écartelé sur le lit, sans défense il bougea un peu et se calma.
- Mets-lui un coussin sous le ventre, et sors Xavier!
Il le fit et sortit, me saluant en demandant pardon, le pauvre Xavier était assez déconfit, mais il est le chef de ces esclaves désobéissants, il en avait une part de responsabilité. Je contemplai le bel Albert attaché, tout écartelé sur le lit les fesses proéminentes, je pris le martinet et frappai ses fesses durement, il cria, mais n'eut guère le temps de reprendre son souffle, je fit cingler le martinet rapidement, il était lourd, les claquements étaient forts, la peau marquait immédiatement, je lui donnai une vingtaine de coups rapides, ses fesses étaient bien zébrées et ouvertes, j'avais accès à toute son intimité. Je promenai le manche sur la raie de ses fesses, puis mis le bout sur son anus, il gémit.
- Alors mon garçon tu as le choix, ou je te fouette durement encore longtemps, et si tu me désobéis encore je risque de te pénétrer avec ce manche, ou tu me demande de t'enculer, et je le ferai avec mon sexe qui s'impatiente déjà bien à voir ton beau cul offert!
- Maître pitié, pas le martinet encore ça brûle Maître… Pitié Maître, ne m'enculez pas!
- D'accord tu refuses, à toi d'en subir les conséquences!
Yvan me jeta un regard désespéré, je repris le martinet et fouettai mon puni encore plus sévèrement, je m'attaquai au bas des fesses, sur tout le dos avec une force qui donnait des claquements très sonores, le puni criai fort, maintenant, il devait aussi pleurer, il était très désirable, je l'avais menacé de choses que je ne pourrais pas lui faire, il passait un mauvais moment mais il n'avait pas le droit de refuser de se donner à son maître. Une trentaine de coups donnés, on était à un total de cinquante, je m'arrêtai.
- Alors esclave tu demandes quoi à ton Maître, de te fouetter encore, il y a là un beau lot de verges, ou de te prendre, comme je le fais avec mes beaux esclaves soumis!
- Pas les verges Maître, non pitié Maître…
Je posai ma min sur ses fesses, elles étaient brûlantes, je promenai mes doigts dans sa raie, je chatouillai un peu sa rondelle, il frémit et dit d'une voix toute sanglotante:
- Maître vous ne me ferez pas mal?
- Moins qu'à coup de verges tu peux en être sur mon garçon! Aller sois raisonnable!
- Maître… Prenez-moi… Enculez-moi… Pitié Maître!
- Yvan va chercher la vaseline!
J'en enduisis mes doigts, en déposai une bonne quantité sur son cul et je commençai à le doigter, avec un doigt, puis deux, il se raidit.
- Détends-toi mon garçon, Yvan vas lui parler!
Yvan alla vers lui, il pleurait aussi il l'embrassa il murmura à son oreille, l'anus d'Albert se détendit, j'y entrai trois doigt, puis approchai mon sexe bien tendu. Mon gland rencontra un peu de résistance mais il entra doucement, Albert gémit mais il se soumettait bien, je ne sais pas ce qu'Yvan lui disait. Je le pénétrai doucement, tendrement il gémissait peu, j'arrivai à le pénétrer complètement, je sentis ses fesses brûlantes sur mon aine! Je commençai mon va-et-vient, son intérieur était tout doux, comme il était encore un peu serré la pression sur mon sexe fit vite monter le plaisir, je déchargeai abondamment en lui, il poussa un drôle de gémissement, je me couchai sur son dos, je restai en lui, je lui dis à l'oreille:
- Alors mon garçon ça valait le coup de faire tout ça?
Je me retirai de son intérieur en lui parlant.
- Pardon Maître… Pardon… Et il pleura.
- Yvan détache-le!
Yvan lui détacha les pieds et les mains, il se recroquevilla sur lui-même dans le position fœtale en pleurant fortement. Je me couchai à côté de lui le caressant doucement.
- Eh bien mon garçon pourquoi tu pleures comme ça?
Il se tourna vers moi me regardant avec ses yeux plein de larmes:
- Oh Maître j'ai honte… Vous allez me détester maintenant…
- Pourquoi mon Albert?
- Oh Maître je vous ai dit non… Et vous avez si doux… En m'enculant Maître… Je ne savais pas que c'était comme ça… Pardon Maître…
Je me couchai sur le dos et le fis se coucher sur moi, je caressai son dos, ses fesses, il se détendit, je l'embrassai tendrement, il arrêta de pleurer je lui dis:
- Je te pardonne petit Albert, la prochaine fois obéis, je suis ton Maître, tu dois avoir confiance, je ne fais pas de mal à mes esclaves sauf pour les punir…
- Maître j'obéirai… Vous êtes gentil Maître…
Il était allongé sur moi, j'aimais sentir son corps contre le mien, je fis signe à Yvan de venir nous rejoindre, il vint se coucher contre moi, je lui fis un bisou, il me sourit. Je caressai les fesses d'Albert avec insistance un de mes doigts vint sur son orifice et s'introduisit, je caressai son intérieur, je sentis son sexe se tendre sur mon aine…
- Eh bien ça te fait de l'effet mes caresses, Albert!
- Pardon Maître… Je ne peux pas me contenir…
- Mais bande comme tu veux mon coquin, ça n'est jamais interdit!
- Oh merci Maître!
La suite fut une longue scène d'amour à trois, Yvan se joignit à nous, il se fit prendre par Albert, ensuite Albert le suça jusqu'à ce qu'il jouisse, je leur demandai de me sucer, ils le firent tous deux avec un grand savoir, leurs bouches et langues affairées sur mon dard et mes bourses je jouis une nouvelle fois intensément dans une des deux bouches, je ne savais plus j'étais épuisé, heureux, avec mes deux serviteurs courbés sur mon sexe…
Nous avions joui largement tous les trois, mes deux esclaves me regardèrent, je demandai à Yvan d'apporter une serviette mouillée pour nous laver, il le fit avec douceur, moi en premier, puis Albert et lui-même. Une fois ceci fini, je leur demandai de se coucher à mes cotés pour la nuit, mais après qu'Yvan ait pommadé le dos et les belles fesses zébrées d'Albert avec un baume calmant! Ils me sourirent tous les deux gentiment et se serrèrent contre moi, j'étais bien avec ces deux garçons soumis contre moi…
Nous nous endormîmes nus, enlacés dans un enchevêtrement de jeunes corps de mâles satisfaits. Le matin quand je m'éveillai je les découvris enlacés entre eux, Albert avait encore un bras sur mes reins, il était doux cet esclave avec moi, même après avoir été fouetté… Je me rendormis et quand je me réveillai ils n'étaient plus là, ils étaient à leur service. Yvan n'était pas loin il vint rapidement pour ma toilette.
Au petit déjeuner je retrouvai Julien, je lui racontai ma soirée, lui demandant de ne pas punir plus Albert, il acquiesça et m'avoua qu'il avait passé la nuit avec le beau garçon d'écurie qu'il désirait et il avait une drôle de lueur dans les yeux en me disant ça, il était amoureux Julien… Mais Xavier entra, il vint s'agenouiller vers moi et dit:
- Maître pardon pour la conduite de vos deux serviteurs hier soir, je suis aussi coupable qu'eux, vous étiez en colère contre moi, vous aviez raison maître… Punissez-moi Maître, je le mérite!
- Vas m'attendre dans le bureau Xavier, laisse-moi finir mon déjeuner!
Il partit, Julien me regarda surpris:
- Monsieur, vous voulez le fouetter?
- Il mérite un sermon et une correction d'avertissement, les serviteurs d'ici doivent obéir sans réticence à tous mes ordres, il est leur chef, il est fautif aussi!
- Moi aussi alors Monsieur…
- Oui et non, pourquoi pas moi aussi? Mais c'est vrai que je n'ai pas eu l'occasion de te punir depuis longtemps!
- Monsieur c'est vrai, je préfère éviter les sévères punitions mais s'il vous plait, si vous devez châtier Xavier durement, donnez moi une partie de sa punition, il est trop dévoué pour mériter une dure punition, Monsieur.
- Non Julien je punis qui je veux, mais n'ais pas peur pour Xavier, et sois prêt dans 20 minutes avec Eric pour aller à St Alban!
- Bien Monsieur!
J'entrai dans le bureau, Xavier y était debout, mains sur la tête, en position d'attente du puni, je m'assis au bureau et le regardai:
- Alors Xavier, pourquoi Albert n'est pas obéissant aux ordres de son maître?
- Pardon Maître, je l'ai mal éduqué, il obéissait au vieux maître, mais…
- Mais quoi, Xavier?
- Maître pardon mais le vieux maître ne donnait pas ce type d'ordre à un serviteur!
- Et à une servante?
- Oui Maître, pardon Maître c'est vrai elle devait obéir…
- Donc Albert devait obéir aussi, il l'a fait, après une bonne correction au martinet, ensuite il s'est laissé faire et il a été un bon garçon, je lui ai pardonné, je t'interdis de le punir pour cette faute, maintenant.
- Bien Maître!
- Tu lui avais dit que je voulais coucher avec lui?
- Je lui ai dit d'obéir Maître…
- Bon comme un esclave sous tes ordres a fauté tu dois être puni Xavier!
- Oui Maître, pardon Maître!
- Mets-toi cul nu, les coudes sur le bureau!
En quelques secondes Xavier fut en position, les fesses bien cambrées, les jambes un peu écartées, un très beau spectacle pour moi, je lui dis:
- Tu mérites le martinet Xavier, une correction d'avertissement, mais gare à toi si j'ai de nouveau ce type de problème, je serai plus sévère!
- A vos ordres Maître, merci Maître.
J'ouvris l'armoire aux instruments de correction que le vieux maître avait, il y avait toute une collection de fouets de diverses tailles, des verges, des cravaches, des martinets, des ceintures et courroies de cuir, tout pour châtier correctement un esclave désobéissant, Xavier me suivait des yeux avec des yeux craintifs, je reconnu parmi les martinets celui que j'avais utilisé la veille sur les fesses d'Albert, c'était le plus gros, Xavier l'avait choisi pour Albert, c'était le plus dur, je le pris, et dis à Xavier:
- Pourquoi tu as choisi le martinet le plus lourd pour corriger Albert hier soir?
- Maître, vous étiez en colère, et c'est celui que prenait le vieux maître pour moi, Maître…
- Tu le connais bien alors?
- Oh oui Maître, et presque tous les autres aussi Maître, sauf les fouets…
- Ton ancien maître, ne te fouettait pas au sang, tu n'as pas de marques, dis-je en contemplant ses fesses et son dos lisses…
- Oui Maître…
- Je n'en ai pas l'intention non plus, rassure-toi, il faudrait que tu commettes une faute très grave!
Je pris le même martinet que pour Albert et commençai à fouetter Xavier, pas trop fortement, mais les lanières claquèrent quand même bien et ses fesses furent vite zébrées de traces roses, il encaissait chaque coup avec courage en frémissant et gémissant, je lui donnai vingt coups, je ne voulais pas aller plus loin, il avait les fesses roses, c'était un beau garçon soumis qui venait d'être puni, il était très désirable, je me mis à bander! Je m'approchai de lui bien offert, courbé sur le bureau, je caressai ses fesses, puis y collai mon aine, même avec mon pantalon, il ne pouvait pas ne pas sentir mon désir…
- J'ai envie de toi Xavier, tu es très beau…
- Maître faites ce que vous voulez, je suis votre esclave, à vous…
Je pris un flacon de vaseline dans mon sac posé sur mon bureau, je ne me déplaçais jamais sans, j'en mis sur mes doigts, qui s'insinuèrent dans son intérieur, doucement, un puis deux, je le massai doucement, il se détendit, il s'ouvrit, confiant, j'étais doux, il cambra même ses fesses comme pour mieux s'offrir! Quand mon sexe se présenta il frémit mais son écrin l'accepta sans gémissement, je le pénétrai doucement, tendrement, je fus vite en lui, et lui fis l'amour, le limai calmement puis plus rapidement, le sentir soumis comme ça, la beauté de son corps donné au plaisir de son maître, augmentèrent mon désir et j'éjaculai dans un bel orgasme en lui… Je pris son sexe en main, il n'était pas indifférent, je le branlai tout en restant en lui, son plaisir vint très vite, il éjacula abondamment en haletant. Je me retirai de lui le fis se relever contre moi, et dans une étreinte réciproque nous nous embrassâmes comme deux amants satisfaits…
dimanche 27 décembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
Le Domaine de Saint Christophe 52 – Punitions à Broc
Félix était nu attaché par les bras au pieu des punitions sur la place de Broc, il tremblait le petit chef arrogant, son maître venait de demander le début de sa punition, Alex avait pris la grande strap, il la fit claquer dans l'air, les fesses déjà zébrées de Félix étaient au vent, il avait honte, être nu le cul tendu pour être fouetté, les jambes un peu écartées, il sentait un courant d'air sur son sexe, il regarda la strap avec un regard d'angoisse…
Alex souleva la strap et l'abattit violemment en plein milieu des fesses du puni, avec une déflagration étonnante, Félix se cabra, il cria:
- Ahhhh… Un Maître… Merci Maître… Pitié…
Ce fut alors une succession de coups, à son habitude Alex fouettait sévèrement et le connaissant il n'avait pas dû apprécier ces petits chefs, ils allaient souffrir, ça ne me déplaisait pas, ils avaient cruellement fouetté plusieurs esclaves ils devaient payer…
- Arrghhhhh… 20 Maître… Merci… Maître…
Ses fesses étaient rouge violacé, le cuir claquait là où les verges avaient laissé leurs traces, Alex continuait la flagellation à un rythme soutenu, le puni avait du mal à suivre, je ne voulus pas faire de pause, une punition en un seul coup était plus dure…
- Ahhhhhhhh… 55 Maître… Maître… Merci… Pitiééééé…
La strap acheva son travail, les cinq derniers coups arrachèrent un cri rauque de la bouche du puni, le denier coup donné, il remercia d'une voix rauque et son corps s'affaissa, sa tension était finie, il n'en pouvait plus…
J'allai vers lui, il ne me vit pas arriver, je le pris par les cheveux pour lui lever la tête, sa face était noyée par les larmes, il avait l'air défait, un regard implorant…
- Alors, petit arrogant, tu as compris qui est le maître, ici?
- Oui Maître… Pardon Maître…
- Je ne te pardonne pas, je vais t'envoyer au bagne pour t'apprendre la discipline, on t'y dressera, si tu t'y conduis bien tu pourras en ressortir et travailler aux champs dans un village, si tu restes rebelle, tu finiras ta vie au bagne sous le fouet des gardiens, mais ta vie y sera longue crois moi…
- Pitié Maître… Pitié…
- Rachète-toi et j'aurai peut-être pitié de toi!
Il était assez mignon mon puni tout repentant mais ayant vu sa cruauté, je ne le croyais pas trop, le bagne le dressera et effacera tout ce qu'il avait appris à cette école!
- C'est bon qu'on le détache et le mette au cachot à St Pierre, et quand il aura récupéré des gardes viendront pour l'emmener au bagne! Maintenant à Camille! Avance petit chef!
Camille un beau gosse de mon âge, brun élancé, tomba à genoux, prosterné:
- Non Maître pas ça pas le fouet… Pitié Maître!
- Relève-toi et viens pour ta punition!
- Non Maître pas le fouet…
Il se coucha par terre se recroquevillant sur lui-même en gémissant et implorant.
- Garde emparez vous de lui et accrochez-le au pieu! 100 coups au lieu de 75 pour désobéissance!
Camille fut agrippé par Alex et Arnaud, ils l'emmenèrent jusqu'au pieu, et l'accrochèrent par les mains, ils lui firent écarter les jambes et j'eus le beau corps du futur puni sous les yeux, il n'osait plus rien dire, l'annonce des 100 coups l'avait surpris et avait annihilé toute résistance, il me regarda avec des yeux implorants. Je demandai la strap à Alex, je voulais me dégourdir un peu les bras sur un de ces petits chefs, je dis à Arnaud de me relayer sans pause à 50 coups. Le puni cria alors:
- Non Maître… Je suis chef… Vous n'avez pas le droit de me fouetter…
- Quoi esclave tu te rebiffes encore! 120 coups et le bagne pour te dresser ça ne sera pas trop!
Je soulevai la strap, et le frappai durement, 10 coups à un rythme soutenu, le beau gosse criait, il essaya de compter, il s'emmêla, je tapai ses fesses, ses cuisses, le bas du dos fortement en dix coups j'avais déjà bien rougi une bonne partie de son corps.
- Esclave tu comptes les coups par dix je n'ai pas envie d'entendre ta voix d'esclave rebelle 120 fois! On en est à combien esclave?
- Je en sais pas Maître… 10 peut-être…
J'attendis quelques seconde son remerciement, je donnai alors un coup violent bien à la base de ses fesses, il se cabra en criant.
- Et alors qu'est-ce qu'on dit quand on est fouetté par son maître?
- 11 Maître… Merci Maître…
Un nouveau coup parti, pour le milieu des fesses?
- Non 10 esclave! On repart à 11 et estime-toi heureux de ne pas repartir à zéro! Je donnai les dix coups suivants sur les épaules, les reins, le haut des cuisses, toujours avec une vigueur redoutable…
- Aiiiiieeeee… 20 Maître… Merci Maître…
- Ah tu as quand même compris!
La suite de la correction fut très dure la strap claquait, le cuir mordait la peau, de rouge elle devenait violette des épaules aux genoux mais c'est les fesses qui prenaient le plus, sans répit.
- Ahhhhhrrrrggggg… 60 Maître… Merci…. Maître...
Je tendis la strap à Arnaud qui me relaya immédiatement, comme il était plus fort que moi ses coups furent plus puissants. Le puni se cabra, et il encaissa sa punition en pleurant, criant, hurlant, gémissant, tous les dix coups il remerciait avec une voix de plus en plus cassée, sanglotante. Après le centième coup il n'émit plus qu'un râle constant entrecoupé de cris, il était pendu par les bras n'ayant plus la force de tenir debout. Presque tout l'arrière de son corps était violet maintenant.
Après que les 120 coups furent donnés, j'allai le voir et comme pour Félix, je le pris par les cheveux:
- Alors petit chef tu vas obéir à ton maître maintenant que tu es le dernier des esclaves fouetté, nu devant tout le monde et bientôt la discipline du bagne pour te dresser, tu en as bien besoin!
Il me regardait implorant, il tenta de parler mais sans succès, je le lâchai et donnai les mêmes ordres que pour Félix, à part que je le destinai au bagne de la route, je ne voulais pas qu'ils soient ensemble!
- Au Suivant!
Pierre approcha tête basse, il s'agenouilla devant mois, on était en train de détacher Camille et de le trainer hors de l'espace du pieu.
- Maître…
- Tu as quelque chose à dire Pierre?
- Maître… Pardon Maître… Depuis deux jours… Je suis esclave ordinaire… J'ai été bien accueilli dans le Camp 2… J'ai travaillé avec les esclaves… Je regrette ce que j'ai fait Maître, Pardon Maître, le régisseur il nous incitait à fouetter mais… J'ai trop fouetté mes esclaves Maître… Je… Je leur demande pardon… Maître…
- Il est un peu tard pour regretter mais tu demandes publiquement pardon… Tu as déjà été puni pour avoir donné les verges à Jacquot le berger, tu dois l'être aussi pour ta cruauté passée, mais elle s'est appliquée quand je n'étais pas ton Maître… Donc je veux bien me montrer clément tu vas recevoir dix coups de strap, pour que tu en connaisses le "goût" les 40 coups qui restent seront en sursis à toi à ne pas commettre de faute grave!
Il se courba encore pour embrasser mes pieds, Alex le souleva pour l'emmener au pieu, il se laissa faire…
Il y fut vite attaché, il était beau aussi, ces quatre anciens élèves de cette école de petits chefs étaient des beaux gosses mais pas des gentils garçons, je pris la strap et en assenai dix coups violents uniquement sur ses fesses bien cambrées, elles appelaient la punition… En plus précédemment zébrées par les verges, le puni a dû souffrir, les deux lobes de ses fesses furent vite rouges, il ne put compter, les dix coups donnés, il reprit son souffle et dit:
- Ahhhh… Merci Maître… Et merci de votre clémence Maître… Maître c'était dur mais Maître…
Il s'arrêta, j'allai le voir, il baissait la tête, au contraire des deux autres je ne la soulevai pas par les cheveux, il m'avait touché ce Pierre par ses excuses aux esclaves, je lui dis doucement:
- Mais quoi Pierre?
- Maître Félix et Camille ils ne sont pas si mauvais…
- Oui Pierre mais ils iront au bagne, jusqu'à ce qu'ils soient de bon esclaves comme tu devras l'être…
- Je le serai Maître… Merci de m'avoir écouté… Je vous aime Maître…
- Comment ça?
- Oh pardon Maître… Vous êtes juste Maître… Et il pleura!
- Alex détache-le, et qu'il rejoigne son équipe!
Je donnai à Pierre une caresse sur sa nuque, et je le quittai, il ne paraissait pas si mauvais ce Pierre, laissons lui sa chance. Je demandai à Edmond que les esclaves regagnent leur dortoirs et de venir avec moi à l'intérieur, avec Vincent aussi, j'invitai aussi Julien à nous rejoindre. Avant je demandai à Alex de retourner à St Christophe avec Arnaud et le malade et le blessé, et de me renvoyer Eric comme convenu.
- Ah au fait Alex demain matin tu enverras deux gardes au Val D'or, j'ai acheté deux esclaves à Bertin, je les destine à être garde, tu devras les tester avant!
- Merci Maître, deux nouveaux gardes ça sera bien, merci pour nous Maître!
