mercredi 26 août 2009

Le Domaine de Saint Christophe 11 – Le fourbe Benoît

Une journée calme se passa, après notre visite à St Christophe, je commençai à rédiger le nouveau code du Domaine, Yves prenait des cours d’équitation avec Benoît.

Le jour suivant, je décidai en début de matinée, d’aller en ville, je venais de voir par la fenêtre Yves à cheval, il commençait à bien se débrouiller ! Un quart d’heure après je descendis aux écuries pour partir, je tombai sur Angelo, à qui je demandai de préparer Étendard.

Me rappelant tout à coup que je devais dire quelque chose à Yves, je demandai à Angelo :

- Yves a fini sa leçon ?

- Oui Maître, je viens de rentrer son cheval.

- Et il est où ?

- Il doit être dans le bureau du Chef, Maître, Chef Benoît voulait lui montrer un papier !

- Merci Angelo, j’y vais !

Je me dirigeai au fond de l’écurie, où était le bureau, en étant proche j’entendis une discussion forte, je marchai alors silencieusement, je reconnus les voix d’Yves et Benoît je m’arrêtai et écoutai :

- Mais tu risques quoi ? Dit Benoît.

- Je ne veux pas, c’est tout ! Répondit Yves

- Laisse-moi te sucer, sois pas con !

- Non je suis au Maître tu le sais…

- Mais petit con il en saura rien, il verra rien ! Ohhhh, t’es trop beau je te veux !

J’entendis un choc contre le mur, et un bruit de déchirement.

- Eh tu me fais mal ! Ma chemise !

- Ahh le beau torse, t’es mignon Yves !

- Lâche-moi Benoît, non Benoît je ne veux pas !

- Une petite pipe t’en mourras pas, tu vas voir comme tu vas bander !

Autre bruit de déchirement !

- Eh t’es bien monté Yves ! Hum ça va être bon !

- Non Benoît arrête ! Arrête !

- Non ta bite elle est à moi petit con !

- Non Benoît, non… ! Il criait presque.

J’entendis alors le bruit d’une lutte et le bruit d’un coup fort, et la voix de Benoît :

- Salaud tu m’as tapé, salaud je saigne… Ah sale petit con je vais te faire fouetter, je vais te dénoncer au petit Maître, tu seras fouetté !

Je m’approchai de la porte, et me mis dans son encadrement :

- Tu as quelque chose à me dire Benoît ?

Ils furent sidérés de me voir, Yves avait sa chemise et son short déchiré, il était dans un coin sur la défensive, Benoît était au milieu de la pièce, il se tenait le nez qui apparemment saignait, je dis :

- Ah une bagarre bravo Messieurs, dans mon bureau dans 5 minutes, dans la tenue où vous êtes, et pas de retard !

Je remontai à mon bureau en passant voir Angelo, lui dire que je ne partais plus. Je remontai à mon bureau, et attendis mes lascars. J’aurai aimé qu’Yves arrive avant pour lui dire qu’il ne risquait rien, car je voulais cuisiner Benoît pour connaître son honnêteté. Mais Benoît arriva en premier, Yves presque tout de suite après. Benoît tenait un mouchoir sur son nez, Yves était avec sa chemise et son short déchiré, il l’avait un peu réajusté, mais il ne cachait presque rien !

Je les laissai en attente, quelques minutes, ils ne dirent rien, je dis brusquement :

- Alors j’attends des explications !

Benoît ne dit rien, Yves commença :

- Maître… J’ai… J’ai… Frappé… Benoît…

- Ça je vois bien Yves mais pourquoi ? Tu sais quand même bien que toute bagarre est interdite et est sévèrement punie !

- Oui Maître, mais il m’a… M’a… Provoqué…

- Ah oui, et toi Benoît ? Tu ne dis rien, alors ta version ?

- Oh Maître, je n’ai rien compris, je lui faisais des remarques sur sa façon de monter à cheval, quand il s’est mis en colère et m’a donné un grand coup de poing dans la figure !

- Eh bien Yves tu es bien susceptible ! C’est nouveau !

