samedi 29 août 2009

Le Domaine de Saint Christophe 14 – Pascal

Plus tard dans l’après midi, je savais que Rex le régisseur de St Christophe allait venir, je fis venir Jojo, je lui demandai ce qu’il pensait de Greg, l’esclave amené de St Christophe.

Jojo dit :

- Maître, c’est un très bon garçon, au début il était perdu, étonné d’être bien traité, je lui ai donné à manger, oh Maître comment peut-on affamer un jeune comme ça ? Maintenant il est gentil avec tout le monde, et il travaille très bien j’aimerais bien le garder Maître.

- C’est bien Jojo envoie-moi Greg !

Greg était devant moi, moins maigre mais toujours mince et beau garçon, il se mit à genoux devant moi et il dit :

-Maître…

- Oui Greg, parle !

- Oh Maître merci de m’avoir amené ici, mais Maître, je vais retourner à St Christophe ?

- Tu veux quoi toi ?

- Oh Maître rester ici !

- Viens ici Greg, pose ta tête sur mes genoux ! Il le fit et posant ma main sur sa tête, je dis :

- Greg, tu peux me jurer sur mes genoux que tu es innocent du vol dont on t’accuse ?

- Oui Maître, je ne suis pas un voleur je le jure Maître !

- C’est bien Greg, retourne aux cuisines !

J’avais assez confiance dans ses dires car dans les superstitions courantes, mentir quand le Maître pose la main sur sa tête, pourrait être fatal !

Rex arriva un peu plus tard, je ne lui demandai pas de s’asseoir, alors qu’Yves qui était là était assis au bout du bureau, je lui demandai des explications sur les erreurs de gestion relevées, il n’en apporta pas, sur la ‘culpabilité’ de Greg, non plus toutes ses explications étaient confuses !

- Quelles solutions peux-tu apporter Rex ?

- Euh… Monsieur, avec les esclaves que j’ai, je ne peux pas faire beaucoup, ils sont tous des fainéants Monsieur, ils ne comprennent que les coups !

- Ça suffit Rex, tu ne peux plus travailler pour moi, tu es viré immédiatement, Yves fais son compte !

- Oh Monsieur ! Mais…

- Non tu es viré, c’est tout ! Et je sortis du bureau laissant la porte ouverte, je demandai au garde en faction de garder la porte, qu’il n’arrive rien à Yves.


Je regagnai le salon, Tom était là, je le mis au courant des nouveautés et je dis :

- J’aimerais bien une soirée calme ! Tom me servit un whisky et se retira.

C’est alors que le Chef des maçons, Marcel, se présenta. Je le reçus au bureau.

- Eh bien Marcel, qu’arrive-t-il ?

Marcel était un homme proche de la quarantaine, fort, musclé, imposant et surtout très bon maçon.

- Maître j’ai un problème avec un de mes maçons, c’est un bon maçon mais il est rebelle Maître !

- Rebelle, il fait quoi ?

- Il désobéit Maître, il n’a pas fini un travail à temps plusieurs fois en me répondant qu’il ne pouvait pas, et ce matin il a refusé de punir un apprenti dont il a la charge.

- Tu l’as déjà puni pour ça ?

- Maître j’ai utilisé le martinet, mais il s’en fiche !

- Et le fouet ?

- Maître… Je n’utilise pas le fouet, Maître…

- C’est pas plus mal Marcel !

- Maître qu’est ce que je peux faire avec lui ? Il est bon maçon mais j’ai peur de son influence sur les jeunes…

- Tu as raison Marcel, c’est bien d’être venu m’en parler, tu vas aller chercher ce maçon maintenant !

- Oui Maître ! Il quitta le bureau et revint avec un homme assez grand, mince, de moins de trente ans, il semblait un peu perdu, craintif.

- Alors mon garçon, ton nom et ton âge d’abord !

- Pascal, 26 ans Maître. Il était tendu.

