vendredi 28 août 2009

Le Domaine de Saint Christophe 13 – Denis le garde, Angelo et Bertrand

Tom et moi étions déjà endormis dans les bras l’un de l’autre, quand j’entendis Yves rentrer, il faisait peu de bruit, mais sûrement étonné de ne pas voir Tom dans son lit, il le cherchait dans les autres pièces. Je l’appelai, il entra dans la chambre avec une bougie et vit Tom dans mes bras.

- Bonsoir Maître, je cherchais Tom, mais il est là… À son ton je vis qu’il était un peu contrarié.

- Ah Yves ne sois pas jaloux ! Tu n’en as pas le droit, tu es mon Yves !

- Pardon Maître, j’aimerais être à la place de Tom, mais je suis content pour Tom…

- Alors Yves comment ça s’est passé à l’Hôpital ?

- Maître au début ça a été difficile, mais quand on a parlé de St Christophe, qu’ils ont vu les écussons, les portes se sont grande ouvertes ! Un docteur est venu, il a regardé les jambes de Raoul, il a dit qu’il serait pris en priorité demain par un docteur qui connaît bien les fractures Maître. Le docteur a dit aussi que le directeur de l’Hôpital aimerait vous voir. Quant à Raoul il était un peu perdu dans ces grands bâtiments, il a été installé en deuxième catégorie comme vous l’aviez demandé Maître.»

« Merci Yves, tu as fait du bon boulot ! »

Je n’étais pas étonné de l’intérêt de L’Hôpital pour mon Domaine, s’il pouvait soigner plus de 2000 personnes, les finances de l’Hôpital s’en porteraient mieux ! Mon père ne faisait jamais appel à leurs services, mais je comptais bien changer cet état de chose, j’irai donc voir le directeur plus tard.

L’Hôpital était divisé en 3 catégories, la 1ère pour les hommes libres uniquement, la 2ème pour les hommes libres et les esclaves, qualité de soins identique entre eux et la 3ème pour les esclaves uniquement avec une qualité de soins plus sommaire. Mais depuis quelques années l’Hôpital se refusait aux opérations sans anesthésie.

- Yves vas prendre une douche et rejoins nous ! Yves eu un grand sourire !

Et je finis la nuit en compagnie de mes deux plus fidèles esclaves et amants…


Le lendemain matin, après un bon petit déjeuner et une fois prêt, je descendis au poste de garde, je voulais féliciter les gardes., arrivé vers le poste de garde, j’entendis des claquements, je compris qu’on était en train de fouetter un esclave.

J’entai et découvris Alex en train de fouetter au martinet un garde, un coup venait de tomber.

- Ahhhhh, 7 Chef, Merci Chef !

En me voyant entrer, Alex arrêta, l’air gêné il dit :

- Maître, pardon de vous recevoir comme ça…

- Ce n’est pas un problème Alex ! Qu’est-ce qu’il a fait ce garde pour être fouetté ?

Le garde en question était jeune, un vingtaine d’année, il était attaché par les avant bras sur un pilier, son dos, ses fesses et ses jambes un peu écartées étaient bien disposées pour la punition. Les coups qu’il avait reçus avaient laissé des traces rose foncé. Il me regardait d’un air craintif et honteux. Les autres gardes étaient alignés pour assister à la punition.

- Maître il a été paresseux à l’entraînement ce matin, toujours le dernier pour les exercices, je lui ai déjà donné plusieurs avertissements, mais pas d’amélioration Maître !

- Tu as prévu combien de coups ?

- 60 Maître !

Je m’adressai au jeune attaché :

- Alors garde, tu es paresseux, pourquoi tu es toujours le dernier ?

- Euhh… Maître, j’ai du mal, mais je n’aime pas ces exercices… Je vous demande pardon Maître… Pardon…

- Tu aurais pu faire mieux si tu avais voulu, ou tu es plus faible et moins costaud que les autres gardes, même les plus jeunes ?