- Euh, Maître… Ce… Ce… N’est… Pas… Pas tout à fait ça ! Yves était très mal à l’aise plus que Benoît, ce qui était un comble, vu ce que j’avais entendu !

- Eh bien c’est quoi alors Yves ! Dis-je d’un ton brusque.

- Euh, Maître… Je… Je ne peux pas dire… Maître ! Et il se tut.

- Eh bien Yves ! Dis-je en criant.

Il me fit non de la tête, il avait l’air désespéré ! Je ne le comprenais pas, il n’arrivait pas à dénoncer les actes de Benoît ! Même en risquant gros !

Je me retournai vers Benoît :

- Alors Benoît, tu lui as fait des remarques blessantes ?

- Oh non Maître, je lui ai dit quelque chose comme ‘se bouger le cul’ mais rien de grave et il m’a agressé, Maître !

Je leur dis :

- Je sors une seconde, ne bougez pas ! Je sortis en laissant la porte ouverte, je rentrai au salon où j’étais à peu près sûr de trouver Tom, il était là en effet, je lui donnai une instruction à l’oreille, et revins au bureau.

- Bon alors, si j’ai bien compris Yves a frappé Benoît pour une remarque un peu sèche, c’est inacceptable ! Dis-je en accentuant le mot et en regardant Yves, il me regarda avec un air malheureux, mais il ne dit rien, je ne le comprenais pas.

- Benoît tu as été offensé tu suggères quoi comme punition ?

- Oh Maître, c’est à vous de choisir, ce qui est sûr pour moi c’est qu’il doit être fouetté Maître !

- Oui sûrement, combien de coups ?

- Oh Maître au minimum 50 ou 75 coups !

- Tu as quelque chose à dire Yves ? Lui demandai-je une dernière fois.

Il articula difficilement :

- Oh… Maître… Maître… Non… Non…Maître !

- Bon Yves tu es condamné à recevoir 60 coups de fouet, publiquement, dans la cour, immédiatement, c’est Alex qui te fouettera. Benoît emmène-le aux Gardes et transmets mes instructions, sortez d’ici, exécution !

Benoît prit Yves par le bras et le fit sortir, Yves avait pâli lors du verdict, mais il se laissa faire ! Ils sortirent et fermèrent la porte, j’étais effondré par cette séance, mais heureusement Tom était au bout du couloir, pour leur donner l’ordre de revenir, donc en peu de temps ils revinrent dans le bureau, les deux avec un air étonné !

- Je vous ai fait revenir j’ai oublié de poser une question à Benoît !

Ils me regardèrent encore plus étonnés, Yves paraissait prêt à tomber, je traînais un peu, jouant avec un stylo sur le bureau…

- Benoît, tu emmènes Yves pour qu’il soit fouetté, il risque de souffrir énormément, ça ne te fait rien de faire fouetter un esclave comme ça ? Dis-je tout calmement.

- Maître il l’a mérité ! Il m’a agressé sans raison, moi je le fouetterais plus !

- Jusqu’à la mort ?

- Avec 75 coups un esclave comme Yves ne mourrait pas obligatoirement !

- Certes mais il serait balafré à vie !

- Maître, il est votre amant, mais ne risque-t-il pas de vous agresser comme il a fait avec moi, il faut mieux vous protéger Maître ! Vous pouvez compter sur moi dans votre lit Maître, je saurai vous donner du plaisir…

Je blêmis à l’entendre, Yves regardait par terre atone.

- Au fait Benoît j’ai oublié de dire que j’étais dans le couloir depuis plusieurs minutes, avant votre bagarre !

Benoît me regarda avec des yeux effarés, Yves ouvrait des grands yeux !

- Alors s’il y a un coupable ici, c’est toi Benoît ! Et tu viens de bien aggraver ton cas ! Quant à toi Yves, tu es innocent de tout, c’est un cas de légitime défense, mais tu devras m’expliquer ton comportement, il y a 5 minutes !