Je rentrai à l'intérieur, Julien était assis, Edmond et Vincent debout derrière lui, je les fis tous asseoir disant que pour travailler c'était mieux.
- Bon je vous vois tous les quatre pour définir l'organisation de Broc, il y a cinq équipes pour un seul chef Vincent, Edmond étant chef du village, je le confirme dans ce poste aujourd'hui, il ne peut plus être chef de son équipe, je veux que l'on nomme maintenant 4 chefs d'équipe, parmi les esclaves méritants et pas les plus jeunes. Proposez des noms, quand on en aura quatre on les fera venir.
Au début il y eut un silence, Edmond proposa deux noms, le père du jeune malade et un gars de son ancienne équipe, plus un troisième qui lui parut sérieux… Vincent ne dit rien il avait la tête baissée, troublé après les dures punitions de ses anciens collègues.
- Et toi Vincent?
- Pardon Maître, les gars qu'Edmond a proposés sont biens… Dans mon équipe il y a un gars qui travaille bien… Mais il est encore jeune, Maître.
- Il a quel âge?
- 27 ou 28 ans je ne sais plus…
- C'est Léonard dit Edmond?
- Oui Chef!
- C'est un bon gars il fera un bon chef en effet.
- Bon on a nos quatre chefs vous êtes d'accord? Léonard remplacera Pierre!
- Oui Maître dirent-ils les deux.
- Bon Vincent va les chercher tous!
Peu de temps après j'eus quatre gars tous étonnés dans mon bureau et Vincent alignés devant mois, ils avaient un peu peur. Je leur annonçai leur nominations, et ce que je voulais d'eux, qu'ils traitent bien les esclaves et que le travail soit bien fait. Ils se détendirent, je discutai brièvement avec tous, Julien aussi et décidai de partir pour St Pierre.
En chemin je discourrai avec Julien qui avait été bien discret dans toutes ces discussions…
- Mais Monsieur quand vous parlez, je ne me permets pas de parler et je suis admiratif devant vos nominations des chefs de Broc, je n'oserais pas ajouter quelque chose, je suis fier de travailler pour vous Monsieur…
- Merci mon Julien, mais dis-moi, tu as des relations avec les esclaves de St Pierre?
- Monsieur, je parle avec Xavier et Albert principalement, j'ai vu Paul hier c'est tout!
- Tu es très sage avec ton sexe alors…
- Oh Monsieur, je sais que je n'ai pas le droit de coucher avec vos esclaves!
- Oui c'est vrai, mais il n'y a pas un esclave qui te plait?
- Oh Monsieur, il y a un gars aux écuries qui me plait bien, il est mignon…
- Bon tu as ma permission de tenter quelque chose avec lui, il t'obéira s'il est bien discipliné!
- Merci Monsieur, il me plait tant ce garçon…
- Et Albert ton serviteur?
- Il est gentil Monsieur mais il aime Yvan Et c'est bien…
- Ce soir tu enverras Albert dans ma chambre, je l'ai averti après sa fessée ce matin!
- Oui Monsieur, je me rappelle, il y sera.
En arrivant à St Pierre, deux garçons d'écurie virent chercher nos chevaux, un des deux était très mignon, je regardai Julien, il rougit, il avait bon goût Julien!
Je travaillai avec Xavier, une bonne heure, puis me reposai un moment au salon Yvan me servit à boire, quand Xavier me dit qu'Eric était là, je le fis entrer rapidement au salon:
- Alors Eric, comment va Thomas?
- Mieux Maître, Aurélien a voulu le garder à l'infirmerie, il le soigne, il a peur que quelques cicatrices restent, Thomas vous remercie Maître, on lui a appris tout ce qui s'est passé à Broc il n'en revient pas.
Il s'agenouilla et embrassa ma main, il me dit que Thomas le lui avait demandé. Je le fis se relever en lui caressant les cheveux, il sourit, je lui fis la bise.
- Eric tu seras mon garde demain matin, nous irons à St Alban et nous retournerons à St Christophe, sois à ma disposition ce soir mais je ne devrais pas avoir besoin de toi, vas te restaurer aux cuisines.
- Merci maître de m'avoir choisi comme garde, je vous servirai de mon mieux Maître!
Je lui donnai deux petites claques sur la nuque et il partit. Je pris mon diner en compagnie de Julien, nous étions détendus, Yvan nous servait, il le faisait bien il allait à la cuisine et revenait avec les plats, après avoir apporté les desserts, je remarquai que sa tunique était toute sale, une grosse tache rouge sur le coté!
- Yvan qu'est-ce que c'est que cette tenue, tu oses te présenté sale à ton Maître et à ton chef?
Mon ton avait été sévère, Yvan se recula de la table et baissa la tête, il se mit à trembler:
- Maître… Par… Pardon, je me suis tâché à la cuisine… Pardon Maître…
Il prit la position de l'esclave en attente de sa punition, jambes écartées mains sur la tête…
- Julien comment va-t-on punir ce mauvais serviteur?
- Monsieur, il n'est pas trop mauvais mais sa faute doit être punie, soit par une bonne fessée ou le martinet, ou les verges Monsieur, mais je n'aime pas trop utiliser les verges, Monsieur, sauf pour les fautes graves. Mais Monsieur, comment a-t-il pu se salir comme ça aux cuisines?
Yvan trembla moins mais ne dit rien.
- Yvan tu as entendu la question?
- Maître… Un cuisinier a renversé une coupelle de fruits, je jus a coulé sur moi… Maître pardon!
- Yvan vas à la cuisine chercher le coupable et son chef!
Il y fila et revint avec le chef, un garçon d'une trentaine d'année, et un jeune cuisinier d'une vingtaine d'années. Ils se tinrent les deux tête baissée.
- Alors chef cuistot, on travaille salement dans tes cuisines?
- Maître je viens d'être mis au courant de ce qui est arrivé, pardon pour cette faute, je ferai tout pour qu'elle ne se reproduise pas, Maître, mais j'assume la responsabilité de cette faute, punissez moi Maître!
- Je ne pense pas te punir toi sauf si ça se reproduit, les responsables sont ton cuisinier et Yvan, ils vont être punis mais toi fais attention à mieux surveiller tes cuisiniers à l'avenir…
- Merci Maître, je suivrai vos ordres mais Maître…
- Oui?
- Mon cuisinier et Yvan ce n'est pas une très grosse faute Maître… Benoît est un bon cuisinier Maître…
- Merci, rassure-toi il sera de nouveau au travail sous peu… Yvan aussi… Tu peux te retirer, le repas était très bon, tu pourras féliciter tes cuisiniers!
- Merci Maître…
Il se courba et nous quitta, je dis à Julien:
- Nous voilà avec deux garçon à punir, dans les propositions que tu as faites, je pense qu'une bonne fessée cuisante sera bonne pour eux, tu vas fesser Benoît immédiatement je fesserai Yvan dans ma chambre tout à l'heure.
- Bien Monsieur, Benoît viens ici!
Il recula sa chaise écarta un peu les jambes, le cuisinier Benoît un garçon pas très grand mais bien proportionné s'approcha de lui hésitant, Julien le fit se courber et l'installa parfaitement sur ses genoux, il souleva sa tunique assez haut et je vis alors les fesses, le bas du dos et les cuisses du jeune cuistot, cela faisait un bel ensemble, je regrettai presque de ne pas le fesser moi-même!
- Yvan, enlève cette sale tunique et à genoux les mains sur la tête pendant la punition de Benoît et regarde bien tu recevras la même tout à l'heure!
Les deux gars étaient nus, l'un à genoux en attente, l'autre en fâcheuse posture, les fesses nues en l'air, prêtes à être fessées, je fis signe à Julien de commencer, il leva la main et claqua les fesses du puni durement, celui-ci sursauta, mais ne dit rien. Julien le fessa méthodiquement durement, à un rythme accéléré les fesses rosirent puis rougirent, je voyais la tête du puni, il grimaçait à chaque claque, il devint tout rouge, et Julien continuait, j'avais parlé d'une fessée cuisante, elle était méritée, et le beau Julien fessait ce jeune gars le spectacle était beau, je me mis à bander…
- Arrête Julien! Je vais finir sa punition!
Le gars se releva et vint vers moi il pleurait, il avait peur, il se coucha docilement sur mes genoux, j'eus devant les yeux ses belles fesses bien rouges, je posai la main dessus, elles étaient fermes, douces et toutes chaudes, je les claquai une dizaine de fois, durement, le puni gémit, je posai ma main sur ses fesses et les massai doucement…
- Alors mon garçon tu feras attention aux cuisines?
- Oui Maître… Pardon Maître… Dit-il d'une voix pleine de sanglots.
- A genoux!
Il se tint à genoux devant moi, tête baissée, tout mignon, tout soumis après une bonne fessée
- Benoît, embrasse la main qui t'a fessé, demande pardon et remercie le maître de t'avoir puni! Dit Julien.
Benoît pris doucement ma main pour l'embrasser, une larme coula sur ma main il se confondit en pardons et mercis, je lui caressai la tête et lui dis de regagner sa cuisine.
Il partit tout honteux je fis signe à Yvan de se lever et lui dis:
- Yvan debout ne remets pas cette tunique sale, tu nous serviras nu un digestif et tu monteras dans ma chambre pour m'attendre à genoux les mains sur la tête!
Je repartis dans une discussion avec Julien sur le chemin de fer, nous allâmes au salon et sur mon ordre Yvan nous servit un cognac, il était très mignon Yvan tout nu pour nous servir et une fois que ce fut fait, je lui montrai la porte, il sortit tout piteux.
- Vous êtes sévère Monsieur avec lui! Dit Julien.
- Il le faut Julien, j'aurais été aussi sévère avec Tom, mes serviteurs doivent être parfaits dans leur tenue! Un esclave doit obéir!
- Oui Monsieur, je comprends…
- Bon donc il sera puni tout à l'heure, à ta santé Julien!
Alex souleva la strap et l'abattit violemment en plein milieu des fesses du puni, avec une déflagration étonnante, Félix se cabra, il cria:
- Ahhhh… Un Maître… Merci Maître… Pitié…
Ce fut alors une succession de coups, à son habitude Alex fouettait sévèrement et le connaissant il n'avait pas dû apprécier ces petits chefs, ils allaient souffrir, ça ne me déplaisait pas, ils avaient cruellement fouetté plusieurs esclaves ils devaient payer…
- Arrghhhhh… 20 Maître… Merci… Maître…
Ses fesses étaient rouge violacé, le cuir claquait là où les verges avaient laissé leurs traces, Alex continuait la flagellation à un rythme soutenu, le puni avait du mal à suivre, je ne voulus pas faire de pause, une punition en un seul coup était plus dure…
- Ahhhhhhhh… 55 Maître… Maître… Merci… Pitiééééé…
La strap acheva son travail, les cinq derniers coups arrachèrent un cri rauque de la bouche du puni, le denier coup donné, il remercia d'une voix rauque et son corps s'affaissa, sa tension était finie, il n'en pouvait plus…
J'allai vers lui, il ne me vit pas arriver, je le pris par les cheveux pour lui lever la tête, sa face était noyée par les larmes, il avait l'air défait, un regard implorant…
- Alors, petit arrogant, tu as compris qui est le maître, ici?
- Oui Maître… Pardon Maître…
- Je ne te pardonne pas, je vais t'envoyer au bagne pour t'apprendre la discipline, on t'y dressera, si tu t'y conduis bien tu pourras en ressortir et travailler aux champs dans un village, si tu restes rebelle, tu finiras ta vie au bagne sous le fouet des gardiens, mais ta vie y sera longue crois moi…
- Pitié Maître… Pitié…
- Rachète-toi et j'aurai peut-être pitié de toi!
Il était assez mignon mon puni tout repentant mais ayant vu sa cruauté, je ne le croyais pas trop, le bagne le dressera et effacera tout ce qu'il avait appris à cette école!
- C'est bon qu'on le détache et le mette au cachot à St Pierre, et quand il aura récupéré des gardes viendront pour l'emmener au bagne! Maintenant à Camille! Avance petit chef!
Camille un beau gosse de mon âge, brun élancé, tomba à genoux, prosterné:
- Non Maître pas ça pas le fouet… Pitié Maître!
- Relève-toi et viens pour ta punition!
- Non Maître pas le fouet…
Il se coucha par terre se recroquevillant sur lui-même en gémissant et implorant.
- Garde emparez vous de lui et accrochez-le au pieu! 100 coups au lieu de 75 pour désobéissance!
Camille fut agrippé par Alex et Arnaud, ils l'emmenèrent jusqu'au pieu, et l'accrochèrent par les mains, ils lui firent écarter les jambes et j'eus le beau corps du futur puni sous les yeux, il n'osait plus rien dire, l'annonce des 100 coups l'avait surpris et avait annihilé toute résistance, il me regarda avec des yeux implorants. Je demandai la strap à Alex, je voulais me dégourdir un peu les bras sur un de ces petits chefs, je dis à Arnaud de me relayer sans pause à 50 coups. Le puni cria alors:
- Non Maître… Je suis chef… Vous n'avez pas le droit de me fouetter…
- Quoi esclave tu te rebiffes encore! 120 coups et le bagne pour te dresser ça ne sera pas trop!
Je soulevai la strap, et le frappai durement, 10 coups à un rythme soutenu, le beau gosse criait, il essaya de compter, il s'emmêla, je tapai ses fesses, ses cuisses, le bas du dos fortement en dix coups j'avais déjà bien rougi une bonne partie de son corps.
- Esclave tu comptes les coups par dix je n'ai pas envie d'entendre ta voix d'esclave rebelle 120 fois! On en est à combien esclave?
- Je en sais pas Maître… 10 peut-être…
J'attendis quelques seconde son remerciement, je donnai alors un coup violent bien à la base de ses fesses, il se cabra en criant.
- Et alors qu'est-ce qu'on dit quand on est fouetté par son maître?
- 11 Maître… Merci Maître…
Un nouveau coup parti, pour le milieu des fesses?
- Non 10 esclave! On repart à 11 et estime-toi heureux de ne pas repartir à zéro! Je donnai les dix coups suivants sur les épaules, les reins, le haut des cuisses, toujours avec une vigueur redoutable…
- Aiiiiieeeee… 20 Maître… Merci Maître…
- Ah tu as quand même compris!
La suite de la correction fut très dure la strap claquait, le cuir mordait la peau, de rouge elle devenait violette des épaules aux genoux mais c'est les fesses qui prenaient le plus, sans répit.
- Ahhhhhrrrrggggg… 60 Maître… Merci…. Maître...
Je tendis la strap à Arnaud qui me relaya immédiatement, comme il était plus fort que moi ses coups furent plus puissants. Le puni se cabra, et il encaissa sa punition en pleurant, criant, hurlant, gémissant, tous les dix coups il remerciait avec une voix de plus en plus cassée, sanglotante. Après le centième coup il n'émit plus qu'un râle constant entrecoupé de cris, il était pendu par les bras n'ayant plus la force de tenir debout. Presque tout l'arrière de son corps était violet maintenant.
Après que les 120 coups furent donnés, j'allai le voir et comme pour Félix, je le pris par les cheveux:
- Alors petit chef tu vas obéir à ton maître maintenant que tu es le dernier des esclaves fouetté, nu devant tout le monde et bientôt la discipline du bagne pour te dresser, tu en as bien besoin!
Il me regardait implorant, il tenta de parler mais sans succès, je le lâchai et donnai les mêmes ordres que pour Félix, à part que je le destinai au bagne de la route, je ne voulais pas qu'ils soient ensemble!
- Au Suivant!
Pierre approcha tête basse, il s'agenouilla devant mois, on était en train de détacher Camille et de le trainer hors de l'espace du pieu.
- Maître…
- Tu as quelque chose à dire Pierre?
- Maître… Pardon Maître… Depuis deux jours… Je suis esclave ordinaire… J'ai été bien accueilli dans le Camp 2… J'ai travaillé avec les esclaves… Je regrette ce que j'ai fait Maître, Pardon Maître, le régisseur il nous incitait à fouetter mais… J'ai trop fouetté mes esclaves Maître… Je… Je leur demande pardon… Maître…
- Il est un peu tard pour regretter mais tu demandes publiquement pardon… Tu as déjà été puni pour avoir donné les verges à Jacquot le berger, tu dois l'être aussi pour ta cruauté passée, mais elle s'est appliquée quand je n'étais pas ton Maître… Donc je veux bien me montrer clément tu vas recevoir dix coups de strap, pour que tu en connaisses le "goût" les 40 coups qui restent seront en sursis à toi à ne pas commettre de faute grave!
Il se courba encore pour embrasser mes pieds, Alex le souleva pour l'emmener au pieu, il se laissa faire…
Il y fut vite attaché, il était beau aussi, ces quatre anciens élèves de cette école de petits chefs étaient des beaux gosses mais pas des gentils garçons, je pris la strap et en assenai dix coups violents uniquement sur ses fesses bien cambrées, elles appelaient la punition… En plus précédemment zébrées par les verges, le puni a dû souffrir, les deux lobes de ses fesses furent vite rouges, il ne put compter, les dix coups donnés, il reprit son souffle et dit:
- Ahhhh… Merci Maître… Et merci de votre clémence Maître… Maître c'était dur mais Maître…
Il s'arrêta, j'allai le voir, il baissait la tête, au contraire des deux autres je ne la soulevai pas par les cheveux, il m'avait touché ce Pierre par ses excuses aux esclaves, je lui dis doucement:
- Mais quoi Pierre?
- Maître Félix et Camille ils ne sont pas si mauvais…
- Oui Pierre mais ils iront au bagne, jusqu'à ce qu'ils soient de bon esclaves comme tu devras l'être…
- Je le serai Maître… Merci de m'avoir écouté… Je vous aime Maître…
- Comment ça?
- Oh pardon Maître… Vous êtes juste Maître… Et il pleura!
- Alex détache-le, et qu'il rejoigne son équipe!
Je donnai à Pierre une caresse sur sa nuque, et je le quittai, il ne paraissait pas si mauvais ce Pierre, laissons lui sa chance. Je demandai à Edmond que les esclaves regagnent leur dortoirs et de venir avec moi à l'intérieur, avec Vincent aussi, j'invitai aussi Julien à nous rejoindre. Avant je demandai à Alex de retourner à St Christophe avec Arnaud et le malade et le blessé, et de me renvoyer Eric comme convenu.
- Ah au fait Alex demain matin tu enverras deux gardes au Val D'or, j'ai acheté deux esclaves à Bertin, je les destine à être garde, tu devras les tester avant!
- Merci Maître, deux nouveaux gardes ça sera bien, merci pour nous Maître!
Je rentrai à l'intérieur, Julien était assis, Edmond et Vincent debout derrière lui, je les fis tous asseoir disant que pour travailler c'était mieux.
- Bon je vous vois tous les quatre pour définir l'organisation de Broc, il y a cinq équipes pour un seul chef Vincent, Edmond étant chef du village, je le confirme dans ce poste aujourd'hui, il ne peut plus être chef de son équipe, je veux que l'on nomme maintenant 4 chefs d'équipe, parmi les esclaves méritants et pas les plus jeunes. Proposez des noms, quand on en aura quatre on les fera venir.
Au début il y eut un silence, Edmond proposa deux noms, le père du jeune malade et un gars de son ancienne équipe, plus un troisième qui lui parut sérieux… Vincent ne dit rien il avait la tête baissée, troublé après les dures punitions de ses anciens collègues.
- Et toi Vincent?
- Pardon Maître, les gars qu'Edmond a proposés sont biens… Dans mon équipe il y a un gars qui travaille bien… Mais il est encore jeune, Maître.
- Il a quel âge?
- 27 ou 28 ans je ne sais plus…
- C'est Léonard dit Edmond?
- Oui Chef!
- C'est un bon gars il fera un bon chef en effet.
- Bon on a nos quatre chefs vous êtes d'accord? Léonard remplacera Pierre!
- Oui Maître dirent-ils les deux.
- Bon Vincent va les chercher tous!
Peu de temps après j'eus quatre gars tous étonnés dans mon bureau et Vincent alignés devant mois, ils avaient un peu peur. Je leur annonçai leur nominations, et ce que je voulais d'eux, qu'ils traitent bien les esclaves et que le travail soit bien fait. Ils se détendirent, je discutai brièvement avec tous, Julien aussi et décidai de partir pour St Pierre.
En chemin je discourrai avec Julien qui avait été bien discret dans toutes ces discussions…
- Mais Monsieur quand vous parlez, je ne me permets pas de parler et je suis admiratif devant vos nominations des chefs de Broc, je n'oserais pas ajouter quelque chose, je suis fier de travailler pour vous Monsieur…
- Merci mon Julien, mais dis-moi, tu as des relations avec les esclaves de St Pierre?
- Monsieur, je parle avec Xavier et Albert principalement, j'ai vu Paul hier c'est tout!
- Tu es très sage avec ton sexe alors…
- Oh Monsieur, je sais que je n'ai pas le droit de coucher avec vos esclaves!
- Oui c'est vrai, mais il n'y a pas un esclave qui te plait?
- Oh Monsieur, il y a un gars aux écuries qui me plait bien, il est mignon…
- Bon tu as ma permission de tenter quelque chose avec lui, il t'obéira s'il est bien discipliné!
- Merci Monsieur, il me plait tant ce garçon…
- Et Albert ton serviteur?
- Il est gentil Monsieur mais il aime Yvan Et c'est bien…
- Ce soir tu enverras Albert dans ma chambre, je l'ai averti après sa fessée ce matin!
- Oui Monsieur, je me rappelle, il y sera.
En arrivant à St Pierre, deux garçons d'écurie virent chercher nos chevaux, un des deux était très mignon, je regardai Julien, il rougit, il avait bon goût Julien!
