Le lendemain matin je fus debout tôt, je voulais donner des consignes à l’arrivée de Tom à huit heures pour prendre sa nouvelle fonction. Yves qui avait passé la nuit avec moi, s’était levé bien avant moi, aussi je trouvai le petit déjeuner prêt, le café chaud. Après un solide petit déjeuner je demandai à Yves de rester avec moi, et nous parlâmes des affaires du domaine…
Huit heures sonnèrent à l’horloge du salon, nous attendions Tom, j’étais surpris qu’il fût en retard, la ponctualité est une règle absolue pour un esclave.
A 8h10 Tom arriva, le garde le fit entrer, Tom était tout beau, un short et un maillot tout propre, son corps bronzé était parfait, Il salua, mais j’étais en colère contre lui, je ne répondis pas à son salut et je dis sévèrement :
- 10 minutes de retard, Tom, Pourquoi ?
Tom baissa la tête, et dit :
- Pardon Maître, mais je n’avais pas vu l’heure, c’est Michel qui m’a fait partir vite, encore pardon Maître…
- Tom viens ici, dis-je d’un ton sec.
Il s’approche de moi, j’étais assis sur une chaise, je lui dis :
- Baisse ton short et en position sur mes genoux !
Il prit la position très correctement, aussitôt je le fessai avec force, sans préparation, j’étais en colère, j’assénai une cinquantaine de claques, vives, fortes et très rapprochées, il cria peu après le début, son beau cul devint vite très rouge. Je stoppai et lui ordonnai de se relever. Il se tint debout honteux, cul nu, sexe à l’air, devant moi.
- A genoux ! Il était près de moi, à genoux, en attitude de soumission, sa face était rouge de honte.
- Eh bien Tom, tu commences bien ! Je ne sais pas ce qui me retient, de te renvoyer tout de suite, et t’envoyer comme esclave des champs !
Tom baissa un peu plus la tête et se mit à pleurer, il se sentait honteux, mais surtout en colère contre lui-même, il venait de tout gâcher, il aurait voulu revenir un quart d’heure plus tôt. Ses fesses étaient brûlantes, il avait envie de les toucher mais il n’en avait pas le droit. Il sentait son Maître tout proche, il en avait peur, il venait d’être sévère, mais pas trop, Tom devait dire quelque chose, il ne savait pas trop comment, il voulait demander pardon, il articula avec difficulté :
- Maître, je vous demande pardon, ma faute est inexcusable, punissez moi Maître, autant qu’il le faut, s’il vous plait Maître, mais gardez-moi…
Ma colère était tombée, Tom demandait pardon, en pleurant, il était 8h15, 5 minutes après son arrivée !
Je me tournai vers Yves, il regardait la scène, en silence :
- Yves, qu’en penses-tu, tu crois que je peux garder cet indiscipliné pour te remplacer ?
Je m’attendais à la réponse de Yves, il fit oui de la tête, en disant :
- Il faut lui laisser sa chance, Maître…
Je pris Tom par les épaules pour le rapprocher encore plus de moi, je me penchai vers son visage.
- Tom tu es pardonné pour cette fois ci, mais attention, au prochain retard, tu seras fouetté !
Tom s’effondra, la tête sur mes genoux et il pleura, après une minute, je le secouai et lui dis :
- Debout Tom, il y a du travail !
Tom se leva, sécha ses larmes, sur un geste de moi il remit son short. Je demandai à Yves d’apporter deux tabourets, qu’il mit en face de moi et je leur demandai de s’asseoir.
- Tom, malgré ce départ raté, je te souhaite la bienvenue ici, tu es maintenant mon serviteur personnel, tu seras donc très souvent avec moi pour me servir. Comme tu as tout à apprendre, Yves sera ton instructeur, d’accord Yves ?
Yves me regarda avec un regard mitigé.
- Maître je connais les risques de l’instructeur, et si le garçon n’est pas plus discipliné…
- A toi de le dresser Yves ! Tom, tu devras obéir à Yves comme à moi-même, Yves pourra et devra te fesser à la main ou au martinet, autant que nécessaire. Mais attention, je devrai connaître toutes les punitions, et n’oublie pas Tom, que presque toutes les punitions que tu recevras, Yves les recevra aussi, si son instruction est en cause !
Yves dit avec une petite moue :
- A vos ordres Maître..
Tom dit :
- Maître merci de me garder, j’obéirai à Yves, comme à vous Maître, mais si je dois être fouetté Maître, ne fouettez pas Yves, donnez-moi ses coups Maître !
