Quand nous arrivâmes avec Aurélien, au Château, Tom nous accueillit, il eut l’air surpris de voir un nouveau visage, il serra la main d’Aurélien. Celui-ci paraissait perdu au Château, le luxe des pièces l’étonnait, il ouvrait de grands yeux.
- Aurélien, tu vois ici du luxe, mais dans les villages tu verras de la misère, c’est ce que je veux réformer, tu devras installer ici un petit hôpital avec quelques lits, pour soigner les malades et les blessés, si ce n’est pas possible ici tu contacteras l’Hôpital. Yves et Tom t’aideront pour ton installation.
- Merci Maître, je suis à vos ordre, j’essaierai de faire mon maximum, je remercie Monsieur Yves et Tom de m’aider.
Yves eut l’air surpris, il me regarda, je dis :
- Parle Yves !
- Aurélien je suis esclave comme toi, pas de ‘Monsieur’ entre nous !
- D’accord Yves.
- Aurélien tu verras que la discipline est stricte ici, à chaque faute, une punition corporelle, alors fais en sorte d’y échapper, mais si tu le mérites tu serras fouetté, mais je te rassure, je ne tue pas mes esclaves !
- Entendu Maître.
Yves l’installa dans une chambre du Château, pendant ce temps je pris mon repas, Tom me servait, j’en profitai pour lui caresser les fesses, après le repas je le pris dans mes bras quelques moments après nous fîmes l’amour, Tom se donna totalement à moi…
Le lendemain matin, vers 10h j’étais à mon bureau, quand Alex arriva, il frappa et entra, il dit :
- Maître je vous dérange ?
- Alex tu as toujours le droit de venir me voir, sans problèmes, que se passe-t-il ?
- Maître, c’est Mathias, je l’ai surpris à dormir hier soir alors qu’il était en faction devant vos appartements.
- Mathias, c’est pourtant un bon gars non ?
- Oui Maître que devons-nous faire ? C’est une faute très grave, Maître, normalement il n’est plus digne d’être garde !
- Fais le venir, personne d’autre que toi n’est au courant ?
- Non Maître, je voulais vous en parler avant !
- Tu as bien fait Alex, vas le chercher !
Alex revint avec Mathias, le garde qui était venu me donner des nouvelles de Raoul, il y a quelques jours et que j’avais trouvé mignon.
Mathias baissait la tête, il tomba à genoux devant moi. Il était beau gosse, mais il tremblait, il avait une peur bleue.
Il avait commis une des pires fautes pour un garde, Mathias, s’endormir en plein service, en plus devant les appartements du Maître, avec l’ancien Maître, il aurait été fouetté à mort, immédiatement, avec ce nouveau Maître qui avait été gentil avec lui il y avait peu, il avait peut-être une chance, mais il avait peur, horriblement peur, pourquoi s’était-il endormi ? C’était trop tard maintenant, il aurait voulu mourir tout de suite.
- Alors Mathias, pourquoi es-tu là ?
- Maître, je me suis endormi pendant la garde, devant votre porte, cette nuit, je suis un misérable Maître !
- Mathias, c’est une faute très grave, pourquoi t‘es-tu endormi comme ça ?
- Oh Maître, je ne sais pas, j’étais très fatigué, Maître, mais je n’aurais pas dû, oh pardon Maître, pardon…
- Fatigué pourquoi ?
- Maître, je ne veux pas vous mentir, avant ma garde au lieu de me reposer je suis allé voir une amie, et on a discuté… »
- Pas un peu plus que discuter, Mathias ?
- Oui Maître, on a… Oh Maître pardon, je n’aurais pas dû, après une journée de travail, j’aurais dû me reposer avant ma garde…
Je m’adressai à Alex :
- S’il y a une chose qu’on ne peut pas reprocher à Mathias, c’est de mentir !
- Il a toujours été franc Maître comme un bon garde !
- Mathias, ta faute est très grave, mais tu es franc, tu es un bon garde, en plus ta faute n’est pas connue en dehors de nous trois. Je vais donc te punir maintenant, ce matin tu vas recevoir 100 coups de martinet mais tu vas avoir un sursis de trois mois, si tu fais une autre faute pendant ces trois mois tu recevras une punition double selon ta faute entre 100 et 200 coups de strap ! Entendu Alex ?