Je travaillai avec Xavier, une bonne heure, puis me reposai un moment au salon Yvan me servit à boire, quand Xavier me dit qu'Eric était là, je le fis entrer rapidement au salon:
- Alors Eric, comment va Thomas?
- Mieux Maître, Aurélien a voulu le garder à l'infirmerie, il le soigne, il a peur que quelques cicatrices restent, Thomas vous remercie Maître, on lui a appris tout ce qui s'est passé à Broc il n'en revient pas.
Il s'agenouilla et embrassa ma main, il me dit que Thomas le lui avait demandé. Je le fis se relever en lui caressant les cheveux, il sourit, je lui fis la bise.
- Eric tu seras mon garde demain matin, nous irons à St Alban et nous retournerons à St Christophe, sois à ma disposition ce soir mais je ne devrais pas avoir besoin de toi, vas te restaurer aux cuisines.
- Merci maître de m'avoir choisi comme garde, je vous servirai de mon mieux Maître!
Je lui donnai deux petites claques sur la nuque et il partit. Je pris mon diner en compagnie de Julien, nous étions détendus, Yvan nous servait, il le faisait bien il allait à la cuisine et revenait avec les plats, après avoir apporté les desserts, je remarquai que sa tunique était toute sale, une grosse tache rouge sur le coté!
- Yvan qu'est-ce que c'est que cette tenue, tu oses te présenté sale à ton Maître et à ton chef?
Mon ton avait été sévère, Yvan se recula de la table et baissa la tête, il se mit à trembler:
- Maître… Par… Pardon, je me suis tâché à la cuisine… Pardon Maître…
Il prit la position de l'esclave en attente de sa punition, jambes écartées mains sur la tête…
- Julien comment va-t-on punir ce mauvais serviteur?
- Monsieur, il n'est pas trop mauvais mais sa faute doit être punie, soit par une bonne fessée ou le martinet, ou les verges Monsieur, mais je n'aime pas trop utiliser les verges, Monsieur, sauf pour les fautes graves. Mais Monsieur, comment a-t-il pu se salir comme ça aux cuisines?
Yvan trembla moins mais ne dit rien.
- Yvan tu as entendu la question?
- Maître… Un cuisinier a renversé une coupelle de fruits, je jus a coulé sur moi… Maître pardon!
- Yvan vas à la cuisine chercher le coupable et son chef!
Il y fila et revint avec le chef, un garçon d'une trentaine d'année, et un jeune cuisinier d'une vingtaine d'années. Ils se tinrent les deux tête baissée.
- Alors chef cuistot, on travaille salement dans tes cuisines?
- Maître je viens d'être mis au courant de ce qui est arrivé, pardon pour cette faute, je ferai tout pour qu'elle ne se reproduise pas, Maître, mais j'assume la responsabilité de cette faute, punissez moi Maître!
- Je ne pense pas te punir toi sauf si ça se reproduit, les responsables sont ton cuisinier et Yvan, ils vont être punis mais toi fais attention à mieux surveiller tes cuisiniers à l'avenir…
- Merci Maître, je suivrai vos ordres mais Maître…
- Oui?
- Mon cuisinier et Yvan ce n'est pas une très grosse faute Maître… Benoît est un bon cuisinier Maître…
- Merci, rassure-toi il sera de nouveau au travail sous peu… Yvan aussi… Tu peux te retirer, le repas était très bon, tu pourras féliciter tes cuisiniers!
- Merci Maître…
Il se courba et nous quitta, je dis à Julien:
- Nous voilà avec deux garçon à punir, dans les propositions que tu as faites, je pense qu'une bonne fessée cuisante sera bonne pour eux, tu vas fesser Benoît immédiatement je fesserai Yvan dans ma chambre tout à l'heure.
- Bien Monsieur, Benoît viens ici!
Il recula sa chaise écarta un peu les jambes, le cuisinier Benoît un garçon pas très grand mais bien proportionné s'approcha de lui hésitant, Julien le fit se courber et l'installa parfaitement sur ses genoux, il souleva sa tunique assez haut et je vis alors les fesses, le bas du dos et les cuisses du jeune cuistot, cela faisait un bel ensemble, je regrettai presque de ne pas le fesser moi-même!
- Yvan, enlève cette sale tunique et à genoux les mains sur la tête pendant la punition de Benoît et regarde bien tu recevras la même tout à l'heure!
Les deux gars étaient nus, l'un à genoux en attente, l'autre en fâcheuse posture, les fesses nues en l'air, prêtes à être fessées, je fis signe à Julien de commencer, il leva la main et claqua les fesses du puni durement, celui-ci sursauta, mais ne dit rien. Julien le fessa méthodiquement durement, à un rythme accéléré les fesses rosirent puis rougirent, je voyais la tête du puni, il grimaçait à chaque claque, il devint tout rouge, et Julien continuait, j'avais parlé d'une fessée cuisante, elle était méritée, et le beau Julien fessait ce jeune gars le spectacle était beau, je me mis à bander…
- Arrête Julien! Je vais finir sa punition!
Le gars se releva et vint vers moi il pleurait, il avait peur, il se coucha docilement sur mes genoux, j'eus devant les yeux ses belles fesses bien rouges, je posai la main dessus, elles étaient fermes, douces et toutes chaudes, je les claquai une dizaine de fois, durement, le puni gémit, je posai ma main sur ses fesses et les massai doucement…
- Alors mon garçon tu feras attention aux cuisines?
- Oui Maître… Pardon Maître… Dit-il d'une voix pleine de sanglots.
- A genoux!
Il se tint à genoux devant moi, tête baissée, tout mignon, tout soumis après une bonne fessée
- Benoît, embrasse la main qui t'a fessé, demande pardon et remercie le maître de t'avoir puni! Dit Julien.
Benoît pris doucement ma main pour l'embrasser, une larme coula sur ma main il se confondit en pardons et mercis, je lui caressai la tête et lui dis de regagner sa cuisine.
Il partit tout honteux je fis signe à Yvan de se lever et lui dis:
- Yvan debout ne remets pas cette tunique sale, tu nous serviras nu un digestif et tu monteras dans ma chambre pour m'attendre à genoux les mains sur la tête!
Je repartis dans une discussion avec Julien sur le chemin de fer, nous allâmes au salon et sur mon ordre Yvan nous servit un cognac, il était très mignon Yvan tout nu pour nous servir et une fois que ce fut fait, je lui montrai la porte, il sortit tout piteux.
- Vous êtes sévère Monsieur avec lui! Dit Julien.
- Il le faut Julien, j'aurais été aussi sévère avec Tom, mes serviteurs doivent être parfaits dans leur tenue! Un esclave doit obéir!
- Oui Monsieur, je comprends…
- Bon donc il sera puni tout à l'heure, à ta santé Julien!
samedi 14 novembre 2009
Le Domaine de Saint Christophe 51 – Broc
Après sa fessée et sa consolation dans mes bras, Xavier reprit ses esprits, il se rhabilla et me demanda l'autorisation de partir au village de St Pierre pour s'occuper du travail des champs, je lui dis que je resterais encore une nuit ici puisqu'il fallait que j'aille voir les vendanges à St Alban.
Je fis venir Julien et les gardes, les mis au courant de mes intentions, Alex et Arnaud devaient rester avec moi l'après midi, à Broc, les autre retourneraient à St Christophe, suivis ensuite par Alex et Arnaud, mais je demandai à Eric de revenir ici ce soir avec des nouvelles de Thomas et pour me servir de garde personnel le lendemain matin.
Avec Julien on discuta de Broc, le village était grand et peuplé mais les résultats étaient médiocres, je vis dans le livre de comptes que 4 esclaves de 23 à 25 ans avaient été achetés dans un centre de formation agricole, et en face qu'ils étaient chef, ça devait être les quatre jeunes chefs arrogants, quand Xavier revint, il nous confirma que ça avait été une initiative du maître, il voulait des jeunes chefs formés à dresser les esclaves…
Xavier était un peu honteux depuis sa fessée, j'avais mis Julien au courant, je demandai des nouvelles de St Pierre, Xavier me décrivit le travail du jour et les récoltes à venir je le félicitai pour sa bonne organisation, il sourit enfin, je le raccompagnai en le tenant par les épaules, comme un ami…
Je pris mon déjeuner avec Julien assez tôt pour aller rapidement à Broc, et c'est donc avec Alex, Arnaud et Julien que nous nous rendîmes à Broc en cavalcadant doucement, je m'approchai d'Arnaud:
- Alors Arnaud, comment vas-tu depuis cette histoire de viol?
- Maître grâce à votre clémence je suis heureux de vous servir Maître…
- Tu m'as toujours bien servi Arnaud, c'est pourquoi je t'ai gardé comme garde, et qu'après le viol et ta punition tu es encore un de mes gardes, mais dis-moi comment tu assouvis tes désirs de femmes maintenant?
- Oh Maître… Ce n'est pas facile, pourquoi il n'y a pas plus de femmes au Domaine Maître?
- Mon pauvre Arnaud, je ne peux pas en acheter souvent, et les garçons tu n'aimes pas?
- Même eux ils ne veulent pas de moi Maître…
- Ne désespère pas Arnaud et sers moi bien, j'essaierai de voir pour les femmes…
- Merci Maître pour tout…
Arrivés à Broc Edmond nous accueillit humblement, en me saluant bien bas.
- Alors Edmond, quelles nouvelles depuis hier?
- Maître… Il n'y a pas eu de problèmes particuliers, tout le monde est au travail…
- Edmond tu vas demander à tous les esclaves de rentrer dans leurs dortoirs et que chaque chef soit là pour me présenter son travail, tu m'accompagneras dans chaque visite! N'aies pas peur pour toi, réponds avec honnêteté à mes questions et tu n'auras pas de problèmes!
- Maître comptez sur moi pour vous dire ce que je sais mais je ne sais pas tout Maître… Je vais donner des ordres pour que tous reviennent ici!
- C'est bien Edmond!
Une cloche sonna vigoureusement et les esclaves et les chefs accoururent, ils furent vite dirigés vers leurs baraquements respectifs.
Je demandai alors à Edmond de nous conduire au premier dortoir, Edmond me dit qu'ici on appelait ça le Camp 1, qu'il y en avait 5 et que jusqu'à maintenant il dirigeait le Camp 4, et qu'au Camp 5 il n'y avait plus de chef depuis la dégradation de Pierre par moi pour avoir fouetté cruellement Jacquot le berger.
Le Camp 1 était un bâtiment de taille moyenne la base en pierre le haut en bois, un toit de tuiles, en entrant dedans je vis un alignement d'esclaves, une trentaine pour chaque équipe environ. Ils étaient alignés visiblement craintifs, leur chef un des jeunes chefs, le martinet à la ceinture me salua…
- Présente-toi esclave chef!
- Félix, 24 ans, Maître, formé à l'école agricole de dirigeant d'esclaves, Maître!
- Demande à ton équipe d'enlever leur tunique et de faire face à leur paillasse!
Il donna l'ordre, et aussitôt j'eus 30 hommes nus de dos alignés devant moi… Me présentant leurs fesses et leur dos! Je passai devant chacun d'eux, presque tous avaient des traces rouges ou violettes sur les fesses et le dos…
- Eh bien Félix, ton équipe travaille bien mal pour être corrigée comme ça!
- Maître, ils ne comprennent que ça sinon ils ne foutent rien, ces chiens!
- Félix on ne doit pas être vulgaire en parlant à son maître!
- Maître pardon mais c'est la vérité!
Je l'ignorai et m'arrêtai devant des fesses et un dos particulièrement marqués par des traces fraîches. Le gars, environ 30 ans tremblait pendant que je l'inspectais.
- Eh bien mon gars quelle faute as-tu faite pour avoir été puni?
- Maître… Pardon… J'ai cassé une charrue pardon Maître…
- Tu as reçu combien de coups et quand?
- 48 coups de verges, hier soir Maître!
Je vis le banc de punition pas loin, je pouvais imaginer le pauvre gars nu se tordant sous les coups de son chef. Edmond s'approcha de moi et me dit tout doucement:
- Maître les charrues et le matériel sont souvent usés et ça casse souvent…
- On ira voir le matériel Edmond…
Tous avaient des marques plus ou moins fraîches mais je tombai sur un garçon d'une quinzaine d'année, très maigre, le dos et les fesses striés de zébrures assez fraîches et de plus anciennes.
- Eh bien mon garçon, tu es souvent fouetté je vois!
- Maître… Maître…
Il tremblait et n'arrivait pas à parler, j'ai cru qu'il allait tomber. L'homme à coté de lui prit la parole:
- Maître pitié pour mon garçon!
Le chef Félix vociféra:
- Sale chien, on t'a autorisé à parler? Tu vas voir ce soir, tu seras fouetté! Maître c'est le père et le fils, aussi mauvais l'un que l'autre, le jeune on ne peut rien en tirer, il joue au malade et l'autre le protège, mais je les ai à l'œil!
- Je vois en effet que tu t'en occupe! Mon jeune gars retourne toi!
Le jeune esclave se retourna il était très maigre, très blanc, visiblement sous nourri.
- Il ne mange pas à sa faim ce garçon!
- Il a la même quantité de nourriture que les autres! Dit Félix.
Je m'adressai au père:
- Tu en penses quoi de l'état de ton fils?
- Maître, il mange mais ça ne fait rien, je lui donne des fois un peu de ma ration mais rien n'y fait… Maître pardon de vous avoir parlé sans autorisation… Mais il est malade mon garçon…
- Rassure-toi tu ne seras pas fouetté ce soir, mais je vais envoyer ton garçon à St Christophe pour le soigner si on peut.
Je vis d'autres esclaves lacérés par des coups donnés pour des motifs futiles, ils avaient tous des traces…
Une fois que je les avoir tous vus, je leur fis face et leur demandai de se rhabiller. Je demandai à Félix de venir devant moi.
- Esclave Félix qu'est-ce que j'ai demandé pendant mon discours de l'autre jour?
- Euh Maître… de moins fouetter les esclaves, mais ça ne marchera pas, je les connais moi, ce sont des chiens qu'il faut fouetter sinon on n'en ferra rien!
- Il y a quelqu'un que tu ne connais pas, c'est ton maître imbécile!
- Mais Maître…
- Silence! Tu m'as désobéi depuis deux jours, les ordres que je donne on ne les discute pas, et tes leçons sur la manière de traiter les esclaves tu auras l'occasion de les méditer au bagne! A genoux esclave!
Il était ahuri, il tomba à genoux.
- Gardes, apportez le banc de punition ici et attachez-y ce minable, nu bien sûr!
Le petit chef Félix se retrouva vite nu, il était pas mal comme gars, il se débattait, il fut vite attaché couché sur le ventre, il commença à crier.
- Qu'on le bâillonne!
- Hummm… Hummmmm…
Il essayait de se délivrer, il remuait, il me lançait des regards affolés!
- Alex, fouette-le pour le calmer, tu as des verges ici!
- Bien Maître!
Alex prit la plus grosse baguette disponible, et il commença à frapper le jeune insolent, il y allait fort, Alex, la baguette sifflait dans l'air et cinglait sur la peau avec un claquement sinistre, les belles fesses bien rondes du petit salaud furent vite zébrées et son dos en prit aussi une bonne dose. Après une vingtaine de coups il se calma il ne gigotait plus, il râlait dans son bâillon, je fis signe d'arrêter à Alex.
- Alors morveux tu te calmes! La suite pour tout à l'heure, prépare bien tes fesses, tu ne seras peut-être pas le seul à danser sous le fouet! Je vais voir tes collègues maintenant! Vous autres je vous retrouverai tous dans la cour dans peu de temps, reposez vous en attendant!
Ils furent bien surpris mais pour une fois, ils se détendirent mais attendirent mon départ pour s'asseoir ou se coucher. Avec ma suite nous sortîmes pour entrer assez vite dans le Camp 2, le chef un peu tendu, un beau gosse, il se courba fortement et en se relevant:
- Mes respects Maître, je suis Vincent, 23 ans, chef de ce camp.
- Bonjour Vincent, demande à tes gens de se déshabiller!
Il donna l'ordre d'une voix forte, mais pas méchamment comme Félix l'avait fait, il ne portait pas de martinet à la ceinture.
- Vincent, hier soir tu avais un martinet à ta ceinture, tu ne l'as plus aujourd'hui pourquoi?
- Maître je vous demande pardon pour hier soir mais Monsieur le Régisseur voulait que chaque chef porte un martinet, après votre discours je l'ai enlevé mais j'ai été disputé pour ça.
- Mais Edmond tu n'en avais pas, toi?
- Maître j'ai répondu au régisseur que j'obéissais à vos ordres avant tout! Mais Vincent n'a pas osé…
- Tu as été à cette fameuse école agricole toi aussi Vincent?
- Oui Maître comme Félix, Camille et… Pierre, Maître.
- Oui Pierre le fouetteur de berger, et Félix l'arrogant… Bon voyons les esclaves, montrez-moi vos fesses et votre dos les gars!
Comme dans le premier camp, les esclaves obéirent, rares étaient ceux qui n'avaient pas étés fouettés mais une différence était nette, pas de corrections récentes, sauf un dont les fesses étaient rouges, je m'en approchai, et reconnu Pierre qui avait été fouetté sur mes ordres.
- Ah et bien le voilà, le fouetteur d'innocents bergers, tu fais moins le malin ici mon gars, alors travaille bien et que je n'entende plus parler de toi!
- Maître… Pitié…
- Vincent je veux que tu traite Pierre comme un autre esclave, pas de favoritisme, pas de dureté non plus!
- A vos ordres Maître!
Plus loin je vis un pauvre gars qui avait de très fortes cicatrices anciennes sur le dos, et des plus récentes sur les fesses.
- Eh bien toi tu es un rebelle non?
- Non Maître… Pardon pour mes fautes…
- Vincent, il a fait quoi?
- Il y a deux ans il a volé des pains, il a été fouetté publiquement sur le dos, il a dû recevoir 75 coups de fouet, et depuis il est soumis à un régime plus rigoureux; par l'ordre de l'ancien maître, il est battu aux verges deux fois plus que les autres pour chaque faute et systématiquement tous les premiers du mois. Je le fouette sur les fesses, je n'ose pas m'attaquer à son dos…
- Tu es sage maintenant voleur?
- Oui Maître…
- Tu ne voleras plus?
- Oh non Maître… Je le promets…
- Bon ton régime plus rigoureux est fini, tu seras traité comme les autres!
Il tomba à genoux et me baisa les pieds, je le relevai, c'était un gars de mon âge, pas vilain, j'en eu pitié:
- Aller c'est fini mon grand, sois un bon esclave!
- Merci Maître… Vous êtes bon…
Je finis le tour des esclaves, pas de problèmes particuliers, je pris Vincent en aparté et lui dit de continuer à bien suivre mes ordres et ceux de son chef Edmond, il avait l'air gentil ce Vincent, il se courba, me remercia et me dit qu'il était fier d'être à moi…
La visite dans le Camp 3 fut à peu près comme celle du premier camp, des cas flagrants de désobéissances à mes ordres, un chef, Camille, arrogant mais moins que Félix, il me demanda pardon quand je lui eus signalé ses fautes, je le dégradai de son rang de chef, lui promis une flagellation dans la cour sous peu avec Félix, mais il n'irait pas au bagne comme lui.
La visite du Camp 4, celui d'Edmond, fut vite faite, ses esclaves étaient en bien meilleur état, bien sûr ils avaient été fouettés du temps de l'ancien maître mais Edmond les avait protégés depuis avec succès je le félicitai publiquement, il rougit fortement et s'agenouilla pour me remercier.
Au camp 5, celui qui était dirigé par Pierre le chef dégradé, la situation n'était pas très bonne, pas des coups de fouet les derniers jours, mais beaucoup de traces récentes, en plus un garçon de 14 ans très marqué et un homme blessé qu'il faudrait envoyer à Aurélien.
Edmond me proposa de voir le reste du village, tout d'abord le matériel qui était dans un état lamentable, tout rafistolé et qui ne demandait qu'à lâcher, les charrues, les pioches, les râteaux, tout était à remplacer, et les esclaves étaient fouettés pour avoir casser leurs outils!
En regardant autour du village je vis plus loin une petite maison où la cheminée fumait, un grand jardin l'entourait, on pouvait voir un homme cultiver des plants de légumes.
- Edmond qui occupe cette maison? Pourquoi ne sont-ils pas ici?
- Maître, c'est Jeanne qui habite ici avec son valet, elle a un statut particulier, Broc ne la dirige pas Maître.
- Ah oui c'est l'ancienne maîtresse du maître…
- Oui Maître…
- La mère de Xavier.
- Oui Maître vous connaissez l'histoire, elle vit là, personne ne s'en plaint, elle est gentille avec les esclaves Maître…
- Et son valet, c'est un esclave de Broc, et comment elle est gentille avec les esclaves?
- Maître son valet c'est un garçon très simplet, elle l'a défendu quand le maître voulait s'en débarrasser, il lui a donné et il travaille beaucoup ce garçon il doit avoir 17 ans maintenant. Maître elle est gentille avec les esclaves, elle leur donne des fruits, du pain et…
- Et un peu de ses charmes?
- Oui Maître on dit qu'elle aime bien les jeunes, elle aurait couché avec quelques jeunes esclaves, mais le régisseur ne le savait pas…
- Et tu me le dis!
- Vous l'avez deviné Maître et je ne veux pas vous mentir Maître…
- Tu fais bien, mais ne changeons rien, si elle donne du plaisir à des gars en manque ça ne me dérange pas, mais il faudra qu'il y ait des femmes à Broc à l'avenir!
- Oh Maître si vous saviez comme ce serait bien pour tous!
