Après la correction de Pascal, je suis monté à mon bureau avec Tom, qui avait l’air ému par ce qu’il avait vu et entendu.
Dans le bureau, je retrouvai Yves plongé dans le dossier de St Christophe, je l’épluchai avec lui, il était urgent de remplacer le régisseur que j’avais viré la veille. Je recherchai une solution interne. J’avais demandé le matin même, l’envoi d’Arnaud et de deux gardes, pour surveiller le village, et avais ordonné que tous les chefs soient à 14 heures sur la place du village.
Un village comme St Christophe avait à sa tête un régisseur, un homme libre et salarié, il avait sous ses ordres plusieurs chefs (des esclaves promus) qui dirigeaient chacun 40 à 50 esclaves.
Je regardai la liste des chefs, ils avaient entre 23 et 40 ans, ils étaient sept.
Yves, à qui j’avais demandé, de recouper certains points, avait fait la liste des 10 esclaves morts sous le fouet en un an et de quel chef ils dépendaient. Les écarts étaient grands un chef avait eu trois morts dans son équipe, trois chefs n’en avaient eu aucun.
Je regardais les noms et l’age de ces trois derniers, ils avaient 25, 28 et 35 ans.
Celui de 25 ans s’appelait Jérôme, en regardant sa date de naissance (15 jours avant moi) je reconnu mon frère de lait, sa mère m’avait allaité après ma naissance. Comme l’usage le demandait, ma mère ne m’allaitait pas, en plus étant faible, elle n’aurait pas pu, elle était d’ailleurs morte peu après.
Ce Jérôme, fut donc mon tout premier camarade de jeux, on se voyait aussi souvent plus tard, et il regagna St Christophe, je ne l’avais pas revu depuis plus de 10 ans.
En début d’après midi, je partis avec Yves et le garde Thomas, il était d’usage de me faire accompagner d’un garde, j’avais demandé spécialement le beau Thomas !
Nous arrivâmes peu après 14 heures à St Christophe, les 7 chefs étaient alignés, je remarquai immédiatement que 5 d’entre eux avaient un martinet à la ceinture, les fouets avaient vite été remplacés ! Jérôme n’en portait pas. Arnaud et deux gardes étaient à coté.
Je restai sur mon cheval pour mieux les dominer, et leur dis :
- J’ai dû renvoyer votre régisseur hier pour incompétence, sachez que je suis très mécontent de l’état de St Christophe, des récoltes nettement insuffisantes et de la mort de 10 esclaves sous le fouet en un an ! En plus pour des motifs, souvent peu graves, je vais avoir un entretien particulier avec chacun d’entre vous ! Du plus vieux au plus jeune !
Ils étaient tous mal à l’aise, mon ton était très autoritaire, ils commencèrent à avoir peur.
Je m’installai dans la maison du régisseur, les deux esclaves qui le servaient étaient là, ils me saluèrent, ils avaient un regard doux, ils n’étaient pas mécontents d’être débarrassés du régisseur et de son fouet.
Je reçus successivement les différents chefs, il ne dirent pas beaucoup de choses, ils étaient mal à l’aise, la discussion tournait surtout sur le fouet et la paresse des esclaves, des discussions mornes, je me rendis compte qu’ils avaient surtout obéi au régisseur, avec la peur au ventre.
Je rencontrai alors Jérôme, il entra tête baissée, humble, il salua, je me levai et allai vers lui en disant :
- Alors c’est comme ça que tu salues ton frère de lait ! J’ouvris mes bras et lui donnai l’accolade.
- Maître vous vous rappelez de moi ?
- Bien sûr Jérôme, nous avons des liens, comment va ta mère ?
- Assez bien Maître, elle vieillit un peu, depuis que je suis chef, cela va mieux.
- Jérôme, j’ai vu que tes esclaves n’ont jamais été fouettés à mort, pourquoi ?
- Maître, je peux vous parler franchement ?
- Vas-y Jérôme, cela restera entre nous et Yves mon secrétaire qui gardera sa langue, je te le promets !
- Merci Maître, si mes esclaves n’ont pas été fouettés c’est parce que je ne les ai jamais dénoncés Maître, quand ils faisaient une bêtise, on réglait ça entre nous, je n’en parlais pas au régisseur, quelquefois je les corrigeais moi-même. Maître je voulais aussi vous remercier pour Gaby, c’est un de mes hommes, j’étais allé voir le régisseur pour qu’il ne le tue pas, il m’avait renvoyé en me disputant. Quand Gaby est revenu dans l’équipe hier après que vous l’ayez puni avec justice, j’étais heureux, les autres aussi !
