Je m’étais installé au salon, je n’étais pas très fier de moi, je m’étais comporté comme mon père, fouetter durement un esclave sous la colère, mais je ne le regrettais pas vraiment, ce Jacques était un sinistre personnage, il fouettait quotidiennement les esclaves des cuisines sans pitié, avec cruauté.
Yves entra, il avait accompagné les gardes et le fouetté. Il se tint alors à coté de moi et bredouilla :
- Maître…
- Tu as quelque chose à me dire Yves ?
- Oui Maître, je voulais vous demander pardon pour avoir retenu votre bras, je ne voulais pas vous toucher Maître, mais je ne pouvais pas faire autrement…
Je fus un peu surpris, mais réalisai rapidement, que l’on pouvait considérer ça comme un geste agressif, un esclave ne devait jamais porter la main sur son Maître, et éviter de le toucher sauf nécessité absolue. Il avait posé la main sur mon bras pour freiner mon ardeur à fouetter, c’était en effet une faute grave.
Yves avait voulu arrêter son Maître tellement il était horrifié par la flagellation en cours, il était maintenant très confus il s’attendait à être puni sévèrement. Avec mon départ précipité du bureau, il pensait que j’étais en colère contre lui, alors que j’étais en colère contre moi. Je n’avais en fait aucune intention de le punir !
Yves se tenait tête baissée, je n’avais pas dit un mot depuis les siens, à vrai dire j’aimais bien le voir comme ça, j’étais un peu sadique, et je savourais ce moment où il se demandait comment il allait être puni, avec quelle sévérité, il sentait encore sur ses fesses, la douleur de la fessée du matin, je voyais encore des traces de rougeurs en dessous de son short court, il baissa un peu plus la tête.
Je me décidai à couper court à sa tension et dis :
- Yves, tu n’es coupable de rien, tu as bien fait de me retenir, je ne t’en veux pas du tout, il est hors de question de te punir !
Yves me regarda et tomba à genoux devant moi, je lui fis signe d’approcher, et l’attirai vers moi, je pris sa tête et la posai sur mes genoux, je lui caressai les cheveux, après un moment je lui demandai de se lever, je me levai aussi et je l’étreignis en le serrant très fort dans mes bras, je caressai doucement ses fesses, ma main sous son short. J’entendis
- Oh Maître !
Sa tête était sur mon épaule, je sentis des larmes couler, je lui dis :
- Ce n’est rien mon petit Yves.
Je relâchai mon étreinte, et le fis s’asseoir en face de moi.
- Yves, maintenant que tu es mon secrétaire particulier, tu n’es plus un esclave ordinaire, tu es obligatoirement sous ma protection, et dans ton cas particulier, je t’autorise à me parler librement, et tu as le droit de me toucher aussi mais sans agressivité bien sûr ! Je devrai sûrement encore te punir quand tu le mériteras, mais à toi de rendre ces occasions rares…
- Oh merci Maître, vous êtes tellement bon avec moi…
- Même quand je te fesse comme ce matin ?
- Oui Maître, vous êtes sévère, mais quand j’étais sur vos genoux c’était mérité, et j’avais confiance en vous Maître, vous m’avez fessé durement, j’ai encore les fesses brûlantes, mais c’est normal je vous avais contrarié Maître…
- Yves, arrêtons de nous attendrir, je pense au garçon d’écurie Angelo, son châtiment est inacceptable, tu vas aller chercher le chef des écuries Benoît et Angelo, je les veux dans mon bureau dans 5 minutes…
- Oui Maître, j’ai entendu Angelo tout à l’heure… Dit-il d’un air consterné.
Je me relaxai, un bref moment dans le salon, en pensant avec tendresse à Yves, il me devenait indispensable, aussi bien au lit que dans ma vie, et il le faisait avec un tel dévouement ! Toujours à l’écoute, ceci depuis plus de cinq ans, acceptant toujours avec humilité et confiance les punitions que je lui donnais…
Je me rendis dans le bureau, Yves y était avec Angelo, un mignon petit brun, et Benoît son chef un beau gosse aussi, guère plus de 25 ans, blond. Les deux étaient debout tête baissée.