- Maître… Je… Je ne suis pas faible, oh pardon Maître !

- Bon mon garçon tu as bien mérité ta punition, Alex continue !

Alex reprit le martinet et claqua les fesses du puni très durement.

- Ohhhh… 8 Chef, merci Chef !

Alex dit d’un ton sec :

- Garde quand on a l’honneur d’être fouetté en présence du Maître, on compte pour le Maître et on le remercie, tu le savais bien non ?

- Pardon Maître et Chef, 8 Maître, merci Maître !

Alex dit :

- Tu recommences à zéro ! Le garçon baissa la tête.

Le martinet le frappa sur les épaules « Ahhhhh… Un Maître, merci Maître »

Les coups suivants marquèrent les reins et les fesses du garçon, Alex frappait fort, déjà avec sa force naturelle, et le garçon avait dû l’énerver et le décevoir, cela se voyait. A chaque coup le corps se cabrait, et le garçon criait et comptait sans faute.

- Aïeeee… 13 Maître, merci Maître !

La surface de ses fesses était bien colorée, son dos présentait de belles zébrures roses…

Les coups suivants le firent plus bouger, ils frappèrent le bas des fesses et les cuisses, sévèrement.

- Rhahhhh…... 22 Maître, merci Maître…

Ensuite c’est le dos et les épaules qui prirent, la douleur avait l’air forte, les cris furent plus forts, le claquement du martinet était impressionnant. La voix du puni devint un peu cassée.

- Ahhhhhhhhhh….32 Maître, merci Maître…

Les coups suivant furent assénés avec vigueur sur les fesses qui devinrent rouge vif, le puni se cabrait à chaque coup, il s’arcboutait sur ses avant-bras attachés au pilier, la douleur de chaque coup irradiait son corps, on aurait dit qu’il cherchait à l’évacuer, il hurlait maintenant.

- Ahhhhhhh 40 Maître…Merci…Maître !

Je fis signe à Alex d’arrêter, et j’allai vers le puni, je posai ma main sur sa nuque, il parut surpris, il tourna la tête vers moi, il pleurait, il bredouilla :

- Pardon… Pardon… Maître !

Je lui dis doucement :

- Ton prénom et ton âge garde ?

- Denis, 19 ans Maître…

- Bon Denis, tu es fier de toi comme ça ?

- Oh non Maître, pardon ! Il pleura plus.

- Alors pourquoi tu ne fais pas d’efforts aux exercices ?

- Oh Maître, j’ai tort… Pardon… Maître… Je ferai mieux…

- Tu crois qu’Alex et moi on aime te voir sous le fouet comme ça ? Tu dis que tu feras mieux, c’est sûr ?

- Maître oui… Je vais faire mieux…

- Tu le promets à ton Maître ?

- Oui Maître, c’est promis je serai un bon garde… Je ferai des progrès !

Je m’adressai à tous :

- Bon tout le monde a entendu, Denis a promis de faire mieux, je demande donc l’arrêt de la punition, mais attention Denis, si Alex est encore mécontent de toi, je viendrai te fouetter ! Qu’on le détache !

Une fois détaché, il tenait difficilement debout, il tomba à genoux à mes pieds, embrassa ma main, et la tint en sanglotant.

- Mon garçon, maintenant vas au piquet dans le coin là, puisque tu es puni, la suite ne te concerne pas !

Je m’approchai de lui passai ma main sur ses fesses pour le soulager, je lui dis :

- Et prouve-moi à l’avenir que tu es un bon garde !

- Alex rassemble tes gardes !

Alex donna un ordre, les gardes s’alignèrent en rang d’âge et se mirent au garde à vous.

- Que tous les gardes qui ont été envoyés sur le plateau hier fassent un pas en avant !

Tous les gardes que j’avais vus sur le plateau firent un pas en avant sauf Thomas.

- Eh bien Thomas, tu n’étais pas sur le plateau ?

