Après un repas de midi calme, je me relaxai quelque temps sur un canapé, Tom était là, en attente, je lui demandai de venir vers moi, quand je lui dis de s’asseoir à coté de moi il parut surpris mais il vint à mes pieds, je le tirai par l’oreille, pour le faire asseoir vers moi, il gémit un peu et s’assit tout contre moi.
Je le serrai alors un moment contre moi, je l’embrassai sur les joues, et ma bouche se posa sur la sienne, il se laissa faire, confiant, ma langue s’insinua sur ses lèvres, il les ouvrit spontanément se laissant faire, je l’embrassai alors profondément, il réagit en répondant avec sa langue, notre baiser devenant passionné, mon petit Tom était trop beau contre moi…
- Mon gentil Tom, j’ai à faire cet après midi, vas chercher le pain d’épice que j’ai demandé hier et nous irons voir la jeune maman de cette nuit !
- Oui Maître ! Et Tom sortit.
Il revint peu après avec un beau pain d’épice, avec des fruits confits dessus.
- Jojo m’a dit qu’il l’avait fait lui-même ! Me dit Tom.
- Merci Tom, tu diras à Jojo que c’est parfait.
Nous allâmes alors à la blanchisserie, à notre entrée les femmes qui la peuplaient, s’immobilisèrent, respectueuses, je lançai un « bonjour à toutes », je m’approchai de l’une d’elle assez âgée :
- Oh Mathilde, ma bonne Mathilde, combien de fois tu m’as disputé de trop me salir ! Je la serrai dans mes bras et lui donnai deux gros baisers sur les joues. Elle rougit et dit :
- Oh mon Petit Maître, vous vous souvenez de moi et que je vous disputais !
- Eh oui ma bonne Mathilde, tu étais si gentille avec moi, mais ne nous attendrissons pas sur le passé, conduis-nous donc vers la jeune maman !
Toute heureuse Mathilde nous conduisit vers une pièce à part où on avait installé la jeune femme pour son accouchement, elle ouvrit la porte et nous entrâmes. La jeune Rose se reposait un berceau simple à coté d’elle. Quand elle me vit elle chercha à se lever difficilement, mais je dis en souriant :
- Non Rose reste couchée, il faut te reposer tu as bien travaillé cette nuit !
- Maître vous ne m’en voulez pas ?
- Rose pourquoi t’en vouloir ! Comment vas-tu, ma belle ?
- Oh Maître je vais bien, fatiguée, mais heureuse Maître, comment vous remercier Maître, faire venir un Docteur pour moi ! Oh merci Maître !
- Calme-toi ma Rose, où est le bébé, ici ?
Je vis dans le berceau un petit bébé encore marqué par sa naissance, mais déjà un beau bébé à pas un jour ! Je pris délicatement le bébé dans mes bras, je le baisai sur le front, geste traditionnel d’accueil d’un esclave par son Maître dans le Domaine. Rose me regardait avec crainte au début et avec admiration quand je le baisai.
- Comment s’appelle-t-il Rose ?
- Je souhaite l’appeler Marco Maître.
Je dis alors en tenant le petit dans mes bras :
- Va pour Marco, mon petit Marco, comme tu es le premier à venir au jour depuis que je possède ce Domaine, je serai ton Parrain, pour mieux te protéger à l’avenir mon petit Marco.
Rose était bouche bée.
- Oh Maître, son Parrain, oh merci Maître, pour lui !
Je redéposai le bébé dans son berceau, il avait été sage dans mes bras. Je m’assis sur le lit de Rose et lui donnai un baiser sur le front.
- Merci Rose pour ce beau petit Marco, tu as été courageuse, tu dois maintenant te rétablir, je t’ai apporté ce pain d’épice pour t’aider à te remettre.
Tom lui donna le pain d’épice, Rose était ravie, son Maître qui ne semblait pas s’intéresser aux femmes, était d’une gentillesse avec elle !
- Oh Maître je ne sais pas comment vous remercier…Je n’ai jamais mangé ça…
- En te remettant vite et en soignant bien Marco, Mais dis moi, Rose, il ne s’est pas fait tout seul ce bébé, il a bien un Papa non ?
