Le Domaine de Saint Christophe 09 – La Punition de Tom et Yves

Après un bon repas à midi, je me rendis à mon bureau pour examiner des dossiers. A 14 heures on frappa, Tom et Yves entrèrent, c’était en effet l’heure fixée pour leur punition.

Ils se tenaient tous les deux tête basse. Je pris la parole :

- Les garçons vous êtes ici pour être punis suite à la faute de Tom, je vais donner 40 coups de strap à Tom et ensuite 30 coups de martinet à Yves !

Yves baissa un peu plus la tête, mais à ma surprise Tom dit :

- Maître je suis le seul fautif, Yves n’a pas mérité de punition…

- Silence, Tom on ne discute pas mes ordres !

Tom se tut, je lui fis signe d’avancer :

- Tom vas chercher la strap et le martinet dans le placard !

Il ouvrit le placard, prit le martinet, un modèle ancien lourd, et comme il y avait deux straps, une longue et une plus courte, il hésita. Voyant son hésitation, je dis :

- Laquelle mérites-tu Tom ?

- Je ne sais pas Maître… Celle… Celle là… En montrant la plus longue.

- Non prends l’autre !

Il me tendit les deux instruments avec un regard doux, soumis, je dis un peu durement :

- Pose ça sur le bureau, maintenant déshabillez-vous !

Ils enlevèrent leurs vêtements, rapidement. Je dis à Yves :

- Vas dans le coin là, mains sur la tête, face par ici pour voir la correction de ton élève !

- Oui Maître… Et il prit place.

- Tom en position !

Tom s’avança vers le bureau et prit parfaitement la position les coudes sur le bureau, jambes écartées et cul bien cambré.

- Tom tu comptes les coups !

- Oui Maître… Dit-il d’une toute petite voix, apparemment il avait peur.

Je pris la strap et frappai les fesses de Tom modérément.

- Ahhh, Un Maître… Merci Maître !

Un deuxième coup plus fort tomba à la base de ses fesses.

- Aiiiiieee, Deux Maître, merci Maître ! Son corps s’était tendu sous le coup !

Les coups suivants tombèrent réguliers, chaque coup imprimait une trace rouge sur les belles fesses de Tom, il criait à chaque coup mais courageusement il gardait la position impeccable en esclave soumis.

- Rhhaaaa, Dix Maître, Merci Maître !

Les dix coups suivants furent rapides, Tom avait à peine le temps de compter les coups.

Le vingtième fut assez dur.

- Rhhhhaaaaaa….. Oh Maître… Il s’effondra sur le bureau en râlant.

- Tom en position ! Et le compte ?

Tom reprit difficilement la position et dit d’une voix rauque :

- Pardon Maître….Vingt Maître…merci Maître…

Je fis une brève pause, changeai de coté pour équilibrer les coups sur les deux fesses. Je contemplai mon travail, les fesses de Tom étaient bien rouges, avec les bords carré des marques, bien caractéristiques de la strap. J’avais bien fait attention à ne pas abîmer la peau de Tom, ses fesses étaient trop belles…

Et la punition reprit, la strap cinglait, claquait les fesses de Tom, et même si je n’y mettais pas toute ma force, la douleur de Tom était visible, il criait maintenant à chaque coup, de nouveau par deux fois il s’écroula, perdant le compte, mais je ne lui en tins pas rigueur, il encaissait plutôt bien la correction.

- Ahhhhhhh, aiiieeeee Trente-deux Maître, oh Maître !… Merci Maître !

Les derniers coups plus durs et rapides, firent sursauter Tom à chaque fois, sa voix était cassée rauque !

- Rhhhaaaaa… Quarante… Maître… Merci… Maître !

Il était toujours en position, le front sur le bureau, haletant pleurant. Je dis alors :

- Debout Tom !

A ma grande surprise il dit alors :

- Non Maître, donnez moi la punition d’Yves, il ne doit pas être fouetté Maître, vous êtes injuste ! Je suis le seul fautif Maître fouettez moi encore !

Je regardai Yves il semblait très étonné, il me fit non de la tête, se rendant compte de la gravité des mots de Tom.

- Tom, tu es un insolent ! Je t’ai déjà dis qu’on ne discute pas mes ordres, et tu oses dire que je suis injuste ! Et me tournant vers Yves :

- Bravo Yves ! Belle éducation, un esclave qui insulte son Maître !

Yves baissa la tête, il était confus, se demandant s’il devait intervenir ou pas, l’attitude de Tom était grave ! Mais son attitude franche ne me déplaisait pas tant, j’avais deux alternatives, ou fouetter durement Tom et Yves ou faire comprendre à Tom qu’il allait trop loin…

- Tom à mes pieds !