- Pascal, ton Chef me dit que tu es indiscipliné !

Pascal ne dit rien, il paru très gêné.

- Ce matin tu n’as pas voulu punir un apprenti, pourquoi ?

- Maître… Je ne peux pas !

- On te demandait de le punir comment ?

- Une fessée Maître, mais je suis un esclave Maître, je ne veux pas battre un autre esclave !

- De ton propre chef oui mais tu dois obéir à ton Chef, et si je te demande moi de le fesser tu ne le feras pas ?

- Euh, je… je sais pas Maître.

- Et quand tu ne finis pas un travail ?

- Je n’ai pas toujours le temps Maître !

- Pascal c’en est assez, tu es insolent et indiscipliné, c’est extrêmement grave ! Et tu désobéis à ton chef !

Pascal baissa la tête, il commençait à avoir peur.

- Ton comportement est celui d’un gamin mal élevé, on t‘aurait demandé de fouetter cruellement un jeune, j’aurais accepté tes réticences, mais pas pour une fessée ! D’autre part quand un travail n’est pas fini, on donne une raison valable à son chef ! L’insolence n’est pas acceptable tu dois le savoir, si tu désobéis à ton chef, c’est à moi que tu désobéis !

Pascal me regarda de plus en plus craintif, il n’osa rien dire.

- Pascal demain matin tu seras puni devant les autres maçons, ta faute est grave, la punition sera sévère ! Maintenant retirez vous ! Ils partirent.

Je pris mon repas assez tôt, j’avais faim, Tom me servit très bien, le repas était bon, je remarquai que le pain portait la marque de Bertrand, il était en plus délicieux, ce bon Bertrand, apparemment il ne m’en voulait pas de l’avoir fessé, et d’avoir fouetté son frère !

Je n’avais pas fini quand Tom dit qu’un garde voulait me voir.

Il entra, salua militairement et resta au garde à vous

- Présente-toi garde. Dis-je doucement.

- Garde Mathias, Maître, 20 ans, à votre service Maître !

- Tu veux me voir Mathias ?

- Maître, je viens de l’Hôpital, mon Chef m’a demandé de venir vous voir à mon retour ! Il était très tendu, rigide.

- Mathias, prends ce tabouret viens vers moi et détends-toi !

Il s’assit toujours tête baissée, face à moi.

- Mathias dis moi ce qui c’est passé à l’Hôpital !

« Maître, je suis arrivé à l’Hôpital, j’y ai été bien reçu Maître, ils m’ont conduit vers Raoul le berger, il est dans une salle où il y a une dizaine de lits Maître, tous bien propres. Quand je suis arrivé, Raoul dormait, j’ai attendu un peu, j’ai mis ma main sur son épaule, il a bougé et s’est réveillé, il a été surpris de me voir Maître, il m’a pris la main, il était un peu perdu.

Il s’arrêta peut-être de peur de m’ennuyer, je dis :

- Continue Mathias !

- Il m’a dit ‘j’ai été opéré, ils m’ont endormi, avec un mouchoir qui sentait bizarre, je me suis réveillé avec une envie de vomir, mais regarde mes jambes elles sont droites’, et Maître, ses jambes elles sont droites plus cassées !

- C’est bien Mathias, tu as vu quelqu’un de l’Hôpital ?

- Maître, une infirmière… Est venue, elle m’a dit que tout allait bien, que l’opération s’est bien passée, elle a piqué Raoul avec une aiguille, en lui disant ‘une petite piqûre petit berger pour ne pas avoir mal’ il a fait une grimace, mais il m’a dit que ça faisait pas trop mal Maître !

- Ah petit Mathias, on est pas indifférent aux belles infirmières ! Il n’a t’a rien dit d’autre ?