- Oui Maître, merci pour lui, j’espère qu’il fera attention dans le futur !
Mathias dit alors d’une voix faible :
- Maître merci… J’ai peur du martinet… Mais je promets d’être sage après Maître… Merci Chef Alex aussi… Il tremblait moins mais il gardait sa peur, 100 coups de martinet, ce n’était pas une petite correction, mais il n’en mourra pas.
- Bon Mathias, déshabille-toi, et mets-toi à genoux sur ce canapé !
Je voulais changer un peu des corrections sur le bureau, et Mathias ayant de belles fesses, je voulus en profiter.
Il s’agenouilla sur l’assise du canapé, et posa les bras sur le dossier, il me regarda interrogativement, je lui fis écarter plus les jambes, et bien cambrer son cul, il était superbe comme ça, complètement offert au fouet, et à nos regards sur son cul et ses couilles, son membre se voyait aussi. Je pris le martinet et m’approchant de lui, je lui touchai le sexe, avec le manche en disant :
- Alors, petit Mathias, on préfère voir son amie et faire travailler son sexe que se reposer, hein Mathias ?
- Oui Maître, pardon Maître… Je ne le ferai plus
- Mathias si tu as une fiancée et que tu veux vivre avec, tu peux, on te donnera une chambre, tu ne feras plus ça à la sauvette. Parles-en à Alex, mon garçon…
- Merci Maître, je le ferai…
- Bon passons à ta punition, tu comptes les coups mon garçon !
- Oui Maître ! Il se crispa sur le canapé.
Le premier coup partit sur ses fesses bien tendues un coup assez fort.
- Ahh… Un Maître, merci Maître !
Les quatre coups suivants furent durs, le martinet claquait bien.
- Ahhhh… 5 Maître, merci Maître !
Je continuai à le fouetter, mais je retenais ma puissance, j’en avais pitié, et je ne voulais pas déchirer ces jolies fesses, mais les coups se faisaient quand même sentir, mon puni criait il bougeait un peu.
- Aïeeee… 24 Maître, merci Maître…
Les coups suivants, je les donnai un peu plus fort, à la base de ces belles fesses à la naissance des deux globes ronds tellement bien modelés, Mathias cria un peu plus fort, il souffrait.
- Rhaaaaaa… 43 Maître… Merci Maître !
Sept coups tombèrent sur ses fesses, en plein milieu, il se cabra, un peu plus à chaque coup !
- Ahhhhhhhhhhh… 50 Maître, merci Maître…
- On fait une pause de 5 minutes, détends toi mon garçon !
Mathias se détendit en étirant un peu son corps, il était vraiment désirable comme ça…
Alex s’approcha de moi et dit doucement en aparté :
- Maître, vous voulez que je vous relaie pour la suite ?
- D’accord Alex, mais ne sois pas trop dur, un peu de sévérité, mais pas trop, je ne veux pas le blesser !
- J’ai bien remarqué que vous modériez vos coups Maître, vous êtes gentil, merci pour lui.
- Je sais que c’est un bon garde, j’ai été étonné par sa franchise, alors ne soyons pas trop dur avec lui !
- Oh c’est sûr Maître c’est un bon garde !
Je repris la parole plus haut :
- Bon la pause est terminé, Mathias reprends toi, c’est ton Chef qui va te fouetter maintenant !
Mathias reprit la position, il avait honte Mathias, il souffrait mais il s’était bien rendu compte aussi que le Maître n’avait pas donné toute sa force dans les coups, même si chaque coup était douloureux, ça aurait pu être pire, mais ce sursis est-ce qu’il allait pouvoir tenir, sans faute pendant trois mois, c’est si vite fait une bêtise, comme là il n’avait pas pu se retenir avec Béatrice, ils avaient fait l’amour comme des fous, c’était tellement bon, mais après il était crevé, et il s’était endormi en pensant à Béatrice, mais le Maître n’a pas eu l’air fâché quand il avait parlé de son amie, pourtant il aime les garçons lui, cette position qu’il lui avait fait prendre sur ce canapé, comme pour l’enculer, il en avait peur, mais le Maître est le Maître, ce n’est pas lui un pauvre garde qui peut dire non…
- Ahhhh 51 Maître… Merci Maître !