Je me levai, et pris la parole gravement :

- Benoît, ton comportement est le pire que je connaisse, tu es la dernière des ordures, tu ne mérites pas de vivre, mais tu vivras quand même, tu recevras ce matin 200 coups de strap dans la salle des punitions, tu seras au cachot pendant 7 jours, et après tu iras au bagne !

Benoît pâlit, il tomba à genoux :

- Oh Maître… Pitié Maître… Pitié… Pitié… Je le repoussai du pied et me dirigeai vers Yves, il était dans un état second, son regard était indéfinissable, il était perdu, je mis ma main sur sa nuque attirai sa bouche vers la mienne, et lui donnai un gros baiser passionné, instinctivement il me prit dans ses bras, je lâchai sa bouche, il bredouilla :

- Maître… Mathieu… Oh Maître… Je lui dis doucement :

- Petit Yves, vas au salon je te rejoins sous peu. Il quitta mes bras et sortit.

Je vis Tom dans le couloir.

- Tom, vas me chercher le Garde en faction ! Le Garde fut très vite là, je l’envoyai chercher Alex, à qui je donnai des explications et instructions pour la punition de Benoît fixée dans un quart d’heure en ma présence !

Je sortis de mon bureau, et me rendis au salon, Yves était assis par terre, il se leva, je m’assis sur un canapé, j’étais aussi éprouvé, je lui fis signe de venir, le fis asseoir à coté de moi, le pris dans mes bras, il pleura, je crois que je versai aussi quelques larmes, je lui dis doucement :

- Yves on parlera plus tard de tout ça… Pour l’instant va te doucher et te changer.

Il était l’heure de la punition de Benoît, je descendis dans la salle des punitions. Un mot sur cette salle, c’était une grande salle voûtée située juste en dessous de la salle des Gardes, elle avait toujours été une sorte de ‘salle des tortures’ du Château, avec des équipements pour accrocher les esclaves, des chaînes, des anneaux, des tables et des appareils bizarres pour maintenir un esclave dans différentes positions.

Des torches allumées donnaient une lumière rouge, au fond un petit couloir conduisait à trois cachots. Mon Père ne se servait que très rarement de cette salle, je sais qu’il avait torturé des esclaves pour leur arracher des aveux, mas il n’y punissait pas les esclaves.

Quand j’entrai dans la salle, je vis au milieu, Benoît nu attaché sur un appareil incliné, en bois, une espèce de coussin dur, au niveau de son bas ventre faisait que ses fesses étaient proéminentes, A voir ce beau corps que j’avais possédé, ainsi, présenté, j’eus un petit frémissement d’envie, mais le souvenir de ses mensonges me calmèrent vite, je ressentais plus de la haine pour lui maintenant, même s’il avait passé une nuit dans mes bras !

Alex était debout à coté, je lui avais demandé de fouetter lui même le coupable, deux Gardes étaient là, Arnaud, et un des deux jeunes de15 ans.

- Tu crois que c’est un spectacle pour lui Alex ? Dis-je en montrant le gamin.

Alex répondit :

- Je pensais qu’il fallait qu’il s’endurcisse, Maître, mais j’ai peut-être tort Maître, pardon.

- Bon qu’il reste mais mon garçon tu es autorisé à quitter la salle quand tu le veux si tu ne supportes pas la punition !

- Bien Maître ! Répondis le jeune.

- Alex commence la punition, prends la grande strap, je rappelle 200 coups, principalement sur les fesses, puis le dos et les cuisses. Arnaud assure le compte en marquant au tableau une barre tous les dix coups, on fera une pause de 5 minutes tous les 50 coups, Alex sois ferme et sans pitié !

Le puni ne dit rien, il était anéanti !

Alex prit la strap et donna le premier coup sur les fesses, avec une force digne de sa musculature, Benoît cria son corps entravé se secoua, il reprit à peine son souffle et le deuxième coup tomba, en claquant fort, un nouveau cri déchira l’espace.