- Oh Maître elle était belle l’infirmière ! Mais Raoul va pas trop mal Maître, il m’a demandé de… De…

Il devint très confus, et tout à coup, il se mit à genoux vers moi, prit ma main, l’embrassa et il dit :

- Maître, de la part de Raoul, il m’a prié de le faire, je le fais avec plaisir Maître pour moi aussi !

Il était à genoux devant moi, je mis ma main sur sa tête, lui caressai les cheveux doucement.

- Petit Mathias tu es un bon garde et un bon garçon, en plus tu me donnes de bonnes nouvelles de Raoul !

- Il releva la tête souriant.

- Maître j’étais content de revoir Raoul en bonne santé, il était mal quand on l’a redescendu !

Je lui souris :

- Moi aussi, j’étais inquiet ! Tiens prends un morceaux de brioche tu dois avoir faim, et comme ce soir il y a du gâteau chez les gardes, tu pourras en avoir deux fois !

- Oh merci Maître !

Je lui caressai la tête, il était bien mignon ce Mathias ! Et je partis au bureau travailler sur le dossier de St Christophe.


Le lendemain matin, une fois prêt je descendis avec Tom chez les maçons, Marcel était là, plusieurs maçons aussi, la pièce était poussiéreuse, du ciment et du plâtre !

- Marcel où est le coupable ?

- Là Maître on vous attendait.

Je vis Pascal dans un coin, nu prostré. Je m’assis sur un tabouret et dis :

- Pascal viens vers moi !

Pascal vint, il s’agenouilla près de moi, il paraissait terrifié, tremblant, j’en eu un peu pitié. Je dis alors :

- Qui est l’apprenti de Pascal ?

Un petit jeune s’avança je lui dis d’approcher, il vint se mettre à genoux à coté de son instructeur.

- Ton nom et âge ?

- Gilles, 15 ans Maître !

- Gilles il parait que tu devais recevoir une fessée, hier, pourquoi ?

- Maître, j’avais raté un mortier, il y avait des grumeaux, Pascal était fâché il a beaucoup travaillé pour le récupérer et il y est arrivé Maître, Chef Marcel nous a vu, il m’a disputé Maître et le lendemain il a demandé à Pascal de me punir Maître.

- Et Pascal tu as fait quoi ?

- J’ai refusé de le fesser Maître, je l’avais déjà disputé Maître. Il baissait la tête

- Gilles tu avais mérité une fessée ?

- Maître, j’ai fait une bêtise…

- Pascal, assieds-toi sur ce tabouret et Gilles, mets-toi nu et vas sur ses genoux !

Pascal s’assit, Gilles se déculotta et se coucha sur ses genoux sans rien dire.

- Pascal fesse-le !

Pascal eut un regard perdu, devant ses yeux il avait les fesses de Gilles, il sentait le corps de Gilles tendu mais soumis, il posa sa main droite sur les fesses.

- Vas-y Pascal ! S’exclama Gilles.

Il claqua les fesses, un coup d’une force moyenne, il en redonna 4 de la même façon, Gilles gémit, ses fesses rosirent, il se cabrait bien en présentant ses fesses parfaitement. Pascal continua une dizaine de coups et me regarda humblement.

- Continue Pascal, sois plus sévère !

Il reprit alors la fessée plus durement, Gilles criait un peu et on voyait qu’il se retenait, la couleur de ses fesses d’un beau rouge montrait que la fessée était d’une bonne force.

Pascal fessait régulièrement, assez bien, son puni était soumis il commençait à gigoter, et crier, Pascal arrêta, me regarda, et dit :

- Maître, il a été assez puni ?

- A ton avis ?

- Oui Maître sa faute n’était pas bien grande !

- Bon arête, Gilles debout ! Et vas te mettre au coin là bas, Pascal viens ici !

Pascal vint me voir, se mit à genoux devant moi.