- Maître, j’étais avec vous…

- Oui Thomas mais tu étais avec les gardes, alors avance aussi !

Thomas avança avec les autres gardes.

- Gardes vous pouvez être fiers de vous, vous vous êtres très bien comportés hier, je vous en remercie, vous avez sauvé le jeune berger Raoul, bravo !

Ils s’inclinèrent tous et se redressèrent.

- Merci surtout à Arnaud, qui a très bien dirigé les opérations, Alex je te demande de prendre Arnaud comme adjoint !

Je m’approchai d’Arnaud et lui donnai un baiser sur le front, il se redressa très heureux :

- Maître merci… Maître !

- Ce sera avec plaisir Maître, je connais bien Arnaud et ses qualités Maître ! Dit Alex.

- Ce soir vous aurez tous un dessert, pour tous les gardes !

- Merci Maître ! Dirent-ils tous en cœur.

Je me tournai vers le puni :

- Eh Denis, tu mérites une récompense toi ?

- Non Maître, je suis un misérable garde, merci d’avoir été clément envers moi Maître…

- Bon Denis relève-toi et rhabille-toi, tu es un garde comme mes autres maintenant, mais rappelle-toi ta promesse Denis ou il t’en cuira !

- Merci Maître je saurai mériter votre confiance, Maître »

- J’espère Denis, ah au fait Alex envoie un garde à l’Hôpital ce soir pour prendre des nouvelles du berger, et qu’il vienne me voir en rentrant !

- A vos ordres Maître !

- Et félicitations Alex, pour ta direction des gardes ! Et je me dirigeai vers la sortie.

Alex rougit et s’inclina, il ne put sortir un mot.


Je remontai à mon appartement, Angelo était dans le couloir, m’attendant, il était tendu, il avait été convoqué, c’était rarement bon pour un esclave.

- Bonjour Angelo entre dans le bureau !

- Mes respects Maître !

Je m’assis au bureau Angelo était debout devant le bureau, il était pale, anxieux.

- Tu as peur Angelo ?

- Oui Maître, comme tout esclave convoqué ici !

- Tu as quelque chose à te reprocher Angelo ?

- Je ne sais pas Maître, je vous ai peut-être déplu Maître… Il baissa la tête.

- Non Angelo, tu n’as rien à craindre, je veux simplement te dire qu’à partir de maintenant tu es Chef des écuries !

- Maître, moi Chef des écuries, mais je n’ai que 19 ans Maître !

- Peu importe Angelo, tu peux l’être, tu connais bien les chevaux, tu es un bon garçon, je le sais, tu pourras diriger les écuries !

Angelo tomba à genoux, je me levai et allai vers lui, il prit ma main pour l’embrasser.

- Donc Angelo, tu es Chef des écuries, sois en digne, et sois juste envers tes hommes !

- Maître, j’essaierai, de tout mon cœur !

Je m’approchai de lui et dis :

- Angelo, néanmoins il y a quelque chose qui ne me plait pas chez toi !

- Oh Maître, quoi ?

Je m’approchai de lui par derrière et le pris dans mes bras.

- Angelo tu es un très beau garçon mais tu te refuses à moi, alors que tu sais que j’aime les beaux garçons !

- Maître je ne veux pas vous déplaire, mais j’ai peur de… De…

- De quoi Angelo ?

- De… D’être… Maître… D’être… Enc… Enculé Maître...

Je le trouvai complètement craquant comme ça, il était magnifique, un jeune homme parfait dans ses habits un peu serrés ! Je déboutonnai sa chemise, l’enlevai, je déboutonnai son short et commençai à caresser ses fesses, les marques du fouet étaient maintenant assez bien cicatrisées, il se laissa faire, soumis, je lui dis dans l’oreille doucement :

- Laisse-toi faire mon bel Angelo, si je te fais mal dis le moi, détends-toi !