Alex s’était bien positionné, mais il retenait sa force naturelle, à pleine force il aurait déchiré les fesses du puni, mais il ne le souhaitait pas, le Maître non plus, alors il fouettait avec attention, les coups tombaient régulièrement, le corps de Mathias se tendait à chaque coup, sa voix trahissait sa douleur.
- Ahhhhh 66 Maître… Merci Maître !
Les coups suivants furent un peu plus fort en haut et sur les fesses, le puni jonglait sur ses jambes de plus en plus.
- Ahhhhhh… 74 Maître… Merci… Maître…
Je m’approchai d’Alex pour lui dire quelque chose, il acquiesça, il donna un coup fort, très claquant, Mathias fut surpris, il sursauta et hurla.
- Rhhhhaaaa… 75 Maître… Merci… Maître…
Il se tendit attendant le coup suivant, mais je m’approchai de lui, et lui posant la main sur le dos je lui dis :
- Tu as compris la leçon mon garçon ?
- Oh oui Maître, pardon Maître, je serai un meilleur garde, votre meilleur garde Maître ! Pardon Maître !
- Bon mon garçon on arrête la punition pour aujourd’hui !
- Oh merci… Merci Maître !
Je passai doucement la main sur ses fesses, il poussa un soupir de soulagement, je lui dis de se lever, il le fit et se mit au garde à vous à coté du canapé, je m’assis dans le canapé, et le considérai, debout honteux, visiblement au bord des larmes, comme tout esclave après une punition par le Maître, il se mit à genoux pour embrasser ma main, il le fit et remerciant, il resta un long moment sa bouche sur ma main, courbé devant moi, je retirai ma main et lui posai sur la tête.
- Dis moi, mon garçon, tu as parlé de ton amie, je la connais ?
- Oh Maître, vous ne lui ferez rien ?
- Lui faire quoi ? Je ne puni pas les garçons et les filles qui couchent ensemble, Mathias, sauf si c’est un viol ! »
- Maître, c’est Béatrice des cuisines...
- Aux cuisines… elles sont trois, Béatrice c’est la plus grande des deux brunes ?
- Oui Maître !
- Eh bien mon coquin, tu n’as pas choisi la plus moche ! Dis-je en riant, j’ajoutai :
- Et tu veux te marier avec elle ?
- Je ne peux pas Maître ! Et je vis des larmes couler.
- Tu ne peux pas ? Dis-je surpris.
Alex pris la parole :
- Maître ?
- Oui Alex !
- Maître depuis environ 20 ans les gardes n’ont pas le droit de se marier, ils doivent être tout à leur service !
- Merci Alex, mon père ne m’avait jamais parlé de ça, mais c’est idiot ! À partir d’aujourd’hui, les gardes peuvent se marier comme les autres !
- Oh merci Maître ! S’écria Mathias.
- Mais Maître, pour le service, il faut que les gardes soient vite au poste en cas d’urgence ! Dit Alex.
- Bien sûr, Alex, mais il y a des chambres inoccupées pas loin du poste, on devrait pouvoir faire un escalier direct !
- Maître, je peux dire cette nouvelle aux gardes ? Ils vont être contents, vous ne pouvez pas vous imaginer Maître !
- Bien sûr, annonce-leur, mais je parlerai du mariage plus complètement samedi, pour le mariage d’Angelo !
- Ah Maître, tous mes gardes veulent y aller ! Je ne sais pas comment faire ! Ils connaissent tous Angelo !
- Oui ils seront tous là, il faut simplement un garde à l’entrée du Château, et un au poste de garde si quelqu’un vient, tire au sort, ou punis-en deux s’ils le méritent !
- Bien Maître !
- Bon Mathias tu n’oublies pas ton sursis, fais attention, je n’aimerais pas te corriger plus, alors ne me déçois pas, et si tu veux me faire plaisir, viens me voir avec Béatrice pour demander à vous marier !
Mathias reprit ma main et l’embrassa, en balbutiant :
- Maître… Merci… Merci… Maître !
Je le fis se relever, il se rhabilla, je le serrai dans mes bras, Alex salua, je les accompagnai vers la porte, la main sur les épaules d’Alex.
Je retrouvai Yves et Aurélien qui parlaient ensemble, je me joignis à la conversation, nous parlions du futur lieu de l’infirmerie, il fallait prévoir des travaux, avec l’équipe d’entretien. Pendant que nous parlions Tom entra avec le garde Denis, le garde apportait un message de l’Hôpital annonçant le retour de Raoul le lendemain vendredi, le messager attendait la réponse, j’écrivis une petite note pour donner mon accord.
