lundi 24 août 2009

Le Domaine de Saint Christophe 08 – La dégradation d’Antoine

Je me réveillai dans les bras de Benoît, il devait être réveillé depuis un moment mais n’osait pas bouger de peur de me réveiller. Je lui fis un sourire.

- Bonjour mon Benoît ! Il prit ma main en l’embrassant.

- Bonjour mon Maître, oh Maître comme je vous aime ! J’ai passé la plus belle nuit de ma vie… Maître !

Je pris sa tête de ma main et l’amena vers la mienne pour l’embrasser sur la bouche, il semblait tellement heureux !

- Maître, je dois retourner aux écuries, pour le travail !

- Bien sûr mon Benoît travaille bien ! Je l’embrassai et lui donnai une petite claque sur ses fesses. Il partit en souriant.

Je me levai, enfilai un peignoir et me rendis à la salle à manger. Tom et Yves étaient là debout, en attente, prêts pour le petit déjeuner, ils me saluèrent d’un signe de tête.

Je m’installai à la table

- On ne dit pas bonjour mieux que ça les garçons ?

Yves resta debout et dit :

- Bonjour Maître !

Tom s’agenouilla baisa ma main et dit :

- Bonjour mon Maître ! Je passai alors ma main dans ses cheveux.

Tom entreprit de me servir le café avec une belle cafetière en porcelaine. Il commença mais se mit à trembler, on courrait à la catastrophe.

- Tom pose cette cafetière sur la table ! Il le fit aussitôt, il était en pleine déconfiture.

- Je… Je… N’y… Arriverai pas… Maître… Comme il était proche de moi je mis ma main sur ses fesses, puis je le pris par la taille et lui dis :

- Aller Petit Tom, continue à me servir, aies confiance en toi, mon garçon ! Il reprit son travail cette fois sans problèmes, le fait d’être tenu par moi, le libérait, il n’était plus tout seul…

Après le petit déjeuner, je leur dis :

- N’oubliez pas les garçons que nous avons une formalité à remplir en début d’après midi, soyez dans mon bureau à 2 heures !

Ils baissèrent la tête et dirent ensemble :

- Oui Maître…

- Bien Tom viens m’aider à ma toilette, après j’irai régler le problème des gardes, à propos Yves, tu penses quoi d’Alex ?

- Alex Maître ? C’est un bon Garde, assez discret, vous voulez le nommer chef ? Ce serait bien pour lui !

- Et toi Tom tu en penses quoi ?

- Oh Maître je ne sais pas… Alex il n’est pas méchant… Il a déjà été chargé de fouetter des esclaves… Il n’aimait pas ça…

- Vous savez tous les deux comment Antoine punissait ses gardes ?

- Non Maître, mais je sens que les gardes ne veulent rien dire… Dit Yves.

- Et toi Tom ?

- Maître on dit beaucoup de choses…

- Quoi Tom ?

- Qu’il aimait bien leur enfiler une matraque dans le c…, entre les fesses Maître !

- Merci Tom, cela confirme, ce que je sais, mais Tom tu vas aller chercher Thomas le garde, et tu l’amènes ici !

Tom sortit, et revint vite avec Thomas en uniforme, tout net.

- Thomas viens dans mon bureau !

Une fois dans le bureau, je restai debout, et demandai à Thomas :

- Comment ton Chef punissait ses gardes ?

- Heu… Maître, il avait plusieurs… Méthodes.

- La plus courante c’était quoi ?

- On était battu avec la matraque Maître…

- Durement ?

- Oui Maître, ça faisait très mal !

- Et c’est tout Thomas ?

- Euh… Maître non… Mais c’est dur… C’est dur d’en parler… Maître !

Je posai ma main sur son épaule et dis :

- Parle Thomas tu ne risques rien !

- Maître on était enculé par la matraque, pardon Maître je ne trouve pas d’autre mot !

- C’est bien Thomas, ça t’arrivait souvent ?

- Oui Maître, à chaque fois que j’étais battu !

- Ça faisait mal ?

- Oh oui Maître !

- Tu peux me montrer ton cul Thomas ?

- Oui Maître ! Il baissa son short, écarta les jambes et se pencha sur le bureau, je mis un peu de vaseline sur mon doigt et commençai à l’explorer, son cul était très abîmé, incroyable pour un garçon de son âge ! Très distendu, manquant d’élasticité, j’étais en rage, abîmer un beau garçon comme ça !