- Benoît je te connais mal, tu es là depuis quand et tu as quel âge ?
- J’ai 26 ans Maître, je suis au Domaine depuis 3 ans, j’ai été acheté par votre père sur le marché aux esclaves, je m’étais déjà occupé de chevaux… Dit-il d’une voix hésitante.
- Et toi Angelo ?
- J’ai 19 ans Maître, je suis né dans le domaine à Gault, j’ai été muté au Château il y a 2 ans pour travailler aux écuries, Maître… Dit-il avec une petite voix craintive.
- Tu es un des gosses de Gault, vous étiez toute une troupe, il y a 10 ans ?
- Oui Maître…j’étais un de ces gosses, à qui vous donniez des bonbons ou des gâteaux Maître, on aimait tellement vous voir arriver sur votre beau cheval…
Je me souvins alors de mes quinze ans, quand je me promenais dans le Domaine, à cheval, avec les gosses du village qui accouraient à mon arrivée, en m’appelant le ‘Petit Maître’ et à qui je donnais des friandises. Angelo était un de ces gosses, j’en étais tout attendri…
- Bien mon petit Angelo, tu vas maintenant te déshabiller, enlève short et chemise !
Angelo se déshabilla rapidement, c’était un garçon un peu trop maigre, mais très bien fait, un sexe bien développé, un beau petit mâle, je lui demandai de se retourner pour nous montrer son dos et ses fesses zébrés profondément.
- Benoît je veux des explications sur l’état d’Angelo, pourquoi a-t-il été fouetté aussi sévèrement ?
Benoît baissa la tête, et dit d’une voix très mal assurée :
- Maître il était en retard pour préparer votre cheval, il y a une semaine, j’ai dû le punir, mais je reconnais que j’ai été trop sévère…
- Pour le moins oui, je me rappelle bien ce jour, j’avais décidé de partir à cheval tout d’un coup, mon cheval préféré Étendard, n’était pas prêt, Angelo était en train de le brosser, et il ne fallait pas longtemps pour le seller et le préparer, j’en ai profité de discuter avec toi, je ne t’ai rien reproché non ?
- Non Maître, mais vous avez paru surpris que le cheval n’était pas prêt quand vous êtes arrivé. J’ai pris ça pour un reproche Maître…
- Tu pouvais m’expliquer qu’Etendard était en train d’être brossé, mais je n’ai pas été contrarié du tout, si tu le pensais tu aurais dû me demander si tu devais punir le garçon pour le retard ! Je ne comprends pas pourquoi une punition aussi cruelle ! Angelo, remets tes vêtements, on a assez vu tes marques, même si tu es un beau garçon…
Benoît, de plus en plus gêné, dit d’une voix blanche :
- Maître, je reconnais que je me suis emballé, j’étais aussi en colère après Angelo, quand je lui ai reproché son retard, il m’a dit qu’il fallait qu’il finisse son brossage, je l’ai traité d’insolant, j’ai pris le fouet d’écurie, je lui ai baissé son short, et arraché son maillot, je l’ai couché à plat ventre sur une selle et je l’ai fouetté, il criait, mais j’ai continué jusqu’à ce qu’il se taise !
- Et c’était mérité à ton avis, Benoît ? Dis-je, Angelo paraissait très gêné, il regardait par terre.
- Non Maître, je le sais bien, puisque j’en ai l’occasion je voudrais demander pardon à Angelo, je l’ai fouetté sans raison, depuis une semaine je l’évite… J’ai honte…
J’étais un peu surpris de leur embarras, tous les deux semblaient cacher quelque chose.
- Benoît, je ne comprends pas ta violence, tu as la réputation d’être calme, mais si tu es violent comme ça et incontrôlable, tu ne peux pas garder ton rang de chef…
Benoît baissa encore plus la tête, et rougit… Je repris :
- Tu me caches quelque chose, tu as un ressentiment contre Angelo ? Et me tournant vers Angelo :
- Tu ne dis rien toi ?