- Ce n’est pas toi qui fais les règles Tom…Ton instruction commencera tout à l’heure.
Je me levai, Tom fit de même, je lui donnai un baiser sur chaque joue, et lui dis :
- Vas te rafraîchir la figure, et tu reviendras travailler avec Yves.
Comme Tom revenait, Yves lui dit :
- Aller mon gars au boulot, tu as des tas de choses à apprendre, tu sais… Et ils quittèrent la pièce.
Je repris mes lectures sur l’état du Domaine, j’appréhendais un peu ce que j’allais découvrir dans les villages…
J’étais dans mes lectures, quand le garde annonça Jojo, je regardai l’horloge, 10 heures pile, belle ponctualité, c’était plutôt moi qui avait presque oublié le rendez-vous !
Jojo entra, me salua, et resta au garde à vous.
- Entre Jojo, et prends place sur cette chaise.
Il s’assit en face de mon bureau, il ne semblait pas trop à l’aise.
- Bon Jojo, ça marche aux cuisines ?
- Oui Maître, il n’y a pas de problèmes, vous avez remarqué quelque chose sur les repas Maître ? Demanda-t-il inquiet.
- Mais non Jojo, c’est encore meilleur qu’avant, vous êtes tous de bons cuisiniers !
- Merci Maître, je leur dirai, pour moi aussi ils sont doués, et gentils pour la plupart, ils travaillent bien !
- Jojo je t’ai demandé de venir pour te parler d’un autre problème : la nourriture des esclaves. Hier quand vous étiez tous nus dans ce bureau, j’ai été frappé par votre maigreur à tous, même les cuisiniers !
- Oh Maître aux cuisines, il n’aurait pas fallu piquer dans les plats, la cravache était là !
- Et maintenant qu’il n’y en a plus, Jojo ?
- La règle est toujours la même, Maître…S’il y a des abus je les punirai !
- Comment est faite la soupe des esclaves ?
- Toujours pareil Maître, des pommes de terre, des haricots blancs, des lentilles, du chou en saison, ou des poireaux, un peu de farine, beaucoup d’eau, du sel. On ajoute du lard le dimanche, votre père voulait la soupe la moins chère possible, c’est moi qui ai été chargé de la mettre au point, ça a été long, c’était toujours trop cher, j’étais fouetté, et je recommençais…
- Mon pauvre Jojo, je vais te redemander le même travail, mais ce n’est pas le meilleur prix que je cherche, mais c’est de voir mes esclaves en forme, pas trop gros non plus, et si la soupe peut être bonne c’est mieux ! Alors trouve plusieurs recettes de plats plus nourrissants, avec plus souvent de la viande, pas trop chère bien sûr. Travaille le sujet et fais des propositions, je te préviens que je goutterai les plats ! Ah autre chose, tu ne seras pas fouetté, si tes propositions ne me plaisent pas ! Dis-je en souriant.
- Merci Maître, j’ai toujours eu faim ces dernières années, je vais travailler sur des recettes nouvelles avec plaisir ! Et bien sûr je préfère ne pas être fouetté !
- En attendant, fais mettre de la viande ou du lard tous les jours, il faut que tout le monde reprenne des forces maintenant.
- Merci pour tous Maître, je peux vous dire qu’ils vont aimer ce geste que vous faites pour eux, la faim c’est trop dur, surtout aux cuisines !
- Tu vas me faire rougir Jojo, aller, retourne à ta cuisine ! Dis-je en riant
Il se leva, moi aussi, et comme il commençait à me saluer, je le pris dans mes bras pour lui donner l’accolade. Il me dit :
- Merci Maître… Et partit visiblement ému.
Après le déjeuner, toujours délicieux et servi par Yves et son élève appliqué Tom, je me rendis dans mon bureau pour travailler. Le temps étant ce jour assez beau, je décidai d’aller me promener à cheval, je prévins Yves et Tom, et je descendis aux écuries.
Lorsque j’arrivai aux écuries, Benoît était là, il parut surpris de me voir, me salua, je luis dis :
- Benoît, fais préparer Étendard, je vais aller faire une ballade, mais je peux attendre le temps qu’il faut…
Benoît appela Angelo, qui arriva en courant, me salua et sur un ordre de Benoît, alla vers Étendard.
Benoît s’approcha de moi et me dit
- Maître, nous avons un problème…
- Allons donc quoi encore ! Dis-je surpris.