La suite des coups fut dure pour le puni, Alex frappait naturellement avec une force considérable, en plus quand je l’avais vu dans mon bureau, je l’avais mis complètement au courant de ce que j’avais à reprocher à Benoît et son attitude vis-à-vis d’Yves. Alex avait paru très choqué par ce récit, je n’étais pas vraiment étonné de sa vigueur maintenant.

Les coups tombaient très régulièrement, sur le corps du puni qui hurlait à chaque fois maintenant, pourtant, Arnaud venait seulement de marquer la deuxième barre au tableau !

A chaque fois que la strap frappait les fesses de Benoît, la chair s’écrasait et reprenait sa place comme en tremblant, on voyait presque l’onde de choc se propager dans le corps, Benoît hurlait alors comme pour l’évacuer !

Alex continuait son travail, la strap tomba sur les épaules du puni, une grande marque rouge apparut, puis il réattaqua les fesses bien présentées de Benoît, plusieurs coups de suite, qui arrachèrent un hurlement rauque au puni, Arnaud marqua la 4ème marque, la strap continua à fouetter le puni, ces derniers coups s’attaquèrent particulièrement au bas des fesses et aux cuisses, les hurlements devinrent plus stridents.

Au 50ème coup, Arnaud leva la main, et Alex s’arrêta. Benoît haletait doucement, je m’approchai de Benoît, regardai son corps rouge, par endroits la peau était rouge vif, des ecchymoses avaient été créées par la strap, je contournai, le puni pour être devant sa tête, il avait la tête baissée, je dis :

- Alors sale menteur, tu as voulu faire fouetter Yves ! Et c’est qui maintenant qui hurle sous le fouet ?

Il releva la tête, me regarda, les yeux pleins de larmes :

- Maître… Maître… Pardon ! Mais je restai insensible à ses larmes et le quittai. J’allai vers le petit jeune qui regardait stoïquement le ‘spectacle’.

- Alors petit on tient le coup ?

- Oh oui Maître ! Dit-il fièrement, comme je savais qu’il fallait qu’un Garde soit dur, je lui passai la main sur la tête, ce qui signifiait que j’étais content de lui.

Les 5 minutes étaient passées, Arnaud nous fit un signe, Alex me regarda, je fis oui de la tête et la strap entra de nouveau en action.

Alex avant changé de position, il s’attaqua au dos, aux épaules, aux flancs du puni, aussi aux cotés des fesses et à leur base, toutes zones particulièrement sensibles. Les cris devinrent hurlement, mélangé à des cris de « pitié » ou « Maître » à peine audibles au milieu des cris.

Alex continua avec des coups sec et rapides sur les fesses exactement au même endroit, le corps de Benoît fit des petit bonds saccadés, il hurla d’une voix stridente, puis Alex lança une série de coups violents sur tout le corps, le puni hurla tant que sa voix devint un râle…

Alex arrêta, Arnaud venait de lever la main. Les 100 coups étaient atteints !

Alex se rapprocha de moi, je dis :

- Alex tu veux qu’Arnaud te remplace ?

- Maître je peux finir le boulot mais je veux bien qu’Arnaud me relaie !

- Maître et Chef, je… Je ne préfère pas.

- Tu désobéis ? Dit Alex.

- Et pourquoi Arnaud ? Dis-je.

- Maître et Chef, je vous demande pardon je ne veux pas désobéir, mais il y a six mois j’ai été fouetté suite à une plainte de Chef Benoît, j’avais proclamé mon innocence alors, si je le fouette aujourd’hui, je risque d’être plus dur que normalement.

- Maître on préfère éviter que le fouetteur ait un ressentiment vis-à-vis du fouetté ! Dis Alex.

- Arnaud, fouette le, essaie de surpasser tes sentiments, mais si tu es dur ce n’est pas grave, surtout si tu as été victime de ses mensonges !

Je fis signe à Arnaud de reprendre, le petit jeune dut compter, il était tout fier devant le tableau.