Angelo bredouilla alors :
- Maître, il voulait… Il voulait…Oh non Maître, je ne peux rien dire… Pardon Maître !
Benoît inspira un grand coup, et dit :
- Maître, je dois tout dire, je voulais coucher avec lui…
- Tu voulais le violer, l’enculer, et il a refusé c’est ça ? Eh bien bravo ! Dis-je avec colère.
Benoît répondit :
- Pas tout à fait Maître plutôt le contraire… Oh j’ai honte Maître, Angelo est un garçon bien pourvu et… Et… Je voulais… Le toucher… Le sucer… Et…. Oh Maître… Et il tomba à genoux.
- Bon si j’ai tout compris, j’ai bien remarqué qu’Angelo est bien monté, et tu voulais le sucer et qu’il t’encule, c’est ça non ? Pas la peine d’en faire un roman ! Dis-je toujours en colère.
- C’est ça Maître ! Répondit Benoît en pleurant de honte.
Je m’adressai à Angelo :
- Et toi tu as refusé ?
Angelo, répondit sur la défensive :
- Maître je suis pas…
Il s’arrêta brusquement se rappelant de mes mœurs, et ajoutant dans la confusion et les bredouillements :
- Je… Je… N’aime pas… Pas… Ça… Je… Je… Je peux pas… Et je… Je…
- Tu n’es pas quoi ? Dis-je en criant.
- Je… Je… J’ai rien dit… Oh Maître… Et il tomba à genoux.
Je me retrouvai avec les deux esclaves à genoux, je comprenais la situation maintenant, et je commençais à en avoir marre, de ces discussions hachées. Je me levai et déclara d’une voix ferme :
- Angelo, tu es un imbécile, tu pouvais te laisser faire, tu n’aurais éprouvé que du plaisir, surtout que Benoît a un beau cul. Mais Monsieur Angelo n’est pas un pédéraste, il fait le difficile, tu préfères être puceau, petit con… Mais toi Benoît, je te rappelle que ton rôle de chef se limite au contrôle du travail des esclaves dont tu as la charge, pas de leur vie privée, seul le Maître a un pouvoir total et absolu sur ses esclaves, tu es donc fautif d’avoir fouetté Angelo avec tant de cruauté, mais tu as eu l’honnêteté de reconnaître tout, je te maintiens donc dans ta fonction, mais tu vas être sanctionné !
Les deux esclaves restèrent figés, Angelo avait pâli en m’entendant. Je leur ordonnai de se lever. Benoît avait le visage plein de larmes, Angelo était pâle, il baissait les yeux, je m’approchai et lui pris brusquement son sexe à pleines mains, il eu un geste de recul, mais se reprit et se laissa faire :
- Tu es bien monté Angelo, comme un cheval !
Je malaxai son paquet assez fortement, il devait avoir mal.
- Mais tu sais Angelo, c’est ton cul qui me plait, et j’ai bien envie de t'enculer ici devant tout le monde, comme ça tu pourras toujours dire que tu n’es pas un pédé, mais tout le monde saura que tu es un enculé !
Il tomba à genoux :
- Oh Maître pitié… Pas ça… Maître je ne voulais pas vous offenser… Oh pardon Maître… Mais j’aime une fille, je l’aime trop… Pardon Maître !
- Ah tiens, Angelo est amoureux, bon l’amour rend bête, c’est bien connu…
Je n’avais aucune intention d’embêter plus Angelo, il était certes un peu bête, mais il avait été fouetté durement pour ça, cela suffisait amplement.
- Angelo, j’en ai assez entendu, rentre aux écuries travailler, soigne bien mes chevaux, mais je t’ordonne une chose, particulièrement, Benoît aura le droit de te sucer, tu ne peux pas lui refuser ça !
- Oui Maître ! Et il se leva, salua et quitta la pièce avec un air confus.