- Princesse, votre jument est grosse, Maître…
- Comment ? Dis-je avec beaucoup de surprise.
- Je voulais la faire couvrir par l’étalon d’un ami…Comment une chose comme ça peut arriver ?
- Maître un matin nous avons retrouvé Étendard dans son box, la séparation des box avait été mal fermée.
- C’est Étendard le coupable, ça ne m’étonne pas de lui ! Mais pourquoi la séparation des box était mal fermée ?
Angelo arriva avec Étendard, il avait bien sûr entendu la conversation, il se figea, en attente.
- Alors Benoît, pourquoi ? Qui devait fermer les box ?
- L’esclave qui les nettoie, Maître …
- Tu vas me parler clairement oui ! Alors QUI ? Je commençais à perdre patience.
- C’est Ben qui est chargé de ça Maître…
- Et bien appelle-le tout de suite, et vite !
Benoît partit à la recherche de Ben, et revint avec un garçon brun, je l’avais vu la veille lors de la convocation de tous les jeunes, il est grand, mince, 20 ans, plutôt agréable à regarder.
Ben se jeta à genoux, il savait parfaitement pourquoi il était convoqué, il tremblait, il savait qu’il allait être puni sévèrement, avec l’ancien Maître son compte aurait été bon, il aurait été attaché au pieu des punitions et aurait été flagellé durement, le dos et les fesses labourées par le fouet, avec ce nouveau Maître, il ne savait pas à quoi s’attendre, il était mort de peur.
- Ben explique-moi comment Étendard a pu rejoindre Princesse ! Toi qui es depuis toujours aux écuries, tu sais très bien qu’il y a des précautions à prendre !
- Maître, j’ai… J’ai… Oublié de… De… Vérifier… Bredouilla-t-il.
A le voir terrifié, mais aussi avouant sa faute, je commençai à m’attendrir, c’est le type de faute par mégarde assez inévitable, et y réfléchir, je commençais à trouver l’idée, d’un poulain issu d’Etendard et de Princesse, plutôt séduisante… Mais l’esclave fautif devait être puni.
- Ben tu es fautif, par étourderie, tu vas être puni de mes mains, et toi Benoît je ne félicite pas, je te donne un avertissement, tu dois mieux surveiller les écuries !
- Maître je vous demande pardon, je serais plus vigilant à l’avenir Maître ! Dit Benoît en se courbant, très bas.
Ben était toujours à genoux prostré s’attendant à être fouetté, il appréhendait ce moment ! Angelo regardait la scène, un peu apeuré aussi.
- Ben déshabille-toi et mets toi à genoux mains sur la tête au milieu des écuries, interdiction à tous, de lui dire un mot, Je vais aller faire ma promenade et je te fouetterai à mon retour !
Ben se mit rapidement nu et s’agenouilla, les mains sur la tête, baissa la tête et attendit, il était assez mignon comme ça, complètement soumis à mon autorité, j’hésitais entre martinet et strap, après une bonne ballade à cheval je déciderai. Je fis signe à Angelo d’emmener Étendard dehors.
Je montai sur le cheval, aidé par Angelo, il tenait toujours la bride et me tendit ma cravache, il dit :
- Maître….
- Oui Angelo…
- Maître, je voulais dire que le cheval fils d’Etendard et de Princesse, sera sûrement un beau cheval, et que… Que… Il se tut alors.
- Que quoi ? Aller vite Angelo, tu as raison pour le futur poulain, mais ne me fais pas perdre mon temps !
- Que je suis aussi responsable que Ben, j’avais remarqué que Princesse commençait à être excitée, mais je n’ai rien dit, je ne lui ai pas dit de faire attention…
- Angelo, tu as reçu ta dose de fouet la semaine dernière, ça suffit, Ben sera puni, mais pas comme toi… Je mis ma main sur ses cheveux, et lui caressai la tête.
- Tu es un bon garçon Angelo, j’apprécie ton attitude ! Lâche Étendard maintenant, il commence à avoir hâte de gambader !
Il lâcha la bride, et je fis partir le cheval d’un bon pas, puis au galop quand nous fûmes sur le chemin. Après une bonne heure de promenade dans ma campagne où je vis nombre de mes esclaves au travail, je repris le chemin du retour. Réfléchissant à la punition de Ben, j’arrivai à la conclusion qu’une sévère correction au martinet serait suffisante, je connaissais Ben depuis toujours, c’est un bon bougre, pas très malin mais il n’avait jamais posé de problèmes.