- Pascal, explique-moi pourquoi tu ne voulais pas fesser Gilles, pourquoi tu perdais du temps dans ton travail, je sais que tu travailles bien, je t’ai vu faire un mur à la sortie des écuries, il est très beau ton mur et tu l’as fait avec ton apprenti, alors pourquoi on est là aujourd’hui pour te punir ?

- Maître, Gilles pour moi c’est comme un petit frère, il n’a que 15 ans, c’est un très bon apprenti mais la maçonnerie, c’est pas facile, je ne perds pas de temps Maître mais je lui montre le travail, ça demande du temps, Maître !

- Et pourquoi tu n’as rien dis à ton chef ?

- J’avais peur que Gilles soit fouetté, Maître !

- Pascal on ne fouette plus les apprentis ici, en tout cas plus pour des petites fautes de travail !

- Bon Pascal quand je suis descendu ici, j’avais l’intention de te donner 100 coups de strap, ce qui est une punition sévère, maintenant que tu t’es expliqué, c’est mieux mais tu vas quand même être puni pour avoir menti et pour avoir refusé un ordre de ton chef, ce qui est grave !

Pascal baissa la tête, il était nu, beau garçon soumis, ses motifs de désobéissance montraient un garçon gentil avec son apprenti, je ne voulais pas être trop sévère avec lui.

- Pascal vas prendre la position sur la table, tu vas recevoir 40 coups de strap ! »

Pascal prit la position, il se coucha le torse sur la table, ses pieds par terre, son chef l’aida à ajuster sa position parfaitement, il lui dit quelques mots que je n’entendis pas, Pascal fit oui de la tête. Il était beau, fesses tendues, jambes écartées rien n’échappait à ma vue, son sexe épais et long et ses couilles bien rondes pendaient, de ce coté là il était bien pourvu, je lui demandai :

- Tu n’es pas marié Pascal ? Tu couches avec des filles, ou tu as une liaison régulière ?

- Euh… Maître… Pas souvent !

Je pris ses couilles à pleine main.

- Eh bien, mon gars à qui ça sert un bel appareil comme ça, trouve-toi une belle fille et fais des enfants, tu me feras plaisir mon garçon !

- Oui Maître…

- Aller maintenant du courage Pascal ! Tu comptes les coups !

Le premier coup partit, la strap vola et claqua les fesses de Pascal durement.

- Mmmm Un Maître… Merci Maître !

Une trace rose apparut sur les fesses de Pascal.

Le 2ème coup claqua fortement aussi, ainsi que les 3ème et 4ème coups.

- Mmmm 4 Maître… Merci Maître !

Il retenait ses cris seul un murmure étouffé sortait de sa bouche. J’appliquai alors une série de coups forts sur les fesses, leur base, les cotés, ce devait être douloureux. Seuls ses mouvements montraient sa réaction.

- Mmmmmm 15 Maître… Merci Maître.

Il était très courageux, il ne voulait pas montrer sa douleur, je ne comprenais pas pourquoi, par résistance ?

Je frappai alors très fort en bas et en haut des fesses, sur la raie des fesses, dans son sens, en m’arrangeant que le bord de la strap frappe l’intérieur des fesses et le cul, normalement un homme crie ou hurle sous des coups comme ça, mais pas Pascal bien que sa voix le trahissait en devenant hachée et rauque, il sursautait à chaque coup de plus en plus.

- Mmmmmmm vingt-trrois… Maître… Merci… Maître…

Les dix coups suivants furent des coups classiques, forts sur le milieu des fesses, celles-ci devenaient rouge violacé.

- Mmmmmm… 33… Maî… Maître… Merci… Maître…

Il n’avait toujours pas crié, je donnai les derniers coups sur le bas des fesses et des cuisses, et je finis par un violent coup dans la raie du cul, il bougeait beaucoup, au dernier coup il fit un bond, il émit un râle avec une voix presque éteinte :

- Mmmmmm… 40… Maître… Merci… Maître ! Il s’effondra sur la table.