- Oui mon bon Edmond, et tu as entendu mon discours si des garçons couchent ensemble, il n'y a pas de problèmes!
- Bien sûr Maître!
- Dis-moi Edmond ces terrains plus loin, ce sont des bonnes terres pour la culture?
- Oui Maître mais il n'y a pas assez de bras pour les cultiver.
- On verra ça plus tard, pour l'instant allons punir les deux mauvais chefs!
- Maître…
- Oui Edmond…
- Merci pour les esclaves d'ici Maître, merci pour le jeune du Camp 1, je vous admire Maître… Vous allez punir Félix, Pierre et Camille, ils étaient trop dur avec les esclaves Maître, Vincent il est gentil avec tous.
Il tomba à genoux en m'embrassant les pieds, je le relevai en le serrant dans mes bras, je l'embrassai sur mes deux joues, il versa quelques larmes d'émotion, et me remercia.
En revenant au centre du village je demandai à Julien et Edmond de faire la liste des outils nécessaires, pour Broc, et plus généralement à Julien pour les autres villages. Je fis sortir tous les esclaves et leurs chefs sur la place du village. Alex alla chercher le petit chef Félix, il l'amena nu les fesses et le dos striés, sur mon ordre il l'attacha au pieu de punition près de la maison du régisseur. Les esclaves étaient ébahis de voir ça!
- Vincent, Camille et Pierre avancez vous vers Félix!
Les trois s'approchèrent de Félix, qu'ils regardèrent avec crainte.
- Tous les quatre vous sortez de la même école, on vous y a mis des idées stupides en tête et vous êtes arrogants, on aurait dû vous rappeler que avant tout vous êtes des esclaves aux ordres de votre maître! Sur quatre, trois ont commis des fautes très graves depuis que je suis votre maître, ils méritent une sévère punition.
Ils étaient tête baissée, ils n'en menaient pas large les quatre petits chefs, surtout avec l'un d'eux accroché au pieu, nu et déjà fouetté… Mais c'était des beaux gosses, tous bien faits…
- Félix, tu es le pire des quatre, tu viens de recevoir les verges pour ton arrogance avec moi, pour ta cruauté et ta désobéissance tu vas recevoir 75 coups de strap et tu seras envoyé au bagne de la forêt!
- Vincent, tu es le meilleur des quatre, tu as respecté mes ordres, tu es donc confirmé dans ton poste de chef, mais je te conseille d'oublier ce qu'on a pu te dire dans cette école, et d'agir avec justice sans cruauté! Tu peux regagner ton équipe!
Il mit un genou à terre, se courba et dit:
- Merci Maître, je vous obéirai Maître!
- Camille, tu ne vaux guère mieux que Félix, tu es seulement un peu moins insolent, donc pour ta désobéissance et ta cruauté, tu es dégradé, tu redeviens simple esclave, et tu vas recevoir 75 coups de strap. Après tu seras affecté à une équipe, Edmond décidera où!
Il tomba à genoux, son orgueil de jeune chef était brisé, il se mit à pleurer, il était bien temps…
- Pierre, tu as déjà été fouetté aux verges pour ta cruauté envers un berger, et démis de tes fonctions de chef, mais après avoir vu l'état de ton ex-équipe je te condamne à 50 coups de strap!
Il tomba à genoux, prosterné. Même avant de procéder aux punitions mes petits chefs étaient cassés, ils s'étaient crus plus fort, ils avaient été sadiques, cruels avec les esclaves mais ils n'étaient eux-mêmes qu'esclaves il était bon de le leur rappeler…
Je fis venir Julien et les gardes, les mis au courant de mes intentions, Alex et Arnaud devaient rester avec moi l'après midi, à Broc, les autre retourneraient à St Christophe, suivis ensuite par Alex et Arnaud, mais je demandai à Eric de revenir ici ce soir avec des nouvelles de Thomas et pour me servir de garde personnel le lendemain matin.
Avec Julien on discuta de Broc, le village était grand et peuplé mais les résultats étaient médiocres, je vis dans le livre de comptes que 4 esclaves de 23 à 25 ans avaient été achetés dans un centre de formation agricole, et en face qu'ils étaient chef, ça devait être les quatre jeunes chefs arrogants, quand Xavier revint, il nous confirma que ça avait été une initiative du maître, il voulait des jeunes chefs formés à dresser les esclaves…
Xavier était un peu honteux depuis sa fessée, j'avais mis Julien au courant, je demandai des nouvelles de St Pierre, Xavier me décrivit le travail du jour et les récoltes à venir je le félicitai pour sa bonne organisation, il sourit enfin, je le raccompagnai en le tenant par les épaules, comme un ami…
Je pris mon déjeuner avec Julien assez tôt pour aller rapidement à Broc, et c'est donc avec Alex, Arnaud et Julien que nous nous rendîmes à Broc en cavalcadant doucement, je m'approchai d'Arnaud:
- Alors Arnaud, comment vas-tu depuis cette histoire de viol?
- Maître grâce à votre clémence je suis heureux de vous servir Maître…
- Tu m'as toujours bien servi Arnaud, c'est pourquoi je t'ai gardé comme garde, et qu'après le viol et ta punition tu es encore un de mes gardes, mais dis-moi comment tu assouvis tes désirs de femmes maintenant?
- Oh Maître… Ce n'est pas facile, pourquoi il n'y a pas plus de femmes au Domaine Maître?
- Mon pauvre Arnaud, je ne peux pas en acheter souvent, et les garçons tu n'aimes pas?
- Même eux ils ne veulent pas de moi Maître…
- Ne désespère pas Arnaud et sers moi bien, j'essaierai de voir pour les femmes…
- Merci Maître pour tout…
Arrivés à Broc Edmond nous accueillit humblement, en me saluant bien bas.
- Alors Edmond, quelles nouvelles depuis hier?
- Maître… Il n'y a pas eu de problèmes particuliers, tout le monde est au travail…
- Edmond tu vas demander à tous les esclaves de rentrer dans leurs dortoirs et que chaque chef soit là pour me présenter son travail, tu m'accompagneras dans chaque visite! N'aies pas peur pour toi, réponds avec honnêteté à mes questions et tu n'auras pas de problèmes!
- Maître comptez sur moi pour vous dire ce que je sais mais je ne sais pas tout Maître… Je vais donner des ordres pour que tous reviennent ici!
- C'est bien Edmond!
Une cloche sonna vigoureusement et les esclaves et les chefs accoururent, ils furent vite dirigés vers leurs baraquements respectifs.
Je demandai alors à Edmond de nous conduire au premier dortoir, Edmond me dit qu'ici on appelait ça le Camp 1, qu'il y en avait 5 et que jusqu'à maintenant il dirigeait le Camp 4, et qu'au Camp 5 il n'y avait plus de chef depuis la dégradation de Pierre par moi pour avoir fouetté cruellement Jacquot le berger.
Le Camp 1 était un bâtiment de taille moyenne la base en pierre le haut en bois, un toit de tuiles, en entrant dedans je vis un alignement d'esclaves, une trentaine pour chaque équipe environ. Ils étaient alignés visiblement craintifs, leur chef un des jeunes chefs, le martinet à la ceinture me salua…
- Présente-toi esclave chef!
- Félix, 24 ans, Maître, formé à l'école agricole de dirigeant d'esclaves, Maître!
- Demande à ton équipe d'enlever leur tunique et de faire face à leur paillasse!
Il donna l'ordre, et aussitôt j'eus 30 hommes nus de dos alignés devant moi… Me présentant leurs fesses et leur dos! Je passai devant chacun d'eux, presque tous avaient des traces rouges ou violettes sur les fesses et le dos…
- Eh bien Félix, ton équipe travaille bien mal pour être corrigée comme ça!
- Maître, ils ne comprennent que ça sinon ils ne foutent rien, ces chiens!
- Félix on ne doit pas être vulgaire en parlant à son maître!
- Maître pardon mais c'est la vérité!
Je l'ignorai et m'arrêtai devant des fesses et un dos particulièrement marqués par des traces fraîches. Le gars, environ 30 ans tremblait pendant que je l'inspectais.
- Eh bien mon gars quelle faute as-tu faite pour avoir été puni?
- Maître… Pardon… J'ai cassé une charrue pardon Maître…
- Tu as reçu combien de coups et quand?
- 48 coups de verges, hier soir Maître!
Je vis le banc de punition pas loin, je pouvais imaginer le pauvre gars nu se tordant sous les coups de son chef. Edmond s'approcha de moi et me dit tout doucement:
- Maître les charrues et le matériel sont souvent usés et ça casse souvent…
- On ira voir le matériel Edmond…
Tous avaient des marques plus ou moins fraîches mais je tombai sur un garçon d'une quinzaine d'année, très maigre, le dos et les fesses striés de zébrures assez fraîches et de plus anciennes.
- Eh bien mon garçon, tu es souvent fouetté je vois!
- Maître… Maître…
Il tremblait et n'arrivait pas à parler, j'ai cru qu'il allait tomber. L'homme à coté de lui prit la parole:
- Maître pitié pour mon garçon!
Le chef Félix vociféra:
- Sale chien, on t'a autorisé à parler? Tu vas voir ce soir, tu seras fouetté! Maître c'est le père et le fils, aussi mauvais l'un que l'autre, le jeune on ne peut rien en tirer, il joue au malade et l'autre le protège, mais je les ai à l'œil!
- Je vois en effet que tu t'en occupe! Mon jeune gars retourne toi!
Le jeune esclave se retourna il était très maigre, très blanc, visiblement sous nourri.
- Il ne mange pas à sa faim ce garçon!
- Il a la même quantité de nourriture que les autres! Dit Félix.
Je m'adressai au père:
- Tu en penses quoi de l'état de ton fils?
- Maître, il mange mais ça ne fait rien, je lui donne des fois un peu de ma ration mais rien n'y fait… Maître pardon de vous avoir parlé sans autorisation… Mais il est malade mon garçon…
- Rassure-toi tu ne seras pas fouetté ce soir, mais je vais envoyer ton garçon à St Christophe pour le soigner si on peut.
Je vis d'autres esclaves lacérés par des coups donnés pour des motifs futiles, ils avaient tous des traces…
Une fois que je les avoir tous vus, je leur fis face et leur demandai de se rhabiller. Je demandai à Félix de venir devant moi.
- Esclave Félix qu'est-ce que j'ai demandé pendant mon discours de l'autre jour?
- Euh Maître… de moins fouetter les esclaves, mais ça ne marchera pas, je les connais moi, ce sont des chiens qu'il faut fouetter sinon on n'en ferra rien!
- Il y a quelqu'un que tu ne connais pas, c'est ton maître imbécile!
- Mais Maître…
- Silence! Tu m'as désobéi depuis deux jours, les ordres que je donne on ne les discute pas, et tes leçons sur la manière de traiter les esclaves tu auras l'occasion de les méditer au bagne! A genoux esclave!
Il était ahuri, il tomba à genoux.
- Gardes, apportez le banc de punition ici et attachez-y ce minable, nu bien sûr!
Le petit chef Félix se retrouva vite nu, il était pas mal comme gars, il se débattait, il fut vite attaché couché sur le ventre, il commença à crier.
- Qu'on le bâillonne!
- Hummm… Hummmmm…
Il essayait de se délivrer, il remuait, il me lançait des regards affolés!
- Alex, fouette-le pour le calmer, tu as des verges ici!
- Bien Maître!
Alex prit la plus grosse baguette disponible, et il commença à frapper le jeune insolent, il y allait fort, Alex, la baguette sifflait dans l'air et cinglait sur la peau avec un claquement sinistre, les belles fesses bien rondes du petit salaud furent vite zébrées et son dos en prit aussi une bonne dose. Après une vingtaine de coups il se calma il ne gigotait plus, il râlait dans son bâillon, je fis signe d'arrêter à Alex.
- Alors morveux tu te calmes! La suite pour tout à l'heure, prépare bien tes fesses, tu ne seras peut-être pas le seul à danser sous le fouet! Je vais voir tes collègues maintenant! Vous autres je vous retrouverai tous dans la cour dans peu de temps, reposez vous en attendant!
Ils furent bien surpris mais pour une fois, ils se détendirent mais attendirent mon départ pour s'asseoir ou se coucher. Avec ma suite nous sortîmes pour entrer assez vite dans le Camp 2, le chef un peu tendu, un beau gosse, il se courba fortement et en se relevant:
- Mes respects Maître, je suis Vincent, 23 ans, chef de ce camp.
- Bonjour Vincent, demande à tes gens de se déshabiller!
Il donna l'ordre d'une voix forte, mais pas méchamment comme Félix l'avait fait, il ne portait pas de martinet à la ceinture.
- Vincent, hier soir tu avais un martinet à ta ceinture, tu ne l'as plus aujourd'hui pourquoi?
- Maître je vous demande pardon pour hier soir mais Monsieur le Régisseur voulait que chaque chef porte un martinet, après votre discours je l'ai enlevé mais j'ai été disputé pour ça.
- Mais Edmond tu n'en avais pas, toi?
- Maître j'ai répondu au régisseur que j'obéissais à vos ordres avant tout! Mais Vincent n'a pas osé…
- Tu as été à cette fameuse école agricole toi aussi Vincent?
- Oui Maître comme Félix, Camille et… Pierre, Maître.
- Oui Pierre le fouetteur de berger, et Félix l'arrogant… Bon voyons les esclaves, montrez-moi vos fesses et votre dos les gars!
Comme dans le premier camp, les esclaves obéirent, rares étaient ceux qui n'avaient pas étés fouettés mais une différence était nette, pas de corrections récentes, sauf un dont les fesses étaient rouges, je m'en approchai, et reconnu Pierre qui avait été fouetté sur mes ordres.
- Ah et bien le voilà, le fouetteur d'innocents bergers, tu fais moins le malin ici mon gars, alors travaille bien et que je n'entende plus parler de toi!
- Maître… Pitié…
- Vincent je veux que tu traite Pierre comme un autre esclave, pas de favoritisme, pas de dureté non plus!
- A vos ordres Maître!
Plus loin je vis un pauvre gars qui avait de très fortes cicatrices anciennes sur le dos, et des plus récentes sur les fesses.
- Eh bien toi tu es un rebelle non?
- Non Maître… Pardon pour mes fautes…
- Vincent, il a fait quoi?
- Il y a deux ans il a volé des pains, il a été fouetté publiquement sur le dos, il a dû recevoir 75 coups de fouet, et depuis il est soumis à un régime plus rigoureux; par l'ordre de l'ancien maître, il est battu aux verges deux fois plus que les autres pour chaque faute et systématiquement tous les premiers du mois. Je le fouette sur les fesses, je n'ose pas m'attaquer à son dos…
- Tu es sage maintenant voleur?
- Oui Maître…
- Tu ne voleras plus?
- Oh non Maître… Je le promets…
- Bon ton régime plus rigoureux est fini, tu seras traité comme les autres!
Il tomba à genoux et me baisa les pieds, je le relevai, c'était un gars de mon âge, pas vilain, j'en eu pitié:
- Aller c'est fini mon grand, sois un bon esclave!
- Merci Maître… Vous êtes bon…
Je finis le tour des esclaves, pas de problèmes particuliers, je pris Vincent en aparté et lui dit de continuer à bien suivre mes ordres et ceux de son chef Edmond, il avait l'air gentil ce Vincent, il se courba, me remercia et me dit qu'il était fier d'être à moi…
La visite dans le Camp 3 fut à peu près comme celle du premier camp, des cas flagrants de désobéissances à mes ordres, un chef, Camille, arrogant mais moins que Félix, il me demanda pardon quand je lui eus signalé ses fautes, je le dégradai de son rang de chef, lui promis une flagellation dans la cour sous peu avec Félix, mais il n'irait pas au bagne comme lui.
La visite du Camp 4, celui d'Edmond, fut vite faite, ses esclaves étaient en bien meilleur état, bien sûr ils avaient été fouettés du temps de l'ancien maître mais Edmond les avait protégés depuis avec succès je le félicitai publiquement, il rougit fortement et s'agenouilla pour me remercier.
Au camp 5, celui qui était dirigé par Pierre le chef dégradé, la situation n'était pas très bonne, pas des coups de fouet les derniers jours, mais beaucoup de traces récentes, en plus un garçon de 14 ans très marqué et un homme blessé qu'il faudrait envoyer à Aurélien.
Edmond me proposa de voir le reste du village, tout d'abord le matériel qui était dans un état lamentable, tout rafistolé et qui ne demandait qu'à lâcher, les charrues, les pioches, les râteaux, tout était à remplacer, et les esclaves étaient fouettés pour avoir casser leurs outils!
En regardant autour du village je vis plus loin une petite maison où la cheminée fumait, un grand jardin l'entourait, on pouvait voir un homme cultiver des plants de légumes.
- Edmond qui occupe cette maison? Pourquoi ne sont-ils pas ici?
- Maître, c'est Jeanne qui habite ici avec son valet, elle a un statut particulier, Broc ne la dirige pas Maître.
- Ah oui c'est l'ancienne maîtresse du maître…
- Oui Maître…
- La mère de Xavier.
- Oui Maître vous connaissez l'histoire, elle vit là, personne ne s'en plaint, elle est gentille avec les esclaves Maître…
- Et son valet, c'est un esclave de Broc, et comment elle est gentille avec les esclaves?
- Maître son valet c'est un garçon très simplet, elle l'a défendu quand le maître voulait s'en débarrasser, il lui a donné et il travaille beaucoup ce garçon il doit avoir 17 ans maintenant. Maître elle est gentille avec les esclaves, elle leur donne des fruits, du pain et…
- Et un peu de ses charmes?
- Oui Maître on dit qu'elle aime bien les jeunes, elle aurait couché avec quelques jeunes esclaves, mais le régisseur ne le savait pas…
- Et tu me le dis!
- Vous l'avez deviné Maître et je ne veux pas vous mentir Maître…
- Tu fais bien, mais ne changeons rien, si elle donne du plaisir à des gars en manque ça ne me dérange pas, mais il faudra qu'il y ait des femmes à Broc à l'avenir!
- Oh Maître si vous saviez comme ce serait bien pour tous!
- Oui mon bon Edmond, et tu as entendu mon discours si des garçons couchent ensemble, il n'y a pas de problèmes!
- Bien sûr Maître!
- Dis-moi Edmond ces terrains plus loin, ce sont des bonnes terres pour la culture?
- Oui Maître mais il n'y a pas assez de bras pour les cultiver.
- On verra ça plus tard, pour l'instant allons punir les deux mauvais chefs!
- Maître…
- Oui Edmond…
- Merci pour les esclaves d'ici Maître, merci pour le jeune du Camp 1, je vous admire Maître… Vous allez punir Félix, Pierre et Camille, ils étaient trop dur avec les esclaves Maître, Vincent il est gentil avec tous.
Il tomba à genoux en m'embrassant les pieds, je le relevai en le serrant dans mes bras, je l'embrassai sur mes deux joues, il versa quelques larmes d'émotion, et me remercia.
En revenant au centre du village je demandai à Julien et Edmond de faire la liste des outils nécessaires, pour Broc, et plus généralement à Julien pour les autres villages. Je fis sortir tous les esclaves et leurs chefs sur la place du village. Alex alla chercher le petit chef Félix, il l'amena nu les fesses et le dos striés, sur mon ordre il l'attacha au pieu de punition près de la maison du régisseur. Les esclaves étaient ébahis de voir ça!
- Vincent, Camille et Pierre avancez vous vers Félix!
Les trois s'approchèrent de Félix, qu'ils regardèrent avec crainte.
- Tous les quatre vous sortez de la même école, on vous y a mis des idées stupides en tête et vous êtes arrogants, on aurait dû vous rappeler que avant tout vous êtes des esclaves aux ordres de votre maître! Sur quatre, trois ont commis des fautes très graves depuis que je suis votre maître, ils méritent une sévère punition.
Ils étaient tête baissée, ils n'en menaient pas large les quatre petits chefs, surtout avec l'un d'eux accroché au pieu, nu et déjà fouetté… Mais c'était des beaux gosses, tous bien faits…
- Félix, tu es le pire des quatre, tu viens de recevoir les verges pour ton arrogance avec moi, pour ta cruauté et ta désobéissance tu vas recevoir 75 coups de strap et tu seras envoyé au bagne de la forêt!
- Vincent, tu es le meilleur des quatre, tu as respecté mes ordres, tu es donc confirmé dans ton poste de chef, mais je te conseille d'oublier ce qu'on a pu te dire dans cette école, et d'agir avec justice sans cruauté! Tu peux regagner ton équipe!
Il mit un genou à terre, se courba et dit:
- Merci Maître, je vous obéirai Maître!
- Camille, tu ne vaux guère mieux que Félix, tu es seulement un peu moins insolent, donc pour ta désobéissance et ta cruauté, tu es dégradé, tu redeviens simple esclave, et tu vas recevoir 75 coups de strap. Après tu seras affecté à une équipe, Edmond décidera où!
Il tomba à genoux, son orgueil de jeune chef était brisé, il se mit à pleurer, il était bien temps…
- Pierre, tu as déjà été fouetté aux verges pour ta cruauté envers un berger, et démis de tes fonctions de chef, mais après avoir vu l'état de ton ex-équipe je te condamne à 50 coups de strap!
Il tomba à genoux, prosterné. Même avant de procéder aux punitions mes petits chefs étaient cassés, ils s'étaient crus plus fort, ils avaient été sadiques, cruels avec les esclaves mais ils n'étaient eux-mêmes qu'esclaves il était bon de le leur rappeler…
mercredi 4 novembre 2009
Le Domaine de Saint Christophe 50 – Le régisseur fautif
A 6 heures Yvan se réveilla, comme mon bras l'enserrait, il le dégagea avec douceur et se leva, j'étais aussi réveillé:
- Déjà debout Yvan!