J’arrivai devant les écuries, Angelo sortit, il devait guetter mon retour, il m’aida à descendre du cheval, j’aurais très bien pu le faire tout seul, mais le devoir d’un esclave est d’aider son Maître. Il prit la bride et conduit Étendard dans son box pour le brosser.
Je vis Ben à genoux, il tournait le dos à l’entrée, je voyais bien ses fesses rondes, bien dessinées, sous une apparence banale, Ben avait un très joli cul de garçon, avec ses jambes légèrement écartées, les mains sur la tête, il était très désirable. J’en fis le tour sans rien dire, il n’osa pas lever les yeux sur moi, comme j’avais gardé ma cravache à la main je la pris et lui caressai le dos doucement avec la pointe, je le vis trembler légèrement, je passai le bout de la cravache entre ses fesses, il frémit.
- Ben mon garçon qu’est-ce que je vais faire de toi ? Dis-je d’une voix forte.
Il ne dit rien il paraissait terrifié, plus d’une heure d’attente, nu en plein milieu de la pièce, plusieurs esclaves sont passés, il était honteux, mais surtout tout se bousculait dans sa tête, le fouet le sang, peut-être la mort, mais surtout la douleur, la torture, comment allait-il résister ? Et maintenant le Maître est rentré, il joue avec sa cravache, il a l’air en colère, la punition va commencer, mais laquelle ? Tout s’embrouillait dans sa tête, il paniqua intérieurement, il sentit ses larmes couler, il claquait des dents…
Quand je le vis dans cet état, je fus surpris et me rendis compte que je le terrifiais, je décidai d’atténuer ses tourments. Je m’accroupis devant lui soulevai le menton, et le regardant dans ses yeux pleins de larmes, et d’une voix plus douce :
- Ben, tu as fauté donc tu vas être puni, j’ai décidé de te punir au martinet, tu recevras une correction sévère, mais c’est normal pour ta faute !
Ben me regarda, il s’attendait à pire mais il savait qu’il allait passer un mauvais moment, mais le Maître n’a pas l’air en colère, il dit, d’une voix à peine compréhensible :
- Maître… Pardon… Pardon… Pardon…
Je me levai, aperçus Benoît dans un coin, Angelo suivait tout, tout en brossant Étendard. Je dis à Benoît d’apporter le martinet, il entra dans son bureau et ressortit tout de suite avec un martinet et me le tendit. C’était un lourd martinet à nombreuses lanières, un instrument qui pouvait faire mal, mais sans déchirer la peau, manié correctement on pouvait bien punir un esclave sans le blesser trop.
- Benoît sur quoi fouette-t-on les garçons d’écurie ?
- Sur une ou deux bottes de paille, sur une selle ou attaché à cette poutre ou sur la grande roue qui est là, Maître, vous pouvez choisir.
- Oui pour les bottes de pailles, prenez en deux, il est grand !
- Avec une couverture ou à cru sur la paille, Maître ?
- Avec une couverture Benoît.
Une fois l’installation faite par Benoît et Angelo, un beau poste de punition, je dis à Benoît :
- Convoque le reste de l’équipe !
Benoît sortit aussitôt et attroupa ses gens, ils n’étaient tous pas très loin, toujours curieux dans ces cas là ! Ils s’alignèrent sur un geste de Benoît, ils étaient sept alignés, Angelo les avait rejoints, il y avait un gosse de 10-12 ans, deux de 14 et 15 ans, deux gars un peu plus vieux et un plus âgé de 40 ans environ, ils ne paraissaient pas en trop mauvaise forme, un peu maigres. Tous étaient silencieux, tête baissée, ils savaient qu’ils étaient convoqués pour voir la punition de l’un d’eux.
Ben était toujours nu à genoux devant eux, ses larmes avaient séché. Il attendait toujours anxieux, mais en bon esclave, il s’en remettait maintenant à son Maître, presque confiant.
Je pris alors la parole :
- Esclaves, Ben qui est là devant nous a commis une faute grave, par insouciance il a mal fermé la séparation entre les box, Étendard a pu rejoindre Princesse pour la nuit, et maintenant Princesse est grosse. Peut être que le résultat de l’union des deux fera un beau poulain, mais ce n’était pas prévu comme ça. Je vois aussi dans cette affaire, deux autres fautifs, Benoît qui aurait dû vérifier le travail de Ben, et Angelo qui n’avait prévenu personne que Princesse entrait dans une période de chaleur. »
Angelo et Benoît baissèrent la tête, j’ajoutai :
- Mais pour ces deux là il n’y aura pas de sanction, en particulier pour Angelo qui a été fouetté trop durement la semaine dernière. Je condamne Ben, à être fouetté avec le martinet pour sa faute !