Il commença à s’abandonner, il savait qu’un esclave devait satisfaire son Maître, que résister ne pouvait que le conduire à être fouetté, et en plus ce Maître il l’aimait, il avait sauvé sa Rose et son garçon, alors pourquoi refuser du plaisir au Maître, et il était tellement doux, caressant, Angelo avait peu connu ça !

Je lui fis poser les mains sur le bureau, il était nu, je caressai ses fesses, je passai ma main dans la raie de ses fesses, il écarta un peux les jambes en gémissant :

- Maître…

Je pris un pot de vaseline dans mon bureau, en mis sur mon doigt et enduisis son cul, en y entrant un, puis deux doigts, je le travaillai doucement, je vis son membre se dresser un peu, il n’avait pas l’air de détester ça !

Je bandais très fort, je baissai mon pantalon et mon caleçon, mon sexe caressa ses fesses, il me regarda un peu craintif mais il fit un petit sourire, ce qu’il vivait jusqu’à maintenant était incroyablement agréable, il ne pensait pas à autant de douceur avec un autre homme.

Je plaçai mon gland sur son anus bien lubrifié, je fis deux ou trois mouvements doux de poussée, il se dilata un peu et j’entrai dans sa chair, il gémit un petit peu, et cambra son cul pour mieux recevoir son Maître, je progressai doucement en lui, jusqu’au bout, il frémit un peu mais se relâcha, j’appréciai particulièrement ses efforts, je commençai un doux va et vient, mon membre grossit, je possédai le bel Angelo enfin !

Quand je commençai à le limer lentement, il banda plus, il était loin d’être indifférent le bel Angelo, je pris son sexe dans ma main, comme il était bien membré, ma main eut du travail, mais c’était un vrai plaisir d’avoir un aussi bel homme dans ses bras, j’accélérai un peu mon mouvement il se tendit, je sentis le plaisir monter en moi, comme une vague et un éclair à la fois et je déchargeai en lui, au même instant il râla et eu un orgasme violent en aspergeant le bureau avec son sperme !

Je me retirai de lui, il soufflait, il parut confus, d’avoir aspergé le bureau, je lui lançai un chiffon en souriant, il essuya, je m’assis, je lui fis signe de venir, il vint sur mes genoux, je l’embrassai, il se laissa faire, et même plus il se serra contre moi, et répondit à mes baisers !

- Eh bien petit Angelo, c’était désagréable ?

- Oh Maître non ! Je… Je ne… Pensais pas que c’était aussi bon, oh Maître, j’espère que j’ai été à la hauteur, et… Maître pardon d’avoir sali votre bureau…

- Pas de problème Angelo tu as été un amant parfait, tu es adorable, et tu vois ce n’était pas dur ! Mais Angelo, cet instant entre nous et les autres que j’espère avoir, resteront notre secret, et ce n’est pas parce que tu as aimé ce moment que tu doives négliger Rose ! »

- Maître je vous dois tout… Tout mon bonheur, Maître, et maintenant je suis Chef, mais Maître, je viens de découvrir un nouveau plaisir, oh Maître comme je vous aime ! Vous êtes tellement bon avec moi !

- Allons, Angelo, tu es tellement mignon et gentil… Mais Chef, maintenant rhabille-toi, nous allons aux écuries !

Je descendis aux écuries avec Angelo, j’annonçai ses nouvelles responsabilités, les gars furent contents de leur nouveau chef, au moins ils le connaissaient, et ils savaient que le Maître était là…

Quand je remontai il était près de midi, je consultai quelques dossiers, et je passai à table après avoir demandé mon repas à Tom.

On apporta le repas, comme d’habitude, bien préparé, je pris un morceau de pain avec l’entrée, et je fus très surpris, le pain n’avait aucun goût, en fait il n’était pas salé ! Je demandai à Tom de convoquer Daniel le chef boulanger, qui vint très rapidement, je lui fis goûter le pain, il blêmit, je lui demandai qui avait fabriqué ce pain il répondit :

- Maître c’est Bertrand ou Claude, Maître pardon pour cette faute ! Daniel était réellement embarrassé.