- Si Gaby va bien, je suis content, mais Jérôme comment on pourrait améliorer la situation de St Christophe ?
- Mais Maître en nourrissant correctement tout le monde, comment voulez vous travailler correctement avec la faim au ventre, et la peur constante du fouet, ils sont presque tous désespérés, aujourd’hui maintenant que le régisseur est parti, ils sont plus détendus, ils ont bien travaillé !
- Eh bien Jérôme, tu es franc et direct, c’est très bien, je t’en remercie. Est-ce que tu veux devenir le chef du village pour remplacer le régisseur ?
- Moi Maître, chef du village ! Vous pensez que je peux faire ça ? Si c’est pour fouetter les esclaves, non Maître, si c’est pour améliorer les choses, oh oui Maître, mais il faudra m’aider Maître !
- Donc Jérôme j’annoncerai, plus tard ta nomination, tu viendras au Château demain pour voir Yves et voir avec lui comment tu travailleras, Jérôme, avant que je reparte, tu me conduiras à ta mère.
- Maître elle sera tellement heureuse ! Maître j’ai un peu peur de cette nouvelle tâche, j’aurai peut-être besoin d’aide, mais Maître merci de votre confiance !
Il s’agenouilla pour m’embrasser la main, je le relevai et lui dis :
- Il y aura du travail mon ‘frère’ alors courage, et n’hésite pas à demander conseil !
Je le serrai dans mes bras, et il partit.
Le dernier des chefs que je reçu était le plus jeune, 23 ans, c’est lui qui avait eu trois esclaves morts, récemment. Il entra, un beau gosse fier, un lourd martinet à la ceinture, il salua raide.
- Ton nom et âge ?
- Grégoire, 23 ans Maître, chef depuis deux ans Maître ! Dit-il sèchement.
- Grégoire, trois des esclaves dont tu as la charge sont morts pourquoi ?
- Ils étaient fautifs Maître, ils devaient être fouettés, j’ai suggéré 100 coups de fouet, et le régisseur a fait appliquer la punition, ce n’est pas de ma faute s’ils sont morts Maître !
- Un a été condamné pour insolence, qu’est-ce qu’il avait fait ?
- Il avait osé me dire qu’il avait faim Maître !
- Un autre pour ‘avoir perdu une récolte’ pourquoi ?
- Il a renversé un panier de pommes, la moitié du panier a été perdue !
- Et ça mérite la mort ça ?
- 100 coups de fouet oui Maître ! La mort s’il ne résiste pas !
- Et toi esclave, tu mérites quoi pour avoir assassiné trois de tes confrères ? Dis-je d’un ton très froid, et sec.
Grégoire blanchit, il perdit rapidement son assurance et bredouilla :
- Maître… Je ne les ai pas assassinés… Maître… J’ai… J’ai suivi les ordres… Maître… Si on ne les fouette pas… Maître… On n’arrive à rien Maître !
- Silence sale esclave ! Tu n’es plus chef, tu retourneras aux champs, dès ce soir après avoir été fouetté, retourne dehors avec les autres chefs, mais mets-toi à genoux !
- Mais… Maître…
Je lui envoyai une vive paire de claques, il ne s’y attendait pas, je lui montrai la porte il sortit.
Yves était blanc, Thomas était un peu gêné.
- Bon sortons maintenant !
Dehors sous le soleil, les sept chefs étaient alignés, Grégoire s’était agenouillé à la surprise des autres, il était tête baissée, n’osant pas regarder ses collègues.
- Jérôme, un pas en avant !
Je fis alors une déclaration où j’exprimais mon dégoût des méthodes employées, je fis part de la nomination de Jérôme comme Chef du village, et qu’ils lui devaient maintenant tous obéissance, Il baissèrent un peu la tête.
Mon ton devint plus sec en parlant de Grégoire :
- Cet esclave à été cruel et a fait condamné à mort trois de ses semblables, il n’est dons plus chef, il redevient esclave de base, en punition de ses actes, je serai clément, il va recevoir sur le champ 100 coups de strap ! Attachez-le au pieu des punitions !
Les deux gardes qui étaient avec Arnaud vinrent, ils s’emparèrent de Grégoire, le déshabillèrent et l’attachèrent aux deux anneaux en haut du pieu, son corps était bien tendu, et bien exposé pour le fouet ! En plus, il était beau ce salaud !