- Maître il est temps il faut que je me lave et fasse préparer votre petit déjeuner, et Maître pardon de vous avoir réveillé…
- Je m'étais réveillé avant, tu demanderas à Julien de venir déjeuner avec moi, à 7h30.
- Bien Maître, à vos ordres!
Il fila, je somnolai un peu et me levai, le doux Yvan me fit ma toilette, mon rasage, et m'habilla je fus vite fin prêt. Je descendis vers la salle à manger, y retrouvai Julien et Xavier qui me salua respectueusement, et s'éclipsa après m'avoir demandé si j'avais passé un bonne nuit.
Julien et moi nous nous attablâmes, Yvan arriva avec le café, le lait, un cuisinier portait un panier rempli de pains et de brioches, et un plateau avec des confitures, du beurre et du miel. Je commençais à discuter avec Julien quand il dit à Yvan:
- Mais Yvan tu as la joue rouge!
- Ce n'est rien Monsieur Julien…
- Tu as reçu une gifle Yvan? Demandai-je.
- Non Maître ce n'est qu'une rougeur…
- On voit la trace de la main, alors tu te moques de nous Yvan? C'est grave! C'est Xavier qui t'as giflé?
- Non Maître… Mais ce n'est rien Maître… Il tomba à genoux…
- Bon c'est Albert alors, vas le chercher!
- Oh Maître non, il était en colère c'est tout…
- Yvan tu vas le chercher! Si dans deux secondes tu n'es pas sorti de cette salle je te fouette!
Il fila immédiatement, la menace du fouet est toujours efficace… Julien me dit:
- Monsieur, Albert est un bon serviteur, il aime Yvan, il me l'a dit!
- Oui mais qui a le droit de gifler Yvan? Toi, Xavier et moi! Pas Albert!
Yvan revint, suivi d'Albert et Xavier.
- Albert pourquoi as-tu giflé Yvan?
- Maître… Il se mit à genoux.
- Pourquoi tu l'as giflé?
- Maître… J'étais en colère, il avait passé la nuit avec vous… Maître…
- Tu es jaloux, mais tu n'as pas droit de l'être, il a dormi avec moi sur mon ordre!
- Oui Maître, pardon…
- Aller, viens sur mes genoux, et vite!
Il se coucha sur mes genoux, je soulevai sa tunique et je commençai à le fesser assez durement, je le punis assez sévèrement, une bonne fessée vigoureuse de 10 minutes, il l'encaissa avec courage sans trop crier, je le fis se relever, il avait les larmes aux yeux, il s'agenouilla en me remerciant:
- Je te pardonne Albert, mais si tu recommences ce sera le martinet ou les verges, et la prochaine fois que je viendrai tu passeras aussi par mon lit! Aller file maintenant nous avons autre chose à faire!
Il était près de 9 heures, je pris le dossier concernant Gabriel, et me dirigeai vers mon bureau, mes bons gardes étaient là, ils me saluèrent, je leur répondis et les fis entrer dans le bureau en leur donnant des instructions pour se prévenir de toute réaction violente des deux qui allaient être jugés.
Xavier me signala que la femme de Gabriel était arrivée avec une charrette à bras et ses deux enfants. Je les retrouvai dans l'entrée, elle était assise, triste, elle se leva à mon arrivée, ses deux enfants, une fille d'environ 8 ans et un garçon de guère plus de 3 ans dormaient sur un banc.
- Ils ont mangé ces enfants?
- Non Maître je n'ai pas pu ce matin…
- Bon qu'on leur apporte du lait chaud et des tartines et qu'on les installe dans la salle à coté du bureau, du lait ça leur va?
- Oh oui Maître merci pour eux…
- Ce sont des enfants ils ne sont pas responsables des bêtises de leur père! Je pense que la petite peut s'occuper de son petit frère.
- Oh oui Maître…
- Bon allons au bureau. Je donnai des ordres pour que les prisonniers soient remontés.
Nous nous retrouvâmes dans le bureau, devant chaque issue un garde, je pouvais être fiers d'eux, par leur tenue, leur sérieux… Et leur beauté… La femme de Gabriel avait été invitée à s'asseoir sur une chaise, Julien était assis à ma droite, Xavier à ma gauche, il était un peu comme mon secrétaire. Gabriel la mine défaite, les vêtements fripés était debout la tête basse, son esclave Hubert se tenait à côté de lui l'air absent comme s'il n'était en rien concerné. Je pris la parole:
- Nous sommes ici pour juger une action grave, inqualifiable de cruauté et d'injustice envers un homme de ma garde, en plus mon garde personnel donc sous ma protection! En plus des injures contre lui et contre moi ont été prononcées. Donc il est impossible de continuer pour moi de travailler avec toi Gabriel comme régisseur, nous allons donc procéder à la clôture de ton compte. Mais avant je voudrais revenir sur les actions de ton esclave personnel Hubert, que je ne connaissais pas; cet esclave a porté la main sur Thomas mon garde en le fouettant cruellement, et il a aussi dénoncé plusieurs fois des esclaves de Broc pour les faire fouetter, tout ceci sur un domaine qui m'appartient sans mon autorisation, son cas devra être transmis à la justice!
L'esclave réagit:
- Quoi! Je suis l'esclave de mon Maître pas le vôtre…
- Insolent, tu es chez moi, tu es sous ma loi, Alex prends-le et donne-lui 50 coups de martinet sévèrement dans l'entrée à côté!
Alex le prit et l'emmena, dans l'entrée, on entendit du tumulte, Alex appela Arnaud qui fila, j'allai voir, ils réussirent à l'immobiliser sur un banc, l'esclave s'était débattu Arnaud l'attacha sur une lourde table qui était là.
- Bien les gars, mettez le cul nu et rajoutez 25 coups puisqu'il s'est débattu, et ne soyez pas tendres, pensez à Thomas!
Le puni Hubert était nu couché sur la table, les jambes et les bras attachés, il n'était pas moche, musclé un beau cul tout rond, avec des fossettes sur le côté, Alex souleva le martinet et après m'avoir consulté du regard, il l'abattit sur les fesses du puni, cela claqua fort, il cria et une marque bien rouge apparut…
Je repassai au bureau, Gabriel était déstabilisé, mais il savait parfaitement que sur mon domaine j'avais tous les droits sauf de tuer son esclave, mais il ne mourrait pas de 75 coups de martinet… Je pris les papiers devant moi:
- Bon donc Gabriel, pour ta paye nous sommes à jour, le garde que tu as sauvagement agressé t'apportait ta paye du mois prochain, au moins je n'ai pas besoin de te demander de la restituer! Mais outre tes salaires je voudrais revenir sur cet emprunt que tu as fait auprès du vieux maître il y a deux ans…
Gabriel baissa encore la tête, j'ai cru qu'il allait s'évanouir, il accusa le coup…
- Un emprunt! Quel emprunt? S'exclama sa femme.
- Et bien un emprunt de 2 000 Ecus, j'ai là la reconnaissance de dette! Tu as des preuves d'éventuels remboursements Gabriel?
- Euh non Maître…
Sa femme se leva, lui bondit dessus en criant après lui et le frappant de ses mains il ne répliqua pas.
- Quoi salaud tu as emprunté de l'argent! 2 000 Ecus! Mais pourquoi? Pourquoi?
Elle se rassit en larmes, l'atmosphère était lourde, en plus le martinet claquait, le puni criait, les enfants étaient venus vers leur mère, cela devenait pathétique, mais je pensais à mon bon Thomas ça me donnait des forces!
- Bon Gabriel, as-tu les 2 000 Ecus que tu dois au domaine?
- Non Maître… Je les ai empruntés pour une dette de jeu… Dit-il en regardant sa femme.
- Bon je pense que tu sais où ça te mène, la Justice va s'occuper du dossier, tes biens seront vendus, et puis toi, ta femme et tes enfants au marché aux esclaves, jusqu'à ce que les 2 000 Ecus soient atteins, je doute que cela suffise, mais je serai bien obligé de m'en contenter…
Sa femme réagit, on entendit un coup de martinet bien cinglant, et un cri de douleur:
- Oh Maître pas les enfants, ils n'y sont pour rien, leur père est ignoble mais pas eux!
- Et vous?
Elle se remit à pleurer:
- Maître je n'ai pas le choix, je vais devenir esclave à cause de mon maudit mari mais les enfants Maître par pitié.
Ses enfants se pressèrent contre elle surtout le petit, j'en avais pitié de ces pauvres gosses…
- Mais vous connaissez la loi qui est passée il y a environ un an?
- Non Maître quelle loi?
- Une loi qui dégage la responsabilité de la femme et de ses enfants si une demande de divorce a été formulée avant le dépôt de la plainte.
- Mais Maître je ne l'ai pas fait!
Les coups de martinet s'arrêtèrent, Alex entra et me déclara que la punition était finie, je lui dis d'amener l'esclave, il le traina jusque devant le bureau, l'esclave s'effondra à genoux, prostré.
- Debout esclave et les mains sur la tête!
Il se leva difficilement il obéit, il apparut nu, les joues pleines de larmes, les mains sur la tête…
- Alors tu fais moins le malin esclave, et ton maître non plus, et il ne peut rien pour toi, alors ton sort dépend de qui?
- …
- Tu veux le fouet pour te délier la langue?
- Maître pitié… Pas le fouet! Mon sort il dépend de vous je le sais maintenant, mais pitié Maître… Pitié…
- Alors esclave je te laisse le choix: ou tu es vendu demain au marché, et comme tu viens d'être fouetté tu seras acheté pour rien pour les mines ou des chantiers où les esclaves ne durent pas 3 mois, ou tu deviens mon esclave, je te confisque à ton maître vu ses dettes, et dans ce cas tu seras fouetté au martinet à Broc puis emmené à St Christophe pour que Thomas te corrige et ensuite selon ton comportement tu seras intégré dans une équipe de travail dans le domaine… Alors esclave ton choix?
- Maître pas le marché, pas ça Maître, mais pitié Maître… Je veux être à vous!
- Bon voilà la question de l'esclave réglée, Gabriel je vais te faire une proposition, tu es prêt à l'entendre?
- Oh Maître est-ce que j'ai un autre choix? Il baissa encore plus la tête.
- Donc Gabriel, on va faire un papier que tu signeras où il sera écrit, que tu me donnes ton esclave en dédommagement, que tu confirmes ton divorce avec ta femme, et abandonnes tout droit sur tes enfants, et que tu me serviras d'esclave pour rembourser ta dette pendant un minimum de 10 ans, au terme de ces 10 ans un calcul sera effectué pour voir si ta dette est comblée ou non!
- Maître comment calculer ça?
- Tu auras une ferme dont tu t'occuperas, tu dépendras d'un village, tu pourras être puni au fouet mais pas à mort! Idem pour ton ex-esclave Hubert, il ne sera pas condamné à mort mais tout cela est vrai pour tous mes esclaves…
- Bien Maître, je signerai je serai votre esclave, mais ma femme et mes enfants ils seront libres?
- Oui c'est l'avantage de cette nouvelle loi, tu pourras embrasser tes enfants avant qu'ils partent… Mais vous savez où vous allez? Demandai-je à sa femme.
- Oui Maître j'ai mes parents et ma sœur en ville mais Maître merci pour les enfants!
Elle contourna le bureau et vint m'embrasser la main, je lui répondis en l'embrassant sur les deux joues!
- Maintenant procédons à la rédaction des actes, Xavier, prends une feuille et de quoi écrire!
- Mais Maître, je ne sais pas écrire…
- Quoi mais ce n'est pas ce que tu m'as dit, mais on verra ça plus tard, Julien charge-t-en!
- Bien Monsieur!
Et il prit un papier, un encrier et une plume et il écrivit le contrat et la procédure de divorce sous ma dictée, Gabriel signa les deux papiers, sa femme en signa un. Une fois les papiers signés Hubert fut emmené, Gabriel embrassa ses deux enfants qui pleuraient, ce fut touchant, mais il valait mieux pour eux qu'ils partent, je fis préparer le fiacre pour les emmener en ville, ils partirent…
Peu de temps après, Xavier vint me dire que Paul était là, je le fis entrer.
- Alors Paul on vient aux nouvelles?
- Pardon Monsieur mais j'ai appris que Gabriel avait des problèmes?
- Oui et comment?
- Oh Monsieur tout se sait, le boulanger de St Pierre vient nous apporter le pain tout les matins il fait le messager, il n'y a rien de mal Monsieur ne le punissez pas…
- Mais non Paul, ce n'était pas un secret! Mais Gabriel a commis une faute impardonnable, il est mon esclave maintenant!
- Oui Monsieur, il a fouetté un de vos gardes sans raison, c'est grave, mais il n'y avait pas une autre solution comme pour moi…
- Non Paul pas pour cette faute, tu aurais des sentiments pour quelqu'un qui fouetterais comme ça Adrien?
- Monsieur, à la réflexion, non, et c'est vrai que je vous comprends, le jeune garde il est venu me voir avant… J'ai apprécié sa gentillesse et son dévouement, il a été très prévenant avec Adrien en le ramenant sur son cheval…
- Oui c'est un bon garçon, il n'avait jamais mérité la correction d'hier, et on ne fouette pas impunément un de mes esclaves sans raison…
- Je comprends mieux Monsieur, mais je voulais vous annoncer aussi que j'aimerais commencer les vendanges demain matin, le temps s'annonce bon.
- Enfin une bonne nouvelle! Mais je t'ai dit c'est toi qui décides pour les vendanges, le temps se découvre ce matin mais va-t-il rester beau?
- J'ai un vigneron qui me conseille toujours pour le temps, il annonce trois jours de temps sec, c'est juste ce qu'il nous faut…
- Le vieux maître c'est toujours lui qui lançait les vendanges?
- Oui selon ce que je lui disais après m'avoir contredit et disputé mais il ne décidait pas d'une autre date, il lançait les vendanges en menaçant les vignerons du fouet si tout n'était pas fini dans les temps…
- Et ils étaient fouettés tes vignerons?
- Tous les soirs il fallait que j'en fouette deux, aux verges ou au fouet!
- Bon Paul, demain tu lances les vendanges, sans menaces, et je passerai dans la matinée pour les encourager, mais pendant les vendanges, pas de punitions systématiques le soir, que si c'est nécessaire!
- Monsieur ça devrait bien se passer, j'ai confiance en mes gens… Mais monsieur est-ce que je peux vous demander quelque chose?
- Tu peux toujours demander!
- Dans le premier domaine où j'ai travaillé, à la fin des vendanges, tous les esclaves faisaient un grand repas avec leur chef…
- Très bonne idée Paul! Alors que ce soit un bon repas j'y serai, et Adrien aussi, mais n'en parle pas aux esclaves, et on ne le fera que s'ils travaillent bien, et une fois la récolte faite!
- Merci Monsieur, je les aime bien mes vignerons…
- Et les autres de St Alban?
- Oh Monsieur depuis que Nico a été fouetté, ils sont moins peureux, ils ont plus à manger, ils travaillent bien, je n'ai pas eu à les punir, je ne les reconnais plus…
- C'est mieux comme ça et Adrien il va bien?
- Euh oui Monsieur… Il m'a raconté pour hier…
- Ah oui, hier, je n'ai pas pu résister à mon pouvoir, tu m'en veux?
- Monsieur, un peu quand il me l'a dit mais il m'a rappelé que j'avais fait la même chose la veille…
- Il a eu bien raison…
Je le pris dans mes bras le serrai et je l'embrassai, il ne se refusa pas au contraire…
- Bien Paul, je passerai à St Alban, demain matin quand les vendanges seront commencées, alors à demain…
- A demain Monsieur, et il partit.
Je me rendis au bureau, je regardai quelques papiers qui s'y trouvaient quand on frappa, Xavier entra, il se mit devant le bureau baissa la tête:
- Maître je vous demande pardon, je ne sais pas écrire et je vous ai laissé croire que je savais…
- Oui Xavier, lors de notre première conversation, comme le jeune maître m'avait dit que tu avais suivi aussi ses cours, je pensais que tu savais lire, je t'ai même donné un papier à lire… Pourquoi tu n'as rien dit?
- Pardon Maître mais sans savoir lire je ne pensais pas que vous me garderiez à cette place, j'ai eu tort de ne rien dire, Maître, je ne suis pas digne de diriger St Pierre…
Il tomba à genoux, sa voix s'était cassée pendant sa dernière phrase, j'étais un peu en colère contre lui, savoir lire n'était pas indispensable à son travail, il savait très bien organiser St Pierre, les résultats du village étaient bons, bien meilleurs que les deux autre.
- Mais tu étais bien présent aux cours avec le jeune maître?
- Oui Maître pour essuyer le tableau, tailler les crayons, et recevoir des coups de règle!
- Bon donc tu ne sais pas lire…
Je me levai le rejoignis devant le bureau sur lequel je m'assis ma jambe droite à terre, ma cuisse gauche reposant sur le bureau, Xavier était à genoux entre mes jambes.
- Debout Xavier!
Il se leva, et comme mon ton avait été très autoritaire, il prit instinctivement la position du puni, mains sur la tête jambes écartées, regard à terre!
- Oui Xavier, ne pas savoir lire ne t'empêche pas de diriger St Pierre, mais tu vas être puni pour avoir menti par omission, déshabille-toi!
Il se mit nu rapidement, je ne l'avais jamais vu comme ça, il était encore plus beau que je pensais, bien fait, un peu musclé, je me levai et en fis le tour, ils était nu jambes écartées les mains sur la tête, ah le beau petit mâle, des fesses rondes, je me mis à bander comme toujours quand j'ai un beau garçon soumis devant moi…
Je me rassis de la même façon, la cuisse gauche bien à plat, je tapotai ma cuisse, en le regardant il comprit il se courba sur le bureau, son sexe contre ma cuisse et les pieds à terre, les fesses écartées bien offertes pour une bonne fessée!
Avant de le fesser ma main droite caressa ses fesses, histoire d'en faire connaissance, quel plaisir, des fesses fermes rondes, offertes, mon puni frémissait, il tremblait légèrement, quand un de mes doigts pénétra dans sa raie, il eu un frisson! De peur ou de plaisir? Je sentais la chaleur de son ventre sur ma cuisse, son sexe ne se tendit pas, il avait trop peur de cette première punition…
La fessée commença, assez fermement, les claques tombèrent à un rythme rapide, Xavier sursautait à chaque claque, ses fesses rosirent et rougirent vite, je claquai plus fort, il commença à geindre, à pousser des petits gémissements mais il encaissait très bien cette dure fessée qui dura longtemps. Quand j'eus mal à la mal à la main, je pris une règle plate en bois sur le bureau et la posai sur ses fesses.
- Alors mon garçon, la règle ça te rappelle ton enfance?
- Oui Maître, mais celle là je la connais bien, le vieux maître, mon père, il l'utilisait souvent!
- Et pour avoir menti tu recevais quoi comme punition?
- Maître les verges ou le ceinturon, longtemps, beaucoup de coups…
- Jamais de fessée?
- Il y avait longtemps Maître que je n'avais pas reçu la fessée manuelle…
- Bon 20 coups de règle tu les comptes!
- Oui Maître.
Il ajusta sa position, cambra bien ses fesses, il était très bien dressé mon Xavier…
La règle tomba bien à plat, le coup fut bien sonore, et dur pour le puni il gémit fortement…
- Ah! Un merci Maître, s'il vous plait Maître le deuxième!
J'étais surpris, cette habitude de demander le coup suivant était connue chez les militaires mais guère chez les particuliers, je commençais à mieux comprendre le type d'éducation que Xavier avait reçu. La règle tombai durement sur ses deux beaux lobes fessiers, des traces rectangulaires, plus rouges apparurent, bien marquées!
- Ahhhhrrrr… 9 merci Maître… S'il vous plait Maître le dixième… Et il sanglota…
- C'est dur mon garçon? Je passai ma main dans ses cheveux…
- Maître… Pardon… Vous êtes sévère mais… Maître je l'ai mérité! Je ne mentirai plus Maître, Pardon…
Je donnai encore un dur coup de règle!
- Ahhhrrrrr… 10 merci Maître… Le onzième s'il vous plait Maître…
- C'est sûr que tu ne mentiras plus?
- Oui Maître j'ai eu tort pardon, pardon.
Je posai la règle sur le bureau, il me faisait pitié le beau Xavier, je mis ma main sur ses fesses, elles étaient bien chaudes, je le caressai doucement il se détendit, je l'entendis pleurer…
- Tu vois Xavier, je veux que mes esclaves qui me servent de près soient le plus franc possible, tu dois toujours me dire la vérité, sans chercher à rien cacher, aller lève-toi mon grand, ta punition est terminée, tu es pardonné.
Il se leva, il me remercia d'avoir écourté la punition, il pleurait, je lui tendis les bras et il vint tout timidement dans mes bras, il s'y blottit, je le serrai, c'était mon premier moment de tendresse avec lui, il ne s'y refusait pas, bien au contraire, il bredouillait des 'pardon', des 'merci', je commençais à bien comprendre que sa vie de 'batard' du maître n'avait pas dû être facile… La tendresse n'en faisait pas partie, il avait dû être dur avec lui-même… Et maintenant il se laissait aller, il était bien, ses fesses étaient brûlantes, les caresses calmaient, il n'était pas envoyé aux champs, il était dans les bras de son jeune maître sévère…
- Déjà debout Yvan!
- Maître il est temps il faut que je me lave et fasse préparer votre petit déjeuner, et Maître pardon de vous avoir réveillé…
- Je m'étais réveillé avant, tu demanderas à Julien de venir déjeuner avec moi, à 7h30.
- Bien Maître, à vos ordres!