- Daniel fais-moi déjà envoyer du bon pain que je finisse mon repas, et envoie-moi le coupable après le repas !

J’eus rapidement un autre pain et je finis mon repas. Quelques minutes après Bertrand entra, je le connaissais bien, on s’était revu quand j’avais convoqué tous les jeunes hommes, il était un ancien compagnon de jeux, mais il avait été cruellement fouetté par mon père il y a six mois.

- Tiens Bertrand, c’est toi qui as fait cet infâme pain !

- Oui Maître, je vous demande pardon.

- Qu’est ce qui t’a pris, tu ne sais plus faire du pain maintenant !

- Maître j’étais distrait… Pardon Maître ! Il était tendu, il baissait la tête.

- Je croyais que tu étais un bon boulanger, apparemment non ! Après une erreur pareille tu ne peux plus être boulanger !

Il blanchit, nettement, très mal à l’aise, il tomba à genoux :

- Oh Maître…

- Bertrand tu es bon pour le travail des champs !

Il baissa la tête plus fortement…

- Pardon Maître…

- Mais avant tu seras fouetté pour mensonge !

Il me regarda surpris :

- Mensonge… Maître ? Il était dans un grand désarroi.

- Mon Bertrand, ne me prends pas pour un imbécile, ce n’est pas toi qui l’as fait ce pain, tes pains sont bien meilleurs, et tu les signes toujours, avec une petite marque comme quand on jouait ensemble, tu crois que je ne l’ai pas vu, et tu crois que je n’apprécie pas ton geste, chaque fois que je le vois, je pense à toi ! Alors arrête tes bêtises et dis moi la vérité et rien que la vérité !

- Maître, vous avez raison, ce n’est pas moi qui ai fait ce pain, j’ai menti Maître…

- Et pourquoi, et qui l’a fait ?

- C’est… C’est… Oh non Maître !

- Bertrand, j’attends ! Dis-je durement.

- C’est… C’est Claude, Maître !

Il était à genoux à coté de moi, je mis ma main sur sa tête, il frémit et se mit à pleurer doucement.

Je le tirai vers moi, il posa sa tête sur mes genoux, il a toujours été un assez beau garçon, mais en lui je retrouvais toujours le copain d’enfance. Je caressai sa tête, ses cheveux, il se détendit.

- Bertrand oublie mes menaces, mais dis moi tout, pourquoi ce mensonge ?

- Maître je voulait protéger Claude, j’ai peur qu’il soit fouetté comme je l’ai été Maître.

- Tu sais très bien que je ne fouetterais pas comme ça, pour une faute pas trop grave !

- Oh Maître j’ai eu peur…

- Mais pourquoi protéger Claude, il a quel âge ?

- 20 ans Maître, c’est… C’est… C’est mon frère Maître !

- Ton frère ! Mais tu n’avais pas de frère !

- Maître il y a quatre ans, mon père m’a dit qu’il avait eu un autre fils avant de mourir.

- Et tu t’es retrouvé avec un petit frère ?

- Oui Maître, j’ai pu le faire rentrer à la boulangerie, et tout allait bien jusqu’à aujourd’hui…

- Mais pourquoi avoir pris sa place ?

- Maître je ne veux pas qu’il soit durement fouetté, et Maître, j’ai pensé que vous seriez moins sévère avec moi et j’ai suivi votre exemple !

- Mon exemple ?

- Maître vous avez oublié ? Pas moi, je sais bien que vous avez été fessé à 13 ans pour que je ne sois pas fouetté à la cravache !

- Je me rappelais bien cet épisode de mon enfance, à 13 ans je jouais avec Bertrand, quand il cassa un vase. Mon père voyant le vase cassé a déculotté Bertrand et il sortit la cravache, il allait le fouetter durement, je me suis alors accusé de la casse du vase, mon père a jeté la cravache et m’a fessé cul nu devant Bertrand, je fus dur, la fessée fut vigoureuse mais au moins Bertrand n’avait pas été zébré avec la cravache.