- Ben lève toi et en position pour être fouetté ! Dis-je en lui montrant les bottes de paille, avec le martinet que je tenais en main en retenant les lanières.
Ben alla s’installer sans dire un mot, il se coucha sur les bottes, cela faisait un support parfait car son corps était cassé en deux, les pieds par terre, les fesses en hauteur, et le reste du corps qui retombait de l’autre coté.
- Écarte plus les jambes ! Dis-je avec sévérité.
Il le fit bien sûr, j’avais devant moi, le cul de l’esclave, bien en vue exactement à portée de mon martinet, Je ne pouvais pas voir sa tête, mais le principal, c’était son cul, et comme je l’ai déjà dit, il était superbe.
Je lâchai les lanières du martinet, l’agitai un peu pour dénouer les lanières, et donnai le premier coup vivement.
Ben sursauta, mais ne dit rien, je repris mon élan et donnai le deuxième coup plus fort, Ben ne dit toujours rien.
Je le frappai alors à 5 reprises, des coups très forts et rapprochés, au cinquième Ben émit un petit cri.
On voyait bien les traces des lanières, des traces rouges qui apparaissent vite après le coup, mais pas de sang.
Je donnai une série de dix coups, durs et rapides, cette fois Ben râlait à chaque coup. Je réajustai ma position des pieds, et m’acharnai avec le martinet sur le haut de ses fesses, une vingtaine de coup tombèrent sur la même zone, Ben bougeait de plus en plus, ses cris devinrent plus forts.
Je changeai de coté et m’intéressai alors à la base des fesses, là où les deux jolis lobes de Ben prenaient naissance, une vingtaine de coup sévères l’atteignirent, sur cet endroit sensible, Ben hurla et gigota mais il reprit sagement sa position, en attendant les coups suivants.
Je repris le martinet et frappai très fort, en plein milieu des fesses, bien horizontalement, toujours au même endroit. J’entendis une longue plainte de Ben, il haletait. Je fis une pause et demandai à Benoît de venir, je lui dis :
- Vas voir dans quel état il est, rafraîchis-lui la figure !
Il s’exécuta, mais je vis qu’il lui parlait, et revint vers moi :
- Il ne va pas trop bien Maître.
- Et tu lui as dit quoi, Benoît ?
- D’être courageux Maître, il pleurait…
- Bien je finis mon boulot !
Et je repris le martinet, et recommençai à fouetter Ben durement, il reçut une cinquantaine de coups sans arrêt, en râlant et criant de manière continue, mais sans jamais d’adresser à moi personnellement.
Ben recevait le martinet, il souffrait beaucoup, le jeune Maître savait fouetter, il pleurait depuis longtemps, il ne pouvait plus arrêter, mais il savait que la punition était méritée et qu’il devait subir, il avait perdu le contrôle de lui-même, il se laissait aller, il se disait que le jeune Maître allait arrêter, il ne lui en voulait pas, il savait que la faute était grave, mais le martinet mordait sa chair, il claquait fortement, chaque coup déclenchait une décharge douloureuse dans toutes ses fesses, et dans tout son corps, c’était dur mais il est un homme et doit savoir résister….
J’arrêtai tout à coup, Ben ne réagissait plus beaucoup au martinet, il avait un soubresaut à chaque coup, il vibrait à chaque coup mais sa bouche n’exprimait plus qu’un râle rauque. Les autres esclaves regardaient cette punition avec effroi, ils étaient de tout cœur avec Ben, ils ne pensaient pas que le martinet pouvait être si dur, les fesses de Ben étaient d’un rouge cramoisi, il avait supporté une bonne punition…
- La punition est finie ! Ben relève-toi et viens vers moi !
Ben se releva avec difficulté, il se retourna, et vint vers moi, l’air décontenancé, il s’agenouilla devant moi :
- Maître…
Je pris un tabouret et m’assit devant lui, il était à genoux, je mis ma main sur sa tête, et m’adressant aux autres esclaves :
- Votre place n’est plus ici, retournez à votre travail et que cette punition vous serve de leçon !