Arnaud recommença la flagellation, un peu différemment d’Alex, on sentait qu’il y mettait tout son cœur, il se déplaçait beaucoup, autour du puni, il tapait très fortement, il donna toute une série de coups rapides et forts sur les épaules, les épaules devinrent violettes, il s’intéressa aux fesses ensuite, avec une longue série de coups verticaux pour atteindre l’intérieur des fesses écartées, quelques uns frappèrent le cul de Benoît. Les cris se transformèrent en un hurlement presque hystérique, la voix de plus en plus rauque. Arnaud fouetta ensuite les cuisses et finit la cinquantaine par des coups extrêmement rapides sur les fesses, le corps du supplicié se mit à trembler.

Le jeune Garde leva la main, Arnaud arrêta, le corps de Benoît qui était presque arqué par la tension, s’affaissa brusquement, on l’entendit souffler comme une bête.

Arnaud me regarda, avec un air interrogateur, je lui fis signe que c’était bien.

J’allai voir le puni, il était affalé tête basse, je tirai ses cheveux pour lui faire lever la tête, sa figure était pleine de larmes il bredouilla « mmmm…Maître », je relâchai sa tête elle retomba doucement, j’en eu presque pitié mais j’eus une représentation d’Yves sous le fouet, ma pitié disparut.

- Aller finissons-en, Arnaud et Alex prenez chacun une strap mettez vous de chaque coté, et alternez les coups sur les fesses uniquement, Petit tu ne perds pas le compte !

C’est une fessée magistrale qui commença, les coups tombaient sur les fesses, avec une régularité et une force terrible, quand une strap se levait l’autre tombait, la cadence des coups était incroyable, les deux fouetteurs étaient parfaitement coordonnés. Quant au fouetté, au début son corps se tendit puis se relâcha doucement, les hurlements du début se transformèrent en un râle continu puis en un cri continu aigu.

Le jeune leva la main, à ce rythme, les 50 coups furent vite donnés.

Arnaud et Alex arrêtèrent et vinrent vers moi attendant les ordres, aucun mot ne venait du corps de Benoît, ses fesses étaient violettes à noires, seul un halètement parvenait à nos oreilles.

- Détachez-le ! Arnaud et Alex allèrent les deux, une fois détaché il serait tombé à terre, mais ils le retinrent et le déposèrent sur le sol, sur le ventre, il était à mes pieds vagissant rouge et violet partout, il réussit à lever difficilement les yeux vers moi, son regard était vide.

- Qu’on lui balance un seau d’eau et au cachot !

Le jeune alla chercher un seau d’eau et sur un geste d’Alex il le versa sur le corps à ses pieds, puis il fut emmené au cachot.

- Remontons maintenant !

Alex dit au jeune :

- Marc, nettoie et range tout !

Marc, dont j’appris alors le prénom répondit :

- Oui Chef !

On se retrouva à la salle des Gardes, je félicitai Alex et Arnaud pour leur travail, et nous discutions un peu des Gardes, quand un messager entra en catastrophe, il fut surpris de me voir là, il s’adressa alors à moi :

- Maître, le régisseur de Gault signale qu’un berger du plateau s’est évadé, on a retrouvé son chien gueulant autour de sa maison et plus de traces de ses moutons, le fugitif est Raoul, 22 ans de Gault, Maître !

Je me tournai vers Alex :

- Bon Alex, voila de l’occupation pour tes gardes, fais comme d’habitude, une battue je suppose ?

- Oui Maître, une battue avec une dizaine de Gardes pour capturer le fugitif, mais Maître, le plateau de Gault étant au bord du Domaine, il est peut être déjà loin…

- Tu as raison mais envoie tes gardes ratisser le plateau, je préviendrai la police de la région ! J’ajoutai au messager, un assez joli garçon :

- Merci de ton message jeune homme, tu as l’air essoufflé, passe aux cuisines et mange à ta faim avant de repartir ! Je quittai alors la salle des Gardes.


Je remontai à mes appartements et allai au salon, Yves y était resté, tout de frais vêtu, il se leva à mon arrivée et s’approcha de moi, Tom était dans l’autre bout du salon, je ne l’avais pas vu en entrant, j’ouvris mes bras, Yves s’y jeta, il posa la tête sur mon épaule, je le serrai dans mes bras, il ne dit rien et il commença à pleurer doucement. Je m’assis dans un fauteuil et mis Yves sur mes genoux et toujours dans mes bras. Nous restâmes plusieurs minutes sans rien faire à part être serrés l’un contre l’autre. Tom nous regardait mais n’osait pas quitter la pièce sans ordre.