Je dis alors à Aurélien :
- En attendant l’infirmerie, il faudra l’installer dans la chambre voisine à la tienne !
- Oui Maître, je pourrai mieux le soigner, mais j’espère que ces cons d’ambulanciers ne vont pas nous l’abîmer dans leur putain de carriole !
Yves le regarda sidéré, je dis très sévèrement :
- Aurélien tu te crois où, tu te rends compte que tu parles à ton Maître ? Jurer devant son Maître, c’est grave !
- Oh pardon Maître ! Dit Aurélien, il avait l’air confus.
Je m’adressai à Yves :
- Yves depuis hier soir tu ne lui as rien appris, tu es toujours aussi mauvais instructeur !
- Maître pardon mais je ne suis pas son instructeur !
Je répondis sèchement :
- Ne réponds pas Yves ! Tu devais lui apprendre les rudiments des règles élémentaires !
- Oui Maître, pardon Maître.
- Disparaissez de ma vue, incapables ! Et soyez à 14 h devant mon bureau pour votre punition ! Dis-je avec un ton très dur.
Ils quittèrent la pièce, j’appelai Tom, il était gêné il avait bien sûr tout entendu. Je lui dis que je voulais manger dans une demi-heure, et j’ajoutai :
- Et ne prends pas cet air de chien battu ou tu vas accompagner les deux autres dans leur punition !
- Pardon Maître, mais c’est dur d’être joyeux quand un ami va être puni !
- Il fallait qu’il fasse attention, c’est tout, mais petit Tom fais moi confiance, je serai juste.
- Merci Maître !
J’allai au bureau travailler sur les dossiers en cours, en particulier sur les bagnes. Le Domaine avait deux bagnes où on envoyait les esclaves coupables d’une faute grave, l’espérance de vie au bagne était faible. L’un était le bagne de la route, il était situé vers Gault, les bagnards réparaient les chemins et les routes du Domaine. L’autre était le bagne forestier situé dans la forêt au nord du Domaine, les bagnards y étaient bûcherons.
Dans l’organisation que m’avait laissée mon père je ne voyais pas l’utilité des bagnes, puisque qu’un esclave pouvait mourir sous le fouet pour une faute vénielle, et les conditions de vie ne devaient pas être vraiment plus dures au bagne qu’ailleurs. Mais je voulais les garder pour avoir la possibilité d’une peine dure pour les fautes très graves puisque je ne voulais plus tuer les esclaves. Mais je ne voulais plus que les hommes meurent au bagne.
L’heure du repas arriva, Tom vint me l’annoncer avec un demi sourire, que je voyais bien un peu forcé, je lui mis la main sur le dos, et donnai deux petites claques sur sa nuque en disant :
- Ne sois pas inquiet petit Tom !
Je fus surpris que la personne des cuisines chargée d’apporter les plats fût Béatrice, en général Jojo n’envoyait que des garçons, je dis enjoué :
- Tiens Béatrice, ce n’est pas souvent qu’on m’envoie une demoiselle des cuisines, c’est très bien, mais est-ce bien un hasard ?
- Oh Maître, j’ai demandé à Jojo de vous servir, je… Je voulais…
Elle tomba à genoux devant moi et fondit en pleurs et en remerciements, elle avait tellement eu peur Béatrice quand elle avait appris que son amoureux était chez le Maître ce matin, un garde lui avait dit qu’il avait fait une bêtise, elle a eu peur, mais Mathias avait réussi à la voir rapidement, après sa correction, elle lui caressa les fesses pour le soulager, il la mit au courant pour le mariage, depuis elle était aux anges.
- Maître merci pour lui, vous n’avez pas été trop sévère, et c’est vrai Maître, on peut se marier ?
- Oui Béatrice, sans problème, il suffit que vous veniez me voir les deux, dès que vous voulez et on fixe une date !
Je la relevai et l’embrassai :
- Aller maintenant Béatrice j’ai faim !
Tom avait l’air très étonné, mais il me servit sans rien dire. A la fin du repas quand Béatrice fut partie, je lui dis :
- Tom tu es au courant pour Béatrice ?
- Non Maître, mais elle était tellement heureuse, elle a beaucoup insisté auprès de Jojo pour vous servir, elle va se marier Maître ?