Aussitôt, ils quittèrent tous la pièce sauf Benoît à qui j’avais fait un signe.
- Alors, Ben, que dis-tu ?
- Maître, je… Je… Vous … Demande… Par… Pardon…
Ben était craquant comme ça tout nu complètement soumis, son beau petit cul, tout rouge, à genoux devant moi, mon sexe prit du volume, je tirai Ben vers moi, il se blottit dans mes bras à ma grande surprise en disant :
- Maître… Maître, oh, pardon Maître…
Je me penchai vers son oreille et lui dis :
- Mon petit Ben, c’est fini, tu as été puni, tu es donc pardonné, tu sais ta faute est grave, mais on aura un nouveau petit cheval, alors ce n’est peut-être pas si mal !
Ben me serra encore plus, c’était étonnant, mais comment lui reprocher, il me dit :
- Maître, je vous ai fait confiance, je savais que si vous me fouettiez, je ne mourrais pas, merci Maître !
- Tu avais peur de mourir Ben ?
- Oh Maître, beaucoup d’esclaves sont morts sous le fouet, chaque esclave ici a ces images en lui, d’esclaves tordus par la douleur sous le fouet de votre père…
Je lui caressai les fesses, il émit un soupir de soulagement :
- Oh Maître que faites-vous ?
- Je soulage tes fesses, mon garçon, mais tu vas aller te reposer maintenant, tu as été courageux pendant ta punition, j’ai rarement vu un gars aussi courageux, tu verras avec Benoît pour qu’il soigne tes fesses !
Je l’embrassai sur les deux joues, il me serra fort et se leva et partit en boitant, sans trop se rendre compte, qu’il était nu.
Je regardai Benoît, il vint vers moi, je dis :
- Un drôle de garçon ce Ben…
- Maître c’est un sensible, mais il est très courageux, vous l’avez puni durement mais il vous sera reconnaissant toute sa vie, de ne pas l’avoir fouetté au sang.
- Viens là mon Benoît !
Il vint vers moi, à genoux devant moi, comme Ben, mais il mit sa tête sur mes genoux :
- Mon maître…
- Comment vas-tu Benoît depuis hier ?
- Bien Maître, mes fesses sont encore rouges, mais je suis tellement bien à vos pieds Maître !
- Allons dans ton bureau Benoît !
- Oh oui Maître !
Nous nous y rendîmes, dès que la porte fut refermée, Benoît fut dans mes bras, il s’agenouilla et mit sa tête contre mon sexe en me regardant interrogateur, je fis oui de la tête, il mordit doucement mon sexe au travers de mon pantalon. Il dégrafa ma ceinture, et baissa mon pantalon, il prit mon sexe dans mon caleçon dans sa bouche, je l’aidai à baisser mon caleçon et il prit ma queue en pleine bouche, il me suça alors bravement mon désir monta progressivement, j’étais prêt à éjaculer, dans sa bouche quand il me relâcha et me dit :
- Maître, je dois être puni comme hier soir, la dernière punition Maître, pas la strap !
Je le retournai, baissai son short, il le quitta, il écarta les jambes et prit la position, couché sur la table qui lui servait de bureau, montrant ses fesses encore bien marquées par la strap, son cul bien ouvert, comme je bandais déjà fortement je forçai sans mal son trou, et entrai dans son cul facilement, je fis plusieurs aller et retour, freinai un peu pour retarder l’orgasme et repris mon mouvement, je le limai avec ardeur, mon sexe de plus en plus gros, entrait et ressortait de son cul, Benoît gémissait de plaisir, avec ma main je pris son sexe, il était tendu, je le branlai doucement, son cul étant tellement accueillant et chaud, que mon plaisir monta et tout à coup, je jouis dans son cul, en même temps, dans mes mains je sentis son sexe se cabrer et il éjacula….
Je me retirai de son cul, il était encore en position, n’osant pas trop bouger, je le pris dans mes bras par l’arrière, je sentais ses fesses, sur mon sexe, son dos vint contre ma poitrine, il renversa sa tête sur mon épaule en disant :
- Merci Maître…
Je l’empêchai d’en dire plus en prenant sa bouche dans ma bouche pour un long baiser amoureux…
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
J adore sa comme reçit
RépondreSupprimerJ aimerai connaitre 1 genre d endroitpareil a se réçit pour recevoir de pareil punition tres bandante mais helas je pense que cela n existe pas ou tous au moins en France c bien domage en tous cas
RépondreSupprimer