- Ah Bertrand je m’en souviens bien mais maintenant c’est moi le Maître, alors ne mens pas, mentir c’est ne pas me faire confiance ! Alors va chercher Claude que je le punisse, tu sais il va souffrir un peu, il aura un peu du mal à s’asseoir ce soir, mais il n’aura pas de traces !

Bertrand partit et revint avec Claude que je connaissais de vue, un gars pas mal du tout très timide, toujours tête baissée. Ils se tinrent debout en attente.

- Bertrand et Claude, je ne suis pas content de vous deux, alors que Claude avait fait une faute qui méritait une correction de principe, vous avez menti, ce qui est nettement plus grave. Claude tu n’aurais jamais dû laisser ton frère prendre ta place, un esclave doit assumer ses fautes. Bertrand, tu es coupable de mensonge, mais je serai clément avec toi, tu seras fessé, et toi Claude, tu vas recevoir 40 coups de strap ! Passez dans mon bureau !

Ils me suivirent dans le bureau et attendirent mes ordres, j’ordonnai à Claude de se mettre nu, il était loin d’être moche, je lui fis prendre la position habituelle sur le bureau, Claude ne disait pas un mot, il était tétanisé de peur devant moi, il était honteux d’être nu il chercha Bertrand du regard, mais celui-ci était tête baissée.

- Compte les coups Claude !

J’avais pris une petite strap, la correction serait assez forte comme ça !

J’appliquai le premier coup, il se cabra, mais ne cria pas

- Mmmm… Un Maître… »

Bertrand parut affolé, il ne put s’empêcher de lancer :

- Remercie notre Maître !

- Merci Maître ! Dit Claude

- Tu peux remercier Bertrand, recommence à zéro !

Je donnai un coup fort sur ses fesses

- Mmmm… Un Maître, merci Maître.

Les coups suivants furent durs, les marques nettes sur ses fesses, prouvaient que la douleur devait être forte mais le puni ne criait pas, il émettait seulement un petit râlement.

- Mmmm… 10 Maître, merci Maître !

Je décidais d’y aller un peu plus fort pour le faire crier, j’attaquai avec la strap le bas des fesses, et le haut, rapidement, fortement…

- Mmmmm… 25 Maître, merci Maître !

J’étais un peu déconcerté par la force de cet esclave, qui encaissait des coups forts sans hurler, il était toujours tendu, mais incroyablement fort !

Je continuai la correction, toujours avec force mais pas trop de violence, sa faute était grave mais pas extrême, je me concentrai sur le milieu des fesses, elles étaient maintenant d’un rouge bien marqué !

- Mmmm… 33 Maître, merci Maître !

Les derniers coups furent sévères, ce que sa bouche n’exprimait pas, son corps le faisait, il se cabrait comme pour atténuer les coups, je voyais que chaque coup de strap le faisait souffrir, ses fesses en feu en étaient la preuve !

- Mmmmm… 40 Maître, merci Maître !

Claude était toujours en position, il tremblait, il haletait, je m’approchai de lui.

- Mon garçon tu es courageux et dur avec toi-même, mais pourquoi ? Je posai ma main sur son dos et descendis vers les fesses que le commençai à caresser, je le sentis frémir, je lui dis :

- Détends-toi petit Claude !

Je sentis son corps s’assouplir un peu, je dis :

- Relève-toi Claude !

Il se redressa, me lança un regard craintif, j’avais devant moi un beau garçon de 20 ans, le cul tout rouge, je le pris dans mes bras il eut un frisson, et tout d’un coup, il craqua, il s’effondra sur moi et éclata en sanglot, j’étais surpris, mais je comprenais qu’après cette résistance il ne pouvait plus résister. Il pleurait sur mon épaule en demandant pardon doucement.