Je me tournai vers Benoît, et dis avec un sourire :
- C’est toujours ça de gagné pour toi et ça le rendra moins con.
Il sourit un peu mais restait très soucieux, j’avais parlé de sanction… Je repris :
- Benoît tu as outrepassé tes droits envers Angelo, tu as été cruel, tu aurais dû le fesser ou lui donner le martinet, pour sa faute, vos affaires personnelles n’avaient pas à entrer en cause. J’ai attendu le départ d’Angelo pour fixer ta punition, tu es chef mais aussi esclave, tu seras donc puni ici en privé et tout de suite !
- Merci pour votre discrétion Maître, je suis coupable, merci de me punir vous-même… Il jeta un coup d’œil vers Yves qui assistait depuis le début à toute la scène debout dans un coin.
- Yves vas me chercher la strap, et tu te retireras !
- Oui Maître ! Il sortit et rentra peu après la strap en main, me la tendit et partit.
- Bon à nous deux, Benoît, tu vas recevoir 60 coups de strap sur les fesses, mets-toi complètement nu !
Benoît me regarda avec crainte, mais il se déshabilla très vite, il était beau garçon, blond, un corps fin, musclé, un sexe assez petit, et de très belles fesses, j’eus alors envie de toucher de mes mains ce corps :
- Pour mieux te préparer à la strap, je vais déjà te fesser, approche !
Benoît approcha de moi, sur un signe il se coucha sur mes genoux, je lui fis ajuster sa position, cul bien cambré, jambes légèrement écartées, je posai ma main sur ses fesses, sa peau est douce, je le caresse, il apprécie, je sens son sexe qui grossit sur mes jambes :
- Alors tu aimes ça mon petit pédé ? Il répondit :
- Oh Maître, je suis à vous si vous voulez de moi, faites ce que vous voulez de moi, j’ai peur de la punition que vous allez m’infliger mais je sais que vous serez juste, Maître, et que je l’ai méritée !
Je levai ma main et donnai la première claque, durement, Benoît se tendit mais n’émit aucun son, la deuxième et la troisième claque tombèrent fortement aussi, Benoît gardait bien la position, je continuai la fessée plus rapidement et toujours aussi durement, les fesses de Benoît rougirent vite, je claquais rapidement sur toute la surface de ses fesses, il jonglait un peu des jambes, mais ne criait pas, aucune plainte, ne sortit de sa bouche. Je continuai à le punir avec mes claques sévères, son sexe avait dégonflé, il s’abandonnait peu à peu à la punition…
J’arrêtai brusquement et dis :
- Debout !
Benoît se leva, il baissait la tête, toujours sans un mot, je vis des larmes sur ses joues, je lui caressai les fesses doucement, il me regarda avec un drôle d’air, je lui dis :
- En position pour la strap !
En lui montrant le bureau, il mit ses mains sur le bureau et présenta son cul, je lui fis encore ajuster la position en mettant ses coudes sur le bureau et en lui faisant écarter les jambes, je voyais bien son cul, bien exposé, et je commençai à avoir des idées surtout après ses récentes confidences.
- Benoît, je vais te donner 60 coups de strap, tu dois les compter, sans erreur bien sûr, sinon gare à toi !
- Oui Maître… Dit il doucement mais d’un ton assuré.
Je soulevai la strap et fouettai durement les fesses de Benoît.
- Mmmum… Un Maître !
2, 3, 4, 5 coups toujours aussi durs.
- Mmmaaarh.. Cinq Maître !
- Benoît, il est d’usage de remercier son Maître à chaque coup !
Avant qu’il ait le temps de répondre, le 6ème coup le frappa en bas des fesses, un coup sec et violent, qui lui fit une large trace rouge.
- Aaaaahhhh… Six Maître…
- Qu’est-ce que je viens de dire, Benoît ?
- Oh merci Maître…
- Trop tard, reprends le compte à zéro !
Il ne répondit pas, il cambra un peu mieux son cul.
Je donnai un coup de strap, bien claquant.