Il fila, je somnolai un peu et me levai, le doux Yvan me fit ma toilette, mon rasage, et m'habilla je fus vite fin prêt. Je descendis vers la salle à manger, y retrouvai Julien et Xavier qui me salua respectueusement, et s'éclipsa après m'avoir demandé si j'avais passé un bonne nuit.
Julien et moi nous nous attablâmes, Yvan arriva avec le café, le lait, un cuisinier portait un panier rempli de pains et de brioches, et un plateau avec des confitures, du beurre et du miel. Je commençais à discuter avec Julien quand il dit à Yvan:
- Mais Yvan tu as la joue rouge!
- Ce n'est rien Monsieur Julien…
- Tu as reçu une gifle Yvan? Demandai-je.
- Non Maître ce n'est qu'une rougeur…
- On voit la trace de la main, alors tu te moques de nous Yvan? C'est grave! C'est Xavier qui t'as giflé?
- Non Maître… Mais ce n'est rien Maître… Il tomba à genoux…
- Bon c'est Albert alors, vas le chercher!
- Oh Maître non, il était en colère c'est tout…
- Yvan tu vas le chercher! Si dans deux secondes tu n'es pas sorti de cette salle je te fouette!
Il fila immédiatement, la menace du fouet est toujours efficace… Julien me dit:
- Monsieur, Albert est un bon serviteur, il aime Yvan, il me l'a dit!
- Oui mais qui a le droit de gifler Yvan? Toi, Xavier et moi! Pas Albert!
Yvan revint, suivi d'Albert et Xavier.
- Albert pourquoi as-tu giflé Yvan?
- Maître… Il se mit à genoux.
- Pourquoi tu l'as giflé?
- Maître… J'étais en colère, il avait passé la nuit avec vous… Maître…
- Tu es jaloux, mais tu n'as pas droit de l'être, il a dormi avec moi sur mon ordre!
- Oui Maître, pardon…
- Aller, viens sur mes genoux, et vite!
Il se coucha sur mes genoux, je soulevai sa tunique et je commençai à le fesser assez durement, je le punis assez sévèrement, une bonne fessée vigoureuse de 10 minutes, il l'encaissa avec courage sans trop crier, je le fis se relever, il avait les larmes aux yeux, il s'agenouilla en me remerciant:
- Je te pardonne Albert, mais si tu recommences ce sera le martinet ou les verges, et la prochaine fois que je viendrai tu passeras aussi par mon lit! Aller file maintenant nous avons autre chose à faire!
Il était près de 9 heures, je pris le dossier concernant Gabriel, et me dirigeai vers mon bureau, mes bons gardes étaient là, ils me saluèrent, je leur répondis et les fis entrer dans le bureau en leur donnant des instructions pour se prévenir de toute réaction violente des deux qui allaient être jugés.
Xavier me signala que la femme de Gabriel était arrivée avec une charrette à bras et ses deux enfants. Je les retrouvai dans l'entrée, elle était assise, triste, elle se leva à mon arrivée, ses deux enfants, une fille d'environ 8 ans et un garçon de guère plus de 3 ans dormaient sur un banc.
- Ils ont mangé ces enfants?
- Non Maître je n'ai pas pu ce matin…
- Bon qu'on leur apporte du lait chaud et des tartines et qu'on les installe dans la salle à coté du bureau, du lait ça leur va?
- Oh oui Maître merci pour eux…
- Ce sont des enfants ils ne sont pas responsables des bêtises de leur père! Je pense que la petite peut s'occuper de son petit frère.
- Oh oui Maître…
- Bon allons au bureau. Je donnai des ordres pour que les prisonniers soient remontés.
Nous nous retrouvâmes dans le bureau, devant chaque issue un garde, je pouvais être fiers d'eux, par leur tenue, leur sérieux… Et leur beauté… La femme de Gabriel avait été invitée à s'asseoir sur une chaise, Julien était assis à ma droite, Xavier à ma gauche, il était un peu comme mon secrétaire. Gabriel la mine défaite, les vêtements fripés était debout la tête basse, son esclave Hubert se tenait à côté de lui l'air absent comme s'il n'était en rien concerné. Je pris la parole:
- Nous sommes ici pour juger une action grave, inqualifiable de cruauté et d'injustice envers un homme de ma garde, en plus mon garde personnel donc sous ma protection! En plus des injures contre lui et contre moi ont été prononcées. Donc il est impossible de continuer pour moi de travailler avec toi Gabriel comme régisseur, nous allons donc procéder à la clôture de ton compte. Mais avant je voudrais revenir sur les actions de ton esclave personnel Hubert, que je ne connaissais pas; cet esclave a porté la main sur Thomas mon garde en le fouettant cruellement, et il a aussi dénoncé plusieurs fois des esclaves de Broc pour les faire fouetter, tout ceci sur un domaine qui m'appartient sans mon autorisation, son cas devra être transmis à la justice!
L'esclave réagit:
- Quoi! Je suis l'esclave de mon Maître pas le vôtre…
- Insolent, tu es chez moi, tu es sous ma loi, Alex prends-le et donne-lui 50 coups de martinet sévèrement dans l'entrée à côté!
Alex le prit et l'emmena, dans l'entrée, on entendit du tumulte, Alex appela Arnaud qui fila, j'allai voir, ils réussirent à l'immobiliser sur un banc, l'esclave s'était débattu Arnaud l'attacha sur une lourde table qui était là.
- Bien les gars, mettez le cul nu et rajoutez 25 coups puisqu'il s'est débattu, et ne soyez pas tendres, pensez à Thomas!
Le puni Hubert était nu couché sur la table, les jambes et les bras attachés, il n'était pas moche, musclé un beau cul tout rond, avec des fossettes sur le côté, Alex souleva le martinet et après m'avoir consulté du regard, il l'abattit sur les fesses du puni, cela claqua fort, il cria et une marque bien rouge apparut…
Je repassai au bureau, Gabriel était déstabilisé, mais il savait parfaitement que sur mon domaine j'avais tous les droits sauf de tuer son esclave, mais il ne mourrait pas de 75 coups de martinet… Je pris les papiers devant moi:
- Bon donc Gabriel, pour ta paye nous sommes à jour, le garde que tu as sauvagement agressé t'apportait ta paye du mois prochain, au moins je n'ai pas besoin de te demander de la restituer! Mais outre tes salaires je voudrais revenir sur cet emprunt que tu as fait auprès du vieux maître il y a deux ans…
Gabriel baissa encore la tête, j'ai cru qu'il allait s'évanouir, il accusa le coup…
- Un emprunt! Quel emprunt? S'exclama sa femme.
- Et bien un emprunt de 2 000 Ecus, j'ai là la reconnaissance de dette! Tu as des preuves d'éventuels remboursements Gabriel?
- Euh non Maître…
Sa femme se leva, lui bondit dessus en criant après lui et le frappant de ses mains il ne répliqua pas.
- Quoi salaud tu as emprunté de l'argent! 2 000 Ecus! Mais pourquoi? Pourquoi?
Elle se rassit en larmes, l'atmosphère était lourde, en plus le martinet claquait, le puni criait, les enfants étaient venus vers leur mère, cela devenait pathétique, mais je pensais à mon bon Thomas ça me donnait des forces!
- Bon Gabriel, as-tu les 2 000 Ecus que tu dois au domaine?
- Non Maître… Je les ai empruntés pour une dette de jeu… Dit-il en regardant sa femme.
- Bon je pense que tu sais où ça te mène, la Justice va s'occuper du dossier, tes biens seront vendus, et puis toi, ta femme et tes enfants au marché aux esclaves, jusqu'à ce que les 2 000 Ecus soient atteins, je doute que cela suffise, mais je serai bien obligé de m'en contenter…
Sa femme réagit, on entendit un coup de martinet bien cinglant, et un cri de douleur:
- Oh Maître pas les enfants, ils n'y sont pour rien, leur père est ignoble mais pas eux!
- Et vous?
Elle se remit à pleurer:
- Maître je n'ai pas le choix, je vais devenir esclave à cause de mon maudit mari mais les enfants Maître par pitié.
Ses enfants se pressèrent contre elle surtout le petit, j'en avais pitié de ces pauvres gosses…
- Mais vous connaissez la loi qui est passée il y a environ un an?
- Non Maître quelle loi?
- Une loi qui dégage la responsabilité de la femme et de ses enfants si une demande de divorce a été formulée avant le dépôt de la plainte.
- Mais Maître je ne l'ai pas fait!
Les coups de martinet s'arrêtèrent, Alex entra et me déclara que la punition était finie, je lui dis d'amener l'esclave, il le traina jusque devant le bureau, l'esclave s'effondra à genoux, prostré.
- Debout esclave et les mains sur la tête!
Il se leva difficilement il obéit, il apparut nu, les joues pleines de larmes, les mains sur la tête…
- Alors tu fais moins le malin esclave, et ton maître non plus, et il ne peut rien pour toi, alors ton sort dépend de qui?
- …
- Tu veux le fouet pour te délier la langue?
- Maître pitié… Pas le fouet! Mon sort il dépend de vous je le sais maintenant, mais pitié Maître… Pitié…
- Alors esclave je te laisse le choix: ou tu es vendu demain au marché, et comme tu viens d'être fouetté tu seras acheté pour rien pour les mines ou des chantiers où les esclaves ne durent pas 3 mois, ou tu deviens mon esclave, je te confisque à ton maître vu ses dettes, et dans ce cas tu seras fouetté au martinet à Broc puis emmené à St Christophe pour que Thomas te corrige et ensuite selon ton comportement tu seras intégré dans une équipe de travail dans le domaine… Alors esclave ton choix?
- Maître pas le marché, pas ça Maître, mais pitié Maître… Je veux être à vous!
- Bon voilà la question de l'esclave réglée, Gabriel je vais te faire une proposition, tu es prêt à l'entendre?
- Oh Maître est-ce que j'ai un autre choix? Il baissa encore plus la tête.
- Donc Gabriel, on va faire un papier que tu signeras où il sera écrit, que tu me donnes ton esclave en dédommagement, que tu confirmes ton divorce avec ta femme, et abandonnes tout droit sur tes enfants, et que tu me serviras d'esclave pour rembourser ta dette pendant un minimum de 10 ans, au terme de ces 10 ans un calcul sera effectué pour voir si ta dette est comblée ou non!
- Maître comment calculer ça?
- Tu auras une ferme dont tu t'occuperas, tu dépendras d'un village, tu pourras être puni au fouet mais pas à mort! Idem pour ton ex-esclave Hubert, il ne sera pas condamné à mort mais tout cela est vrai pour tous mes esclaves…
- Bien Maître, je signerai je serai votre esclave, mais ma femme et mes enfants ils seront libres?
- Oui c'est l'avantage de cette nouvelle loi, tu pourras embrasser tes enfants avant qu'ils partent… Mais vous savez où vous allez? Demandai-je à sa femme.
- Oui Maître j'ai mes parents et ma sœur en ville mais Maître merci pour les enfants!
Elle contourna le bureau et vint m'embrasser la main, je lui répondis en l'embrassant sur les deux joues!
- Maintenant procédons à la rédaction des actes, Xavier, prends une feuille et de quoi écrire!
- Mais Maître, je ne sais pas écrire…
- Quoi mais ce n'est pas ce que tu m'as dit, mais on verra ça plus tard, Julien charge-t-en!
- Bien Monsieur!
Et il prit un papier, un encrier et une plume et il écrivit le contrat et la procédure de divorce sous ma dictée, Gabriel signa les deux papiers, sa femme en signa un. Une fois les papiers signés Hubert fut emmené, Gabriel embrassa ses deux enfants qui pleuraient, ce fut touchant, mais il valait mieux pour eux qu'ils partent, je fis préparer le fiacre pour les emmener en ville, ils partirent…
Peu de temps après, Xavier vint me dire que Paul était là, je le fis entrer.
- Alors Paul on vient aux nouvelles?
- Pardon Monsieur mais j'ai appris que Gabriel avait des problèmes?
- Oui et comment?
- Oh Monsieur tout se sait, le boulanger de St Pierre vient nous apporter le pain tout les matins il fait le messager, il n'y a rien de mal Monsieur ne le punissez pas…
- Mais non Paul, ce n'était pas un secret! Mais Gabriel a commis une faute impardonnable, il est mon esclave maintenant!
- Oui Monsieur, il a fouetté un de vos gardes sans raison, c'est grave, mais il n'y avait pas une autre solution comme pour moi…
- Non Paul pas pour cette faute, tu aurais des sentiments pour quelqu'un qui fouetterais comme ça Adrien?
- Monsieur, à la réflexion, non, et c'est vrai que je vous comprends, le jeune garde il est venu me voir avant… J'ai apprécié sa gentillesse et son dévouement, il a été très prévenant avec Adrien en le ramenant sur son cheval…
- Oui c'est un bon garçon, il n'avait jamais mérité la correction d'hier, et on ne fouette pas impunément un de mes esclaves sans raison…
- Je comprends mieux Monsieur, mais je voulais vous annoncer aussi que j'aimerais commencer les vendanges demain matin, le temps s'annonce bon.
- Enfin une bonne nouvelle! Mais je t'ai dit c'est toi qui décides pour les vendanges, le temps se découvre ce matin mais va-t-il rester beau?
- J'ai un vigneron qui me conseille toujours pour le temps, il annonce trois jours de temps sec, c'est juste ce qu'il nous faut…
- Le vieux maître c'est toujours lui qui lançait les vendanges?
- Oui selon ce que je lui disais après m'avoir contredit et disputé mais il ne décidait pas d'une autre date, il lançait les vendanges en menaçant les vignerons du fouet si tout n'était pas fini dans les temps…
- Et ils étaient fouettés tes vignerons?
- Tous les soirs il fallait que j'en fouette deux, aux verges ou au fouet!
- Bon Paul, demain tu lances les vendanges, sans menaces, et je passerai dans la matinée pour les encourager, mais pendant les vendanges, pas de punitions systématiques le soir, que si c'est nécessaire!
- Monsieur ça devrait bien se passer, j'ai confiance en mes gens… Mais monsieur est-ce que je peux vous demander quelque chose?
- Tu peux toujours demander!
- Dans le premier domaine où j'ai travaillé, à la fin des vendanges, tous les esclaves faisaient un grand repas avec leur chef…
- Très bonne idée Paul! Alors que ce soit un bon repas j'y serai, et Adrien aussi, mais n'en parle pas aux esclaves, et on ne le fera que s'ils travaillent bien, et une fois la récolte faite!
- Merci Monsieur, je les aime bien mes vignerons…
- Et les autres de St Alban?
- Oh Monsieur depuis que Nico a été fouetté, ils sont moins peureux, ils ont plus à manger, ils travaillent bien, je n'ai pas eu à les punir, je ne les reconnais plus…
- C'est mieux comme ça et Adrien il va bien?
- Euh oui Monsieur… Il m'a raconté pour hier…
- Ah oui, hier, je n'ai pas pu résister à mon pouvoir, tu m'en veux?
- Monsieur, un peu quand il me l'a dit mais il m'a rappelé que j'avais fait la même chose la veille…
- Il a eu bien raison…
Je le pris dans mes bras le serrai et je l'embrassai, il ne se refusa pas au contraire…
- Bien Paul, je passerai à St Alban, demain matin quand les vendanges seront commencées, alors à demain…
- A demain Monsieur, et il partit.
Je me rendis au bureau, je regardai quelques papiers qui s'y trouvaient quand on frappa, Xavier entra, il se mit devant le bureau baissa la tête:
- Maître je vous demande pardon, je ne sais pas écrire et je vous ai laissé croire que je savais…
- Oui Xavier, lors de notre première conversation, comme le jeune maître m'avait dit que tu avais suivi aussi ses cours, je pensais que tu savais lire, je t'ai même donné un papier à lire… Pourquoi tu n'as rien dit?
- Pardon Maître mais sans savoir lire je ne pensais pas que vous me garderiez à cette place, j'ai eu tort de ne rien dire, Maître, je ne suis pas digne de diriger St Pierre…
Il tomba à genoux, sa voix s'était cassée pendant sa dernière phrase, j'étais un peu en colère contre lui, savoir lire n'était pas indispensable à son travail, il savait très bien organiser St Pierre, les résultats du village étaient bons, bien meilleurs que les deux autre.
- Mais tu étais bien présent aux cours avec le jeune maître?
- Oui Maître pour essuyer le tableau, tailler les crayons, et recevoir des coups de règle!
- Bon donc tu ne sais pas lire…
Je me levai le rejoignis devant le bureau sur lequel je m'assis ma jambe droite à terre, ma cuisse gauche reposant sur le bureau, Xavier était à genoux entre mes jambes.
- Debout Xavier!
Il se leva, et comme mon ton avait été très autoritaire, il prit instinctivement la position du puni, mains sur la tête jambes écartées, regard à terre!
- Oui Xavier, ne pas savoir lire ne t'empêche pas de diriger St Pierre, mais tu vas être puni pour avoir menti par omission, déshabille-toi!
Il se mit nu rapidement, je ne l'avais jamais vu comme ça, il était encore plus beau que je pensais, bien fait, un peu musclé, je me levai et en fis le tour, ils était nu jambes écartées les mains sur la tête, ah le beau petit mâle, des fesses rondes, je me mis à bander comme toujours quand j'ai un beau garçon soumis devant moi…
Je me rassis de la même façon, la cuisse gauche bien à plat, je tapotai ma cuisse, en le regardant il comprit il se courba sur le bureau, son sexe contre ma cuisse et les pieds à terre, les fesses écartées bien offertes pour une bonne fessée!
Avant de le fesser ma main droite caressa ses fesses, histoire d'en faire connaissance, quel plaisir, des fesses fermes rondes, offertes, mon puni frémissait, il tremblait légèrement, quand un de mes doigts pénétra dans sa raie, il eu un frisson! De peur ou de plaisir? Je sentais la chaleur de son ventre sur ma cuisse, son sexe ne se tendit pas, il avait trop peur de cette première punition…
La fessée commença, assez fermement, les claques tombèrent à un rythme rapide, Xavier sursautait à chaque claque, ses fesses rosirent et rougirent vite, je claquai plus fort, il commença à geindre, à pousser des petits gémissements mais il encaissait très bien cette dure fessée qui dura longtemps. Quand j'eus mal à la mal à la main, je pris une règle plate en bois sur le bureau et la posai sur ses fesses.
- Alors mon garçon, la règle ça te rappelle ton enfance?
- Oui Maître, mais celle là je la connais bien, le vieux maître, mon père, il l'utilisait souvent!
- Et pour avoir menti tu recevais quoi comme punition?
- Maître les verges ou le ceinturon, longtemps, beaucoup de coups…
- Jamais de fessée?
- Il y avait longtemps Maître que je n'avais pas reçu la fessée manuelle…
- Bon 20 coups de règle tu les comptes!
- Oui Maître.
Il ajusta sa position, cambra bien ses fesses, il était très bien dressé mon Xavier…
La règle tomba bien à plat, le coup fut bien sonore, et dur pour le puni il gémit fortement…
- Ah! Un merci Maître, s'il vous plait Maître le deuxième!
J'étais surpris, cette habitude de demander le coup suivant était connue chez les militaires mais guère chez les particuliers, je commençais à mieux comprendre le type d'éducation que Xavier avait reçu. La règle tombai durement sur ses deux beaux lobes fessiers, des traces rectangulaires, plus rouges apparurent, bien marquées!
- Ahhhhrrrr… 9 merci Maître… S'il vous plait Maître le dixième… Et il sanglota…
- C'est dur mon garçon? Je passai ma main dans ses cheveux…
- Maître… Pardon… Vous êtes sévère mais… Maître je l'ai mérité! Je ne mentirai plus Maître, Pardon…
Je donnai encore un dur coup de règle!
- Ahhhrrrrr… 10 merci Maître… Le onzième s'il vous plait Maître…
- C'est sûr que tu ne mentiras plus?
- Oui Maître j'ai eu tort pardon, pardon.
Je posai la règle sur le bureau, il me faisait pitié le beau Xavier, je mis ma main sur ses fesses, elles étaient bien chaudes, je le caressai doucement il se détendit, je l'entendis pleurer…
- Tu vois Xavier, je veux que mes esclaves qui me servent de près soient le plus franc possible, tu dois toujours me dire la vérité, sans chercher à rien cacher, aller lève-toi mon grand, ta punition est terminée, tu es pardonné.
Il se leva, il me remercia d'avoir écourté la punition, il pleurait, je lui tendis les bras et il vint tout timidement dans mes bras, il s'y blottit, je le serrai, c'était mon premier moment de tendresse avec lui, il ne s'y refusait pas, bien au contraire, il bredouillait des 'pardon', des 'merci', je commençais à bien comprendre que sa vie de 'batard' du maître n'avait pas dû être facile… La tendresse n'en faisait pas partie, il avait dû être dur avec lui-même… Et maintenant il se laissait aller, il était bien, ses fesses étaient brûlantes, les caresses calmaient, il n'était pas envoyé aux champs, il était dans les bras de son jeune maître sévère…
samedi 31 octobre 2009
Le Domaine de Saint Christophe 49 – Thomas injustement fouetté
J’étais stupéfait, mon Thomas que j’avais envoyé en mission, revenait dans un état de choc après avoir été fouetté!
- Mon garçon, ressaisis-toi et explique-nous tout!
Il était à mes pieds, pleurant, ne pouvant rien dire, je le tirai vers moi, contre mes jambes, sa tête sur mes genoux, je passai ma main dans ses cheveux, il se calma un peu.
- Parle mon Thomas!
- Pardon Maître… J’ai fait ma mission à St Alban, j’ai ramené Monsieur Adrien chez lui et j’ai remis l’enveloppe à Monsieur Paul, et je suis allé à Broc Maître…
- Et alors Thomas?