Tom se releva difficilement il vint vers moi, la figure pleine de larmes, il s’agenouilla et prosterna sa tête devant mes pieds, je voyais son beau dos et ses fesses bien rouges, le fouetter plus pourrait déchirer sa peau, c’est ce que je voulais éviter, ma colère faiblissait à la vue de ce beau corps offert à ma punition !

- Alors Tom je suis injuste ?

- Maître… Pardon… Vous êtes juste Maître… Je ne suis plus digne d’être votre serviteur… Je ne voulais pas dire ça Maître… Mais Yves… Maître…

- Je châtie Yves quand je le veux, tu n’as rien à dire !

- Oui Maître, pardon Maître… Oh Maître, je ne voulais pas vous insulter Maître…

- Tu l’as quand même fait ! Tu recevras une punition supplémentaire après celle d’Yves ! A genoux mains sur la tête, face au mur !

Je le fis mettre à genoux à coté d’Yves, les mains sur la tête, je savais bien qu’il n’avait qu’une hâte c’était de toucher ses fesses, mais c’était interdit !

- Yves debout et en position !

Yves se mis parfaitement en position. Je déclarai alors :

- Yves pour toi 30 coups de martinet ! Estime-toi heureux que je ne te donne pas 40 coups de strap suite à l’insolence de Tom !

- Merci Maître, pardon Maître si Tom n’est pas parfait, mais il est encore jeune… Je l’éduquerai mieux Maître !

- Oui tus as intérêt à utiliser le martinet si tu ne veux pas te retrouver dans cette position !

- Oui Maître !

- Aller Yves, à nous deux ! Je ne pus m’empêcher de m’approcher de lui, de lui caresser les fesses et le bas du dos, il émit un soupir, je lui donnai deux petites claques sur les fesses, et lui murmurai à l’oreille :

- Courage mon garçon…

Je pris le martinet, l’agitai un peu pour dénouer les lanières et commençai à fouetter Yves ! Le martinet frappait durement même si je dosai mes coups, Yves ne méritais pas une forte correction, ce principe de corriger l’éducateur étant plus destinée à faire réfléchir l’élève ! Mais la correction d’Yves ne fut pas une partie de plaisir pour lui, chaque coup lui arrachait un gémissement ! Le martinet faisait des marques fines rose foncé…

Il comptait et remerciait correctement, ses fesses devinrent de plus en plus rouges, il râlait constamment maintenant, il endurait courageusement sa punition.

- Ahhhhhh… Trente… Maître, merci Maître ! Sa voix était haletante.

Je jetai le martinet sur le bureau et dis :

- Debout Yves ! Il se releva doucement, mit ses mains sur la tête, je vis une larme perler sur sa joue.

Je m’assis alors sur le bureau juste en face d’Yves, il me regarda les yeux tout embués, son regard était très tendre, soumis. Complètement ému, je lui pris la taille et le tirai vers moi, il vint entre mes jambes, je posai immédiatement mes mains sur ses fesses, et commençai à le caresser et le masser. Il approcha sa tête de mon épaule, d’une main je lui pris la nuque pour lui poser sa tête sur moi, il se plaqua alors à mon corps en disant

- Oh Maître… Merci… Je sentais ses larmes couler sur mon dos. Il pleurait après ces moments de tension… Je continuai à lui masser ses fesses…

- Éduque mieux ton élève mon Yves !

Je le serrai dans mes bras, toujours en caressant ses fesses, je lui dis à l’oreille :

- Qu’est-ce qu’on fait de Tom ?

Yves releva sa tête, regarda Tom à genoux dans son coin, les fesses bien rouges et dit :

- Maître, il a été fouetté, je crois qu’il a compris, mais vous avez parlé d’une punition supplémentaire Maître, ne soyez pas trop dur Maître…

- Ce sera à toi de le punir, tu vas lui donner une bonne fessée !

- Maintenant Maître ? Après la strap ?

- Oui, ses fesses sont sensibles mais fesse-le correctement quand même !

- Bien Maître !

- Tom ici ! Dis-je d’un ton très autoritaire.

Tom se leva, il titubait, les mains sur sa tête, il se plaça devant moi, tête basse, yeux tout rouges.

- Tu es fier de toi Tom ? A 18 ans être insolent comme un sale gosse ! Par ta faute Yves a été puni, c’est ce que tu voulais ? Pour ton insolence à la fin de ta punition, Yves va te fesser !

- Maître je vous demande pardon pour mon insolence, pardon aussi à Yves qui a été fouetté à cause de moi ! Je suis à vos ordres Maître et Yves…

- Yves assied-toi sur cette chaise et Tom vas sur les genoux d’Yves, et dis-toi que j’aurais pu être beaucoup plus sévère avec toi ! Me traiter d’injuste est proche de la rébellion alors ne recommence pas !