Rose perdit son sourire :
- Maître, je ne peux pas vous dire…
- Comment ça Rose ? Pourquoi ? Il t’a violée, il est marié, tu ne sais pas qui c’est ?
- Oh Maître non ! Je le connais et je l’aime mais il a peur… Et elle pleura !
- Ma Rose, tu veux vivre avec lui ? Et lui il le veut ?
- Oui Maître j’aimerais me marier avec lui…Je ne peux pas répondre pour lui…
- Tu ne veux pas me dire son nom ? Tu sais il ne risque rien !
- Oh Maître je ne peux pas…
- Rose, arrange-toi pour dire au père de Marco, qu’il doit venir me voir, je ne lui ferai aucun mal, il ne risque rien, au contraire, Marco a un père, il doit se déclarer !
- Maître je trouverai le moyen de lui dire, j’aimerais vivre avec lui Maître, avec votre permission…
- Dis lui que je veux que mon filleul Marco ait un Papa, courage ma petite Rose, et soigne bien Marco. Et en me levant, je l’embrassai sur le front en disant
- Merci ma belle Rose pour ce beau bébé ! Et je quittai la pièce.
Après avoir salué les blanchisseuses, et Mathilde en particulier, je remontai à mon bureau, Yves donnait des conseils à Tom, pendant que je travaillais sur les factures et diverses tâches.
Je fis une ballade à cheval, dans les écuries je croisai Ben, qui me salua et à qui je demandai des nouvelles, lui demandant de baisser son short. Il me montra alors ses belles fesses encore rouges. Je lui dis d’aller demander à Yves de la pommade pour calmer sa douleur, il me remercia très chaleureusement.
Après une bonne ballade de plus de deux heures dans les recoins du Domaine, je rentrai au Château, Angelo était là pour récupérer Étendard, il me salua, et je trouvai alors qu’il me regardait d’un drôle d’air, un regard très expressif alors qu’il était plutôt froid d’habitude, j’ai eu l’impression qu’il voulait parler mais il se tut.
Je retrouvai Yves et Tom, je demandai à Yves la liste des gardes, pour réfléchir au remplacement du Chef Antoine. Ce problème n’était pas facile à résoudre !
L’heure du repas vint, Tom faisait le service, c’était Loïc qui avait apporté le repas, je vérifiai l’état de ses fesses en baissant son short, voyant que l’amélioration étant lente je lui dis de mettre de la pommade.
Tom servait la sauce de la viande quand par inadvertance il lâcha la saucière qui s’écrasa sur mon assiette dans un énorme fracas, une grosse partie de la sauce chaude atterrit sur ma chemise, je fis un geste de recul, Tom en voulant rattraper la saucière renversa mon verre, et la bouteille qui se trouvait à coté, la table fut vite transformée en champ de bataille !
Brûlé par la sauce, j’avais arraché ma chemise et pris ma serviette pour m’essuyer et me retrouvai presque torse nu, au milieu de la pièce. Tom était figé en voyant les dégâts, il sursauta tout à coup et se tourna vers moi :
- Oh Maître vous êtes blessé ? Et il approcha de moi avec une serviette pour m’essuyer. Je l’accueillis avec une solide paire de claque sur ses joues, il se recula, et resta prostré, je jetai ma serviette par terre de rage, et quittai la pièce pour aller à la salle de bain, juste quand je me levai je vis Yves entrer par l’autre porte.
J’allai dans la salle de bain pour me laver de cette sauce, fouillai dans mes armoires pour trouver une chemise et un pantalon propre, après m’être lavé et changé, j’allai dans mon bureau. Peu de temps après, on frappa et Yves entra, tête basse.
- Maître… Dit-il en commençant une phrase.
Toujours en colère je répliquai très durement :
- Silence, j’en ai marre d’être servi par des incapables ! Je ne veux plus vous voir ce soir, ni Tom ni toi, piètre professeur, demain vous serez fouettés, aller hors de ma vue ! Et je montrai la porte à Yves.