- Petit Claude tu es trop dur avec toi-même, maintenant tu es pardonné de ta faute, tu vas retourner à la boulangerie, vas te reposer dans ta chambre, tu es un bon garçon, à l’avenir assume tes fautes !

Il eut le geste habituel de l’esclave reconnaissant, à genoux et embrassant ma main, je le relevai et lui montrai ses habits, il les mit et sortit.

Je me retournai vers Bertrand, il me dit :

- Maître merci de vos derniers mots ! Il tomba à genoux :

- Maître, merci de l’avoir fouetté sans le blesser !

- Bertrand, apprends à ton frère de ne pas lutter contre lui, il aurait crié pendant la punition, ça aurait été plus facile pour lui ! Mais mon Bertrand je t’ai promis une punition aussi !

- Maître je suis prêt !

- Bien déshabille-toi et viens sur mes genoux !

Aussitôt il s’exécuta et se plaça sur mes genoux, il était nu, Bertrand était plutôt bien fait, je me rappelais avoir eu quelques premiers sentiments envers lui vers 12 ans mais après c’était une camaraderie qui s’était installée entre nous.

Je vis son dos plein de cicatrices, il avait été fouetté tellement durement, je lui caressai le dos doucement, suivant les marques du fouet, je dis :

- Mon pauvre Bertrand, je ne pourrai jamais réparer ça !

- Maître, maintenant ça va, mais quand j’ai été fouetté, j’ai cru que j’allais mourir !

- Mon pauvre Bertrand, si j’avais été là ! Mais Bertrand tu as mérité une fessée pour mensonge !

- Maître je suis prêt, c’est une douce punition pour un menteur Maître…

- Attends avant de dire !

Et je commençai la fessée de Bertrand, au début assez doucement puis de plus en plus durement, les claquements sonores faisaient bouger Bertrand, il émit quelques petits cris, ses fesses rougirent, il avait de très belles fesses, elles avaient été épargnées par le fouet, Bertrand n’était pas tendu, je le sentais bien couché sur mes genoux, en confiance, il savait qu’une fessée c’était un mauvais moment à passer, mais sur les genoux de son Maître qu’il aimait bien depuis tellement longtemps, il savait qu’il ne serait pas anéanti comme il l’avait été sous le fouet !

Je continuai la fessée toujours durement, je claquai toute la surface des fesses, le haut le bas, les cotés et bien sûr le centre. J’accélérai le rythme, mon puni commença à crier, la fessée fut longue, c’était une belle correction, je voulais quand même punir Bertrand pour son mensonge. Ses fesses étaient maintenant uniformément rouge vif, la fessée dura un bon quart d’heure.

Quand je pensai la punition suffisante j’arrêtai.

Sans le toucher, il était toujours en position, je dis :

- Bertrand tu ne me mentiras plus j’espère, comme j’ai dit mentir est un manque de confiance ! Alors en cas de problème tu dis la vérité et c’est tout !

- Oui Maître, pardon, à l’avenir je vous ferez confiance, pardon pour mes mensonges Maître…

Je posai ma main sur ses fesses et le caressai…

- Tu es pardonné Bertrand, mais ne recommence pas !

- Maître merci, vous êtes toujours aussi bon avec moi, comme il y a 12 ans, oh Merci Maître !

Je le fis relever, je le pris dans mes bras, et nous restâmes quelques minutes sans bouger. Puis je le fis se rhabiller et il partit.

Je partis au salon, je tombai sur Tom, comme ces deux corrections et ces deux hommes nus et offerts avaient éveillé en moi des sentiments divers, je me fis pressant avec Tom, il répondit parfaitement à mes attentes, nous allâmes dans ma chambre et Tom fut un amant de rêve, doux, disponible, aimant, nous fîmes l’amour de façon explosive,après je restai un moment avec Tom dans mes bras, savourant cet instant de bonheur, et je pense que Tom était dans le même état d’esprit, il était allongé collé à moi, les yeux fermés, un sourire sur les lèvres, il ne pouvait pas être plus beau mon Tom !

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