Avant d’aller se coucher sur les genoux d’Yves, qui venait de s’asseoir sans éviter une grimace, Tom s’agenouilla devant moi et embrassa ma main, je le laissai faire et lui montrai Yves. Il s’y rendit, se coucha sur ses genoux, cambra ses fesses, écarta les jambes et attendit.

Les deux étaient nus, le bel Yves tendu, le jeune Tom avec ses fesses rouges qui offrait ses fesses pour la punition, tout cela fit monter le désir en moi, je me repris et dis :

- Yves fesse cet insolent sans pitié, tu as été fouetté par sa faute, corrige-le bien qu’il ne recommence pas et si tu es trop faible je reprends le martinet !

- A vos ordres Maître !

Et Yves commença la fessée, avec application, il savait comment faire, il était suffisamment passé sur mes genoux ! Au début il le fessa modérément, j’allais le sermonner quand il accentua sa force. Tom se mit à gémir, mais une fessée sur un derrière déjà fouetté et bien rouge, ça accentuait la douleur. Et Tom se soumettait totalement, il avait honte de sa réaction et surtout du fait qu’Yves ait été fouetté, il encaissait cette punition donnée par Yves comme une chose normale, mais il fallait qu’il résiste, malgré les claques cuisantes qui ravivaient les douleurs de la strap ! Il pleurait, c’était une manière d’évacuer sa honte, il se saisit des chevilles d’Yves, comme pour le supplier, mais Yves claquait toujours les fesses devant lui, comme il était assis la douleur infligée par le martinet remontait dans ses fesses, et il savait à qui il devait ça ! Après 10 mn de fessée il arrêta et me regarda interrogatif.

- Continue Yves, il le mérite, tu aurais dû plus le fesser ou le fouetter, on n’en serait pas là !

Yves reprit la punition, encore 5 mn à un rythme soutenu, Tom pleurait, râlait, ses fesses étaient de plus en plus rouges, Yves s’attaquait à des zones non touchées par la strap ! Après 10 mn Tom était effondré sur les genoux d’Yves, il gémissait en continu, sursautant à chaque coup, pendant ces 20 mn il n’avait pas cherché à protéger ses fesses ni demandé la fin de la punition, Tom était un garçon bien soumis, très obéissant quand il ne se rebiffait pas…

Je fis un signe à Yves qui s’arrêta aussitôt, il me regarda interrogatif.

- C’est bien Yves arrête ! J’espère que Tom a compris ! Tom relève toi et viens vers moi ! J’étais assis sur mon bureau.

Tom se releva difficilement, il pleurait, il regarda Yves et vint vers moi, se jetant à mes genoux en essayant de dire quelque chose qui fut étouffé dans les sanglots !

Je l’attirai vers moi, il se blottit contre moi, comme à son habitude, comme un petit garçon, je posai mes mains sur ses fesses et les caressai doucement, Tom sentit un soulagement qu’il exprima dans un soupir

- Oh Maître… Pardon… Pardon…

Je fis signe à Yves de nous rejoindre, et je me retrouvai avec mes deux esclaves préférés dans mes bras, ils s’abandonnèrent à mes caresses sur leurs fesses, Tom pleurait doucement, Yves me fit quelques baisers dans le cou…

Je pris la parole :

- Yves à l’avenir sois plus ferme avec ton élève, n’hésite pas à le fesser souvent, à chaque erreur, n’est-ce pas Tom ?

- Oh Maître, je ne serai plus insolent, je veux être un bon serviteur Maître !

- On verra Tom, bon la punition est finie, Tom tu reprends ton service ce soir !

- Oui Maître, merci Maître…


J’avais besoin de me détendre après ce moment de tension, dans ce cas là rien de tel qu’une bonne chevauchée à cheval, je descendis donc aux écuries, Ben était en train de nettoyer un box, Benoît vint vers moi :

- Benoît fais préparer Étendard, je vais faire un tour, comment ça sa passe aux écuries ?

- Pas de problèmes Maître, Angelo est heureux comme j’ai rarement vu un esclave heureux, et c’est un peu communicatif dans l’équipe, tout va bien Maître !

- Et toi petit Benoît ?

- Oh Maître, après l’autre nuit, je n’attends qu’un appel de votre part…

- Eh pas tous les soirs Benoît ! Dis-je en riant, il sourit et dit :

- Je suis totalement à vous Maître !

Il appela Angelo, qui accourut, en me voyant Angelo eut un sourire et un regard, très affectueux, je lui demandai :

- Alors Angelo, qu’as-tu décidé avec Rose ?

- Maître, avec votre autorisation, nous aimerions nous marier. Dit-il avec un grand sérieux.