- Mais Maît…
- Dehors ! Criai-je. Il sortit.
Je travaillai un peu, mais comme j’avais très peu mangé, je descendis aux cuisines, j’y trouvai Jojo, qui m’accueillit avec empressement, bien sur il savait tout par Loïc :
- Maître je peux vous préparer un autre repas et vous le faire monter rapidement.
- Non Merci Jojo, je n’ai plus de serveur là-haut, fais-moi plutôt préparer un peu de charcuterie que je mangerai ici, sur ce coin de table, rapidement !
Aussitôt les ordres furent donnés, et on m’apporta une belle assiette avec toutes sortes de charcuteries. Je mangeai en discutant avec Jojo des affaires de la cuisine, il était parfait dans sa nouvelle tâche connaissant bien son métier. Après avoir bien mangé, je le remerciai, il me salua et ajouta :
- Maître je peux vous parler ?
- Bien sur Jojo !
- Maître, ce que Tom a fait est grave mais ce n’est pas un mauvais garçon, je le vois souvent, Maître ne soyez pas trop dur avec lui s’il vous plait…
- Oui Jojo, rassure-toi je le punirai justement ainsi que Yves qui est son instructeur.
- Merci Maître !
Je quittai la cuisine, remontai à mes appartements, la salle à manger était rangée, il n’y avait plus de traces de ce qui s’y était passé. Au salon où je pris place, tout était calme.
Je me reposai un peu, et sortit un court instant dehors, la température de ce soir était douce, il y avait quelques jardiniers qui rangeaient leurs outils, le jardin était magnifique, beaucoup de fleurs et d’arbustes, de toutes les couleurs, je me promis de complimenter Michel quand je le verrais.
En rentrant je suis tombé sur le garde en faction, c’était un solide gars de plus de 30 ans, l’uniforme parfait, une matraque épaisse à son coté, comme toujours pour faire la garde. Je l’interpelai :
- Garde viens avec moi dans mon bureau ! Il me suivit et se mit au garde-à-vous.
- Présente-toi garde, avec ton âge !
- Garde Arnaud, 32 ans Maître, pour vous servir !
- Depuis quand es-tu dans le corps des gardes, Arnaud ?
- J’y suis entré à l’âge de 15 ans Maître.
- Arnaud, tu sais que je dois sanctionner Antoine demain pour faute grave, qu’est-ce que tu en penses ?
- Oh Maître, je ne sais quoi dire, Le Chef Antoine était très sévère, mais il était mon chef, je savais que je serais fouetté quand il le voudrait, c’est la rigueur du garde Maître !
- Comment vous fouettait-il ?
- Maître assez rarement avec le fouet traditionnel, des fois la cravache, souvent avec une matraque comme celle là car ça fait mal sans laisser de traces.
- Comment il faisait avec la matraque ? J’étais très étonné !
- Le garde puni devait se mettre nu, à quatre pattes sur une table basse, et la matraque tombait sur le dos, les fesses, les jambes et les pieds, c’était très douloureux, des fois il fallait bien écarter les jambes pour qu’il tape sur le cul ou sur les parties, souvent il finissait par…
- Oui Arnaud, continue.
- Oh Maître j’ai honte, je ne peux pas raconter ça…
- Aller tu dois tout me dire !
- Il… Il nous encul… Il nous pénétrait avec la matraque, avec dureté, c’était très dur surtout pour les jeunes !
- Il faisait souvent ça ?
- Ça dépendait un peu des gars, certains y avaient droit systématiquement !
- Personne n’a jamais rien dit ?
- Non Maître un garde est là pour obéir, et personne ne nous a jamais demandé ça Maître !
- Tu as souvent subi ce traitement ?
- Oui Maître, plusieurs fois par semaine on était réunis le soir et le Chef en punissait un, lui seul savait pourquoi, sauf si le garde puni avait fait une vraie faute, on était tous battus environ une fois par mois, certains plus souvent.
- Arnaud, je vais te demander de me montrer ton cul, baisse ton short et prend la position sur le bureau !