Je relâchai un peu Yves et lui dis :

- Yves je veux des explications sur ton comportement !

Il se releva et s’agenouilla à mes pieds :

- Maître, je suis fautif, j’ai pensé que vous étiez en colère contre moi, puisque j’avais frappé Benoît, quand il m’a accusé de choses fausses, je n’ai pas pu dire la vérité, j’ai pensé que vous ne me croiriez pas Maître, et comme un esclave qui en frappe un autre est en tort, pour moi j’étais coupable !

- Tu as cru que j’allais te faire donner 60 coups de fouet ?

- Quand vous l’avez dit Maître oui, mais surtout j’ai pensé que vous ne m’aimiez plus, et plus rien ne m’importait Maître…

- Tom vient ici, je voudrais dire à tous les deux que quand il vous arrive un problème, vous devez me dire la vérité et toute la vérité, rien d’autre, je ne veux pas d’interprétation personnelle, Yves tu aurais dû raconter les attaques sexuelles de Benoît à ton égard, tu n’avais aucune raison de le cacher, si je n’avais pas été là c’est toi qui aurais été puni, et ce n’aurait pas été juste !

- Je te rassure Yves je ne t’aurais pas condamné à 60 coups de fouet, mais à la strap, et Benoît aurait été content de te voir fouetté, c’est ce qu’il voulait !

- Oh Maître merci, à l’avenir je dirai la vérité, sans interprétation Maître.

Tom dit alors à ma surprise :

- Maître merci pour Yves, il m’a raconté toute l’histoire, oh Maître vous êtes tellement juste, merci, merci, j’essaierai de toujours vous dire la vérité Maître !

- J’espère petit Tom… Dis-je en lui passant la main dans les cheveux.

- Mais Yves tu m’as mis en colère ce matin, j’avais envie de te secouer pour que tu dises la vérité ! Alors tu vas être puni !

Yves se recula un peu, à genoux devant moi, tête basse, il mis les mains sur la tête et dit :

- Pardon Maître, punissez moi Maître !

Tom regardait effaré, je dis alors sentencieusement :

- Yves je vais te fesser pour ta faute, mais comme ta matinée a été dure tu seras fessé symboliquement ! Aller sur mes genoux en position !

Yves se leva, se déshabilla complètement et se plaça dans la position habituelle du puni qu’il connaissait bien.

Je connaissais bien le corps d’Yves, ses belles fesses étaient un plaisir à fesser, je notai qu’Yves n’était pas tendu comme souvent avant la fessée, je posai ma main sur ses fesses, les caressai doucement, on voyait encore les traces du martinet de la punition 3 jours avant, je levai la main et claquai les fesses d’Yves une première fois avec une force moyenne, je continuai à le fesser pas trop fort, il ne disait rien, il était en pleine confiance, après une vingtaine de coups, je le caressai doucement, ses fesses étaient justes roses !

Mes caresses devinrent plus précises, je passai mes doigts dans sa raie, je chatouillai un peu sa rondelle, mon membre se mit à prendre du volume, et de son coté, je sentis sur ma cuisse, quelque chose qui grossissait !

- Mon garçon la fessée est terminée mais pas la punition, le reste de la punition est privée, et se passera dans ma chambre !

Yves se releva, il montra une belle excitation, il souriait, je le pris par la main pour aller dans mon lit où nous fîmes l’amour dans une douce folie, Yves me donna du plaisir comme rarement, comme un amoureux fou, il me dit à la fin qu’il voulait bien recevoir des punitions comme ça tous les jours même avec la petite fessée du départ !

2 commentaires:

  1. trop dur la punition de benoit. En même temps il l'a bien cherché.

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  2. Non B enoit n avais pas a mentirc juste yve a eu tord de cacher la vérite

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