- Oui Petit Tom, avec le garde Mathias, mais garde ta langue Tom !
- Un garde, il peut se marier ? Il est bien Mathias, Maître !
- Oui Tom tout change maintenant les gardes peuvent se marier !
- Ils vont être contents Maître, c’est bien, vous êtes gentil Maître !
Je le pris dans mes bras, et lui fis des petits bisous, tout tendrement. Je le laissai et allai au bureau.
A 14 h pile on frappa, mes deux punis entrèrent, tête basse, Yves me lança un regard triste.
Aurélien était visiblement paniqué, il tremblait, à son deuxième jour de présence il était convoqué chez son nouveau Maître pour être puni, il avait cru que tout irait bien, il n’avait pas fait attention à sa façon de parler, bien sûr à l’Hôpital il n’aurait jamais parlé comme ça, pourquoi il s’était cru permis devant ce nouveau Maître ? Il ne pouvait pas se l’expliquer, ce Maître il avait l’air gentil. Et Yves avec qui il avait parlé était inquiet, mais il l’avait rassuré, on ne risque peut-être pas plus que le martinet ou au pire la strap, Yves lui avait raconté la punition avec Tom, à la strap. Aurélien ne dirait donc rien, il demanderait pardon au Maître, intercéderait pour Yves, sans insister et accepterait la punition donnée par le Maître, ah mais pourquoi il avait juré comme un charretier !
Je pris la parole :
- Aurélien, tu ne dois jamais jurer en ma présence, et je te recommande de ne pas jurer en général, comme tu es nouveau ici, je ne serai pas trop sévère, mais ne recommence pas, ce serait très grave. Quant à toi Yves comme de coutume, pour avoir mal formé un nouveau, tu recevras la même punition !
- Maître, je vous demande pardon j’ai mérité d’être fouetté, j’en ai conscience, mais s’il vous plait Maître, Yves n’a rien fait, ne le fouettez pas Maître ! Dit Aurélien d’une voix un peu tremblante.
- Aurélien, Yves sera puni aussi, ne discute plus ce point ou tu ne feras qu’empirer les choses ! »
- Bien Maître, à vos ordres !
En regardant Yves, je dis :
- Yves quelle punition mérite Aurélien ?
- Oh Maître par pitié ne me demandez pas ça, je ne sais pas Maître, mais soyez bon Maître, Aurélien n’est là que depuis hier, je n’ai pas pu tout lui dire, j’aurais du Maître, pardon… Pardon, je suis fautif, mais Maître laissez nous une chance, si vous l’ordonnez je serai son instructeur Maître mais s’il vous plait soyez indulgent pour nous Maître, Aurélien ne recommencera pas Maître. Voila Maître c’est à vous de décider Maître, quelque soit votre décision Maître elle sera juste, je m’en remets à vous Maître et à mon amour pour vous !
- Ah Yves tu me prends par les sentiments, tu es habile, mais tu es mon Yves, je sais !
A ce moment on frappa, Tom entra disant que Mathias et Béatrice souhaitait me voir.
Je dis à Tom que j’arrivais au salon et à mes deux punis :
- Attendez-moi ici, déshabillez-vous, à genoux et les mains sur la tête !
Au salon je trouvai mes deux amoureux debout, se tenant le bras, ils se courbèrent pour me saluer.
- Eh bien vous n’avez pas tardé ! Dis-je en souriant.
- Maître pardonnez nous mais nous souhaitons tellement nous marier depuis longtemps, et depuis votre bonté de ce matin nous ne pouvons plus résister Maître ! Dit Mathias tout passionné.
- Béatrice tu es d’accord pour te marier avec ce garde tout excité ? Dis-je en riant.
- Maître, oui plus que jamais, Maître nous nous aimons depuis plusieurs mois !
- Bon Béatrice et Mathias, je vous autorise sans problèmes à vous marier et puisque vous êtes pressés, je vous propose de vous marier en même temps qu’Angelo et Rose, c’est-à-dire samedi !