- Oh Maître, quand je suis arrivé à Broc devant la maison du régisseur, Monsieur Gabriel est sortit furieux avec un autre homme! Il m’a injurié, que j’étais un chien d’esclave que je ne devais pas être sur un cheval dans son village… Ils mont agrippé tous les deux en me mettant à terre brusquement!
- Quoi! Mais continue Thomas!
- Oh Maître, je ne m’y attendais pas, mais c’est après que ça été pire… Monsieur Gabriel m’a dit que j’étais un sale esclave, qu’il allait me faire passer l’envie de monter à cheval, avec l’autre homme ils m’ont déshabillé et fait coucher sur un banc… Monsieur Gabriel a enlevé son ceinturon, Maître et il m’a fouetté durement, l’homme me tenait les bras, il me disait plein de choses Maître…
Il se remit à pleurer, encore plus fort qu’avant, je demandai à Alex de le déshabiller, il le déculotta, et enleva sa chemise, Thomas se laissa faire bien sûr, ses fesses étaient un vrai carnage, des traces violettes partout, sur le bas du dos et sur les cuisses, mais surtout les traces caractéristiques de la cravache ou des verges, avec quelques marques au sang…
- Il te disait quoi Thomas?
- Que j’allais avoir le cul tanné, bien zébré et que… Que…
- Que quoi? Parle Thomas, dis tout!
- Que moi un mignon de vous Maître, vous me rejetteriez, Maître!
- Le salaud! Mais tu as été fouetté longtemps au ceinturon, et après?
- Oh longtemps Maître, je me débattais, je criais, il a arrêté et Monsieur Gabriel il a dit à l’autre de me finir avec 24 coups de verges… Ils m’ont attaché au banc les mains et les chevilles aux pieds du banc, oh maître je ne pouvais plus bouger dans les mains de ces monstres, j’avais les jambes bien écartées, Et Maître quand l’homme est venu il à parlé de mon cul, et il y a donné un grand coup de baguette, en plein dans la raie… Oh Maître ça fait mal!
- Il a dit quoi de ton cul?
- Oh Maître, que j’avais un cul de petite salope!
- Et il t’a fouetté aux verges?
- Oh oui Maître… Comme une brute, il a cassé deux fois sa baguette il disait que ça annule le coup, ça cingle, c’est terrible il allait vite, je ne pouvais plus reprendre ma respiration, je ne pouvais plus bouger, j’ai crié Maître, ça faisait trop mal Maître…
Je lui caressai la tête, ma colère montait, mais je voulais la fin du récit de Thomas:
- Ca s’est fini comment?
- A la fin des 24 coups il a lancé sa baguette, il m’a claqué les fesses à la main durement, plusieurs, fois, ils m’ont détaché, je tenais à peine debout, ils m’ont ordonné de m’habiller de ressortir, de prendre mon cheval à la main, d’aller au bout du village et de revenir pareil à pieds et soumis, que si je faisais la moindre erreur, je serais de nouveau fouetté!
- Il y avait des esclaves dehors?
- Oui Maître, mais l’homme les a traités de chiens et leur a ordonné de rentrer!
- Et tu as fait quoi?
- Oh Maître arrivé au bout du village j’ai eu peur, je suis monté sur le cheval et je l’ai lancé au galop, ça me faisait mal mais je voulais rentrer ici, Maître, j’ai pris des petits chemins… Ils ne m’ont pas suivi, Mais Maître je n’ai pas donné l’enveloppe, je n’ai pas fini ma mission, pardon Maître…
- Heureusement Thomas! Montre tes fesses Thomas!
Il se leva et se pencha en avant, un peu honteux, les marques étaient profondes, il pourrait en garder des cicatrices, mon beau Thomas, les salauds! J’avais contenu ma colère jusqu’à maintenant mais elle éclata!
- Alex, file te préparer avec quatre gardes, je vous rejoins on va aller s’occuper de ces ordures, départ dès que les chevaux sont prêts! Ah ils vont voir ce que c’est que toucher à mon garde, les salopards…
Je pris Thomas dans mes bras, je l’embrassai, il me serra fort, il était revenu chercher ma protection il l’aura et ses tortionnaires vont sentir ma colère!
- Je vais te venger mon garçon, personne n’avait le droit de te faire ça, Yves va t’emmener chez Aurélien, et tu y passeras la nuit, soigne-toi mon garde, mon petit Thomas…
Il pleurait, Yves le prit par les épaules, il lui mit une grande serviette sur les épaules, qu’il ne se promène pas tout nu, ils partir, j’eus un pincement au cœur pour Thomas, il ne méritait vraiment pas ça lui le doux garde… Ma colère se renforça…
- Aller Tom viens m’aider à m’habiller!
Tom ne put s’empêcher de me dire :
- Oh Maître pauvre Thomas, je peux aller le voir Maître? Oh Pardon je ne vous ai pas demandé la permission de vous questionner Maître!
- Pas grave petit Tom, bien sûr vas le voir mais laisse le se reposer.
- Merci Maître, prenez garde à vous Maître.
- J’espère que je ne risque rien dans mon domaine, mais ce Gabriel, il va passer un mauvais quart d’heure!
- Vous allez le fouetter Maître?
- S’il était mon esclave oui je le ferais et il irait au bagne ce salaud!
- Merci de défendre Thomas Maître! Ressortir à cette heure!
- Mais Tom c’est normal, ce serait pour toi ce serait pareil!
Il m’embrassa la main, j’étais prêt, bien habillé, je lui fis un bisou et je filai…
Je chevauchais assez rapidement avec mes gardes, il y avait Arnaud, Eric, Mathias et Denis, mes principaux gardes, au départ Alex m’avait dit qu’ils étaient tous content d’aller défendre Thomas, qu’ils avaient tous été très choqués de le sévère et injuste correction dont il avait été victime! Il faisait nuit, nous avions une torche à la main.
Nous arrivâmes à Broc au galop dans un fracas assourdissant, et nous nous arrêtâmes devant la maison du régisseur. Celui-ci sortit avec un air ahuri, un homme était derrière lui.
- Alors Gabriel ça te dérange que moi et mes esclaves on vienne te voir ce soir à cheval?
Il ne répondit rien, j’avais sortit ma cravache, je lui en donnais un dur coup sur les épaules, il cria, je descendis de mon cheval et je cravachai Gabriel, il tomba à terre, il criait, sa femme sortit elle s’accrocha à mon bras en me suppliant, j’arrêtai ne voulant pas la battre.
Elle se recula, Gabriel se releva avec difficulté, il titubait à moitié, je m’approchai de lui, il puait le vin, il était à moitié ivre!
- Sale régisseur, tu t’es cru tout permis tu vas le payer cher, tu n’es plus régisseur, je te vire! Et je devrais te fouetter avant!
Il ne dit rien il baissait la tête abasourdi, sa femme s’écria:
- Maître, pitié, pourquoi, parce qu’il a fouetté un esclave insolent? Ce n’est pas une faute Maître!
- Il a fouetté mon garde personnel, en l’injuriant, et en m’injuriant en plus! Il n’avait aucun droit de le faire avec ce gars là en plus qui c’est?
Gabriel prit enfin la parole:
- Maître c’est Hubert, mon esclave personnel, il m’appartient.
- Quoi! Un esclave qui vit ici sans que je le sache, sur mon domaine, qui fouette en l’injuriant un de mes esclaves, et qui traite mes esclaves de chien, avance racaille d’esclave!
Il avança tête baissée, il mit son bras devant sa tête pour se protéger, ma cravache lui tomba dessus, fortement, il reçu une volée bien méritée, ma colère lui valu une correction désordonnée mais sévère, il était roulé en boule par terre, la cravache frappai le dos et les fesses, c’était un garçon bien proportionné, il encaissait les coups, son maître n’osait rien dire…
J’arrêtai, je déclarai:
- Gabriel et ton chien d’esclave vous êtes en état d’arrestation, Gardes attachez-les et conduisez-les aux cachots de St Pierre! Toi femme tu as la nuit pour faire tes balluchons et présente-toi à St Pierre à 9 heures, tu en repartiras avec ton mari et tes enfants! Et pas la peine de discuter mes ordres!
Je remontai en selle, Alex et Arnaud attachaient les deux hommes, ils ne résistaient pas, mon ton était extrêmement dur, je m’adressai à mes gardes qui avaient regardé la scène prêts à intervenir:
- Mes gardes, nous allons aller passer la nuit à St Pierre, toi Mathias, tu vas retourner à St Christophe, tu préviendras Yves que je ne rentre pas!
- Bien Maître! Dit Mathias et il partit.
A la lumière des torches on pouvait voir que les esclaves s’étaient tous rassemblés un peu plus loin, du haut de mon cheval, je leur dit:
- Mes esclaves approchez, ce soir votre régisseur a commis une faute très grave, je le chasse, vous ne le reverrez plus, vous ne reverrez plus non plus son sale esclave Hubert…
Un murmure parcourut les esclaves, la nouvelle n’avait pas l’air de leur déplaire…
- Les chefs avancez!
Cinq gars avancèrent, quatre assez jeunes, pas 25 ans avec tous un martinet à la ceinture, le dernier, plus âgé, au moins 35 ans, n’avait pas de martinet, je le désignai:
- Toi avance et présente-toi.
- Maître je suis Edmond j’ai 36 ou 37 ans Maître. Il dit ça avec crainte.
- Tu n’es pas sûr de ton âge, alors 36 ans ce sera bien, tu es le plus vieux des chefs, tu n’as pas de martinet à la ceinture pourquoi?
- Maître je n’ai jamais pensé en mettre un, le martinet il est au dortoir, il sert si un paysan le mérite Maître.
- Bon Edmond, comme tu es le chef le plus âgé et que tu me parais plein de bon sens, je te nomme provisoirement chef de Broc, je veux que demain soit une journée ordinaire à Broc, il y a des récoltes à rentrer et des labours à faire, que tout le monde travaille bien, je reviendrai demain pour voir tous les chefs, mais interdiction de porter un martinet à la ceinture pour tous!
Edmond se courba en signe de remerciement et de soumission, je lui mis ma main sur la tête, il me remercia, je lançai un ‘au revoir à tous’ et pris le départ accompagné de mes gardes et des deux prisonniers je pris la direction de St Pierre, les prisonniers marchant nous avons été obligés de modérer l’allure.
Notre arrivée à St Pierre ne passa pas inaperçue, en arrivant au château Xavier nous accueilli très surpris, suivi de Julien qui m’avait dit qu’il passait la nuit ici, je dis:
- Eh bien ne soyez pas surpris je viens passer la nuit ici, et Xavier conduis Alex aux cachots qu’on y enferme ces deux salauds!
En voyant Gabriel il fut surpris mais il obtempéra.
J’ajoutai:
- Julien et Xavier, soyez dans le bureau dans 10 minutes, et qu’on nous apporte à tous à boire et à manger!
Xavier donna tous les ordres et en peu de temps je me retrouvai devant une table avec des boissons, du vin pour moi, du St Alban, et on nous apporta de la charcuterie, mes gardes étaient tout intimidés, il avait fallu que je leur donne l’ordre de s’asseoir avec moi à table pour qu’ils le fassent, ils mangèrent copieusement, les cuisiniers étaient doués pour réagir vite, ils apportèrent rapidement des pommes de terre chaudes, du fromage, du pain et des fruits de quoi largement nous rassasier, j’invitai Julien et Xavier à se joindre à nous, ce qui me permit de les informer des derniers évènements.
Après m’être restauré correctement je dis à Julien et Xavier de me rejoindre au bureau et nous avons discuté de Broc.
- Xavier tu connais cet esclave appartenant à Gabriel, Hubert?
- Oui Maître, je suis étonné qu’il ne vous en ait rien dit, Hubert est détesté à Broc, il dénonçait souvent les esclaves à son maître pour les faire fouetter…
- Je pourrais le fouetter puisqu’il est sur mes terres… Mais Xavier, tu peux m’apporter le livre des comptes de Broc, avec les salaires de Gabriel.
- Bien sûr Maître.
Les comptes étaient clairs, la paye de Gabriel avait été bien versée, je ne lui devais plus rien, c’est alors que Xavier qui était debout derrière moi, me glissa un mince dossier.
- Il y a aussi ça, Maître…
Dans le dossier je découvris un papier fort intéressant, Xavier m’apportais une aide précieuse en me montrant ça…
- Merci Xavier, ce sera très utile, tu avais de bons rapports avec Gabriel?
- Pas trop bons Maître, il critiquait souvent ma gestion de St Pierre, et le vieux maître me fouettait, il m’a fouetté aussi une fois que j’étais à Broc, pour lui j’avais été impoli…
- Je commence à voir le personnage! Et le chef Edmond tu le connais?
- Je l’aime bien Maître c’est le dernier des anciens chefs de Broc, ce n’est pas une brute comme les nouveaux chefs.
- Qui les a nommés ces nouveaux chefs?
- Le vieux maître, avec Gabriel et Nico, Maître.
- Qu’est-ce qu’il allait faire là-bas, Nico?
- Il était partout, avec le vieux maître.
- Bon ce soir c’est Edmond qui est le chef de Broc, je verrai les autres demain, j’irai avec toi Julien!
- Bien Monsieur, je n’avais pas eu le temps d’aller voir les gens de Broc, mais je suis outré pour le brave Thomas, s’il y en avait un qui ne méritait pas ça!
- Oui c’est sûr!
- Maître, Thomas c’est le garde qui était avec votre infirmier pour soigner les affamés?
- Oui Xavier, un garçon très gentil, Ils vont le payer cher ces deux imbéciles, ils ont voulu jouer contre moi, ils vont comprendre qui est le maître ici! Je veux tout le monde, vous deux, les gardes, les deux prisonniers, la femme et les enfants de Gabriel, à 9heures demain matin dans mon bureau! Maintenant il est temps de se reposer et d’aller dormir…
- Maître j’ai demandé à Yvan de préparer votre chambre, si vous voulez que je vous y accompagne…
- Non c’est bien Xavier, vas te reposer aussi, toi aussi Julien, à demain matin, au fait Xavier tu as installé les gardes où?
- Dans la grande salle au deuxième Maître il y a plusieurs lits ils devraient y être au calme.
- Tu es parfait Xavier!
- Merci Maître, j’aimerais que personne n’ait à se plaindre de son séjour ici.
- C’est bien bonne nuit Xavier.
- Bonne nuit Maître.
Il se courba pour me saluer il était bien ce Xavier, je l’appréciais de plus en plus. J’entrai dans ma chambre, Yvan m’y attendait en tunique blanche, debout devant le lit, il se courba profondément pour me saluer.
- Bonsoir Yvan, tu vas bien?
- Oui Maître Merci.
- Tu es mon serviteur personnel quand je suis ici, ça te plait?
- Oui Maître, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, je ne connais pas vos habitudes Maître.
- Tu les connaitras vite, sois bien attentif c’est tout!
- A vos ordres Maître!
- Et Albert, tu le vois un peu moins?
- On se voit le soir Maître, Monsieur Julien nous a permis de garder notre chambre.
- C’est bien, bon aide-moi à me préparer pour la nuit.
Le mignon Yvan commença à me déshabiller délicatement, comme Tom le faisait tous les soirs, il était très doux, il baissait la tête ne cherchait pas mon regard, il enleva ma chemise, il m’effleura le torse sa main était douce, je sentis l’excitation monter, il défit mon pantalon le baissant doucement, à genoux il défit mes chaussures et mes chaussettes, j’étais maintenant en caleçon, il n’osait pas y toucher.
- Maître?
- Oui Yvan.
- Dans quelle tenue dormez-vous Maître, et vous désirez faire un peu de toilette avant de vous coucher, Maître?
- Je dors nu, et oui j’aime bien que mon serviteur me rafraichisse un peu, retire moi mon caleçon!
Il parut surpris il descendit mon caleçon très doucement, il fermait les yeux, il ne vis pas qu’en étant libéré mon sexe montrait une semi érection, j’étais étonné de son comportement mais pas tellement surpris, on peut interdire aux esclaves de voir leur maître nu, ça se faisait dans certains domaines.
- Debout Yvan!
Il se leva devant moi et détourna son regard.
- Yvan, je ne t’interdis pas de me voir nu, c’est permis pour mon serviteur personnel, ni de croiser mon regard!
- Maître vous ne me fouetterez pas si je fais ça?
- Mais non Yvan, je ne punis mon serviteur, qu’en cas de faute grave, tu peux me toucher, me voir nu, parler assez librement si c’est pour mieux me servir, et tu es mon serviteur donc à ma disposition complète, tu ne dois refuser aucun ordre, mais tu peux toujours poser des questions si tu n’as pas compris totalement l’ordre! C’est comme ça que ça se passe avec Tom à St Christophe, et ça se passera pareil ici!
- Oh Maître, merci, je veux être votre meilleur serviteur, punissez moi quand je le mérite, comme l’autre jour, j’ai cru qu’après la fessée c’était le fouet que nous méritions et que vous nous chasseriez, oh Maître merci quand Xavier nous a dit que je serais votre serviteur et Albert celui de Monsieur Julien, je me suis dit que vous ne en vouliez pas et pas non plus de notre amour.
- Vous avez reçu une bonne fessées et vous avez été pardonnés donc je ne vous en voulais plus, c’est pour ça que vous avez chacun une chance!
- Merci Maître!
- Allons donc faire ma toilette!
Dans la salle de toilette de ma chambre il y avait un lavabo et un grand bac pour prendre un bain, mais il fallait que des esclaves le remplissent d’eau chaude, c’était très différent de St Christophe où une chaudière moderne permettait d’avoir une réserve d’eau chaude pour la douche du Maître et ses bains.
Mais Yvan disposait d’un broc d’eau chaude, qu’il avait dû aller chercher aux cuisines, il le mélangea à de l’eau froide et il me lava le torse, sous les bras, sur mon ordre, il lava mon sexe, il le toucha, le lava, c’était presque des caresses, je me mis à bander, Yvan était tout mignon, en me frottant, mes mains soulevèrent sa tunique pour aller caresser ses fesses, elles étaient rondes et fermes, je me rappelai sa fessée et la beauté de son postérieur.
- J’ai envie de toi, mon Yvan! Mais Albert il dira quoi?
- Maître j’aime Albert mais je suis votre esclave je suis à votre disposition…
- Mon petit Yvan tu passeras la nuit avec moi dans mon lit, prépare-toi!
- Bien Maître!
Il enleva sa tunique, il était vraiment beau, 18 ans, près à venir avec moi, il fit quelques ablutions. J’allai me coucher nu sur le lit ouvert, et j’attendis. Yvan arriva nu superbe il se planta devant le lit, au début il ne me regardait pas puis se rappelant les ordres, il me regarda, mon sexe étais dressé, il parcouru mon corps du regard, puis mes yeux où il a dû voir du désir.
- Viens contre moi mon petit Yvan!
Il vint se coucher, sur le lit tout doucement, à côté de moi sans oser me toucher, il avait été bien dressé en esclave soumis, je le pris dans mes bras et le fis se coucher sur moi, il n’était pas très lourd, il avait la peau très douce, je lui caressai le dos et les fesses doucement, je pris sa bouche nos langues se trouvèrent il avait de l’expérience ça se voyait. Je sentis son sexe grossir sur mon aine…
- Tu aimes ça mon garçon!
- Oui Maître, pardon Maître…
- Pas de pardons ou de freins pendant l’amour, tu fais l’amour avec moi laisse monter tes désirs, aller suce-moi mon garçon!
Il se retourna et sans aucune hésitation il prit mon sexe dans sa bouche, et commença la fellation, il était doux et il faisait ça divinement bien, ses fesses étaient à portée de main, je le caressai et mon doigt s’insinua dans sa raie et pénétra son anus, il frémit en râlant, il bandait très fortement, il était très chaud mon Yvan, expert pour sucer, son cul se dilatait, il réclamait à être pris…
Je lui demandai de se retourner, mon sexe se présenta et le pénétra facilement, il était trop mignon mon Yvan, je le limai, et le branlai à la fois, son sexe devint tendu à l’extrême il cria:
- Maître je peux pas me retenir…
- Et bien ne te retiens pas!
Il émit des cris rauque et se rependit sur le lit, quelque seconde après c’est moi qui éjacula en lui, le plaisir fut intense…
Je me retirai de lui et je l'envoyai chercher une serviette, et sur mes indications il m'essuya le sexe, puis le sien et il nettoya un peu le lit, il était mignon comme tout, il faisait très attention il était la douceur même… Quand il eut fini, il me recouvra avec la couverture, et se dirigea vers une paillasse dans un coin.
- Yvan mon garçon, viens dans mon lit!
- Maître je peux?
- Bien sûr, je n'aime pas dormir seul, et ta paillasse elle doit être dure!
Il entra dans mon lit, je le serrai dans mes bras, je lui fis plein de bisous, il sourit, je l'installai contre moi en 'cuillère', ses fesses contre mon sexe, je lui dis dans l'oreille des mots doux, il dit d'un ton un peu inquiet:
- Maître je vous ai plu? Je n'ai pas fait de fautes?
- Oui tu es un bon garçon, il n'y a pas de fautes pendant l'amour, tu es mon esclave et mon amant, tu es très gentil Yvan, je ne t'oublierai pas et tu es maintenant sous ma protection, personne me peut te punir sauf moi…
- Oh mon Maître…
Je pris sa bouche il était heureux mon Yvan, et tellement craquant avec le sourire…
- Mon garçon, ressaisis-toi et explique-nous tout!
Il était à mes pieds, pleurant, ne pouvant rien dire, je le tirai vers moi, contre mes jambes, sa tête sur mes genoux, je passai ma main dans ses cheveux, il se calma un peu.