Je demandais doucement à Arnaud de le punir, lui demandant si ça ne l’embêtait pas, il dit qu’il était à mes ordres. Je lui demandai alors de prendre une longue strap et d’être sévère !
Je dispensai le puni du comptage, je n’avais pas envie d’entendre 100 fois ses remerciements, je voulais qu’il hurle et c’est tout !
Sur un signe de ma tête, Arnaud souleva la lourde strap et l’abattit sur les fesses du puni, après un claquement bien sonore, on entendit un cri, la peau se teinta vite en rouge avec des zones plus foncées, une suite de coups tomba rapidement et fortement sur le dos et sur les fesses, le puni hurlait maintenant à chaque coup.
Arnaud fouettait durement sérieusement, la strap paraissait légère pour lui et avec sa force considérable, chaque coup claquait fortement le corps bien exposé, provoquant un hurlement et une secousse vive de tout son corps.
Le puni devenait bien rouge, la strap tapait partout, sur les fesses, les cuisses, le dos, les épaules, les reins, il hurlait maintenant de façon presque continue, alors qu’on en était toujours pas aux 50 coups, où une pause était prévue, un garde devant donner le signal de fin.
Arnaud accéléra le mouvement, les coups claquaient le corps du puni ne pouvait plus suivre il se cabra, les belles fesses de Grégoire étaient cramoisies, son dos plein de marques rouge vif.
Le garde leva la main, Arnaud stoppa, le puni s’écroula pendu aux anneaux, il haletait fortement râlait doucement.
Grégoire ne comprenait pas ce qui lui arrivait, ce matin encore, il se promenait dans les champs, le martinet à la main, il regrettait un peu le fouet d’avant mais les esclaves le craignaient toujours autant, il en avait fouetté un il ne savait plus trop pourquoi, pour un regard pas assez humble, le martinet avait claqué le dos et les fesses de l’esclave, il était fier d’être chef, et respecté. Il commençait à se rendre compte qu’il avait déplu au nouveau Maître, et il était là pendu aux anneaux comme tant d’esclaves avant lui, il était nu, son dos et ses fesses brûlaient horriblement, chaque coup se répercutait, irradiait dans toutes ses fesses, tout son dos. Le pire c’est qu’il redevenait esclave haï de tous, même de son Maître. Et Jérôme de qui il s’était souvent moqué, devenait le chef du village comme le régisseur, oh il aurait voulu disparaître, en plus il voyait au bout de la place un rassemblement d’esclaves qui venaient voir ce qu’il se passait, il pouvaient le voir, lui, nu, fouetté par un garde, et il n’était qu’à la moitié de sa punition…
Sur un signe de ma part la correction reprit, le puni comme perdu dans ses pensées fut surpris il se cabra et hurla après un claquement bien sonore. La strap reprit sa danse, avec un rythme saccadé, ne laissant aucun moment de repos au puni, elle s’acharnait sur les épaules et surtout les fesses, elle pénétra dans la raie des fesses, bien ouvertes par la position du puni. Là le puni hurla encore plus fort avec une voix déchirée, plusieurs coups furent assénés là, le corps se cabrait violement en tirant sur les anneaux.
L’ex-chef était réduit à un corps hurlant sous le fouet, le esclaves attirés par le bruit, regardaient bouche bée, ce Grégoire, ce sale petit chef, il avait enfin son compte, c’était pas trop tôt, il se réjouissaient de ses cris et de le voir danser sous le fouet, il pensaient à leurs proches morts à cette même place…
Les derniers coups furent très violents, le puni n’était plus qu’une plainte, ce sont ses fesses qui encaissèrent les derniers coups, il eut l’impression que ses fesses allaient éclater, se déchirer.
Le garde leva la main, Arnaud arrêta, me regarda, je fis signe que c’était fini, il se recula. Je pris alors la parole.
- Desserrez, les anneaux, et qu’il reste attaché au pieu jusqu’à ce soir, après une nuit au cachot, il reprendra le travail dès demain !
Je demandai alors à Jérôme de m’accompagner chez sa mère, ce furent des retrouvailles émouvantes, la brave Nounou était contente de voir que son ‘petit’ Maître venait la voir et l’embrasser, elle était ravie, en plus elle apprit que son fils devenait chef du village, elle en pleura de joie…
Je rentai au Château avec Yves et tous les gardes, après avoir fait une brève réunion avec les chefs et donné des consignes très strictes sur la conduite à avoir avec les esclaves et la nourriture. Ils acquiescèrent en baissant la tête la punition de leur collègue les avait secoués. En sortant j’eus juste un regard pour le puni affalé au pied du pieu.