- C’est bien Angelo, bien sûr que vous l’avez mon autorisation, venez me voir dès que Rose sera debout, en attendant prépare Étendard pour une bonne course !

- Tout de suite Maître, oh merci Maître ! Et il fila vers le box d'Étendard.


Je fis une longue promenade dans la campagne, mon domaine était plutôt bien tenu, mais les récoltes paraissaient pauvres, les esclaves dans les champs avaient l’air misérable, ils me saluaient bien bas, mais on pouvait lire de la détresse dans leurs yeux. Il était temps que je m’intéresse à ma campagne, et à mes paysans, la terre était riche, la saison n’était pas mauvaise, les cultures auraient dû être bien meilleures !

Je rentrai dans mes appartements, Yves était là, je lui demandai :

- Ça va ?

- Ça brûle un peu Maître !

Je lui demandai d’aller chercher la pommade calmante, il revint avec un pot de crème, il ne savait pas quoi en faire, je tendis la main et il me la donna. Je dis en riant :

- Yves, cul nu et en position sur mes genoux pour une bonne fessée !

- Il sourit enleva son short et prit la position traditionnelle. Je pommadai généreusement ses fesses rouges, un doigt s’insérait de temps en temps dans sa raie, il gémissait. J’avais du plaisir à soigner les fesses de mon Yves, sa peau était douce, le martinet avait bien marqué ses fesses mais ne les avait pas blessées. Après une bonne séance de caresses et pommadage, je le fis se lever, et je dis :

- Où est Tom que je lui inflige le même traitement ?

- Il est dans sa chambre Maître, je l’ai autorisé à reposer ses fesses !

- Tu as bien fais Yves, j’y vais !

J’entrai dans la chambre de Tom et Yves, Tom était sur son lit, nu couché sur le ventre, il s’était assoupi, je le regardai un bon moment, c’était vraiment un beau garçon, mais bien sûr c’était ses fesses qui attiraient mon attention, elles étaient d’un rouge vif, il avait reçu une forte dérouillée mon Tom !.

Je posai ma main sur son dos, il se réveilla, me vit, il voulut se relever, mais je l’en empêchai, je lui montrai la pommade :

- Aller Tom séance pommade ! Il se remit sur le lit présentant bien ses fesses :

- Merci Maître… Je le pommadai doucement ; toute la surface des fesses et du haut des jambes était rouge. Je pris la parole :

- Tom j’espère que je ne devrai plus te traiter comme ça à nouveau, ne recommence jamais à être insolent Tom, tu sais que c’est une des fautes les plus graves pour un esclave !

- Oh Maître, encore pardon, je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça, je ne voulais pas qu’Yves soit fouetté, il est gentil avec moi, mais ce n’est pas à moi à décider, c’est à vous Maître !

Je le caressai toujours pour appliquer la pommade, mon doigt s’insinua vers son cul, je commençai à le doigter doucement, son anus était serré, mais souple, il n’avait sans doute jamais été défloré, il gémissait doucement en étant doigté…

- Tu n’as jamais été enculé mon garçon ?

- Non Maître, mon ancien Chef n’était pas porté la dessus, mais Maître, si… Si… Vous le… Voulez, je suis à vous…

J’étais surpris par sa déclaration, je dis :

- Tu es prêt à donner ton cul à ton Maître, petit Tom ?

- Oui Maître, je ne sais pas comment dire Maître, j’aime quand vous me touchez, j’aimerais être à vous complètement Maître, comme Yves, Maître, je… Je… Je… Ses mots restèrent bloqués, je le pris dans mes bras…

- Tu quoi, Tom ?

- Je n’ose pas le dire Maître… Je vous aime Maître…

Je pris sa bouche dans un long baiser, il répondit à mon baiser passionnément avec vigueur.

- Petit Tom tu seras à moi bientôt, pas ce soir, tu dois te reposer, mais j’ai envie de toi, petit, tu es un gentil serviteur !

Nous nous embrassâmes de nouveau, Tom se serrait contre moi, j’étais surpris de sa réaction, il venait d’endurer une bonne punition mais il se blottissait contre son fouetteur, en lui déclarant son amour.

Mais pour Tom, c’était plus simple, il avait fauté, il a été fouetté, il l’avait mérité, il savait que s’il n’avait pas fait de bêtises, il n’aurait pas été puni, alors il s’en remettait corps et âme, à son Maître, et ce Maître il l’aimait, il en rêvait souvent, il enviait Yves et Benoît, de passer la nuit entière avec lui, dans ses bras, et se faire pénétrer, avec un doigt, c’était tellement agréable, alors avec le membre de son Maître, c’était sûrement plus dur, mais d’autres le faisaient, alors lui Tom il y arriverait et il avait tellement confiance en ce Maître…