Dans la tête de Pascal, tout se heurtait, il était fier de ne pas avoir crié, il voulait montrer à ses copains, qu’il était fort, ils se moquaient toujours de lui, mais il n’en pouvait plus, ses fesses et son cul étaient en feu, son Maître avait été sévère, mais toute la nuit il avait pensé à cette punition, il n’avait pas dormi, il pensait au pieu dans la cour, au fouet qui déchirerait son dos et ses fesses, il paniquait. Maintenant la punition devait être finie, ça avait été dur, cette strap c’est dur, à chaque coup c’est tout son corps qui vibrait, mais il était vivant, il devrait pouvoir de relever, alors ce nouveau Maître il n’était pas si méchant, il l’avait entendu dire que c’était un bon Maître, il aimerait lui dire, aussi pour Gilles, mais les autres sont là !

- Debout Pascal !

Il se releva et mit ses mains sur la tête, je m’adressai à tous :

- Vous voyez ce qu’il arrive aux garçons désobéissants et encore Pascal s’est expliqué, il a voulu protéger son apprenti, c’est bien, donc sa punition a été réduite, bon maintenant au travail, Gilles aussi !

Il partirent tous, Pascal était debout nu les mains sur la tête, les fesses violettes, elle devaient le piquer, je lui dis de venir, de baisser les bras, il se tourna vers moi, il était tout rouge, un regard indéfinissable, comme s’il allait pleurer, il approcha de moi, tendu, il se mit à genoux, embrassa la main qui l’avait puni, en articulant difficilement :

- Merci Maître !

Je passai ma main dans ses cheveux et le tirai par les épaules pour qu’il se relève, quand il fut debout, tout à coup, il tomba dans mes bras, me serrant très fort en bafouillant :

- Oh Maître… Pardon… Merci… Merci… Et il éclata en sanglots en répétant :

Pardon… Pardon… Merci…Maître… Mon Maître…

Je m’assis délicatement sur un tabouret, en le maintenant contre moi, il s’agenouilla devant moi, entre mes jambes, sa tête contre ma poitrine, il pleurait toujours je caressais ses cheveux, il me touchait beaucoup, après sa résistance, il se donnait complètement, il craquait sans honte, je lui dis que c’était fini, qu’il était un bon garçon, un bon maçon, il se calma mais restait toujours serré dans mes bras, je ne le repoussai pas, c’était un beau garçon, je mis ma mains sur ses fesses chaudes et les massai doucement.

- Oh merci… Maître !

- Dis moi Pascal, pourquoi tu as résisté comme ça quand je te fouettais, tu aurais crié, tu aurais mieux supporté les coups !

- Maître c’est à cause des autres, il disent toujours que je suis faible.

- Eh bien tu leur a donné une bonne leçon de courage, mon garçon… Et dis moi pourquoi tu as peu de liaisons avec les filles ? Tu préfères les garçons ?

- Maître j’aime bien les filles, mais j’ai peur d’être fouetté, si je me fais prendre Maître !

- Mon garçon on ne fouette plus un garçon pour ça maintenant, alors vis ta vie d’homme, marie toi si tu le veux, fais des enfants…

- Maître, des petits esclaves…

- Eh bien tu es franc toi ! Tu sais Pascal ce que je souhaite c’est que mes esclaves soient plus heureux qu’ils ont été. Et j’aime bien ta conduite avec Gilles, tu le protèges, c’est bien, mais il faut savoir le punir de temps en temps !

- Maître, vous êtes si bon, je l’avais entendu dire Maître, mais même après avoir été fouetté par vous Maître, vous savez me consoler Maître, vous ne me traitez pas comme un chien !

- Relève-toi mon Pascal, et vas te reposer un peu, tu iras travailler quand tu seras mieux, et continue à bien travailler car tu es un très bon maçon, je le sais ! Je l’embrassai sur les deux joues, il souriait, nu les fesses rouges, un bel ange qui venait d’être puni…

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