- Parle mon Thomas!
- Pardon Maître… J’ai fait ma mission à St Alban, j’ai ramené Monsieur Adrien chez lui et j’ai remis l’enveloppe à Monsieur Paul, et je suis allé à Broc Maître…
- Et alors Thomas?
- Oh Maître, quand je suis arrivé à Broc devant la maison du régisseur, Monsieur Gabriel est sortit furieux avec un autre homme! Il m’a injurié, que j’étais un chien d’esclave que je ne devais pas être sur un cheval dans son village… Ils mont agrippé tous les deux en me mettant à terre brusquement!
- Quoi! Mais continue Thomas!
- Oh Maître, je ne m’y attendais pas, mais c’est après que ça été pire… Monsieur Gabriel m’a dit que j’étais un sale esclave, qu’il allait me faire passer l’envie de monter à cheval, avec l’autre homme ils m’ont déshabillé et fait coucher sur un banc… Monsieur Gabriel a enlevé son ceinturon, Maître et il m’a fouetté durement, l’homme me tenait les bras, il me disait plein de choses Maître…
Il se remit à pleurer, encore plus fort qu’avant, je demandai à Alex de le déshabiller, il le déculotta, et enleva sa chemise, Thomas se laissa faire bien sûr, ses fesses étaient un vrai carnage, des traces violettes partout, sur le bas du dos et sur les cuisses, mais surtout les traces caractéristiques de la cravache ou des verges, avec quelques marques au sang…
- Il te disait quoi Thomas?
- Que j’allais avoir le cul tanné, bien zébré et que… Que…
- Que quoi? Parle Thomas, dis tout!
- Que moi un mignon de vous Maître, vous me rejetteriez, Maître!
- Le salaud! Mais tu as été fouetté longtemps au ceinturon, et après?
- Oh longtemps Maître, je me débattais, je criais, il a arrêté et Monsieur Gabriel il a dit à l’autre de me finir avec 24 coups de verges… Ils m’ont attaché au banc les mains et les chevilles aux pieds du banc, oh maître je ne pouvais plus bouger dans les mains de ces monstres, j’avais les jambes bien écartées, Et Maître quand l’homme est venu il à parlé de mon cul, et il y a donné un grand coup de baguette, en plein dans la raie… Oh Maître ça fait mal!
- Il a dit quoi de ton cul?
- Oh Maître, que j’avais un cul de petite salope!
- Et il t’a fouetté aux verges?
- Oh oui Maître… Comme une brute, il a cassé deux fois sa baguette il disait que ça annule le coup, ça cingle, c’est terrible il allait vite, je ne pouvais plus reprendre ma respiration, je ne pouvais plus bouger, j’ai crié Maître, ça faisait trop mal Maître…
Je lui caressai la tête, ma colère montait, mais je voulais la fin du récit de Thomas:
- Ca s’est fini comment?
- A la fin des 24 coups il a lancé sa baguette, il m’a claqué les fesses à la main durement, plusieurs, fois, ils m’ont détaché, je tenais à peine debout, ils m’ont ordonné de m’habiller de ressortir, de prendre mon cheval à la main, d’aller au bout du village et de revenir pareil à pieds et soumis, que si je faisais la moindre erreur, je serais de nouveau fouetté!
- Il y avait des esclaves dehors?
- Oui Maître, mais l’homme les a traités de chiens et leur a ordonné de rentrer!
- Et tu as fait quoi?
- Oh Maître arrivé au bout du village j’ai eu peur, je suis monté sur le cheval et je l’ai lancé au galop, ça me faisait mal mais je voulais rentrer ici, Maître, j’ai pris des petits chemins… Ils ne m’ont pas suivi, Mais Maître je n’ai pas donné l’enveloppe, je n’ai pas fini ma mission, pardon Maître…
- Heureusement Thomas! Montre tes fesses Thomas!
Il se leva et se pencha en avant, un peu honteux, les marques étaient profondes, il pourrait en garder des cicatrices, mon beau Thomas, les salauds! J’avais contenu ma colère jusqu’à maintenant mais elle éclata!
- Alex, file te préparer avec quatre gardes, je vous rejoins on va aller s’occuper de ces ordures, départ dès que les chevaux sont prêts! Ah ils vont voir ce que c’est que toucher à mon garde, les salopards…
Je pris Thomas dans mes bras, je l’embrassai, il me serra fort, il était revenu chercher ma protection il l’aura et ses tortionnaires vont sentir ma colère!
- Je vais te venger mon garçon, personne n’avait le droit de te faire ça, Yves va t’emmener chez Aurélien, et tu y passeras la nuit, soigne-toi mon garde, mon petit Thomas…
Il pleurait, Yves le prit par les épaules, il lui mit une grande serviette sur les épaules, qu’il ne se promène pas tout nu, ils partir, j’eus un pincement au cœur pour Thomas, il ne méritait vraiment pas ça lui le doux garde… Ma colère se renforça…
- Aller Tom viens m’aider à m’habiller!
Tom ne put s’empêcher de me dire :
- Oh Maître pauvre Thomas, je peux aller le voir Maître? Oh Pardon je ne vous ai pas demandé la permission de vous questionner Maître!
- Pas grave petit Tom, bien sûr vas le voir mais laisse le se reposer.
- Merci Maître, prenez garde à vous Maître.
- J’espère que je ne risque rien dans mon domaine, mais ce Gabriel, il va passer un mauvais quart d’heure!
- Vous allez le fouetter Maître?
- S’il était mon esclave oui je le ferais et il irait au bagne ce salaud!
- Merci de défendre Thomas Maître! Ressortir à cette heure!
- Mais Tom c’est normal, ce serait pour toi ce serait pareil!
Il m’embrassa la main, j’étais prêt, bien habillé, je lui fis un bisou et je filai…
Je chevauchais assez rapidement avec mes gardes, il y avait Arnaud, Eric, Mathias et Denis, mes principaux gardes, au départ Alex m’avait dit qu’ils étaient tous content d’aller défendre Thomas, qu’ils avaient tous été très choqués de le sévère et injuste correction dont il avait été victime! Il faisait nuit, nous avions une torche à la main.
Nous arrivâmes à Broc au galop dans un fracas assourdissant, et nous nous arrêtâmes devant la maison du régisseur. Celui-ci sortit avec un air ahuri, un homme était derrière lui.
- Alors Gabriel ça te dérange que moi et mes esclaves on vienne te voir ce soir à cheval?
Il ne répondit rien, j’avais sortit ma cravache, je lui en donnais un dur coup sur les épaules, il cria, je descendis de mon cheval et je cravachai Gabriel, il tomba à terre, il criait, sa femme sortit elle s’accrocha à mon bras en me suppliant, j’arrêtai ne voulant pas la battre.
Elle se recula, Gabriel se releva avec difficulté, il titubait à moitié, je m’approchai de lui, il puait le vin, il était à moitié ivre!
- Sale régisseur, tu t’es cru tout permis tu vas le payer cher, tu n’es plus régisseur, je te vire! Et je devrais te fouetter avant!
Il ne dit rien il baissait la tête abasourdi, sa femme s’écria:
- Maître, pitié, pourquoi, parce qu’il a fouetté un esclave insolent? Ce n’est pas une faute Maître!
- Il a fouetté mon garde personnel, en l’injuriant, et en m’injuriant en plus! Il n’avait aucun droit de le faire avec ce gars là en plus qui c’est?
Gabriel prit enfin la parole:
- Maître c’est Hubert, mon esclave personnel, il m’appartient.
- Quoi! Un esclave qui vit ici sans que je le sache, sur mon domaine, qui fouette en l’injuriant un de mes esclaves, et qui traite mes esclaves de chien, avance racaille d’esclave!
Il avança tête baissée, il mit son bras devant sa tête pour se protéger, ma cravache lui tomba dessus, fortement, il reçu une volée bien méritée, ma colère lui valu une correction désordonnée mais sévère, il était roulé en boule par terre, la cravache frappai le dos et les fesses, c’était un garçon bien proportionné, il encaissait les coups, son maître n’osait rien dire…
J’arrêtai, je déclarai:
- Gabriel et ton chien d’esclave vous êtes en état d’arrestation, Gardes attachez-les et conduisez-les aux cachots de St Pierre! Toi femme tu as la nuit pour faire tes balluchons et présente-toi à St Pierre à 9 heures, tu en repartiras avec ton mari et tes enfants! Et pas la peine de discuter mes ordres!
Je remontai en selle, Alex et Arnaud attachaient les deux hommes, ils ne résistaient pas, mon ton était extrêmement dur, je m’adressai à mes gardes qui avaient regardé la scène prêts à intervenir:
- Mes gardes, nous allons aller passer la nuit à St Pierre, toi Mathias, tu vas retourner à St Christophe, tu préviendras Yves que je ne rentre pas!
- Bien Maître! Dit Mathias et il partit.
A la lumière des torches on pouvait voir que les esclaves s’étaient tous rassemblés un peu plus loin, du haut de mon cheval, je leur dit:
- Mes esclaves approchez, ce soir votre régisseur a commis une faute très grave, je le chasse, vous ne le reverrez plus, vous ne reverrez plus non plus son sale esclave Hubert…
Un murmure parcourut les esclaves, la nouvelle n’avait pas l’air de leur déplaire…
- Les chefs avancez!
Cinq gars avancèrent, quatre assez jeunes, pas 25 ans avec tous un martinet à la ceinture, le dernier, plus âgé, au moins 35 ans, n’avait pas de martinet, je le désignai:
- Toi avance et présente-toi.
- Maître je suis Edmond j’ai 36 ou 37 ans Maître. Il dit ça avec crainte.
- Tu n’es pas sûr de ton âge, alors 36 ans ce sera bien, tu es le plus vieux des chefs, tu n’as pas de martinet à la ceinture pourquoi?
- Maître je n’ai jamais pensé en mettre un, le martinet il est au dortoir, il sert si un paysan le mérite Maître.
- Bon Edmond, comme tu es le chef le plus âgé et que tu me parais plein de bon sens, je te nomme provisoirement chef de Broc, je veux que demain soit une journée ordinaire à Broc, il y a des récoltes à rentrer et des labours à faire, que tout le monde travaille bien, je reviendrai demain pour voir tous les chefs, mais interdiction de porter un martinet à la ceinture pour tous!
Edmond se courba en signe de remerciement et de soumission, je lui mis ma main sur la tête, il me remercia, je lançai un ‘au revoir à tous’ et pris le départ accompagné de mes gardes et des deux prisonniers je pris la direction de St Pierre, les prisonniers marchant nous avons été obligés de modérer l’allure.
Notre arrivée à St Pierre ne passa pas inaperçue, en arrivant au château Xavier nous accueilli très surpris, suivi de Julien qui m’avait dit qu’il passait la nuit ici, je dis:
- Eh bien ne soyez pas surpris je viens passer la nuit ici, et Xavier conduis Alex aux cachots qu’on y enferme ces deux salauds!
En voyant Gabriel il fut surpris mais il obtempéra.
J’ajoutai:
- Julien et Xavier, soyez dans le bureau dans 10 minutes, et qu’on nous apporte à tous à boire et à manger!
Xavier donna tous les ordres et en peu de temps je me retrouvai devant une table avec des boissons, du vin pour moi, du St Alban, et on nous apporta de la charcuterie, mes gardes étaient tout intimidés, il avait fallu que je leur donne l’ordre de s’asseoir avec moi à table pour qu’ils le fassent, ils mangèrent copieusement, les cuisiniers étaient doués pour réagir vite, ils apportèrent rapidement des pommes de terre chaudes, du fromage, du pain et des fruits de quoi largement nous rassasier, j’invitai Julien et Xavier à se joindre à nous, ce qui me permit de les informer des derniers évènements.
Après m’être restauré correctement je dis à Julien et Xavier de me rejoindre au bureau et nous avons discuté de Broc.
- Xavier tu connais cet esclave appartenant à Gabriel, Hubert?
- Oui Maître, je suis étonné qu’il ne vous en ait rien dit, Hubert est détesté à Broc, il dénonçait souvent les esclaves à son maître pour les faire fouetter…
- Je pourrais le fouetter puisqu’il est sur mes terres… Mais Xavier, tu peux m’apporter le livre des comptes de Broc, avec les salaires de Gabriel.
- Bien sûr Maître.
Les comptes étaient clairs, la paye de Gabriel avait été bien versée, je ne lui devais plus rien, c’est alors que Xavier qui était debout derrière moi, me glissa un mince dossier.
- Il y a aussi ça, Maître…
Dans le dossier je découvris un papier fort intéressant, Xavier m’apportais une aide précieuse en me montrant ça…
- Merci Xavier, ce sera très utile, tu avais de bons rapports avec Gabriel?
- Pas trop bons Maître, il critiquait souvent ma gestion de St Pierre, et le vieux maître me fouettait, il m’a fouetté aussi une fois que j’étais à Broc, pour lui j’avais été impoli…
- Je commence à voir le personnage! Et le chef Edmond tu le connais?
- Je l’aime bien Maître c’est le dernier des anciens chefs de Broc, ce n’est pas une brute comme les nouveaux chefs.
- Qui les a nommés ces nouveaux chefs?
- Le vieux maître, avec Gabriel et Nico, Maître.
- Qu’est-ce qu’il allait faire là-bas, Nico?
- Il était partout, avec le vieux maître.
- Bon ce soir c’est Edmond qui est le chef de Broc, je verrai les autres demain, j’irai avec toi Julien!
- Bien Monsieur, je n’avais pas eu le temps d’aller voir les gens de Broc, mais je suis outré pour le brave Thomas, s’il y en avait un qui ne méritait pas ça!
- Oui c’est sûr!
- Maître, Thomas c’est le garde qui était avec votre infirmier pour soigner les affamés?
- Oui Xavier, un garçon très gentil, Ils vont le payer cher ces deux imbéciles, ils ont voulu jouer contre moi, ils vont comprendre qui est le maître ici! Je veux tout le monde, vous deux, les gardes, les deux prisonniers, la femme et les enfants de Gabriel, à 9heures demain matin dans mon bureau! Maintenant il est temps de se reposer et d’aller dormir…
- Maître j’ai demandé à Yvan de préparer votre chambre, si vous voulez que je vous y accompagne…
- Non c’est bien Xavier, vas te reposer aussi, toi aussi Julien, à demain matin, au fait Xavier tu as installé les gardes où?
- Dans la grande salle au deuxième Maître il y a plusieurs lits ils devraient y être au calme.
- Tu es parfait Xavier!
- Merci Maître, j’aimerais que personne n’ait à se plaindre de son séjour ici.
- C’est bien bonne nuit Xavier.
- Bonne nuit Maître.
Il se courba pour me saluer il était bien ce Xavier, je l’appréciais de plus en plus. J’entrai dans ma chambre, Yvan m’y attendait en tunique blanche, debout devant le lit, il se courba profondément pour me saluer.
- Bonsoir Yvan, tu vas bien?
- Oui Maître Merci.
- Tu es mon serviteur personnel quand je suis ici, ça te plait?
- Oui Maître, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, je ne connais pas vos habitudes Maître.
- Tu les connaitras vite, sois bien attentif c’est tout!
- A vos ordres Maître!
- Et Albert, tu le vois un peu moins?
- On se voit le soir Maître, Monsieur Julien nous a permis de garder notre chambre.
- C’est bien, bon aide-moi à me préparer pour la nuit.
Le mignon Yvan commença à me déshabiller délicatement, comme Tom le faisait tous les soirs, il était très doux, il baissait la tête ne cherchait pas mon regard, il enleva ma chemise, il m’effleura le torse sa main était douce, je sentis l’excitation monter, il défit mon pantalon le baissant doucement, à genoux il défit mes chaussures et mes chaussettes, j’étais maintenant en caleçon, il n’osait pas y toucher.
- Maître?
- Oui Yvan.
- Dans quelle tenue dormez-vous Maître, et vous désirez faire un peu de toilette avant de vous coucher, Maître?
- Je dors nu, et oui j’aime bien que mon serviteur me rafraichisse un peu, retire moi mon caleçon!
Il parut surpris il descendit mon caleçon très doucement, il fermait les yeux, il ne vis pas qu’en étant libéré mon sexe montrait une semi érection, j’étais étonné de son comportement mais pas tellement surpris, on peut interdire aux esclaves de voir leur maître nu, ça se faisait dans certains domaines.
- Debout Yvan!
Il se leva devant moi et détourna son regard.
- Yvan, je ne t’interdis pas de me voir nu, c’est permis pour mon serviteur personnel, ni de croiser mon regard!
- Maître vous ne me fouetterez pas si je fais ça?
- Mais non Yvan, je ne punis mon serviteur, qu’en cas de faute grave, tu peux me toucher, me voir nu, parler assez librement si c’est pour mieux me servir, et tu es mon serviteur donc à ma disposition complète, tu ne dois refuser aucun ordre, mais tu peux toujours poser des questions si tu n’as pas compris totalement l’ordre! C’est comme ça que ça se passe avec Tom à St Christophe, et ça se passera pareil ici!
- Oh Maître, merci, je veux être votre meilleur serviteur, punissez moi quand je le mérite, comme l’autre jour, j’ai cru qu’après la fessée c’était le fouet que nous méritions et que vous nous chasseriez, oh Maître merci quand Xavier nous a dit que je serais votre serviteur et Albert celui de Monsieur Julien, je me suis dit que vous ne en vouliez pas et pas non plus de notre amour.
- Vous avez reçu une bonne fessées et vous avez été pardonnés donc je ne vous en voulais plus, c’est pour ça que vous avez chacun une chance!
- Merci Maître!
- Allons donc faire ma toilette!
Dans la salle de toilette de ma chambre il y avait un lavabo et un grand bac pour prendre un bain, mais il fallait que des esclaves le remplissent d’eau chaude, c’était très différent de St Christophe où une chaudière moderne permettait d’avoir une réserve d’eau chaude pour la douche du Maître et ses bains.
Mais Yvan disposait d’un broc d’eau chaude, qu’il avait dû aller chercher aux cuisines, il le mélangea à de l’eau froide et il me lava le torse, sous les bras, sur mon ordre, il lava mon sexe, il le toucha, le lava, c’était presque des caresses, je me mis à bander, Yvan était tout mignon, en me frottant, mes mains soulevèrent sa tunique pour aller caresser ses fesses, elles étaient rondes et fermes, je me rappelai sa fessée et la beauté de son postérieur.
- J’ai envie de toi, mon Yvan! Mais Albert il dira quoi?
- Maître j’aime Albert mais je suis votre esclave je suis à votre disposition…
- Mon petit Yvan tu passeras la nuit avec moi dans mon lit, prépare-toi!
- Bien Maître!
Il enleva sa tunique, il était vraiment beau, 18 ans, près à venir avec moi, il fit quelques ablutions. J’allai me coucher nu sur le lit ouvert, et j’attendis. Yvan arriva nu superbe il se planta devant le lit, au début il ne me regardait pas puis se rappelant les ordres, il me regarda, mon sexe étais dressé, il parcouru mon corps du regard, puis mes yeux où il a dû voir du désir.
- Viens contre moi mon petit Yvan!
Il vint se coucher, sur le lit tout doucement, à côté de moi sans oser me toucher, il avait été bien dressé en esclave soumis, je le pris dans mes bras et le fis se coucher sur moi, il n’était pas très lourd, il avait la peau très douce, je lui caressai le dos et les fesses doucement, je pris sa bouche nos langues se trouvèrent il avait de l’expérience ça se voyait. Je sentis son sexe grossir sur mon aine…
- Tu aimes ça mon garçon!
- Oui Maître, pardon Maître…
- Pas de pardons ou de freins pendant l’amour, tu fais l’amour avec moi laisse monter tes désirs, aller suce-moi mon garçon!
Il se retourna et sans aucune hésitation il prit mon sexe dans sa bouche, et commença la fellation, il était doux et il faisait ça divinement bien, ses fesses étaient à portée de main, je le caressai et mon doigt s’insinua dans sa raie et pénétra son anus, il frémit en râlant, il bandait très fortement, il était très chaud mon Yvan, expert pour sucer, son cul se dilatait, il réclamait à être pris…
Je lui demandai de se retourner, mon sexe se présenta et le pénétra facilement, il était trop mignon mon Yvan, je le limai, et le branlai à la fois, son sexe devint tendu à l’extrême il cria:
- Maître je peux pas me retenir…
- Et bien ne te retiens pas!
Il émit des cris rauque et se rependit sur le lit, quelque seconde après c’est moi qui éjacula en lui, le plaisir fut intense…
Je me retirai de lui et je l'envoyai chercher une serviette, et sur mes indications il m'essuya le sexe, puis le sien et il nettoya un peu le lit, il était mignon comme tout, il faisait très attention il était la douceur même… Quand il eut fini, il me recouvra avec la couverture, et se dirigea vers une paillasse dans un coin.
- Yvan mon garçon, viens dans mon lit!
- Maître je peux?
- Bien sûr, je n'aime pas dormir seul, et ta paillasse elle doit être dure!
Il entra dans mon lit, je le serrai dans mes bras, je lui fis plein de bisous, il sourit, je l'installai contre moi en 'cuillère', ses fesses contre mon sexe, je lui dis dans l'oreille des mots doux, il dit d'un ton un peu inquiet:
- Maître je vous ai plu? Je n'ai pas fait de fautes?
- Oui tu es un bon garçon, il n'y a pas de fautes pendant l'amour, tu es mon esclave et mon amant, tu es très gentil Yvan, je ne t'oublierai pas et tu es maintenant sous ma protection, personne me peut te punir sauf moi…
- Oh mon Maître…
Je pris sa bouche il était heureux mon Yvan, et tellement craquant avec le sourire…
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