- Oh Maître merci… Merci ! Dit Mathias, il tomba à genoux pour embrasser ma main, il n’en revenait pas Mathias, ce matin tout s’effondrait pour lui, il avait commis une grave faute il allait être fouetté au sang, peut-être il mourrait et maintenant quelque heures plus tard, il était presque marié avec celle qu’il adorait, même si ses fesses le piquaient encore un peu suite à la correction du matin, il se sentait heureux comme jamais il n’avait été, Béatrice souriait, le Maître aussi, alors il craqua, il éclata en sanglots au pieds de son Maître, il ne savait pas pourquoi il pleurait, peut-être de bonheur, mais ça lui faisait du bien !
Je le relevai le pris dans mes bras, je comprenais que la tension depuis la nuit dernière avait été forte, je lui dis :
- Petit Mathias, ne pleure pas, tu es heureux, ce matin je t’ai puni, cet après midi c’est autre chose, vous voulez vous marier tous les deux, vous avez raison, mariez vous, soyez heureux, ayez des enfants, mais ne pleure pas Mathias !
Il se détacha de moi il souriait, il embrassa Béatrice, je leur dis alors :
- Allez vous préparer pour samedi, soyez beaux, vous verrez avec Yves un peu plus tard comment faire. Mathias j’aimerais que tu viennes me voir ce soir vers 21 h !
- Bien Maître, merci Maître. Dit Mathias, je devinais un peu d’inquiétude dans sa voix, Béatrice voulu s’agenouiller aussi, je la retins et lui fis deux grosses bises sur les joues. Et ils quittèrent le salon.
Je pénétrai dans le bureau, les deux gars étaient nus, à genoux, les mains sur la tête, en position d’esclaves soumis à la volonté de son Maître, ils n’osèrent pas me regarder.
- Alors vous êtes fiers tout les deux comme ça ?
- Non Maître ! Dit Yves.
- Aurélien tu ne réponds pas à mes questions ?
- Pardon… Maître… Oh Maître je ne suis pas fier…
- Bon les garçons, vous me faites pitié alors je ne serai pas trop dur avec vous, Aurélien, c’est ta première punition ici, alors je ne serai pas trop dur mais gare aux punitions suivantes, tu vas recevoir une bonne fessée comme un gamin, et toi Yves tu recevras la même chose, puisque l’instructeur ne peut pas recevoir une punition plus dure que son élève !
- Merci Maître ! Dit Yves, Aurélien n’ajouta rien.
- Aurélien sur mes genoux ! Yves, fais lui prendre la position correcte !
Aurélien avança penaud, il se coucha sur mes genoux, Yves lui écarta les jambes, lui fit cambrer les fesses et prit délicatement son sexe pour qu’il soit entre mes jambes protégé des coups. Je me retrouvai avec un superbe cul bien rond, les deux lobes écartés avec une belle rondelle bien formée, je voyais ses couilles bien gonflées, un très beau mâle cet Aurélien, un peu musclé, il m’avait parut beau à l’Hôpital, je découvrais là un homme splendide, un de mes plus beaux esclaves. Il était tendu, il avait peur de la fessée.
Je posai ma main sur ses fesses, je le massai un peu, la peau était douce, les lobes fermes, pas de graisse, du muscle fin, un vrai régal, il faudrait que j’aille plus loin avec Aurélien, je commençai à bander, il dut sentir mon membre durcir, mais ne dit rien.
Je le claquai durement, plusieurs coups de suite, une dizaine, rapidement, sèchement, il ne s’y attendait pas il bougea, cria un peu, sa peau rougit tout de suite, je repris plus vite et plus fort, les claquements résonnaient dans la pièce, il râlait bougeait un peu, je claquai alternativement au milieu des lobes, je donnai une série très longue toujours au milieu des fesses.
Mon puni dégustait, il criait, je commençai à entendre des « Maître », des « Pitié », des « ça fait mal », « ça brûle » mais je continuais ! Pire je m’attaquai maintenant à la base des fesses, je claquai une vingtaine de fois au même en droit, à la base d’un lobe et je fis la même chose sur l’autre lobe, Aurélien criait en continu, il battit un peu des jambes, j’entendis à ses cris qu’il commençait à pleurer, mais je ne faiblis pas je le fessai toujours sévèrement, avec un rythme de plus en plus rapide, il commença à gigoter des jambes.
Je frappai le haut des fesses, autre zone sensible, puis les cotés et de nouveau le milieu, il haletait mais tenait le coup, j’arrêtai tout d’un coup, je lui dis sèchement
- Debout ! Il se leva et resta les bras ballants, je dis :
- Mains sur la tête tant que je n’annonce pas la fin de la punition ! Il le fit aussitôt.