Il le fit immédiatement, j’approchai une lampe de ses fesses pour mieux voir, je le doigtai doucement, il ne dit rien, son cul était bien celui d’un homme régulièrement enculé, avec la lampe je repérai des traces bleues, sur l’intérieur des fesses et des cuisses, aussi sur les chevilles, je touchai les marques, lui demandant si c’était la matraque et de quand ça datait, il me répondit
- Une semaine environ, Maître.
- Ces punitions étaient publiques ?
- Oui toujours Maître.
- Tu sais que j’ai fouetté Thomas, hier, je n’ai pas vu de traces !
- Je ne me rappelle pas avoir vu Thomas sur la table récemment, par contre lui à chaque fois qu’il passait sur la table, il avait droit à la matraque dans le cul ! Oh pardon Maître, je ne voulais pas être grossier…
- Ce n’est pas grave Arnaud ! Et comme il était encore cul nu en position, je lui donnai une petite claque sur les fesses en ajoutant :
- Voila pour ta grossièreté, rhabille-toi maintenant !
- Merci Maître !
- Arnaud, ces temps sont finis, il restera toujours une bonne discipline chez les gardes, mais plus d’injustice, mais il faut un nouveau Chef, tu es candidat pour ce poste Arnaud ?
- Oh Maître je ne préfère pas, je ne pourrais jamais fouetter les Gardes, je suis trop ami avec tous, mais je suis à vos ordres Maître !
- Et tu aimerais qui comme chef ?
- Pour moi Maître, c’est Alex, c’est le plus vieux de nous tous, il a toujours formé les plus jeunes, il est juste Maître même s’il est assez sévère.
- Je vois qui c’est, je le verrai demain, tu n’as rien d’autre à me dire Arnaud ?
- Maître, je… Je vous remercie de m’avoir écouté, je vous ai tout dit… Je… Je n’ai pas l’habitude de parler avec mon Maître, merci Maître ! Et il se figea au garde-à-vous.
Je me levai et allai vers lui :
- C’est bien Arnaud, tu as parlé avec sincérité c’est moi qui te remercie, tu es un bon Garde Arnaud, je suis désolé des mauvais traitements subis par les Gardes, maintenant tu vas reprendre ton travail devant ma porte, pour t’aider à passer le temps, prends une poignée de bonbons ! Dis-je en ouvrant une boite de confiseries qui était posée sur le bureau, il se servit modestement, je pris une plus grosse poignée et lui fourrai dans une poche.
Il me fit un salut militaire, il souriait, et partit reprendre sa garde.
Je regagnai mon lit seul, mes deux serviteurs étant exclus pour ce soir. Par le couloir de service je me dirigeai discrètement vers leur chambre elle était toute proche de la mienne, je les entendis qui discutaient doucement. Je compris que Tom pleurait et qu’Yves cherchait à le calmer.
- Non il me chassera, il me vendra… Sur le marché comme un lot de légumes… Mais comme il t’a dit je suis incapable… Mais toi Yves, c’est pas juste… Tu dois pas être fouetté… Moi si bien sûr mais il ne me voudra plus comme serviteur… Mais Yves… Il peut pas me fouetter à mort… Hein Yves… Pas à mort… Pas attaché au pieu dans la cours !
- Mais non Tom pas comme ça, je ne pense pas il n’aime pas ça, mais il était en colère ce soir alors attends demain, essaie de dormir…
- Dormir oh Yves ! Comment je pourrais dormir ? Yves je suis nul… Nul… Je ne fais que des conneries… Pourtant je l’aime bien mon Maître Mathieu… Mais je suis con… Con… Je fais rien de bien Yves… Oh Yves… Aide-moi…J’ai peur du fouet Yves… Oh Yves… Pas le fouet… Yves !
- Allons mon petit Tom du calme…
J’entrai à ce moment, Tom paru terrifié, Yves surpris, je ne venais presque jamais dans leur chambre, Tom qui était dans son lit, chercha à se lever, mais il n’y arriva pas, il n’y avait pas assez de place, Yves qui était à genoux à coté du lit de Tom se releva, il baissait la tête, Tom se mit à genoux sur son lit, ils étaient les deux nus.