Cette journée était très chaude, en passant vers la plage, je lançais :
- Ça ne vous dirait pas à tous une petite baignade ? »
- Oh oui Maître ! Dirent-ils presque d’une même voix !
Nous allâmes sur la plage, tout le monde se déshabilla eux complètement nus, moi en caleçon, Yves paraissait gêné.
- Eh bien Yves, tu ne viens pas ?
- Maître je ne sais pas nager, j’ai un peu peur…
- Viens ça ne descend pas trop vite, tu ne risques rien, en plus avec tous les gardes !
- On va te surveiller, n’aies pas peur ! Dit Arnaud.
Yves se mit nu et descendit vers l’eau, il y entra doucement, il était magnifique vu de dos allant dans l’eau…
Nous passâmes tous un très bon moment de détente, faisant des petites courses à la nage, s’amusant comme des gamins, après un moment d’hésitation, les gardes, n’hésitèrent plus à m’éclabousser, à plonger avec moi, sans gêne, ils commençaient à me connaître.
Après pas mal d’hésitations, Yves s’amusa avec nous aussi, en restant où il avait pied, il glissa, but la tasse, mais Thomas qui était proche de lui l’attrapa et lui maintint la tête hors de l’eau et il le souleva et le déposa où ils avaient de l’eau jusqu’au genoux, Yves toussa un peu, Thomas était près de lui. Je regardai la scène amusé, ils étaient superbes tous les deux nus, lequel était le plus beau ?
Après un moment sur la berge, où nous étions un peu séchés au soleil, on se rhabilla, je dû me mettre nu à mon tour pour enlever mon caleçon mouillé et mettre mon pantalon, ils regardèrent ailleurs, sauf Yves qui n’y fit pas attention il me connaissait sous toutes les coutures.
Au retour au Château, après un passage aux écuries où Angelo nous accueillit gentiment, me disant au passage qu’il pourrait venir me voir avec Rose quand je le voudrais pour parler de son mariage, je lui dit alors qu’ils viennent le lendemain matin.
Arrivé au salon Tom était là, je lui fis la bise, il me dit :
- Maître Jojo voulait vous voir, il m’a dit qu’il y avait eu une bagarre aux cuisines, il était embêté.
- Merci Tom, sers moi un whisky, et vas chercher Jojo, j’aurais aimé un peu de calme !
Jojo entra avec Tom.
- Alors Jojo, c’est quoi cette bagarre ?
- Maître c’est Greg et un autre cuisinier Adam ils se sont disputés, et ils ont fini par se donner des claques, ils seraient peut-être allés plus loin si je n’étais pas intervenu.
- Jojo tu sais que se battre est une faute très grave, tes deux jeunes, risquent le fouet, qu’est-ce que tu en penses ?
- Maître, je suis gêné, c’est deux bons gars, ils travaillent bien, je voudrais les garder, mais je ne pouvais pas ne pas vous en parler Maître, c’est pourquoi, je suis là Maître, mais je ne veux pas les voir sous le fouet au milieu de la cour !
- Alors on fait quoi Jojo ?
- Maître, je ne sais pas… Ils sont jeunes Maître… Il leur faudrait une bonne correction… Mais peut-être un bon sermon… Maître… Mais pas le fouet, ils sont stupides mais pas méchants. »
- Tu préfèrerais que je les engueule un bon coup, et que je les punisse ?
- Maître, si vous le pouviez, ça serait plus marquant pour eux !
- D’accord, vas me les chercher, mais garde ton calme quand je les verrai, ils recevront une correction au martinet en final !
- Merci Maître, vous avez raison, il faut leur faire peur et les punir, mais je veux les garder, c’est des bons petits gars.
- C’est bien Jojo, amène-les dans mon bureau !
Deux minutes après Jojo était dans mon bureau avec ses deux jeunes, Greg que je connaissais depuis ma visite à St Christophe et Adam que je connaissais de vue.
Je pris un ton très sec et leur dis :
- Esclaves déshabillez-vous, mains sur la tête, jambes écartées !
Les deux garçons s’exécutèrent rapidement ils avaient un regard inquiets. Je sortis une cravache de mon bureau, et passai derrière eux, je voyais deux belles paires de fesses, bien rondes, ils étaient tous les deux pas mal foutus, leurs sexes de taille moyenne, les fesses écartées montraient une intimité bien désirable.
Je leur caressai les fesses avec la cravache, allant caresser aussi leur raie des fesses avec le bout de la cravache, je dis d’un ton très sec :
- Alors on se bat les garçons ?