- Yves viens prendre ma place et fesse-le !
Yves était stupéfait, il hésita mais obéit vite et s’assit où j’étais, Aurélien me regardait avec un regard tout mouillé, implorant, sur un signe de moi il alla s’allonger sur les genoux d’Yves. Ce dernier était embarrassé, il ne savait pas quoi faire, je lui dis :
- Fesse-le et sévèrement, si tu ne le fais pas bien je sors le martinet !
Yves commença alors à le fesser régulièrement, moyennement fort, je sortis le martinet du placard et je le frappai doucement dans mes mains en le regardant :
- Tu vas y tâter Yves si tu ne t’actives pas plus ! Il frappa nettement plus fort, Aurélien recommença à jongler en criant, Yves claqua ses fesses un bon moment, je lui fis signe d’arrêter et dis :
- Debout les gars ! Il se levèrent, et mirent les mains sur la tête.
Je me rassis, je fis signe à Aurélien de venir s’allonger sur mes genoux, il pleurait, il dit :
- Pitié Maître… Mais il se coucha, présentant bien son cul, il était cassé, il était prêt pour une nouvelle raclée, il n’avait jamais reçu une fessée aussi dure, mais il n’avait pas le choix, il devait obéir à ce Maître sévère.
Je posai ma main sur ses fesses, il se tendit un peu mais la claque ne vint pas, au contraire je le caressai doucement en disant :
- Tu as compris la leçon mon garçon ?
- Oh oui Maître… Pardon Maître pitié…
Ma main caressa ses fesses en feu, ça le soulageait, ma main entra dans sa raie, il se laissa faire, quand je caressai sa rondelle, il gémit un peu et son corps répondit à mes caresses, je sentis sur ma cuisse qu’il avait un début d’érection, je dis :
- Tu aimes ça mon gars, tu aimes les filles ou les garçons Aurélien ?
- Maître, pardon pour ma réaction j’aime les filles mais j’ai… J’ai déjà couché avec des garçons Maître et c’est pas mal… Maître !
- Eh bien mon petit Aurélien, tu en as de l’expérience, aller lève-toi maintenant, ta punition est finie ! Il se leva et remit ses mains sur sa tête.
- Baisse tes mains quand la punition est finie !
Apparemment Yves l’avait mis au courant des coutumes du Domaine, car Aurélien se mit à genoux, il prit doucement ma main l’embrassa en disant :
- Pardon Maître, je ne jurerai plus Maître je le promets…
Je lui caressai la tête :
- C’est bien mon garçon, tu es pardonné, mais ne jure plus même hors de ma présence, cela t’évitera les erreurs !
- Oui Maître, merci Maître ! Il était superbe en esclave repentant, je l’amenai vers moi, il posa sa tête sur mes genoux, et resta un moment comme ça, il paraissait tout calme. Il reprit la parole :
- Maître, vous avez été bon avec moi vous m’avez pardonné, pourquoi vous en voulez à Yves Maître ? Tout est de ma faute, Maître, pardonnez lui Maître s’il vous plait !
- Yves viens ici, à coté d’Aurélien !
Yves s’agenouilla, à coté d’Aurélien, il gardait les mains sur la tête, il baissa la tête, je craquai complètement pour mon Yves quand il était comme ça, je n’avais plus vraiment envie de le fesser, ou alors pour faire l’amour avec lui après, je décidai d’être gentil avec lui il l’était tellement avec moi !
- Yves, tu peux remercier Aurélien de son plaidoyer, je te pardonne tu ne seras pas fessé !
Yves s’effondra dans mes bras, je lui dis des mots d’amour dans l’oreille, il me remercia mille fois. Après plusieurs minutes de tendresse avec mes deux esclaves, j’avais particulièrement apprécié l’attitude d’Aurélien envers Yves, je commençai à réellement trouver ce garçon comme une bonne recrue, et j’avais noté que l’amour entre hommes ne le dérangeait pas, j’en profiterai certainement, il était tellement beau gosse ! Je leur demandai de se relever et de s’habiller, ils me quittèrent presque à regret.
Avant son départ je dis à Yves :
- A 16h nous partirons pour le bagne de la route, fais préparer les chevaux et demande trois gardes pour nous accompagner, à tout à l’heure Yves…
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