- Bon venez les deux dans mon bureau, dans l’état où vous êtes !
Ils me suivirent nus, jusqu’au bureau, et se tinrent debout, Tom était décomposé il tremblait, Yves à coté de lui était plus calme mais tendu.
- Yves et Tom, j’ai entendu la fin de votre conversation, soyons clairs, je vais vous dire ce qu’il va se passer pour vous deux !
Voyant que Tom était prêt à s’évanouir, je lui dis de venir près de moi, et de s’agenouiller à mon coté, je mis alors ma main sur sa tête et sur sa nuque. Il s’arrêta de trembler.
- Tom tu as commis une faute grave, en renversant la sauce et en cassant la vaisselle, mais ta faute la plus grave a été de ne pas te précipiter vers moi pour me secourir, alors que j’aurais pu être gravement brûlé !
- Yves tu es responsable de la formation de Tom, le résultat est là ! Je ne te félicite pas !
Tom baissa la tête encore plus bas.
Yves osa prendre la parole :
- Maître, verser de la sauce chaude est toujours difficile, Tom a mal été préparé à cette tâche, je suis donc entièrement responsable, pas lui.
Tom ne put s’empêcher de réagir :
- Non Maître c’est moi qui ai fait la faute, je suis le seul responsable…
- Ça suffit je sais parfaitement qui est responsable !
Je fis lever Tom et lui dis :
- Tom c’est toi le premier responsable, tu seras donc puni demain après midi avec la strap, tu sais très bien que je n’utiliserai jamais le fouet sur toi, alors arrête de revenir au passé. Quant à toi Yves, ce sera le martinet juste après !
- Mais comme vous avez l’air tendu ce soir, je vais vous calmer, une bonne fessée vous mettra les idées en place, soyez rassurés, cela réduira votre correction de demain !
Je reculai un peu mon siège, écartai les jambes :
- En position, les deux en même temps !
Ils se positionnèrent chacun couché sur une de mes jambes, leurs jambes s’emmêlèrent un peu, mais j’eus rapidement deux belles paires de fesses sous les yeux. Je sentais leurs sexes sur mes cuisses, ils ne durcirent pas ils étaient trop honteux dans cette position.
Je commençai alors une fessée systématique, sur les deux culs cambrés, de fortes claques tombèrent, alternativement des deux cotés, Yves fut le premier à réagir, à pousser des petits cris, Tom s’y mit peu après, ce fut une symphonie de claques et de cris, j’utilisais mes deux mains une pour chaque fessier, leurs jambes écartées me permettaient d’aller explorer en les claquant les zones internes des fesses et sur l’anus directement. Ils supportaient la punition assez bien, leurs fesses étaient toutes rouges, j’avais bien dosé entre les deux garçons, la coloration était la même. Je continuai la punition encore longtemps, la fessée devenait très longue et dure. Je demandai à Yves de se relever, et d’aller au coin à genoux les mains sur la tête, ce qu’il fit.
Tom restait sur ma jambe droite, il haletait un peu, je le fis se relever un peu et recoucher dans la position classique du puni sur mes deux genoux, je recommençai à le fesser toujours aussi durement, il criait plus fort maintenant, je le sentais moins tendu, plus abandonné à son sort, j’arrêtai d’un coup et lui dis :
- Tu es calmé mauvais serviteur ?
- Pardon Maître, pardon… Je suis un mauvais serviteur, je ne suis pas digne de vous servir, Maître… Dit Tom avec une voix rauque.
- Ce n’est pas à toi à dire ça Tom ! Je le fessai encore un moment, ses belles fesses étaient très rouges, presque violacées par endroits. Je m’arrêtai et laissai ma main sur ses fesses, elles étaient chaudes, douces, une très belle forme, je passai un doigt dans la raie des fesses, il se cambra un peu, je massai alors un peu sa rondelle, il gémit doucement. Je n’avais plus envie de lui faire du mal, il était redevenu le petit Tom soumis, je n’étais plus en colère, je continuerai la punition demain mais plus légèrement, Tom avait fait une grosse connerie, mais il assume la faute et encaisse bien les punitions, on verra demain avec la strap.