- Rhabille-toi mon garçon, tu viendras ce soir, je te donnerai des pommades pour essayer d’améliorer ça !

- Merci Maître… Il eut un regard très doux, reconnaissant.

- Tu peux partir, je serai à la salle des gardes dans une demi heure.

- Oui Maître, merci Maître.

Je pris une douche, Tom me lava, il était très doux et très doué pour ça, j’avais de moins en moins envie de le fouetter trop fort, mais il méritait la strap pour sa faute !

Après m’être habillé avec l’aide de Tom, je rejoignis le salon, Yves était là, je lui dis :

- Yves, il vaut mieux que tu ne viennes pas à la punition à la salle des gardes, je préfère garder ça entre eux et moi, mais tu vas aller chercher Alex avant, amène le dans mon bureau !

- Oui Maître ! Et il sortit.

J’allai au bureau, et peu de temps après on frappa et Alex entra. Il était grand, athlétique, un peu maigre, très bel homme dans sa maturité, il avait 37 ans.

Je lui demandai :

- Alex que penses-tu des punitions données aux gardes ?

- Maître, elles sont trop sévères et souvent injustes, le Chef battait n’importe qui certains soirs, on ne savait pas pourquoi…

- Tu as souvent été puni ?

- Oui Maître, peut-être même plus que les autres…

- Pourquoi ?

- Je le sais pas Maître, mais j’entendais souvent : Alex, sur la table, et il prenait la matraque pour taper !

- Et après avoir tapé ?

- Oh Maître, pour moi ce n’était pas tout le temps, pas comme pour d’autre, que quand il voulait m’humilier plus !

- Il faisait quoi alors ?

- Maître il enfilait la matraque dans… Dans…

- Dans ton cul, d’accord, ça faisait mal ?

- Oh oui Maître !

Comme aux deux autres j’inspectai son anus, en constatant les mêmes dégâts, moindres quand même que ceux du cul de Thomas, par contre son corps était couvert de traces bleues.

- Pourquoi il te battait plus que les autres ?

- Je ne sais pas Maître, peut-être parce que j’étais le plus grand, le plus fort, plus fort que lui !

- Pourquoi n’as-tu jamais rien dit à mon père, Alex ?

- J’en avais trop peur Maître, trop peur de son fouet, et il ne demandait jamais rien pas comme vous Maître !

- Ça t’embête mes questions ?

- Oh non Maître, bien au contraire, même si je n’aime pas parler de ces choses là, avec mon Maître, c’est plus facile !

- C’est bien Alex ! Dis-je en lui donnant une petite tape sur l’épaule, et je repris :

- Alex j’ai pensé à toi pour être le nouveau Chef des gardes.

Il reprit son souffle et dit :

- Maître c’est beaucoup d’honneur mais je ne peux pas être Chef des gardes pour punir constamment mes hommes…

- Tu devras les punir en cas de faute, et pas avec la matraque, avec tes mains, le martinet ou la strap, le fouet avec mon autorisation en cas de faute très grave ! Mais à toi de juger, ce que je veux c’est des gardes efficaces, et pas malheureux !

- Oh Maître, dans ces conditions j’accepte ! On ne se servira plus de la matraque pour…

- A partir d’aujourd’hui midi, non tu as ma parole !

- Midi Maître pourquoi ? Oh Maître ce matin vous voulez… »

- Tu as bien compris, Alex, et félicitation à mon nouveau Chef des gardes ! Je lui donnai l’accolade et ajoutai :

- Ne dis rien je l’annoncerai à tous dans quelques minutes, retourne maintenant avec tes gardes.

- Merci Maître, j’essaierai d’être digne de votre confiance Maître. Et il partit.

Après quelques minutes de réflexion je descendis à la salle des gardes. Tous les gardes étaient là, vu le nombre important d’hommes présents. Antoine était enchaîné à terre.

Je leur demandai de s’aligner en fonction de leur âge, ils le firent vite. Les plus jeunes avaient vers 15 ans, le plus âgé Alex, était en dernier. Dans l’ensemble ils étaient plutôt beaux, un seul n’était pas terrible, dû à une tête disgracieuse. Ils étaient tous en uniforme propre très net, de beaux petits soldats, je vis une table un peu basse dans un coin, je les imaginais nus à quatre pattes offerts au bon vouloir de celui qui était enchaîné là.