Aucun des deux ne répondit, je donnai un coup de cravache sur chaque paire de fesses, une trace rose apparut. Je dis sur un ton très sévère :
- Quand je pose une question je veux une réponse immédiate ! Greg ?
- Maître, je l’ai frappé, il m’avait injurié Maître.
- Et toi Adam ?
- Maître, il m’a donné des claques !
- Je sais Adam, ne te fous pas de moi ! Il reçut un 2ème coup de cravache.
- Tu lui avais dit quoi ?
- Pas grand-chose Maître, je ne sais plus !
- Tu te fous encore de moi Adam ! 3ème coup de cravache plus dur.
- Tu veux passer dans la chambre des tortures pour t’en rappeler ?
- Non Maître pitié, je me suis moqué de lui, je lui ai dit qu’il était un campagnard...
- C’est ça Greg ?
- Maître il m’a dit que j’étais un connard de ma campagne, et que je pouvais y retourner !
- C’est ça Adam ?
- Oui Maître, je lui ai dit ça parce qu’il faisait le malin Maître.
- Tu disais quoi Greg ?
- Que les filles de la campagne étaient plus belles qu’au Château Maître !
Je repassai devant eux, et m’assis sur le bureau devant eux. J’attendis une minute, les regardant, ils étaient beaux, ils tremblaient un peu. Je dis sévèrement :
- Esclaves vous connaissez la punition pour les bagarreurs, le fouet, attaché au pieu dans la cour, 60 coups au minimum…
Ils baissèrent la tête.
- Greg, je suis très déçu par toi, je t’ai ramené de St Christophe, tu paraissais gentil, mais je découvre un esclave violent, je ne veux plus de toi ici, tu seras muté dans un village après avoir été fouetté !
Greg était effondré, il se mit à genoux, chercha à prendre ma main pour l’embrasser, je lui refusai et lui donnai une gifle. Il commença à pleurer.
- Adam, tu es un vrai gamin, tu provoques bêtement un esclave nouvellement arrivé, tu as provoqué son geste donc tu seras fouetté pareil, 60 coups dans la cour, publiquement…
Adam tomba à genoux en murmurant :
- Pardon… Maître… Pitié !
Greg pleurait toujours, il sanglotait, je dis :
- C’est bien de chialer comme un gosse maintenant, il fallait réfléchir avant !
Je déclarai solennellement :
La punition sera appliquée demain matin, qu’ils passent la nuit au cachot, dans des cachots séparés !
J’appelai le garde de service, qui emmena les deux garçons terrorisés.
Je regardai Jojo et lui dis :
- Demain matin on les remontra, je les sermonnerai et je leur donnerai le martinet, ils comprendront j’espère !
- Oui Maître, surtout après une nuit au cachot en attendant le fouet !
- Jojo tu veux garder Greg ?
- J’aimerais Maître, c’est un bon gars !
- Bien mais s’il recommence, il repartira à la campagne ! A demain Jojo !
Il me salua et partit.
Au salon je retrouvai Tom et Yves, il fallait que je me défoule sexuellement, je ne savais pas lequel choisir, alors je me dis qu’avec les deux ce ne serait pas mal, je les pris les deux dans mes bras, je les caressai doucement, Yves me caressa le premier, Tom ensuite, je les emmenai dans ma chambre, ils se déshabillèrent, et se mirent à deux pour me dévêtir doucement sensuellement , quand nous fûmes les trois nus, nos corps s’emmêlèrent, l’un me suçai l’autre m’embrassai, Yves me lécha de partout, j’écartai les cuisses, Yves y alla tout de suite, il attaqua avec sa bouche, la langue s’insinuait partout, mon sexe devenait énorme.
Je mis Tom à genoux, il se cabra en présentant son cul, comment ne pas avoir envie de s’introduire dans un endroit aussi beau, entre des fesses superbes !, Je le pénétrai doucement, il s’ouvrit bien, confiant, je le limai doucement mon sexe allait éclater, je ressortis du cul de Tom pour m’attaquer à celui d’Yves, j’y entrai plus rapidement, Yves grogna de plaisir, je fis de violents allers et retours, mon plaisir monta et j’éjaculai dans Yves, en prenant la bouche de Tom, Yves éjacula sur le lit, je branlai Tom il se répandit rapidement et envoyant son sperme sur Yves. Tom essuya rapidement les débordements et nous restâmes un bon moment dans les bras des uns et des autres, dans un moment de grande tendresse, le Maître avec ses deux favoris, ensemble, biens…
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