- Ahhaiiee... Un Maître, merci Maître !
- Bien mon garçon !
Les 20 coups suivants claquèrent durement sur ses fesses, il ne retenait plus ses cris, le compte était parfait, avec le remerciement, son corps faisait un sursaut à chaque coup. Ses fesses bien tendues vers moi devenaient rouge vif.
Je fis une très brève pause, et repris la punition, plus rapidement mais toujours aussi durement, il criait de plus en plus fort, sans se tromper dans le compte, mais je voyais qu’il dégustait, ses fesses montraient sa douleur, le feu irradiait ses chairs à chaque coup, seule sa voix trahissait sa peine, elle devenait de plus en plus rauque !
Encore 3 coups bien violents, qui le firent hurler de douleur, j’entendis :
- Rhaaaahhhh… 50 Maître… Merci Maître ! ».
Je m’approchai de lui :
- Encore dix mon garçon ?
- Oh Maître, je vous demande pardon pour tout, faîtes de moi ce que vous voulez !
- Benoît, tu as reçu 50 coups sur 60, mais la fessée du début permet de retirer 10 coups, donc j’arrête de te fouetter, mais je vais rajouter une punition !
- Oh Maître, pitié ! Dit-il en pleurnichant.
Je posai ma main sur ses fesses, elles brûlaient, je les massai doucement, mon index, s’insinua dans sa raie pour aller chatouiller sa rondelle, aussitôt il frémit :
- Tu aimes plus ça que le fouet mon garçon ! Je vais te faire ce que tu voulais du jeune Angelo !
Je baissai mon pantalon dégageai mon sexe déjà bien gonflé, et le frottai sur les fesses du puni.
- Oh Maître ! Dit-il en écartant un peu plus ses jambes.
Je crachai dans mes mains, enduisis mon sexe de salive et le dirigeai vers ce trou qui semblait si accueillant ! Lorsque mon gland toucha son cul, il sursauta, je forçai le passage doucement et pénétrai dans son cul bien dilaté, ce n’était pas la première fois qu’il était enculé, mais c’était si agréable ! Je le pénétrai à fond, je sentis ses fesses chaudes sur mon aine, quel plaisir d’enculer un homme que l’on vient de fouetter ! Je commençai à le limer, doucement puis plus rapidement, je l’entendais geindre de plus en plus fort, je continuai mes va-et-vient de plus en plus rapidement, mon sexe gonfla de plus en plus, je sentis le plaisir venir, accélérai le mouvement, et déchargeai dans son intimité, la plus profonde.
Pendant ce temps il râla et cria de plaisir de plus en plus fort, je vis un liquide blanchâtre sur le bureau, il avait joui sans les mains, pendant qu’il était enculé !
Je me retirai de lui et lui dis de se relever, il eut un peu de mal, à cause de ses fesses endolories, je lui montrai ses tâches de sperme sur le bureau en disant :
- C’est du propre !
Il baissa la tête :
- Pardon Maître, je n’ai pas pu me retenir, je n’ai jamais été pris aussi bien Maître, mais punissez moi Maître si vous le jugez bon Maître, mon corps est à vous Maître ! Et il tomba à genoux, prosterné.
- Aller debout Benoît ! Je lui mis un chiffon dans les mains :
- Et essuie le bureau, ta punition est terminée !
Benoît nettoya consciencieusement la tache de sperme, et se tourna vers moi, toujours nu, en position d’attente. Je m’approchai de lui le pris dans mes bras, et je l’embrassai doucement le serrant sur moi et en caressant ses fesses. Je dis :
- Benoît, sois juste avec tes gens, utilise ta main, le martinet ou la strap pour les punir, je ne te donnerai pas d’autre chance si tu recommences. Mais pour le dernier type de punition je peux te convoquer à tout moment !