Je pris la parole :

- Gardes, nous sommes réunis ici pour punir votre ancien chef, et mettre en place la nouvelle garde du Domaine !

- Antoine, qui est devant vous, là, est coupable d’ignobles cruautés dont vous avez été la victime, il a voulu fouetter à mort l’un d’entre vous, Thomas, alors qu’une punition plus simple était méritée, cette cruauté a aussi mise à jour par le témoignage de certains d’entre vous.

- Il recevra donc le fouet à quatre pattes sur cette table, vous êtes 22, il recevra 2 coups de chacun de vous. Attention à ceux qui seraient trop faibles, le martinet les guette ! On commencera par les plus jeunes et on finira par Alex !

- Amenez le prisonnier, et sur la table !

Antoine fut amené, mis nu et poussé vers la table qui avait été déplacée au centre de la pièce. Il s’y installa se laissant faire. Il me lança un regard bizarre.

Je dis au plus jeune :

- Aller mon garçon prends le fouet accroché là et commence !

Le jeune garçon (je savais qu’il avait 14 ans), me regarda hésitant mais il se posta fouet en main derrière le cul présenté du puni. Il leva le fouet et l’envoya de toutes ses forces sur les fesses d’Antoine, le claquement fut net, le puni se cabra, il cria, une rayure rouge zébra ses fesses, le sang perla, le garçon se déplaça un peu et donna le deuxième coup sur le dos, on entendit un cri plus fort, une forte marque était sur son dos.

- Très bien mon garçon, tu es déjà redoutable ! Donne le fouet à ton voisin et reprends ta place ! Le gamin repris sa place tout fier.

Les deux suivants, très jeunes aussi furent durs aussi avec leur ancien chef, qui commençait à râler, le quatrième fut plus mou pour le premier coup mais il donna le suivant en plein dans la raie des fesses, le puni hurla.

Quand vint le tour de Thomas, il s’appliqua particulièrement et il donna deux coups extrêmement forts, sur les fesses en faisant claquer le fouet pour mieux cingler le cul devant lui, il arracha deux hurlement à Antoine, qui commença à geindre, demander grâce et pardon. Les suivants furent très sévères, plus les gars étaient âgés, plus ils étaient forts et plus les coups portaient, et ils avaient tous à cœur de punir ce chef qui les martyrisait si souvent.

Arrivé aux deux deniers fouetteurs, le puni était tout zébré de rouge, il avait du mal à rester en position.

Arnaud se mit en place et il envoya deux coups rapides, très violents qui firent s’écrouler Antoine, il reprit la position en bon soldat et Alex intervint, très sérieux, il fouetta son ancien chef avec force, sur les fesses, avec 44 coups Antoine était plein de sang, j’étais un peu dégoûté. Mais je voulais finir comme à son habitude. Je demandai à Thomas de venir, il eut l’air surpris, je décrochai la matraque qui était accrochée à la table et que j’avais repérée plus tôt, je mis la matraque dans les mains de Thomas, et lui dis :

- Finis la punition Thomas ! Il me regarda avec des gros yeux et dit :

- Vous êtes sûr Maître ?

- Oui Thomas fais-le ! Pense à quand tu étais sur la table !

Antoine se tourna vers nous, il vit la matraque et cria :

- Non Maître pas ça, non Thomas… Pitié… Pitié…

- Sale chien comment ose-tu chialer comme une fillette ? Tu as enculé les pauvres gardes à ta merci combien de fois avec cette matraque ? Thomas fais-le crier comme vous avez tous crié !

Thomas se posta alors derrière lui et commença à introduire la matraque, cela résistait, son cul devait être vierge, Thomas força, Antoine hurla, mais Thomas se rappelait ses propres cris et ceux des gamins violés comme ça, il se vengeait maintenant, il força encore plus, la matraque entrait progressivement, Thomas la fit tourner, puis entrer et sortir plusieurs fois, chaque fois le puni hurlai, il le lima ensuite, bougea la matraque et la lâcha. Antoine était là au centre, sur la table, zébré par le fouet et la matraque dans le cul, quelle humiliation pour lui ‘droit dans ses bottes’ il était traité comme ses gardes, comme le dernier des esclaves !