- Bon, debout Tom !
Il se mit debout à côté de moi, il avait les yeux rouges de larmes, je le pris dans mes bras en lui disant :
- Tom tu serviras mon petit déjeuner, on procèdera à la fin de ta punition demain après midi, après on sera quitte !
Je le serrai dans mes bras et dis :
- Sois courageux mon garçon ça ne sera pas plus dur demain, en attendant vas te coucher et dors, tu n’as pas à t’angoisser comme tout à l’heure.
Tom tomba à mes genoux, embrassa la main qui l’avait fessé, et dit « Merci Maître…Merci » en pleurant.
Je demandai à Yves toujours au piquet de venir, il vint vers moi, je le serrai dans mes bras aussi, et lui demandai de passer la nuit avec Tom dans leur chambre commune pour le surveiller.
Je rentrai dans ma chambre, et me trouvant un peu seul, je pensai à Benoît qui serait peut-être content de passer un moment avec moi, je sortis dans le couloir, trouvai Arnaud fidèle au poste, et lui demandai d’aller chercher Benoît, il fila en courant et revint quelques minutes après avec Benoît, qui était en short uniquement, l’air très étonné et craintif, j’entrai avec lui dans le salon.
Benoît se tenait debout en attente, il était tendu, je m’approchai de lui et lui dis :
Tu vas passer la nuit avec moi petit Benoît...
- Oh oui Maître… Oh merci Maître… Je le pris dans mes bras et lui dis :
- Allons dans ma chambre !
Il me suivit dans ma chambre, je lui demandai de se mettre à poil, je fis de même, je m’allongeai sur le lit et dis :
- Fais moi jouir mon garçon !
Benoît se mit à quatre pattes et commença à me lécher un peu partout, puis il arriva vers mon sexe, le lécha, et commença à me sucer, il faisait ça merveilleusement, il aimait ça, je le voyais dans ses yeux, il paraissait heureux, il se mit un peu de coté, je voyais mieux ses fesses encore marquées par la strap, je les caressai doucement, il écarta un peu les jambes, je pus insérer un doigt entre ses fesses, pénétrai un peu son cul, il se cabra tout en continuant son travail avec sa langue, ses lèvres, j’étais prêt à éjaculer, je le retins, il freina, je donnai deux petites claques sur son cul en disant « je voudrais bien goûter à ça… ». Je me redressai sur le lit il resta à quatre pattes les jambes bien écartées, je pris un pot de vaseline dans ma table de nuit, j’en pris sur un doigt et lui lubrifiai le cul.
Mon sexe toujours bien tendu vint se placer sur sa rondelle, et pénétra doucement, j’entendis « Oh oui Maître…oui… ». Une fois entré à fond je commençai un doux va et vient, j’accélérai un peu, en le limant sans le brusquer, il haletait, geignait, mais il aimait tellement ça il bandait fort, je pris son membre dans ma main et je commençai à le branler doucement il le méritait bien ! J’accélérai, le désir monta en moi et j’éjaculai dans un orgasme qui me fit tressaillir de partout. En même temps il se contracta et lâcha son sperme sur mon lit. Je me retirai doucement de lui.
Benoît se redressa confus.
- Oh pardon Maître j’ai sali votre lit…
- Pas grave mon gars essuie avec une serviette ! Dis-je en montrant une pile de serviettes.
Il essuya le lit, pris une autre serviette, m’essuya tendrement le sexe, et fit pareil avec le sien. Je l’attirai vers moi, j’étais sur le dos, il était couché sur moi, nous nous embrassâmes tendrement, je caressai ses fesses et son dos, il était très doux, nous restâmes un bon moment comme ça.
- Est-ce que je dois partit Maître ?
- Non Benoît tu passes la nuit avec moi !
- Merci Maître.
Nous passâmes la nuit ensemble, serrés l’un contre l’autre, nous nous endormîmes après l’effort, comme des gosses…
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