- Oh Maître quand vous voulez, mais je vous remercie aussi de la punition avec la strap, c’était très dur Maître, mais je sais que je l’avais méritée, j’essaierai de garder votre confiance Maître, pour vos chevaux, et je vous promets de ne plus fouetter Angelo et ses collègues…
- Bon mon Benoît, rhabille-toi et retourne à ton travail ; je ne parlerai pas de cette session de punition à personne !
Je l’embrassai sur les deux joues et sur la bouche, il était mignon et tendre comme tout maintenant, et je quittai la pièce.
Arrivé au salon je vis Yves qui m’attendait, il avait un regard interrogatif, je dis :
- Plus tard Yves, j’ai faim et je vois qu’il est l’heure du repas, alors vas à la cuisine !
Yves quitta rapidement la pièce, je passai à la salle de bain pour me rafraîchir un peu et me laver après la jouissance que j’avais eue et c’est dans des vêtements propres que je passai à table. Le repas apporté par un jeune cuisinier aperçu cet après-midi, était encore meilleur que d’habitude, il me ravit, quand il fut fini, je me retrouvai seul avec Yves.
Il se tenait debout à son habitude, nous passâmes au salon, je fis signe à Yves de s’asseoir à coté de moi mais il s’assit à mes pieds allongeant son dos sur mes jambes…
- Vous permettez Maître ?
- Oui Yves ! Et je pris sa tête dans mes mains et le caressai.
- Quelle est l’ambiance aux cuisines, Yves ?
- Oh Maître, on ne les reconnaît plus, la cuisine bourdonne, ils travaillent dans la bonne humeur, ils se sont presque disputés l’honneur de venir vous servir, Mais Jojo les a remis en place, il a rapidement tiré au sort, et c’est ce jeune qui est venu…
- Tu parles, il n’a pas dis un mot il était pétrifié devant moi !
On frappa à la porte, et le garde de service entra :
- Maître, le Chef Jardinier, Michel, demande à vous voir ! Dit-il au garde-à-vous.
- Bien, qu’il entre !
Michel, entra, c’était un gars de 30 ans, calme excellent jardinier, il avait été promu Chef Jardinier, il y a plus de 8 ans, pour ses compétences. Il se figea devant moi et attendit, il paraissait tendu, il dit d’une voix mal assurée :
- Bonsoir Maître, Tom…Tom m’a dit que... Que vous vouliez me voir ?
- En effet, bonsoir Michel, installe-toi sur ce tabouret ! Lui désignant un tabouret proche de moi.
Il s’assit et me regarda avec une crainte qu’il ne pouvait pas cacher, se tortillant un peu sur son siège, et il s’immobilisa baissant la tête comme un esclave en attente d’une punition. Je repris la parole :
- Michel tu ne sembles pas à l’aise, je suis surpris, tu as quelque chose à te reprocher ?
- Maître, je… Je ne sais pas, j’ai… J’ai entendu par… Parler des… Des punitions de cet après midi, et… Et j’ai… J’ai peur… Maî… Maître !
J’étais un peu consterné par la peur de Michel, avec moi il avait toujours été franc, nous avions peu de contacts à vrai dire, sauf sur des problèmes de jardinage. Je lui dis :
- Tu as fait des choses que je pourrais te reprocher et qui mériteraient le fouet, Michel ?
- Maître, je suis fautif, d’avoir fessé Tom hier, je l’ai fait durement, pour moi il l’avait mérité, mais j’ai peut-être été excessif, je suis heureux pour Tom, qu’il devienne votre serviteur, si j’ai été dur avec lui, je vous demande pardon Maître, mais j’assume mes fautes, et si je dois être puni, Maître punissez moi…
Surpris par ses paroles, il avait dit tout ça d’un trait sans hésitation, je me levais, me mis derrière lui, il chercha à se lever (un esclave ne doit pas être assis devant son Maître debout), je le pris par les épaules, pour le maintenir assis, et je dis :
- Michel je n’ai rien à te reprocher, tu as puni Tom, et tu as eu raison, je n’ai rien à dire contre ça, les jardins sont superbes et ton équipe de jardiniers est très compétente, je n’ai rien à te reprocher, alors détends-toi, tu ne risque pas d’être fouetté ce soir. Si je t’ai demandé de venir, c’était pour parler de Tom, alors détends-toi mon gars, je n’ai rien contre toi !