Tous les gardes toujours alignés, avaient un air étonné, je repris la parole :

- Gardes, la punition de votre ex-chef est terminée, votre nouveau Chef est Alex, à partir de maintenant vous lui devez entière obéissance, Alex viens ici !

Alex s’approcha de moi, il était ému, il s’agenouilla devant moi, je mis ma main sur sa tête, et dis :

- Alex tu es le Chef des gardes, sois juste avec tes gardes et fais respecter la discipline !. Je lui demandai de se relever et lui montrant son ancien chef :

- Retire la matraque ! Il le fit, le puni eu un sursaut, je dis alors à Alex :

- Alex, détruit cette matraque, fais la brûler, et que ce genre de chose ne se reproduise jamais ici !

- A vos ordres Maître… Merci Maître… De la part de tous les gardes Maître…

- Bon reprenez votre travail les gars, et soyez de bons gardes !

Ils firent le salut militaire, je fis un signe de tête et je quittai la salle.


Je m’installai au bureau pour travailler, je préparais mes futures visites dans les villages, après environ une heure, Tom frappa et entra :

- Maître Angelo voudrait vous parler.

- Angelo ? Et bien fais le entrer ! Dis-je un peu surpris de cette visite.

Angelo entra, il paraissait mal à l’aise, il me salua en se courbant, il était juste devant moi, un très beau garçon, j’étais devant mon bureau debout. Je dis :

- Tu as quelque chose à me dire Angelo ?

- Oui Maître, pardon de vous déranger Maître, je… Je voulais vous dire que… Que… Que le père de Marco c’est moi !

Et il tomba à genoux, prostré devant moi, j’étais très surpris par cet aveu mais surtout parce qu’il le faisait comme pour une faute très grave ! Je me baissai vers lui et lui dis doucement :

- Relève-toi Angelo ! Il se releva et resta la tête baissée.

Je pris un ton plus enjoué et dis :

- Félicitation Angelo, mais pourquoi cet air triste, et pourquoi l’avoir caché ? Je posai ma main sur son épaule.

- Maître, vous ne voulez pas me punir ?

- Te punir pour quoi Angelo, pour avoir fait un beau bébé ? Je rajoutai après un silence :

- Je sais Angelo que des garçons ont été fouettés pour avoir couché avec des filles sans l’autorisation du Maître, mais ce temps là est fini, alors tu ne risques rien !

- Oh merci Maître ! Il retomba à genoux, prit ma main, l’embrassa et dit avec des sanglots dans la voix :

- Oh Maître, vous avez sauvé Rose et le bébé, je ne pourrai jamais assez vous remercier, d’avoir sauvé ma Rose, oh merci Maître merci… Merci !

- Allons Angelo, debout ! Parlons plutôt de ton avenir, que veux-tu faire avec Rose ?

- Maître, j’aimerais vivre avec elle… Mais je ne sais pas si elle voudra… Et si vous le voudrez Maître…

- Moi Angelo, je ne m’oppose pas quand un garçon et une fille s’aiment, c’est à vous de choisir, si vous vivez ensemble vous aurez une chambre à vous, et n’oublie pas que Marco est mon filleul alors soigne le bien !

- Oui Maître merci pour lui, je vous dois tout Maître… Je ne sais plus quoi dire…

Je le pris dans mes bras, il était tout gentil mon Angelo, je dis :

- Mais Angelo, tu l’as vu ton fils ?

- Non Maître, je ne pouvais pas y aller…

- Et bien qu’est-ce qu’on attend ?

Je le pris par le bras, nous sortîmes du bureau et descendîmes à la blanchisserie, les femmes furent surprises de notre arrivée, nous entrâmes dans la chambre de Rose, elle fut très surprise de me voir et surtout de voir Angelo derrière moi, elle dit

- Oh Maître, Angelo !

Angelo restait debout n’osant pas s’approcher de Rose, je lui dis :

- Et bien Angelo, tu n’embrasses pas Rose ? Il se précipita vers elle l’embrassa, la prit dans ses bras, je dis alors :

- Bon je vous laisse les amoureux… Et je les quittai pour remonter à mon bureau.

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