- Merci Maître, et pardon pour ma peur… Tom m’a annoncé sa nomination, je l’ai félicité, Maître vous avez fait un bon choix, Tom est un de mes meilleurs garçons, je l’ai formé à 12 ans, il est sérieux, je suis content pour lui mais pas pour moi…
- Un des meilleurs, mais tu le fesses, pas plus tard qu’hier, et pour son départ, j’ai en effet hésité car je ne veux pas réduire l’effectif de ton équipe, il faudra trouver un remplacent.
- Maître je ne le fesse presque jamais, c’est un garçon gentil mais quelques fois étourdi, il est encore jeune Maître…
- Tu ne fouettes jamais tes esclaves ? »
- Non Maître, je ne peux pas, et pour les fautes qu’ils font… Le martinet suffit pour les plus grosses fautes !
- Comment faisais-tu du temps de mon père ?
- Maître, quand j’étais convoqué par Maître votre Père, j’essayais de faire barrage à sa colère, si une bêtise était faite aux jardins, je le raisonnais, je voulais protéger mes gars Maître.
- Mais je suis surpris en voyant le registre des punitions, qu’aucun jardinier, n’ait jamais été fouetté officiellement !
- Aucun jardinier n’a été fouetté par le Maître, vous savez Maître, Maître votre Père n’a jamais été trop dur avec moi, il aimait énormément le jardin, il en parlait des heures avec moi surtout ces dernières années, alors quand il y avait des problèmes je les prenais à ma charge Maître !
- Que veux-tu dire ?
- Maître, quand un de mes gars, avait fait une erreur justifiant le fouet, je prenais la faute pour moi, j’ai reçu quelques fois le martinet par votre père, je savais qu’il ne me fouetterait pas !
- Mais le martinet par mon père, ce n’était pas un plaisir ?
- Oh non Maître, mais j’aimais mieux ça que voir un de mes gars avec le dos déchiré, j’ai vu trop d’hommes suppliciés, pour supporter ça pour eux !
- J’ai vu aussi que tes gars étaient en bonne forme, moins maigres que les autres…
- Maître j’ai un principe, quand la nourriture arrive, la soupe pour les esclaves et mon repas de Chef, nettement plus consistant, je fais tout mélanger, comme ça tout le monde mange pareil, et je donne toujours un peu plus aux jeunes…
- Tu n’as jamais dit tout ça à mon père, pourquoi tu me dis tout maintenant ?
- Maître, je préfère être clair et honnête avec vous, vous êtes mon nouveau Maître, il y à 5 ans vous nous avez appris sur un sujet vous concernant, qu’il fallait être honnête avec soi-même et ne pas mentir, pour moi c’est une leçon, je l’applique maintenant Maître, je répondrai toujours à vos questions Maître, clairement, sauf si vous voulez fouetter mes gars !
J’étais soufflé, jamais un de mes esclaves n’avait eu un ton comme ça pour s’exprimer, mais je ne pouvais que lui donner raison ! Je me rassis, pris sa main dans la mienne et dis :
- Michel, tu es le meilleur Chef du Château, je te remercie pour le bon travail de toi et ton équipe, je te remercie particulièrement de ta franchise, mais surtout de la façon dont tu as soutenu tes gars, je suis très fier de toi, Michel !
Je me levai pris sa tête dans mes mains et lui déposai un baiser sur le front, il me regarda en souriant, c’était le plus bel hommage entre un maître et son esclave.
Michel était entré dans la pièce la peur au ventre, il était maintenant heureux, pour lui, pour ses gars, il commençait à aimer ce nouveau maître, cette journée, des personnes cruelles que Michel n’aimait pas, en particulier le Chef des Cuisines, avaient été punies sévèrement, la nouvelle avait enflammé le Château, un nouvel espoir pouvait-il naître ?
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